Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon
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Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon a été créé par plusloin
Posted il y a 12 ans 1 mois #191910
Je restais l'an passé sur un sentiment d'inachevé avec le semi de Sommières au profil pas franchement favorable et sur lequel j'avais contre toute attente approché la barre des 1h30 de 32 misérables petites secondes. Ce résultat inespéré me fit alors jurer mes grands dieux que 2012 serait l'année des 1h29'xx" - voire 1h28'xx" - à condition de choisir un parcours plus roulant.
Un an plus tard, me voilà inscrit pour le semi de Lyon avec la ferme intention de tout exploser ! Mes derniers résultats et entraînements m'on donné beaucoup de confiance : aucun doute, je vais le faire...
Gonflé à bloc, j'aborde la dernière semaine avant la course avec une sérénité très inhabituelle me concernant avant les gros objectifs. Accompagné de ma moitié, qui elle s'attaque aux 1h59'xx", nous prenons la route tranquillement dans l'après-midi du samedi sans avoir à nous soucier de récupérer nos dossards puisque nos amis chez qui nous logeons s'en sont chargés pour nous Fort heureusement d'ailleurs : le bouchon à l'entrée sud de la ville m'aurait probablement fait monter en pression
Lyon, capitale des Gaules, mais aussi de la gastronomie ! Comment résister ? Nous sommes si gentiment reçus chez nos amis, au demeurant très fins gourmets et surtout totalement étrangers au monde du sport, qu'il nous est parfaitement impossible de renoncer aux macarons au foie gras et aux cèpes de chez Sève, aux fromages à la truffe des halles Paul Bocuse et autres petites pâtisseries du même acabit... Et je ne vous parle pas des jus de raisin fermentés dont le nord de la vallée du Rhône a le secret En résumé, une excellente soirée à mille lieues du repas ascétique de veille de course Mais bon, il faut bien vivre ! Et puis j'ai tellement de marge pour la course que je peux bien me permettre une petite entorse à la diététique... Carpe diem
Dimanche matin 8h10, nous arrivons à Bellecour pour enfin nous plonger dans l'ambiance de la course. La météo semble vouloir nous épargner la pluie annoncée : temps gris, 18°C, malgré l'humidité ambiante les conditions sont quasi idéales
L'un des nombreux inconvénients de ces grosses manifestations, c'est qu'il faut entrer dans les sas relativement tôt avant le départ : impossible de s'échauffer efficacement. Je guette les quelques ccapistes supposés être aux avant-postes... En vain ! J'aperçois Cyril (Dep1703) à une vingtaine de mètres de moi, essaie de lui faire signe, mais il ne me vois pas. La foule est trop dense et surtout je ne fais pas une tête de plus que tout le monde comme lui
Arnaud me rejoint quelques minutes avant le coup de feu. Malade une dizaine de jours avant la course, il renonce à allez chercher les 1h25 qui lui sont promises et préfère jouer le rôle de coéquipier modèle en m'accompagnant dans ma quête du jour. En raison de la foule on convient de ne pas chercher à se suivre lors des premiers km : nous prévoyons de nous retrouver après la séparation des parcours 10 km et semi au km 5.
Top départ, nous franchissons la ligne assez vite en moins d'une minute. Le premier kilomètre est particulièrement pénible en raison de l'incivisme de nombreux concurrents ayant délibérément fait le choix de partir à l'avant du peloton à des allures bien en deçà des objectifs correspondants aux sas A et B Ca m'éneeeeeeeeerve !!!
Zig-zags, cadrages-débordement, sauts de bordures de trottoir, coups d'épaule... Il faut être très vigilant pour ne pas tomber et se faire piétiner par les 15000 furieux qui composent le troupeau. Malgré tout, le meneur d'allure 1h30 m'a déjà mis plus de 100 mètres dans la vue ! Pas grave, je passe le premier km en 4'18", c'est lui qui est parti trop vite. Je me dis qu'il me reste 20 bornes pour le remonter doucement
Jusqu'à la séparation la chaussée est tout juste assez large pour contenir le flot. J'arrive malgré tout à emmener les 4:10-4:15/km réglementaires avec d'assez bonnes sensations en maintenant la FC en dessous de 165 bpm (87%)... Rien pour entamer ma confiance, juste le GPS qui a tendance à raccourcir les km en bipant 20 mètres avant chaque borne : il va falloir faire gaffe et viser 4:12/km plutôt que 4:15/km...
