Maclad : Archéologie...

Oui, c'est bien, tu deviens de plus en plus foufou
Tu l'as bien payé sur la fin (déjà sur la première série), pas trop mal au jambes à froid ?
Au regard du D+ c'était une côté à 2% non il faut vraiment que tu viennes à la maison

J'ai vu la séance garmin en premier sans lire ton suivi William, et bah j'avais vu juste tu es parti bille en tête

Mais bon c'est bon aussi, tu vas progresser plus vite avec ces séances de cote


Ousdur, Fabien

Faudrait me donner ce que vous entendez par souffrance? Car moi je ne vois pas comment vous faites pour lutter contre la fatigue musculaire ou l'asphyxie je peux comprendre que l'on lutte contre une contracture, crampe, courbatures, etc...

Quand je n'ai plus de jus, mes jambes s'arrêtent mais cela ne s'apparente pas a de la souffrance

Même si tu es parti rapidement tu nous fait une jolie séance !!
Par contre il ne faut pas oublier que même si les séances de côtes font travailler à hautes intensités cardiaques, elles permettent surtout de travailler la foulée (et non la vitesse)

RunningZap écrit:

Ousdur, Fabien

Faudrait me donner ce que vous entendez par souffrance? Car moi je ne vois pas comment vous faites pour lutter contre la fatigue musculaire ou l'asphyxie je peux comprendre que l'on lutte contre une contracture, crampe, courbatures, etc...

Quand je n'ai plus de jus, mes jambes s'arrêtent mais cela ne s'apparente pas a de la souffrance

Le mot souffrance est peut être mal choisi, je te l'accorde.
Il s'agit plutôt d'un état dans lequel, tu as le sentiment que tu dois t’arrêter ou ralentir mais tu ne le fais pas. Tu fais alors un effort supplémentaire pour continuer, certains peuvent appeler ça de la souffrance d'autres peuvent parler de volonté mais au final tu dois faire abstraction des signaux que t'envoie ton corps pour aller chercher de nouvelles limites.

Je ne suis pas sur d'être très clair

Pour donner un exemple, quand j'ai réalisé mon 5000 m a As10, j'ai crue que j'allais exploser au bout de trois Km. Du coup, j'avais des doutes sur ma capacité à réaliser les 10km à la même allure.
Pendant la course c'était pareil, passé les 7Km j'ai du me faire violence pour ne pas m’arrêter ou ralentir. C'était interdit dans me tête.
Pourtant à ce moment là je peux considérer que j'étais en souffrance puisque mon corps me disait qu'il en avait assez et mon esprit me disait de continuer, qu'il fallait continuer.

Bien entendu, il faut rester calme dans ces moments là et essayer de se décontracter au maximum (plus simple a dire qu'a faire ... ).

J'espère t'avoir donné une explication plus claire mais j'avoue que ce n'est pas évident à décrire.

RunningZap écrit:

Ousdur, Fabien
Faudrait me donner ce que vous entendez par souffrance? Car moi je ne vois pas comment vous faites pour lutter contre la fatigue musculaire ou l'asphyxie je peux comprendre que l'on lutte contre une contracture, crampe, courbatures, etc...
Quand je n'ai plus de jus, mes jambes s'arrêtent mais cela ne s'apparente pas a de la souffrance

Comme l'a bien dit Snarf31, le mot souffrance est mal choisi, je change donc pour "agression ressentie"
En gros lors des séances d'AS c'est chercher à évaluer son inconfort limite pour la durée de course attendue, inconfort limite qu'on mémorise et qu'on "rejoue" en course (pas de FC ni d'allure cible). L'analyse de la course permet ensuite d'affiner encore plus cette limite d'inconfort et ainsi de suite...
L'idée c'est aussi de rester le plus régulier possible dans l'effort et d'éviter absolument toutes les petites accelérations ou les petits ralentissements visant à coller à la FC/allure cible, ca c'est vraiment destructeur je trouve...
Désolé pour le squat de suivi Maclad !

Knau80 écrit:

Au regard du D+ c'était une côté à 2% non il faut vraiment que tu viennes à la maison

quel taquin ce Fred.
En côte on a toujours tendance à partir un peu vite mais ça calme ensuite.