Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet
- olivier73
- Hors Ligne Auteur du sujet
- Platinum Boarder
- Messages : 638
- Remerciements reçus 39
Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet a été créé par olivier73
Posted il y a 10 ans 3 mois #322586
Salut à tous,
J+1 de Sierre-Zinal, il est temps de vous faire un petit CR de ce moment magnifique vécu hier mais avant cela 2 mots sur ma préparation. Les jambes sont encore dans la course (aie les courbatures ) mais la tête aussi un peu !!
Suite à mon dernier semi-marathon, je me suis senti un peu fatigué des plans hyperstructurés que je m’imposais, des km parcourus sur du goudron plat à surveiller mon allure au km et des séances de VMA sur stade. Qu’a cela ne tienne me suis-je dit, je vais me la jouer pour un temps au feeling en mettant l’accent sur le plaisir et la liberté. Je n’avais jamais fait de trail ou de course de montagne et pour tout dire, je n’avais jamais été attiré par ce genre de course…. Seulement, voilà, un ami qui l’avait fait en 2013 m’en avait parlé avec tellement d’enthousiasme que je me suis dit qu’il fallait quand même que j’essaie une fois pour voir !!!!
C’est donc comme ça que je me suis inscrit et que j’ai commencé ma préparation « au feeling » en gardant quand même quelques règles de base, c’est à dire de l’EF, encore de l’EF mais aussi de temps en temps du fractionné en montée et surtout des sorties longues dans les montagnes derrière chez moi.
Je suis donc arrivé ce dimanche plutôt en forme, manquant toutefois que quelques sorties longues à mon goût et avec un genou qui m’avait fait souffrir ces 2 dernières semaines. Bon… on verra bien, je ne vais pas me massacrer et si mon genou me fait souffrir, j’arrêterai à Chandolin me suis-je dis. Pas d’objectif temps fixé mais je me dis que si j’y arrive en 5h00 ce sera déjà pas mal.
Nous voilà donc enfin à ce 10.08. Il est 3h30 et le réveil sonne. La nuit a été courte, j’ai dormi dans mon bus sur le parking et donc pas besoin d’encore me déplacer.
Il a plu pendant la nuit mais c’est sec maintenant, j’hésite encore sur les chaussures et finalement je décide de mettre mes Salomon S-Lab Sense 3 ultra, choix qui se révélera vraiment judicieux. Je renonce aussi à ma veste de pluie car la météo annonce une matinée sans pluie. Récupération du dossard tout en mangeant ma part de gatosport (décidemment toujours aussi bourre-cochon….il en faut de la salive pour réussir à avaler ça !!! par contre, rien à dire sur l’efficacité)
A 4h30, je suis au départ. Ambiance toute particulière. Il fait nuit mais on distingue cette montagne qu’il va falloir gravir , un orchestre joue des airs de jazz, on papote entre concurrent.
A 5h00 c’est le départ, quelle ambiance. Arrivé à l’entrée du chemin, au vu de l’embouteillage déjà là, je décide de continuer par la route mais très vite, on se retrouve aussi sur le chemin avec ses premiers bouchons. Ça coince mais chacun prend son mal en patience et ça ne joue pas des coudes pour se faufiler. Dans les virages en épingles à cheveux, on peut voir derrière soi cette colonne humaine qui grimpe en silence éclairée par les frontales.
Assez vite, on prend le rythme et je garde un œil sur mon cardio. Pas plus de 82% de FCmax. A chaque occasion, je dépasse quelques concurrents. Tout va bien, je me sens bien et avec mes chaussures, je ne glisse pas du tout ce qui me permets de passer tout droit quand c’est boueux. Mon genou ne se fait pas sentir du tout.
Les 2 chemins se retrouvent à Beauregard où le 1er ravitaillement à lieu. Je profiterai à chaque ravitaillement de m’arrêter quelques secondes pour prendre le temps de boire et grignoter un truc mais aussi de papoter avec les bénévoles qui sont vraiment sympas. Le jour se lève tranquillement, au milieu de la montée vers Ponchette, il y a soudain un accordéoniste qui est là pour nous encourager… vraiment chouette !