En direction du parc de la Tête d'Or, le peloton a perdu les quelques milliers de coureurs du 10 km, nous voilà maintenant entre nous. Que fait Arnaud ? Il aurait dû me rejoindre depuis 1 ou 2 km. Il doit gérer sa remontée, je m'attends à le voir arriver d'un moment à l'autre Il est temps de prendre un gel... Ma blondeur génétique a encore frappé !!! J'ai mis ma ceinture porte-gels à l'envers, il ne me reste plus qu'une cartouche pour finir la course, le deux autres sont tombées
Au km 8, après les multiples virages du parc, je suis maintenant à 170 bpm (90%). C'est trop tôt dans la course, les sensations se dégradent. Et ce fichu meneur 1h30 qui reste 50 mètres devant moi et que je n'arrive pas à rejoindre sans me mettre dans le rouge...
Je passe au 10 km en un peu moins de 43 minutes. Ca fait quand même un vingtaine de secondes de retard sur l'objectif ! Je lape le GPS qui accuse alors 180 mètres d'avance... Je suis en train de me faire avoir par la technologie embarquée. Et si tout mon entraînement préalable avait été faussé par des allures surestimées ?!!
C'est bien 4:10/km qu'il faut viser ! Je gobe mon unique gel et passe en mode guerrier. La FC dépasse maintenant les 90%, je suis dans la zone rouge S: Toujours 25 secondes de retard au km 12, je ne regarde plus ni le chrono ni le cardio. Il faut que je rattrape la flamme des 1h30 !
Chaque kilomètre devient alors un vrai calvaire, je sens le meneur m'échapper. Je pense m'arrêter au ravito du 15ème pour reprendre mon souffle. Finalement, je renonce en me disant que si je rate les 1h30 de quelques secondes je m'en voudrais de les avoir laissées filer là. Une bouteille à la volée et je continue mon chemin de croix.
A la faveur d'un demi tour avant de rejoindre les berges du Rhône, j'entends Arnaud qui m'interpelle et qui s'excuse de ne pas avoir pu suivre. Il doit être 500 mètres derrière, je lui fais signe : ce n'est pas grave, je suis au maximum. Un lièvre ne m'aurait pas été d'un très grand secours...
Le profil se fait maintenant ascendant pour rejoindre la presqu'île. Physiquement je flanche vraiment. Je m'interdis de regarder l'allure pour ne pas entamer le peu de moral qui me reste. A chaque kilomètre je me dis que je vais marcher, chaque fois je repousse j'échéance au kilomètre suivant... C'est au mental que je vais rallier l'arrivée
La dernière ligne droite avant la place Bellecour me semble interminable. Je ne vois plus le meneur d'allure. Un concurrent annonce 1h28'30", ce n'est peut être pas perdu... Je ne veux toujours pas regarder ma montre, juste finir le plus vite possible pour ne pas avoir de regrets !
Passage sous l'arche de la délivrance, enfin c'est fini : 1h30' et 12 secondes... Je suis exténué, le GPS me donne 21.5km et 4:11/km d'allure moyenne. Gilles me l'a dit : sans un marabout je n'y arriverai jamais
Même si je suis déçu, je n'ai toutefois pas de regret. Malgré la difficulté j'ai couru en negative split, je n'ai jamais ralenti et je n'ai pas couru un kilomètre en moins de 4'18" (le premier)... A ma montre... C'est là que réside toute la différence A moins que ce ne soit la préparation diététique de la veille
PS : Arnaud bouclera finalement en 1h33'19", un jour sans. Jean-Yves quant à lui atteint son Graal pour 11 secondes en 1h49'49" et Mme Plusloin, en panne de GPS et nourrie aux macaronsports, récolte un joli 2h00' et 29 secondes... Qui se ressemble s'assemble
[edit] Au chrono officiel : 1h30'11" - 297ème sur 6169
Un an plus tard, me voilà inscrit pour le semi de Lyon avec la ferme intention de tout exploser ! Mes derniers résultats et entraînements m'on donné beaucoup de confiance : aucun doute, je vais le faire...
