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- leoxav
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Salut Boris content de te voir de passage sur le fofo
Cool que tu cartonnes comme Ca en triathlon
Bon format M next Time alors
Cool que tu cartonnes comme Ca en triathlon
Bon format M next Time alors
par leoxav
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- Maclad
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Rycker écrit:
moi je ne promets rien !!
un plaisir de te voir par ici, on essaye de se voir sur le bassin en aout ?
Et promis avec Jojo on ne pourri pas ce post là
moi je ne promets rien !!
un plaisir de te voir par ici, on essaye de se voir sur le bassin en aout ?
par Maclad
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- AtomHeart
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Avec plaisir William !
par AtomHeart
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Maclad écrit:
ça commence à sentir le vieux par ici !!!!
Moi je dis à chacun son bassin
Rycker écrit:
Et promis avec Jojo on ne pourri pas ce post là
moi je ne promets rien !!
un plaisir de te voir par ici, on essaye de se voir sur le bassin en aout ?
ça commence à sentir le vieux par ici !!!!
Moi je dis à chacun son bassin
par rycker
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- taek78run
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tu es toujours vivant? alors le M ?
par taek78run
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Vivant. Je crois que c'est exactement la sensation que j'ai ressentie une fois la ligne d'arrivée franchie samedi.
Passer d'un triathlon Sprint à un Courte Distance, c'est un peu comme se lancer sur marathon après avoir pris ses marques sur semi. L'écart ne se mesure pas tant dans la distance qui est doublée mais bien dans la gestion de l'effort et de la fatigue. D'ailleurs, en terme d'intensité, je dirais que le Triathlon Olympique (ou Courte Distance) s'apparente un peu au semi. J'imagine que le Half IronMan doit davantage s'apparenter à un marathon et l'IronMan à un Ultra.
Bref, même si l'objectif chronométrique de moins de 3h00 n'a pas été atteint (3h07'18" en temps officiel) et le classement anecdotique vu les flèches qui participent à ce type d'épreuve, je retire pas mal d'enseignement de ce premier essai /
Tout d'abord, la natation, qui est de loin la discipline la plus stressante pour la majorité des triathlètes. ne m'a posé aucune difficulté et pas vraiment de fatigue. Un peu plus de 32' les 1 500 m, c'est bien mieux que ce que je visais (objectif : sub 40'). L'avantage dans l'eau - contrairement au vélo - c'est que le drafting n'est pas interdit et donc, en prenant la trace d'un nageur un poil plus rapide que soi, il est assez facile d'avancer plus rapidement qu'à son rythme normal tout en économisant ses mouvements. Et donc, hormis un bon contact avec une grosse caillasse en sortant de l'eau, tout s'est bien passé pour cette première partie.
Le vélo ensuite : J'appréhendais un peu ces 40 bornes, parce que je manquais de foncier (durant tout mon entrainement, je n'ai fait plus de 45 bornes qu'à 2 reprises... ce qui est un peu court) et que le parcours m'inquiétait un peu : J'imaginais un tracé franchement vallonné mais au final, il s'agissait surtout d'enchainements de faux plats montants et descendants en 2 boucles de 20 km, avec un revêtement très peu "réceptif" au coup de pédale (où comment avoir l'impression de relancer en permanence, même en descente). Je termine en 1h28, pas mal entamé... ce que j'ai payé en course à pied (je voulais vraiment faire ces 40 bornes en moins de 1h30 et j'aurais pu certainement aller encore plus vite avec un entrainement plus assidu). Et même au prix de tous ces efforts, j'ai l'un des derniers chronos sur cette partie de l'épreuve ! J'ai du boulot et, grâce à RunningZap et son œil exercé, je sais également qu'il faut que j'améliore ma position sur le vélo... Mais je ne suis tout de même pas mécontent.
La course à pied, voilà où j'ai laissé filer le cap des 3h00. Trop juste sur le vélo, j'ai du puiser dans les réserves, du coup, je fais ma transition en étant déjà trop fatigué musculairement (le même type de sensation qu'au 17ème km d'un semi où le jus commence à manquer et où l'arrivée est encore un peu trop loin pour trouver l'énergie de remettre du charbon dans la chaudière). Bref, après 5 premiers kilomètres sagement menés en 5'40 / 5'45", mon allure s'est effondrée inexorablement. Mais je ne peux m'en prendre qu'à moi même : je me suis entrainé trop légèrement pour pouvoir encaisser l'effort !