7km après l’arrivée et 1285m.de dénivelé +, j’arrive à Ponchette, 2ème ravitaillement plutôt frais et en pleine forme. Je profite d’admirer la vue et de contempler d’en haut tout ce qui a éét gravi… ouah quand même !!! La course reprend et à partir de là, je peux me mettre à courir sérieusement et le rythme augmente. Je maintiens ma FC autour des 82%. L’arrivée sur Chandolin est vraiment chouette. Il y a une sacrée ambiance, c’est plein de gens qui vous encouragent avec un immense enthousiasme. Voilà 2h07 que je cours et pour l’instant, je me sens super en forme, aucun signe de fatigue .
Je poursuis en direction du Weisshorn. Juste après Chandolin, je ressens tout à coup une vive douleur au genou droite ! Aie… je me suis fait piquer je crois par un taon géant qui a dû prendre notre groupe de coureur pour un troupeau de vache. A ce moment là quand je regarde au dessus de moi, je constate qu’il y a en a des tonnes qui nous volent au dessus de la tête, heureusement, ils m’épargneront (mais pas un autre coureur quelques minutes plus tard) heureusement, passé la surprise, ça passera très vite.
L’arrivée au weisshorn après 3h11 est un grand moment. Je me sens toujours bien mais commence à ressentir des signes de fatigues. Je suis un peu ému et je commence à croire que je vais arriver à finir cette course mythique.
Un arrêt au ravitaillement et quelques plaisanteries avec les bénévoles font le plus grand bien.
La reprise est dure, je pense au mur décrit pour les marathons et je me dis que je dois en être a peu près là… dans les descentes ça va mais dès qu’il y a un faux plat montant et qu’il faut relancer la machine, ça devient dur. J’ai un peu envie de vomir heureusement ça finira par passer après quelques kilomètres. Il y a des passages dans des pierriers très techniques et j’y vais molo parce que je sens bien que je suis plus aussi pimpant que d’habitude. D’ailleurs à un moment, je manque de me foutre dans le talus après avoir croché un pied… heureusement, je me rattrape après une figure de style du genre le lac de cygnes.
A un moment, je m’arrête pour une fille qui est prise de crampes terribles et qui je pense à dû tomber dans le pierrier. La pauvre hurle de douleurs à cause des crampes. Heureusement, il y a 2 spectateurs qui s’en occupent et me chassent.
L’arrivée au ravito de Barneuza est l’occasion de s’arrêter encore un petit coup et de se faire gicler les mollets au sprays glacé par une sympathique bénévole . Il reste 6km et plus que de la descente qu’ils disent… Mouais, peut-être bien que ça descend mais on est plutôt à flanc de coteaux et je me demande bien quand est-ce qu’on va entamer la descente sur Zinal.
On est une petite équipe à courir ensemble, je donne le rythme et propose souvent de laisser la place si besoin mais tout le monde s’accommode de mon rythme. C’est sympa, on fait un peu connaissance, on s’encourage, on rigole avec les spectateurs qui nous jurent que c’est la dernière montée alors qu’ils nous semblent qu’il y a toujours encore une bosse à passer.
Heureusement, la descente finit par arriver et quelle descente s’il vous plait !!! du bien raide et quand même bien glissant. J’y vais mollo car déjà en temps normal, si je suis pas mal pour la montée, je suis pas une foudre de guerre pour la descente mais alors là… après plus de 4h de course, je veux être prudent. Pas le moment de me foutre en l’air. Mes comparses d’infortune me laissent là et dévalent la pente à toute allure. Il y en a un d’ailleurs qui fera une belle glissade de quelques mètres dans l’herbe humide heureusement sans mal .
Bien avant d’arriver sur Zinal, on commence à entendre la rumeur de la foule qui encourage les coureurs, le speaker qui annonce les arrivées et là c’est un moment extraordinaire. Tout en descendant, en veillant à chacun de mes pas, je me refais le film de cette course, je savoure avec intensité tous les moments vécus.
