Maclad : Archéologie...

oursdur et Fabien

merci pour vos explications, en fait on a le même ressenti de l'effort et heureusement hier je disais que William devait trouver son allure de confort qui justement vient tutoyer la ligne blanche sans la franchir.

Aller bonne journée à tous

euh quand il y a autant de message sur mon suivi c'est généralement à l'instigation de Fred et c'est beaucoup moins sérieux !

Je vous remercie donc tous d'élever un peu le débat.

Je commence à mieux cerner le "concept" dont vous parlez. C'est en fait un effort au delà de l'inconfort mais en dessous de la souffrance. En dessous on n'exploite pas totalement son potentiel et au dessus, on ne tient pas longtemps.

J'ai tout bien compris ?

le 7ème km c'est un peu le "mur" de cette distance. Le moment où tes jambes et ta tête disent stop. Là il faut pouvoir débrancher le cerveau et continuer à courir. C'est un truc qe j'ai un peu de mal à faire.

maclad écrit:

euh quand il y a autant de message sur mon suivi c'est généralement à l'instigation de Fred et c'est beaucoup moins sérieux !

Je vous remercie donc tous d'élever un peu le débat.

Je commence à mieux cerner le "concept" dont vous parlez. C'est en fait un effort au delà de l'inconfort mais en dessous de la souffrance. En dessous on n'exploite pas totalement son potentiel et au dessus, on ne tient pas longtemps.

J'ai tout bien compris ?

le 7ème km c'est un peu le "mur" de cette distance. Le moment où tes jambes et ta tête disent stop. Là il faut pouvoir débrancher le cerveau et continuer à courir. C'est un truc qe j'ai un peu de mal à faire.

Je trouve que tu résumes bien

Pour la fin de course, après les 7 Km, c'est un peu comme lors des fractionnés mais là tu dois tenir 3Km
Il faut se projeter sur le 8eme Km puis te dire qu'arrivé au 9eme tu vas accélérer .
Ça peut paraître étrange quand on ne se sent pas bien mais, là encore dans mon cas, très bénéfique puisque j'avance toujours et je ne pense plus à l'inconfort du moment.

Je ne sais pas si ces petits trucs peuvent t'aider. Tu peux tenter et tu verras bien

Salut William,

Quand tu dis que tu n'arrives pas à débrancher le cerveau je comprend un peu ce que tu veux dire. J'ai un peu le même soucis.
Concernant le débat, j'opterais pour mémoriser une allure proche des 90%fcm. En gros, tu estimes la vitesses de course pour 90%FCM puis les AS10 sont refait à ces allures en étant le plus régulier possible. Un peu comme de tenir une FC à une ou 2 puls.
Normalement tu vas devenir plus efficace à cette allure et le jour de la course, tu courras à la même allure mais certainement à une FC plus importante (le stress). Et au 7ème, le moment où ça commence à tirer là il faut ne plus penser...
où alors tu penses mais à des choses positives. Je n'ai pas mal ce n'est qu'une illusion. Je suis en train de franchir la ligne en sub40' etc...

Par contre, c'est carrément incompatible avec l'entrainement à la FC je pense.

En tous cas, une chose est sûr, tu as largement progressé . Perso, faire du 6'/km en EF, j'en suis encore loin.

maclad écrit:

euh quand il y a autant de message sur mon suivi c'est généralement à l'instigation de Fred et c'est beaucoup moins sérieux !

Je vous remercie donc tous d'élever un peu le débat.

Non seulement ce n'est pas de ma faute si ton suivi s'enflamme, c'est effectivement constructif mais en plus j'y ai participé (même sans y apporter de grand intérêt) et ne suis pas venu mettre le souk...

Tu veux que je te rassure sur mon état de santé (ou le suivi d'Aldo te suffit ?) ?

Au delà d'un moment je suis comme toi, quand les jambes ne veulent plus, le cerveau a beau râler elles lui font des gros doigts... et ça sera très prochainement un de mes axes de travail, repousser les limites de l'inconfort... A force on va les péter nos objectifs sur 10km

Je n'ai de cesse de le dire, le 10 km, c'est une horreur !!! L'an dernier, un peu + d'un mois après mon marathon, je descendais pour la 1è fois sous les 40. Pendant la course, je me suis dit

"Même pendant le marathon, je n'ai pas eu aussi mal"...

Alors, c'est vrai que j'ai eu la chance de ne pas avoir de souci pendant mon marathon, mais quand même !!!

Le 10 fait mal, car c'est le souffle, le coeur et les muscles qui sont à la limite ! D'avantage que sur les autres distances. Pour performer (à nos humbles niveaux), il faut se préparer à avoir mal, à en chier...Sans atteindre sa limite, voire la dépasser, on ne perfera pas. Rien n'empêche de courir un peu en dedans, à sa jambe, sans se faire mal : c'est aussi respectable que le couillon qui va à la gerbe . Mais on est sur 2 logiques distinctes. Qui veut perfer doit donner beaucoup, et même encore plus

Pour ma part, je néglige trop la prépa d'un 10. Je le fais à l'arrache, au feeling, comme en ce moment : je ne respecte pas assez la distance qui se venge le jour de la course...