Charly_pas forcément Yep
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Réponse de Caracolent1 sur le sujet Charly - GOTORLEKUEN ITZULIA
Posted il y a 8 mois 2 semaines #523996
par Caracolent1
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- ianov
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Ah mais oui ! Ca a donné quoi ? Météo pas trop pourrie ?
par ianov
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- charly_yep
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Réponse de charly_yep sur le sujet Charly - GOTORLEKUEN ITZULIA
Posted il y a 8 mois 1 semaine #524007
Salut à tous, oui c'était ce week end, j'ai essayé de rédiger un CR, ça permet de faire un petit bilan, je vous partage ça. Je vous laisse ouvrir la partie "cachée" si vous le désirez.
Je vous mets ici mon lien Strava: Gotorlekuen Itzulia 2024
Je vous mets ici mon lien Strava: Gotorlekuen Itzulia 2024
Attention : Spoiler !
Compte rendu Gotorlekuen Itzulia 2024
Et nous y voici, 1er gros objectif de l’année 2024. Le programme est précis, c’est que l’organisation basque est précise et semble bien calée.
On a les infos, programme, trace précise, horaires : 41.9 km pour 2510m D+ sur Trace de Trail (42km / 2800 D+ sur les affiches), départ samedi 9 mars à 8h.On arrive sur place avec mon acolyte habituel vendredi, direction le fronton d’Ibarron, à Saint-Pée-sur-Nivelle. Retrait des dossards, petite discussion avec les gens présents, quelques infos pour les consignes le lendemain et nous voici parés avec nos petits cadeaux de bienvenue.
Superbe tee-shirt, qui semble en plus qualitatif, pâté basque, pâtes de fruits d’un confiseur local, divers bons pour ostéo etc… Direction le gîte pour prendre possession des lieux, puis petit tour au joli village d’Ascain pour boire un verre en fin d’après-midi.
Retour au gîte, préparation du matériel, de l’alimentation et de la boisson, repas, discussions diverses et variées, vœux pieu de ma part : « t’en fais pas c’est touristiques, les chemins vont être propres » … à suivre.
Puis dodo car réveil à 6h.
Effectivement 6h tout le monde debout, douche, petit déj et dernière vérif du matos et de l’alimentation. Je pars avec 500 mL de boisson Naak + 500 mL d’eau + gaufres Naak et purées Baouw. Je sais que tout passe bien il faut juste bien penser à manger.
Direction le départ, on pose la voiture au P2, 300m de la zone, parfait. Sur place à 7h, petit tour, attente, dépose des consignes, trotting pour détendre les jambes et briefing, du classique, mais quand même ça monte, on voit les divers sommets mais surtout La Rhune où il va falloir monter.
8h : musique, speaker, ambiance et enfin le départ pour un 1er bloc jusqu’à la gare de Saint-Ignace où le train ne nous prendra pas aujourd’hui.
Gare de St-Ignace (aller) : 8.5 km pour 519 D+ / 364 D- en 1h06
Tout se passe assez bien, les jambes sont là, par contre ce qu’on pensait au départ se précise, on aura du vent touuuute la journée.
Les 1ères bosses se précisent, ça sort les bâtons, mais on les range rapidement dans l’ensemble pour arriver ensuite à St-Ignace.
La Rhune : 13.2 km pour 1327 D+ / 430 D- en 2h15
Alors là, on est dans le dur, à peine sorti du 1er ravitaillement de cette course qu’on attaque directement l’ascension vers le sommet. Ascension qui se décompose en 3 temps, 2 montées avec une partie plate et roulante au milieu.
La première partie nous fait quitter la gare puis longer un chemin bordé de sapins avant de passer à découvert sur un sentier déjà bien caillouteux. Elle fait 2km pour environ 390 D+.
Partie roulante en prairie ensuite avec de superbes vues sur l’océan d’un côté, il fait très beau, et La Rhune qui nous attend de l’autre.
L’ascension finale se fait ensuite après avoir coupé la voie ferrée, en direct dans la pente, pas de zig zag. 1.5 km pour 375 D+. Ça pousse fort sur la kouisse et les bâtons mais je monte finalement assez bien et en prenant plutôt plaisir dans cet effort et avec les magnifiques paysages qui s’ouvrent à nous.