Il commence à y avoir pas mal de spectateurs pour nous encourager, je passe un dernier petit pont et me voilà dans le village sur le goudron. Il y a une foule incroyable, tout le monde nous encourage, applaudit. Quel bonheur de vivre ces derniers 500 mètres jusqu'à l’arrivée. D’habitude, je termine au sprint mais là je finis en douceur, comme si je voulais que ça dure encore un peu !
Je franchis la ligne d’arrivée en 4h39’31’’ Quelle émotion pfffff…. Je suis sur un nuage, content de mon temps certes mais surtout heureux d’avoir vécu cette course et d’avoir terminé.
Une douche et un repas plus tard, j’assisterai à l’arrivée du premier Kilian Jornet et des suivants impressionnés par leur fraicheur et leur vitesse… C’est bien la première fois que j’arrive avant Kilian !!!
oui, bon, les mauvaises langues vont dire que lui est parti à 9h30 alors que moi c'était à 5h00
Un immense merci aux organisateurs (organisation tip-top) et à tous les bénévoles qui ont vraiment le sens de l’accueil.
Merci à vous de m’avoir lu et surtout keep running.
Pour plus de détails, le lien garmin : connect.garmin.com/activity/561803821
J+1 de Sierre-Zinal, il est temps de vous faire un petit CR de ce moment magnifique vécu hier mais avant cela 2 mots sur ma préparation. Les jambes sont encore dans la course (aie les courbatures ) mais la tête aussi un peu !!
Suite à mon dernier semi-marathon, je me suis senti un peu fatigué des plans hyperstructurés que je m’imposais, des km parcourus sur du goudron plat à surveiller mon allure au km et des séances de VMA sur stade. Qu’a cela ne tienne me suis-je dit, je vais me la jouer pour un temps au feeling en mettant l’accent sur le plaisir et la liberté. Je n’avais jamais fait de trail ou de course de montagne et pour tout dire, je n’avais jamais été attiré par ce genre de course…. Seulement, voilà, un ami qui l’avait fait en 2013 m’en avait parlé avec tellement d’enthousiasme que je me suis dit qu’il fallait quand même que j’essaie une fois pour voir !!!!
C’est donc comme ça que je me suis inscrit et que j’ai commencé ma préparation « au feeling » en gardant quand même quelques règles de base, c’est à dire de l’EF, encore de l’EF mais aussi de temps en temps du fractionné en montée et surtout des sorties longues dans les montagnes derrière chez moi.
Je suis donc arrivé ce dimanche plutôt en forme, manquant toutefois que quelques sorties longues à mon goût et avec un genou qui m’avait fait souffrir ces 2 dernières semaines. Bon… on verra bien, je ne vais pas me massacrer et si mon genou me fait souffrir, j’arrêterai à Chandolin me suis-je dis. Pas d’objectif temps fixé mais je me dis que si j’y arrive en 5h00 ce sera déjà pas mal.
Nous voilà donc enfin à ce 10.08. Il est 3h30 et le réveil sonne. La nuit a été courte, j’ai dormi dans mon bus sur le parking et donc pas besoin d’encore me déplacer.
Il a plu pendant la nuit mais c’est sec maintenant, j’hésite encore sur les chaussures et finalement je décide de mettre mes Salomon S-Lab Sense 3 ultra, choix qui se révélera vraiment judicieux. Je renonce aussi à ma veste de pluie car la météo annonce une matinée sans pluie. Récupération du dossard tout en mangeant ma part de gatosport (décidemment toujours aussi bourre-cochon….il en faut de la salive pour réussir à avaler ça !!! par contre, rien à dire sur l’efficacité)
A 4h30, je suis au départ. Ambiance toute particulière. Il fait nuit mais on distingue cette montagne qu’il va falloir gravir , un orchestre joue des airs de jazz, on papote entre concurrent.
A 5h00 c’est le départ, quelle ambiance. Arrivé à l’entrée du chemin, au vu de l’embouteillage déjà là, je décide de continuer par la route mais très vite, on se retrouve aussi sur le chemin avec ses premiers bouchons. Ça coince mais chacun prend son mal en patience et ça ne joue pas des coudes pour se faufiler. Dans les virages en épingles à cheveux, on peut voir derrière soi cette colonne humaine qui grimpe en silence éclairée par les frontales.