Gonflé à bloc, j'aborde la dernière semaine avant la course avec une sérénité très inhabituelle me concernant avant les gros objectifs. Accompagné de ma moitié, qui elle s'attaque aux 1h59'xx", nous prenons la route tranquillement dans l'après-midi du samedi sans avoir à nous soucier de récupérer nos dossards puisque nos amis chez qui nous logeons s'en sont chargés pour nous Fort heureusement d'ailleurs : le bouchon à l'entrée sud de la ville m'aurait probablement fait monter en pression
Lyon, capitale des Gaules, mais aussi de la gastronomie ! Comment résister ? Nous sommes si gentiment reçus chez nos amis, au demeurant très fins gourmets et surtout totalement étrangers au monde du sport, qu'il nous est parfaitement impossible de renoncer aux macarons au foie gras et aux cèpes de chez Sève, aux fromages à la truffe des halles Paul Bocuse et autres petites pâtisseries du même acabit... Et je ne vous parle pas des jus de raisin fermentés dont le nord de la vallée du Rhône a le secret En résumé, une excellente soirée à mille lieues du repas ascétique de veille de course Mais bon, il faut bien vivre ! Et puis j'ai tellement de marge pour la course que je peux bien me permettre une petite entorse à la diététique... Carpe diem
Dimanche matin 8h10, nous arrivons à Bellecour pour enfin nous plonger dans l'ambiance de la course. La météo semble vouloir nous épargner la pluie annoncée : temps gris, 18°C, malgré l'humidité ambiante les conditions sont quasi idéales
L'un des nombreux inconvénients de ces grosses manifestations, c'est qu'il faut entrer dans les sas relativement tôt avant le départ : impossible de s'échauffer efficacement. Je guette les quelques ccapistes supposés être aux avant-postes... En vain ! J'aperçois Cyril (Dep1703) à une vingtaine de mètres de moi, essaie de lui faire signe, mais il ne me vois pas. La foule est trop dense et surtout je ne fais pas une tête de plus que tout le monde comme lui
Arnaud me rejoint quelques minutes avant le coup de feu. Malade une dizaine de jours avant la course, il renonce à allez chercher les 1h25 qui lui sont promises et préfère jouer le rôle de coéquipier modèle en m'accompagnant dans ma quête du jour. En raison de la foule on convient de ne pas chercher à se suivre lors des premiers km : nous prévoyons de nous retrouver après la séparation des parcours 10 km et semi au km 5.
Top départ, nous franchissons la ligne assez vite en moins d'une minute. Le premier kilomètre est particulièrement pénible en raison de l'incivisme de nombreux concurrents ayant délibérément fait le choix de partir à l'avant du peloton à des allures bien en deçà des objectifs correspondants aux sas A et B Ca m'éneeeeeeeeerve !!!
Zig-zags, cadrages-débordement, sauts de bordures de trottoir, coups d'épaule... Il faut être très vigilant pour ne pas tomber et se faire piétiner par les 15000 furieux qui composent le troupeau. Malgré tout, le meneur d'allure 1h30 m'a déjà mis plus de 100 mètres dans la vue ! Pas grave, je passe le premier km en 4'18", c'est lui qui est parti trop vite. Je me dis qu'il me reste 20 bornes pour le remonter doucement
Jusqu'à la séparation la chaussée est tout juste assez large pour contenir le flot. J'arrive malgré tout à emmener les 4:10-4:15/km réglementaires avec d'assez bonnes sensations en maintenant la FC en dessous de 165 bpm (87%)... Rien pour entamer ma confiance, juste le GPS qui a tendance à raccourcir les km en bipant 20 mètres avant chaque borne : il va falloir faire gaffe et viser 4:12/km plutôt que 4:15/km...
En direction du parc de la Tête d'Or, le peloton a perdu les quelques milliers de coureurs du 10 km, nous voilà maintenant entre nous. Que fait Arnaud ? Il aurait dû me rejoindre depuis 1 ou 2 km. Il doit gérer sa remontée, je m'attends à le voir arriver d'un moment à l'autre Il est temps de prendre un gel... Ma blondeur génétique a encore frappé !!! J'ai mis ma ceinture porte-gels à l'envers, il ne me reste plus qu'une cartouche pour finir la course, le deux autres sont tombées
Au km 8, après les multiples virages du parc, je suis maintenant à 170 bpm (90%). C'est trop tôt dans la course, les sensations se dégradent. Et ce fichu meneur 1h30 qui reste 50 mètres devant moi et que je n'arrive pas à rejoindre sans me mettre dans le rouge...
Je passe au 10 km en un peu moins de 43 minutes. Ca fait quand même un vingtaine de secondes de retard sur l'objectif ! Je lape le GPS qui accuse alors 180 mètres d'avance... Je suis en train de me faire avoir par la technologie embarquée. Et si tout mon entraînement préalable avait été faussé par des allures surestimées ?!!
C'est bien 4:10/km qu'il faut viser ! Je gobe mon unique gel et passe en mode guerrier. La FC dépasse maintenant les 90%, je suis dans la zone rouge S: Toujours 25 secondes de retard au km 12, je ne regarde plus ni le chrono ni le cardio. Il faut que je rattrape la flamme des 1h30 !
