Aquila: en mode anar

fabrice2650 écrit:

Et ma remarque etait vraiment qu'un coach aide aussi à sortir de sa zone de confort, ce que l'on a pas forcément tendance à faire quand on ne court pas avec l'émulation d'un groupe ou d'un coach.

Mouai certes.... Après défois ça dépend du coach hein......

il faut que le coach te fasse prendre des risques mesurés, ca a l'air le cas avec aquila

Aquila écrit:

Synthèse: il y a des risques, ils sont assumés et en tout état de cause, on s'emploie à les maîtriser. Le but est que ça passe, pas que ça casse.

Ca me rappelle un peu des choses que j'ai lues sur le suivi de Robin...

Effectivement, passer à 5 séances par semaine, c'est pas de la tarte, moi ça me fait peur à tous les niveaux, physique, fatigue, et incident diplomatique à la maison ..... , bon courage mais comme celà a déjà été dit, tout semble bien raisonné, donc je ne m'en fais pas pour toi.

Pour ta séance de VMA, comme je te l'ai mis dans GC, tout est réglé comme du papier à musique hormis ton erreur, c'est surement l'âge qui fait ça !!!

Et comme tu l'as judicieusement dit, c'est maintenant ou jamais, c'est vrai que l'horloge tourne et c'est moche de devoir dire ça malheureusement .....

dule66 écrit:

Mouai certes.... Après défois ça dépend du coach hein......

Ca dépend aussi de la relation entre le coach et le coaché, et de leurs objectifs communs. Là, il fait du travail sur un individu, et il y passe un petit paquet d'heures en échanges, discussions, réflexions... Il faut bien ça pour que le coach arrive à traduire les sensations que lui décrit le coureur. Je ne sais pas si un coach, aussi bon soit-il, peut gérer autant en finesse avec un groupe étoffé d'athlètes de niveaux variés.

Dionysos08 écrit:

Et comme tu l'as judicieusement dit, c'est maintenant ou jamais, c'est vrai que l'horloge tourne et c'est moche de devoir dire ça malheureusement .....

Boh non, tu sais, je ne trouve pas ça moche. Quand le progrès devient impossible, il faut faire autre chose, ou pratiquer autrement. Ce qui compte, c'est le plaisir. Avec de la joie de vivre et un peu de philosophie, ça ne doit pas trop poser de problèmes. Reste qu'aujourd'hui, pour mon panard du moment, je ne dois pas rater le train.

@Khara: je crois que quiconque doit passer un gros palier de progression finit tôt ou tard par devoir envisager le risque de blessure. Et entre nous, la blessure, elle arrivera tôt ou tard, et elle sera riche en enseignements. Il faut faire tout ce qu'on peut pour l'éviter, mais pas la fuir à tout prix sinon on ne fait plus rien. On a bossé, on a créé des conditions qui devraient permettre à la carcasse de tenir, et maintenant on vit une belle aventure. Elle est pas belle, la vie?

Bon plan! Te connaissant la balance benefice/risque a longuement ete etudiee, donc fonce Et advienne que pourra, en esperant le meilleur. Mais quand on cours pour un chrono, on est sur la ligne rouge .