En haut, miam miam ravito, on recharge tout pour attaquer la redoutée descente.
Trabenia : 21 km pour 1728 D+ / 1638 D- en 4h19 (barrière horaire à H +5h…)
Je pensais descendre à peu près correctement, quelle claque… Dans la difficulté toute la descente (et ce sera pareil pour toute la course, j’y perdrai un temps fou). Des pierres, des racines, des genêts au milieu du sentier, aucun chemin propre sur l’entièreté de la descente. Ce fut une grosse épreuve mentale, à me demander si j’allais arriver à la finir à un moment…Et à repartir après le ravitaillement.4 chutes dont une où ça a tapé fort sur la hanche après avoir glissé dans la boue comme un pingouin sur la banquise… celle-là m’a transi , obligé de m’assoir 2 min sur le côté avant de repartir.
Du coup j’ai pris du temps au ravitaillement, un bon quart d’heure je pense. J’ai tout posé, veste, sac. J’ai bu, mangé et discuté avec un groupe sympa qui m’a bien aidé à me remonter le moral.
Et puis il a fallu repartir.
Je me suis même trompé et j’ai failli repartir en marche arrière.
Gare de Saint-Ignace (retour) : 30 km pour 2364 D+ / 2198 D- en 6h22 (barrière à H +7h…)
Après le ravitaillement se fait l’ascension d’un sommet bien connu là-bas, Miramar !!
3.4 km de montée, pour 480 D+, avalé en 52 minutes. Et bien les sensations sont bonnes. Bien sur les jambes fatiguent mais la tête va bien mieux et ça avance tranquillement mais surement. Petit moment de vie piqué aux autres quand une petite fille court pour rejoindre sa maman à la fin de cette montée, j’ai pensé à la mienne qui adorerait faire ça j’en suis sûr.
Derrière on a enfin une descente un peu roulante, on peut trottiner, profiter du paysage et des pottoks qui se baladent près de nous.
Une bosse au milieu de ce passage puis une descente vertigineuse (par les mêmes pentes que celles utilisés à l’aller) et nous arrivons à la Gare de Saint-Ignace où comme au précédent ravitaillement, je prends mon temps (l’essentiel n’est plus là du tout).L’ambiance est cool, mais il reste 4 belles bosses à passer avant de rallier l’arrivée.
Arrayoa : 35.8 km 2814 D+ / 2676 D- en 7h53
Ces 5.8 km seront un enchainement assez bizarre avec un jolie montée en sortie de Saint-Ignace, assez plaisante pour commencer. Ensuite une partie plus roulante, où malgré des douleurs musculaires tout se passe correctement.
Mais la dernière chute va arriver dans pas longtemps. Descente abrupte, je suis toujours aussi crispé et je glisse sur des pierres qui roulent… Bim le coude, bobo mais surtout bâton coincé dans la chute et crac…
Il me reste donc 1 bâton et 3 ascensions à faire… moral en bas car je vois en face de moi une montée annoncé comme terrible… 720m de long pour 200 D+ suivi sans transition de 850m pour 230 D-.
Ce sera la seule montée où j’ai le sentiment de subir réellement. La descente sera comme les autres, souffrance mentale, pas de relâchement.
Heureusement on arrive à un ravito dans une bergerie avec des gens au petits soins, adorables, je serais bien resté avec eux. Mais non je ne pouvais pas ne pas finir. Il reste environ 5km, une bosse à finir, une autre à monter et une descente plus roulante pour finir jusqu’à l’arrivée.
Ibarron : 41.95 km pour 2997 D+/D-
Petit message à chérie et mon pote qui m’attend à l’arrivée pour leur dire que je sors du dernier ravito et feu.
Je finis la montée et me fait rattraper dans la vallée par un femme très sympa avec qui on finira toute la dernière bosse.On traverse une rivière plusieurs fois, on avait les pieds presque secs ça aurait été dommage de ne pas y passer… .
On active bien la montée vers le dernier point haut, la croix de Santa Barbara. Et à 100m de la croix grosse douleur sur le genou droit…Je suis sur le coup vraiment dégouté, presque à l’arrêt car ça me saisit. Je ne comprends pas car je n’ai eu aucun signa avant-coureur. Je finis donc cette montée, et laisse s’échapper ma compagne du moment dès le début de la descente…J’ai clairement mal et je ne peux rien courir de cette descente pourtant tout à fait courable en comparaison du chemin traversé jusque-là.