Tant pis, passé l'éphémère déception du chrono final, je me suis décidé à tenter ma revanche au Triathlon Olympique de Biscarrosse qui se déroulera fin septembre. Au programme d'ici là : de l'entretien en natation, du volume en vélo et de la résistance + du fractionné en course à pied.
Avec tout ça, je devrais bien avoir de quoi occuper mes vacances et mes week-end !
Shine on.
Passer d'un triathlon Sprint à un Courte Distance, c'est un peu comme se lancer sur marathon après avoir pris ses marques sur semi. L'écart ne se mesure pas tant dans la distance qui est doublée mais bien dans la gestion de l'effort et de la fatigue. D'ailleurs, en terme d'intensité, je dirais que le Triathlon Olympique (ou Courte Distance) s'apparente un peu au semi. J'imagine que le Half IronMan doit davantage s'apparenter à un marathon et l'IronMan à un Ultra.
Bref, même si l'objectif chronométrique de moins de 3h00 n'a pas été atteint (3h07'18" en temps officiel) et le classement anecdotique vu les flèches qui participent à ce type d'épreuve, je retire pas mal d'enseignement de ce premier essai /
Tout d'abord, la natation, qui est de loin la discipline la plus stressante pour la majorité des triathlètes. ne m'a posé aucune difficulté et pas vraiment de fatigue. Un peu plus de 32' les 1 500 m, c'est bien mieux que ce que je visais (objectif : sub 40'). L'avantage dans l'eau - contrairement au vélo - c'est que le drafting n'est pas interdit et donc, en prenant la trace d'un nageur un poil plus rapide que soi, il est assez facile d'avancer plus rapidement qu'à son rythme normal tout en économisant ses mouvements. Et donc, hormis un bon contact avec une grosse caillasse en sortant de l'eau, tout s'est bien passé pour cette première partie.
Le vélo ensuite : J'appréhendais un peu ces 40 bornes, parce que je manquais de foncier (durant tout mon entrainement, je n'ai fait plus de 45 bornes qu'à 2 reprises... ce qui est un peu court) et que le parcours m'inquiétait un peu : J'imaginais un tracé franchement vallonné mais au final, il s'agissait surtout d'enchainements de faux plats montants et descendants en 2 boucles de 20 km, avec un revêtement très peu "réceptif" au coup de pédale (où comment avoir l'impression de relancer en permanence, même en descente). Je termine en 1h28, pas mal entamé... ce que j'ai payé en course à pied (je voulais vraiment faire ces 40 bornes en moins de 1h30 et j'aurais pu certainement aller encore plus vite avec un entrainement plus assidu). Et même au prix de tous ces efforts, j'ai l'un des derniers chronos sur cette partie de l'épreuve ! J'ai du boulot et, grâce à RunningZap et son œil exercé, je sais également qu'il faut que j'améliore ma position sur le vélo... Mais je ne suis tout de même pas mécontent.
La course à pied, voilà où j'ai laissé filer le cap des 3h00. Trop juste sur le vélo, j'ai du puiser dans les réserves, du coup, je fais ma transition en étant déjà trop fatigué musculairement (le même type de sensation qu'au 17ème km d'un semi où le jus commence à manquer et où l'arrivée est encore un peu trop loin pour trouver l'énergie de remettre du charbon dans la chaudière). Bref, après 5 premiers kilomètres sagement menés en 5'40 / 5'45", mon allure s'est effondrée inexorablement. Mais je ne peux m'en prendre qu'à moi même : je me suis entrainé trop légèrement pour pouvoir encaisser l'effort !
Tant pis, passé l'éphémère déception du chrono final, je me suis décidé à tenter ma revanche au Triathlon Olympique de Biscarrosse qui se déroulera fin septembre. Au programme d'ici là : de l'entretien en natation, du volume en vélo et de la résistance + du fractionné en course à pied.
Avec tout ça, je devrais bien avoir de quoi occuper mes vacances et mes week-end !
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