Robin : à l'assaut une dernire(?) fois d'un RP...

la motiv est là

30km sans une petite douleur, une dérive presque nulle
A moins d'un coup de mou au 35ème kilo je pense que les 3h c'est possible.
En tous cas, moi aussi je retiens

Amenhi écrit:

30km sans une petite douleur, une dérive presque nulle
A moins d'un coup de mou au 35ème kilo je pense que les 3h c'est possible.
En tous cas, moi aussi je retiens

Le fameux coup de mou du 35ème !!!
Il est malheureusement quasi inévitable et motivé ou pas il sera très difficile à gérer, surtout à ces allures là où je courrai mon 1er 10km il y a un an . J'ai bien progressé mais ça va être très dur et il est certain que mon marathon va commencer dans ces environs là 30-35 et que je me sentirai alors très faible et très démuni pour maintenir l'allure. Il me faudra mobiliser beaucoup d'images mentales, de pensées positives pour aller au delà du message que nous envoi notre cerveau à ce moment là "arrête de courir !!!"

Il y a encore 3 semaines pour paufiner la préparation. Au programme, bonne alimentation et du sommeil !

robin écrit:

Amenhi écrit:

30km sans une petite douleur, une dérive presque nulle
A moins d'un coup de mou au 35ème kilo je pense que les 3h c'est possible.
En tous cas, moi aussi je retiens

Le fameux coup de mou du 35ème !!!
Il est malheureusement quasi inévitable et motivé ou pas il sera très difficile à gérer, surtout à ces allures là où je courrai mon 1er 10km il y a un an . J'ai bien progressé mais ça va être très dur et il est certain que mon marathon va commencer dans ces environs là 30-35 et qu'à ce moment là, je me sentirai très faible et très démuni pour maintenir l'allure. Il me faudra mobiliser beaucoup d'images mentales, de pensées positives pour aller au delà du message que nous envoi notre cerveau à ce moment là "arrête de courir !!!"

Il y a encore 3 semaines pour paufiner la préparation. Au programme, bonne alimentation et du sommeil !

Moi il a commencé vers le 35ème et même avec la meilleure volonté du monde, je ne pouvais pas plus... mes jambes ne voulaient, ne pouvaient plus
Je pouvais encore courir mais je n'arrivais à maintenir le rythme

Au niveau cardio j'étais vraiment bien pourtant... mais musculairement, ce n'était plus possible.
Il va donc falloir que je travaille là dessus

@dep1703

C'est exactement ce qui m'inquiète. Globalement, j'ai bien suivi le plan, j'ai récupéré du coup au moral pris après le semi préparatoire, je sens qu'au niveau cardiaque, je suis OK, mais en fin de SL à FC42, je sens bien que les jambes travaillent et que les articulations chauffent. Du coup, j'ai peur du coup de mou du 35ème.
Je pense que je devrai devoir y faire face et d'ailleurs je l'attends un peu aussi en quelque sorte. Après vais-je le surmonter mentalement ou est-ce que mes jambes seront vraiment cramées ?

On verra le jour J.

Amenhi écrit:

@dep1703

C'est exactement ce qui m'inquiète. Globalement, j'ai bien suivi le plan, j'ai récupéré du coup au moral pris après le semi préparatoire, je sens qu'au niveau cardiaque, je suis OK, mais en fin de SL à FC42, je sens bien que les jambes travaillent et que les articulations chauffent. Du coup, j'ai peur du coup de mou du 35ème.
Je pense que je devrai devoir y faire face et d'ailleurs je l'attends un peu aussi en quelque sorte. Après vais-je le surmonter mentalement ou est-ce que mes jambes seront vraiment cramées ?

On verra le jour J.

je crois que le coup de mou et le mal aux jambes sont deux choses différentes et qui peuvent malheureusement cohabiter.
- le coup de mou c'est l'épuisement des réserves de carburants ..., y compris pour ton cerveau qui manquant de carburant et en particulier d'acides aminés s'alarme un peu et te dit STOP ! STOP ! Ce coup de mou du 35ème est assez sournois; ce n'est pas un coup de bambou non plus, ce n'est pas "d'un coup je ne peux plus"... ça vient progressivement et sournoisement.
- le mal aux jambes, c'est plutôt toutes les fibres que tu as cassé en courant vite, longtemps et sur une surface très dure. ça empêche pas vraiment d'avancer même si tu amplifies les dégâts. Sur mon deuxième marathon, j'ai fait 24km en ayant des cuisses en bois dont j'avais l'impression que je ne pouvais plus rien en tirer... c'est pas marrant mais ça se fait.