On finit par un peu moins d’1 km où je suis au sprint à 8’/km avec un concurrent, on se marre. Depuis quelques minutes ça se bouscule un peu dans ma tête et les larmes sont là, le souffle est court. Soulagement, fierté, mais aussi douleur à ce foutu genou.
Mon pote m’attendait un peu avant l’arrivée, il a fini en 6h45, gros bravo à lui, il contourne l’arche pendant que je passe dessous avec plaisir. On prend une bière, qui ne passe pas du tout. Je veux juste me poser mais au bar l’ambiance est bonne est il y a du monde.On se pose ailleurs et on débrief tout ça.
Bilan à J+3 :
Un premier trail sur ce format, et quel trail. Je suis fier de moi, et j’ai des pistes de progrès évidentes.
Gros bonheur que de faire enfin un trail plus montagnard, certes on n’est pas à 2000m dans les Alpes ou les Pyrénées mais les pentes et les chemins sont sacrément techniques.Le paramètre le plus évident est bien ce manque d’habitude sur des descentes aussi pentues, pour arriver à se lâcher un peu car j’ai perdu énormément de temps et de places. Et ça m’a pas mal frustré dans la course.
Premier point positif : pas de vertige et ça c’est top.
Deuxième point positif : jolie prestation dans les montées.
Enfin super organisation, rien à dire du début à la fin. Trail à faire sans hésiter !!! [\spoiler]
Et nous y voici, 1er gros objectif de l’année 2024. Le programme est précis, c’est que l’organisation basque est précise et semble bien calée.
On a les infos, programme, trace précise, horaires : 41.9 km pour 2510m D+ sur Trace de Trail (42km / 2800 D+ sur les affiches), départ samedi 9 mars à 8h.On arrive sur place avec mon acolyte habituel vendredi, direction le fronton d’Ibarron, à Saint-Pée-sur-Nivelle. Retrait des dossards, petite discussion avec les gens présents, quelques infos pour les consignes le lendemain et nous voici parés avec nos petits cadeaux de bienvenue.
Superbe tee-shirt, qui semble en plus qualitatif, pâté basque, pâtes de fruits d’un confiseur local, divers bons pour ostéo etc… Direction le gîte pour prendre possession des lieux, puis petit tour au joli village d’Ascain pour boire un verre en fin d’après-midi.
Retour au gîte, préparation du matériel, de l’alimentation et de la boisson, repas, discussions diverses et variées, vœux pieu de ma part : « t’en fais pas c’est touristiques, les chemins vont être propres » … à suivre.
Puis dodo car réveil à 6h.
Effectivement 6h tout le monde debout, douche, petit déj et dernière vérif du matos et de l’alimentation. Je pars avec 500 mL de boisson Naak + 500 mL d’eau + gaufres Naak et purées Baouw. Je sais que tout passe bien il faut juste bien penser à manger.
Direction le départ, on pose la voiture au P2, 300m de la zone, parfait. Sur place à 7h, petit tour, attente, dépose des consignes, trotting pour détendre les jambes et briefing, du classique, mais quand même ça monte, on voit les divers sommets mais surtout La Rhune où il va falloir monter.
8h : musique, speaker, ambiance et enfin le départ pour un 1er bloc jusqu’à la gare de Saint-Ignace où le train ne nous prendra pas aujourd’hui.
Gare de St-Ignace (aller) : 8.5 km pour 519 D+ / 364 D- en 1h06
Tout se passe assez bien, les jambes sont là, par contre ce qu’on pensait au départ se précise, on aura du vent touuuute la journée.
Les 1ères bosses se précisent, ça sort les bâtons, mais on les range rapidement dans l’ensemble pour arriver ensuite à St-Ignace.
La Rhune : 13.2 km pour 1327 D+ / 430 D- en 2h15
Alors là, on est dans le dur, à peine sorti du 1er ravitaillement de cette course qu’on attaque directement l’ascension vers le sommet. Ascension qui se décompose en 3 temps, 2 montées avec une partie plate et roulante au milieu.