Assez vite, on prend le rythme et je garde un œil sur mon cardio. Pas plus de 82% de FCmax. A chaque occasion, je dépasse quelques concurrents. Tout va bien, je me sens bien et avec mes chaussures, je ne glisse pas du tout ce qui me permets de passer tout droit quand c’est boueux. Mon genou ne se fait pas sentir du tout.
Les 2 chemins se retrouvent à Beauregard où le 1er ravitaillement à lieu. Je profiterai à chaque ravitaillement de m’arrêter quelques secondes pour prendre le temps de boire et grignoter un truc mais aussi de papoter avec les bénévoles qui sont vraiment sympas. Le jour se lève tranquillement, au milieu de la montée vers Ponchette, il y a soudain un accordéoniste qui est là pour nous encourager… vraiment chouette !
7km après l’arrivée et 1285m.de dénivelé +, j’arrive à Ponchette, 2ème ravitaillement plutôt frais et en pleine forme. Je profite d’admirer la vue et de contempler d’en haut tout ce qui a éét gravi… ouah quand même !!! La course reprend et à partir de là, je peux me mettre à courir sérieusement et le rythme augmente. Je maintiens ma FC autour des 82%. L’arrivée sur Chandolin est vraiment chouette. Il y a une sacrée ambiance, c’est plein de gens qui vous encouragent avec un immense enthousiasme. Voilà 2h07 que je cours et pour l’instant, je me sens super en forme, aucun signe de fatigue .
Je poursuis en direction du Weisshorn. Juste après Chandolin, je ressens tout à coup une vive douleur au genou droite ! Aie… je me suis fait piquer je crois par un taon géant qui a dû prendre notre groupe de coureur pour un troupeau de vache. A ce moment là quand je regarde au dessus de moi, je constate qu’il y a en a des tonnes qui nous volent au dessus de la tête, heureusement, ils m’épargneront (mais pas un autre coureur quelques minutes plus tard) heureusement, passé la surprise, ça passera très vite.
L’arrivée au weisshorn après 3h11 est un grand moment. Je me sens toujours bien mais commence à ressentir des signes de fatigues. Je suis un peu ému et je commence à croire que je vais arriver à finir cette course mythique.
Un arrêt au ravitaillement et quelques plaisanteries avec les bénévoles font le plus grand bien.
La reprise est dure, je pense au mur décrit pour les marathons et je me dis que je dois en être a peu près là… dans les descentes ça va mais dès qu’il y a un faux plat montant et qu’il faut relancer la machine, ça devient dur. J’ai un peu envie de vomir heureusement ça finira par passer après quelques kilomètres. Il y a des passages dans des pierriers très techniques et j’y vais molo parce que je sens bien que je suis plus aussi pimpant que d’habitude. D’ailleurs à un moment, je manque de me foutre dans le talus après avoir croché un pied… heureusement, je me rattrape après une figure de style du genre le lac de cygnes.
A un moment, je m’arrête pour une fille qui est prise de crampes terribles et qui je pense à dû tomber dans le pierrier. La pauvre hurle de douleurs à cause des crampes. Heureusement, il y a 2 spectateurs qui s’en occupent et me chassent.
L’arrivée au ravito de Barneuza est l’occasion de s’arrêter encore un petit coup et de se faire gicler les mollets au sprays glacé par une sympathique bénévole . Il reste 6km et plus que de la descente qu’ils disent… Mouais, peut-être bien que ça descend mais on est plutôt à flanc de coteaux et je me demande bien quand est-ce qu’on va entamer la descente sur Zinal.
On est une petite équipe à courir ensemble, je donne le rythme et propose souvent de laisser la place si besoin mais tout le monde s’accommode de mon rythme. C’est sympa, on fait un peu connaissance, on s’encourage, on rigole avec les spectateurs qui nous jurent que c’est la dernière montée alors qu’ils nous semblent qu’il y a toujours encore une bosse à passer.
