Marathon, mental et pensée positive

neochti écrit:

j'ai fais seulement 2 marathons, mais sur le dernier, après un pari stupide entre potes, on a fait abstinence de tout alcool pendant 1 mois (même pas un mon chéri, pour dire !)
et bien, pendant les moments difficiles, je me suis dit, dépêche toi d'arriver pour te boire une bonne mousse ! çà m'a été très utile ^^

Ha ha
Comme quoi chacun doit trouver sa motivation propre.

Merci à tous !

Donc je résume, en 7 points !

1 - je compte les km déjà parcourus !

2 - je me répète que je vais arriver au bout !

3 - je relativise les souffrances, certes bien limitées dans le temps...

4 - je me répète que mes souffrances vont s'évaporer peu de temps après l'arrivée !

5 - je me vois passer la ligne !

6 - j'imagine le bonheur qui m'attend d'avoir relevé le défi !

7 - je pense aux bons moments après le marathon ! la douche, le repas, le petit verre de vin, le repos !

D'autres trucs ou idées ?

Pas fait de marathon,
mais lors de sorties longues ou le mental est un peu plus faible,
c'est d'imaginer mes proches sur le sprint final qui me fait continuer.

Arriver en marchant sur la ligne ou juste ne pas y arriver, ce serait rater un grand moment!

Personnellement, je n'ai pas encore fait de marathon (c'est programmé pour dans 9 mois), donc je ne vais pas te parler de mon expérience, mais juste relater une chose qui m'avait interpellé dans un CR lu sur le site.

En fait, il peut être possible de se raccrocher à des choses que tu as faites au cours de ton entrainement.
Il te reste 10km? Ah ben tiens, c'est comme ma dernière sortie du xxx, c'était une AS42 de 10km, et elle s'est super bien passée.

C'est une idée.

Deux choses que je peux évoquer : d'abord relativiser les souffrances d'un marathon par rapport à d'autres et j'ai aussi l'habitude quand ça devient vraiment dur dans un sport de me fixer des petits objectifs intermédiaires : atteindre la rue qui est là bas à 100m ensuite je regarde et je me dis que je vais atteindre le panneau qui est à 50m, puis une fois là j'ai comme cible le petit pont à 150m etc etc.

Pour mon seul marathon, c'était facile : il fallait viser le Mont saint-Michel au fond et se mettre en mode (petit)-winner-je-ne-lache-rien avec auto encouragements permanents : j'ai naturellement réussi à ré-accélérer sur le dernier km après 5 km très difficiles.