La première partie nous fait quitter la gare puis longer un chemin bordé de sapins avant de passer à découvert sur un sentier déjà bien caillouteux. Elle fait 2km pour environ 390 D+.
Partie roulante en prairie ensuite avec de superbes vues sur l’océan d’un côté, il fait très beau, et La Rhune qui nous attend de l’autre.
L’ascension finale se fait ensuite après avoir coupé la voie ferrée, en direct dans la pente, pas de zig zag. 1.5 km pour 375 D+. Ça pousse fort sur la kouisse et les bâtons mais je monte finalement assez bien et en prenant plutôt plaisir dans cet effort et avec les magnifiques paysages qui s’ouvrent à nous.
En haut, miam miam ravito, on recharge tout pour attaquer la redoutée descente.
Trabenia : 21 km pour 1728 D+ / 1638 D- en 4h19 (barrière horaire à H +5h…)
Je pensais descendre à peu près correctement, quelle claque… Dans la difficulté toute la descente (et ce sera pareil pour toute la course, j’y perdrai un temps fou). Des pierres, des racines, des genêts au milieu du sentier, aucun chemin propre sur l’entièreté de la descente. Ce fut une grosse épreuve mentale, à me demander si j’allais arriver à la finir à un moment…Et à repartir après le ravitaillement.4 chutes dont une où ça a tapé fort sur la hanche après avoir glissé dans la boue comme un pingouin sur la banquise… celle-là m’a transi , obligé de m’assoir 2 min sur le côté avant de repartir.
Du coup j’ai pris du temps au ravitaillement, un bon quart d’heure je pense. J’ai tout posé, veste, sac. J’ai bu, mangé et discuté avec un groupe sympa qui m’a bien aidé à me remonter le moral.
Et puis il a fallu repartir.
Je me suis même trompé et j’ai failli repartir en marche arrière.
Gare de Saint-Ignace (retour) : 30 km pour 2364 D+ / 2198 D- en 6h22 (barrière à H +7h…)
Après le ravitaillement se fait l’ascension d’un sommet bien connu là-bas, Miramar !!
3.4 km de montée, pour 480 D+, avalé en 52 minutes. Et bien les sensations sont bonnes. Bien sur les jambes fatiguent mais la tête va bien mieux et ça avance tranquillement mais surement. Petit moment de vie piqué aux autres quand une petite fille court pour rejoindre sa maman à la fin de cette montée, j’ai pensé à la mienne qui adorerait faire ça j’en suis sûr.
Derrière on a enfin une descente un peu roulante, on peut trottiner, profiter du paysage et des pottoks qui se baladent près de nous.
Une bosse au milieu de ce passage puis une descente vertigineuse (par les mêmes pentes que celles utilisés à l’aller) et nous arrivons à la Gare de Saint-Ignace où comme au précédent ravitaillement, je prends mon temps (l’essentiel n’est plus là du tout).L’ambiance est cool, mais il reste 4 belles bosses à passer avant de rallier l’arrivée.
Arrayoa : 35.8 km 2814 D+ / 2676 D- en 7h53
Ces 5.8 km seront un enchainement assez bizarre avec un jolie montée en sortie de Saint-Ignace, assez plaisante pour commencer. Ensuite une partie plus roulante, où malgré des douleurs musculaires tout se passe correctement.
Mais la dernière chute va arriver dans pas longtemps. Descente abrupte, je suis toujours aussi crispé et je glisse sur des pierres qui roulent… Bim le coude, bobo mais surtout bâton coincé dans la chute et crac…
Il me reste donc 1 bâton et 3 ascensions à faire… moral en bas car je vois en face de moi une montée annoncé comme terrible… 720m de long pour 200 D+ suivi sans transition de 850m pour 230 D-.
Ce sera la seule montée où j’ai le sentiment de subir réellement. La descente sera comme les autres, souffrance mentale, pas de relâchement.
Heureusement on arrive à un ravito dans une bergerie avec des gens au petits soins, adorables, je serais bien resté avec eux. Mais non je ne pouvais pas ne pas finir. Il reste environ 5km, une bosse à finir, une autre à monter et une descente plus roulante pour finir jusqu’à l’arrivée.
Ibarron : 41.95 km pour 2997 D+/D-
Petit message à chérie et mon pote qui m’attend à l’arrivée pour leur dire que je sors du dernier ravito et feu.