Heureusement, la descente finit par arriver et quelle descente s’il vous plait !!! du bien raide et quand même bien glissant. J’y vais mollo car déjà en temps normal, si je suis pas mal pour la montée, je suis pas une foudre de guerre pour la descente mais alors là… après plus de 4h de course, je veux être prudent. Pas le moment de me foutre en l’air. Mes comparses d’infortune me laissent là et dévalent la pente à toute allure. Il y en a un d’ailleurs qui fera une belle glissade de quelques mètres dans l’herbe humide heureusement sans mal .
Bien avant d’arriver sur Zinal, on commence à entendre la rumeur de la foule qui encourage les coureurs, le speaker qui annonce les arrivées et là c’est un moment extraordinaire. Tout en descendant, en veillant à chacun de mes pas, je me refais le film de cette course, je savoure avec intensité tous les moments vécus.
Il commence à y avoir pas mal de spectateurs pour nous encourager, je passe un dernier petit pont et me voilà dans le village sur le goudron. Il y a une foule incroyable, tout le monde nous encourage, applaudit. Quel bonheur de vivre ces derniers 500 mètres jusqu'à l’arrivée. D’habitude, je termine au sprint mais là je finis en douceur, comme si je voulais que ça dure encore un peu !
Je franchis la ligne d’arrivée en 4h39’31’’ Quelle émotion pfffff…. Je suis sur un nuage, content de mon temps certes mais surtout heureux d’avoir vécu cette course et d’avoir terminé.
Une douche et un repas plus tard, j’assisterai à l’arrivée du premier Kilian Jornet et des suivants impressionnés par leur fraicheur et leur vitesse… C’est bien la première fois que j’arrive avant Kilian !!!
oui, bon, les mauvaises langues vont dire que lui est parti à 9h30 alors que moi c'était à 5h00
Un immense merci aux organisateurs (organisation tip-top) et à tous les bénévoles qui ont vraiment le sens de l’accueil.
Merci à vous de m’avoir lu et surtout keep running.
Pour plus de détails, le lien garmin : connect.garmin.com/activity/561803821
Last Edit:il y a 10 ans 3 mois
par olivier73
Dernière édition: il y a 10 ans 3 mois par olivier73.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- AoS
- Hors Ligne
- Platinum Boarder
- Messages : 355
- Remerciements reçus 7
Réponse de AoS sur le sujet Re: Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet
Posted il y a 10 ans 3 mois #322605
Super compte-rendu.
Moi, je suis arrivé 4h31 après toi ... soit bien plus de 2h après Killian
Moi, je suis arrivé 4h31 après toi ... soit bien plus de 2h après Killian
par AoS
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- lili_java
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 3699
- Remerciements reçus 3
Réponse de lili_java sur le sujet Re: Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet
Posted il y a 10 ans 3 mois #322609
Bravo Olivier !
Chouette course ... ça donne envie bonne recup !
Chouette course ... ça donne envie bonne recup !
par lili_java
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- chris55
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 4384
- Remerciements reçus 108
Réponse de chris55 sur le sujet Re: Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet
Posted il y a 10 ans 3 mois #322612
Bonjour Olivier
Merci pour ce très bon compte rendu
Félicitation et bravo pour cette course et ton chrono surtout tu as tres bien
géré ta course
Bon repos a toi et bonne continuation
Merci pour ce très bon compte rendu
Félicitation et bravo pour cette course et ton chrono surtout tu as tres bien
géré ta course
Bon repos a toi et bonne continuation
par chris55
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- fisoan
- Hors Ligne
- Platinum Boarder
- Messages : 888
- Remerciements reçus 5
Réponse de fisoan sur le sujet Re: Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet
Posted il y a 10 ans 3 mois #322615
super ton compte-rendu, ça donne vraiment envie de le (re-)faire ! Bravo !!
par fisoan
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- leti
- Hors Ligne
- Platinum Boarder
- Messages : 1139
- Remerciements reçus 1
Réponse de leti sur le sujet Re: Sierre-Zinal, arrivé avant Kilian Jornet
Posted il y a 10 ans 3 mois #322617
sympa le compte rendu, jolie course
par leti
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Temps de génération de la page : 0.337 secondes