Je finis la montée et me fait rattraper dans la vallée par un femme très sympa avec qui on finira toute la dernière bosse.On traverse une rivière plusieurs fois, on avait les pieds presque secs ça aurait été dommage de ne pas y passer… .
On active bien la montée vers le dernier point haut, la croix de Santa Barbara. Et à 100m de la croix grosse douleur sur le genou droit…Je suis sur le coup vraiment dégouté, presque à l’arrêt car ça me saisit. Je ne comprends pas car je n’ai eu aucun signa avant-coureur. Je finis donc cette montée, et laisse s’échapper ma compagne du moment dès le début de la descente…J’ai clairement mal et je ne peux rien courir de cette descente pourtant tout à fait courable en comparaison du chemin traversé jusque-là.
On finit par un peu moins d’1 km où je suis au sprint à 8’/km avec un concurrent, on se marre. Depuis quelques minutes ça se bouscule un peu dans ma tête et les larmes sont là, le souffle est court. Soulagement, fierté, mais aussi douleur à ce foutu genou.
Mon pote m’attendait un peu avant l’arrivée, il a fini en 6h45, gros bravo à lui, il contourne l’arche pendant que je passe dessous avec plaisir. On prend une bière, qui ne passe pas du tout. Je veux juste me poser mais au bar l’ambiance est bonne est il y a du monde.On se pose ailleurs et on débrief tout ça.
Bilan à J+3 :
Un premier trail sur ce format, et quel trail. Je suis fier de moi, et j’ai des pistes de progrès évidentes.
Gros bonheur que de faire enfin un trail plus montagnard, certes on n’est pas à 2000m dans les Alpes ou les Pyrénées mais les pentes et les chemins sont sacrément techniques.Le paramètre le plus évident est bien ce manque d’habitude sur des descentes aussi pentues, pour arriver à se lâcher un peu car j’ai perdu énormément de temps et de places. Et ça m’a pas mal frustré dans la course.
Premier point positif : pas de vertige et ça c’est top.
Deuxième point positif : jolie prestation dans les montées.
Enfin super organisation, rien à dire du début à la fin. Trail à faire sans hésiter !!! [\spoiler]
Last Edit:il y a 8 mois 1 semaine
par charly_yep
Dernière édition: il y a 8 mois 1 semaine par charly_yep.
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Merci pour ton compte rendu, ça avait l'air aussi spectaculaire que compliqué ce trail. Mais comme souvent super ambiance !
Super tout le positif que tu en retires malgré la difficulté, les chutes et l'arrivée en clopinant.
Bravo !!
Super tout le positif que tu en retires malgré la difficulté, les chutes et l'arrivée en clopinant.
Bravo !!
par ianov
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Réponse de charly_yep sur le sujet Charly - GOTORLEKUEN ITZULIA
Posted il y a 8 mois 1 semaine #524011
Merci. J'essaie de partager mon expérience.
Oui il y a eu des passages compliqués. Mais il faut relativiser.
Je me disais à certains moments "arrête de râler, tu as décidé d'être là, c'est ton choix" .
Il faut trouver des mécanismes.
Oui il y a eu des passages compliqués. Mais il faut relativiser.
Je me disais à certains moments "arrête de râler, tu as décidé d'être là, c'est ton choix" .
Il faut trouver des mécanismes.
par charly_yep
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Posted il y a 8 mois 1 semaine #524012
Ah oui! pas facile cette course.
en tous cas merci pour le CR, j'étais avec toi tout du long
J'espère que les bobos vont mieux (et ce genou alors?)
Et tu as raison d'être fier, ce n'est pas rien ce que tu as fait, un marathon avec la difficulté du dénivelé, des chemins techniques et des chutes!
Bravo à toi et bonne récup!! (du coup tu prévois un plan avec des séances spéciales descentes? )
en tous cas merci pour le CR, j'étais avec toi tout du long
J'espère que les bobos vont mieux (et ce genou alors?)
Et tu as raison d'être fier, ce n'est pas rien ce que tu as fait, un marathon avec la difficulté du dénivelé, des chemins techniques et des chutes!
Bravo à toi et bonne récup!! (du coup tu prévois un plan avec des séances spéciales descentes? )
par Caracolent1
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