Chaque kilomètre devient alors un vrai calvaire, je sens le meneur m'échapper. Je pense m'arrêter au ravito du 15ème pour reprendre mon souffle. Finalement, je renonce en me disant que si je rate les 1h30 de quelques secondes je m'en voudrais de les avoir laissées filer là. Une bouteille à la volée et je continue mon chemin de croix.
A la faveur d'un demi tour avant de rejoindre les berges du Rhône, j'entends Arnaud qui m'interpelle et qui s'excuse de ne pas avoir pu suivre. Il doit être 500 mètres derrière, je lui fais signe : ce n'est pas grave, je suis au maximum. Un lièvre ne m'aurait pas été d'un très grand secours...
Le profil se fait maintenant ascendant pour rejoindre la presqu'île. Physiquement je flanche vraiment. Je m'interdis de regarder l'allure pour ne pas entamer le peu de moral qui me reste. A chaque kilomètre je me dis que je vais marcher, chaque fois je repousse j'échéance au kilomètre suivant... C'est au mental que je vais rallier l'arrivée
La dernière ligne droite avant la place Bellecour me semble interminable. Je ne vois plus le meneur d'allure. Un concurrent annonce 1h28'30", ce n'est peut être pas perdu... Je ne veux toujours pas regarder ma montre, juste finir le plus vite possible pour ne pas avoir de regrets !
Passage sous l'arche de la délivrance, enfin c'est fini : 1h30' et 12 secondes... Je suis exténué, le GPS me donne 21.5km et 4:11/km d'allure moyenne. Gilles me l'a dit : sans un marabout je n'y arriverai jamais
Même si je suis déçu, je n'ai toutefois pas de regret. Malgré la difficulté j'ai couru en negative split, je n'ai jamais ralenti et je n'ai pas couru un kilomètre en moins de 4'18" (le premier)... A ma montre... C'est là que réside toute la différence A moins que ce ne soit la préparation diététique de la veille
PS : Arnaud bouclera finalement en 1h33'19", un jour sans. Jean-Yves quant à lui atteint son Graal pour 11 secondes en 1h49'49" et Mme Plusloin, en panne de GPS et nourrie aux macaronsports, récolte un joli 2h00' et 29 secondes... Qui se ressemble s'assemble
[edit] Au chrono officiel : 1h30'11" - 297ème sur 6169
Last Edit:il y a 12 ans 1 mois
par plusloin
Dernière édition: il y a 12 ans 1 mois par plusloin.
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- taek78run
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Réponse de taek78run sur le sujet Re: Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon
Posted il y a 12 ans 1 mois #191918
J'ai vécu le semi avec toi!
C'est bizzard à te lire on a l'impression que tu cours beaucoup moins vite,apparemment c'est peut être le sentiment que tu as eu , l'impression de souffrir , de te traîner alors que tu n'étais pas loin de ton objectif.
En tout cas bravo pour ta course, le temps même si il est décevant de 15 secondes , me laisse rêveur.
C'est bizzard à te lire on a l'impression que tu cours beaucoup moins vite,apparemment c'est peut être le sentiment que tu as eu , l'impression de souffrir , de te traîner alors que tu n'étais pas loin de ton objectif.
En tout cas bravo pour ta course, le temps même si il est décevant de 15 secondes , me laisse rêveur.
par taek78run
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- Vince56
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Réponse de Vince56 sur le sujet Re: Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon
Posted il y a 12 ans 1 mois #191921
Merci pour nous avoir fait partager ta course !!!
Je retiens qu'il faut que tu changes de GPS et que tu arrêtes les macarons la veille d'une course !!
Les 1h29'xx" seront pour 2013 je crois ! Courage, tu vas le faire !!!
Bravo pour ce temps plus qu'honorable sur ce parcours pas si facile !
Je retiens qu'il faut que tu changes de GPS et que tu arrêtes les macarons la veille d'une course !!
Les 1h29'xx" seront pour 2013 je crois ! Courage, tu vas le faire !!!
Bravo pour ce temps plus qu'honorable sur ce parcours pas si facile !
par Vince56
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- jyc44
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Réponse de jyc44 sur le sujet Re: Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon
Posted il y a 12 ans 1 mois #191924
Très agréable ton CR.... de l'humour, du suspense tout est cool. C'est dommage que tu n'es pas pu rejoindre le meneur d'allure et que ton ami ne t'aies pas accompagné car cela t'aurait permis de bien t'économiser et de garder des forces pour le dernier tiers de cours et aller chercher ce pourquoi tu étais venu....
12 secondes cela ne fait pas même pas 1 seconde de retard au km..... Mais peut-être que le résultat réel qui n'est pas encore donné (enfin je crois) te permettra de passer sous la barre des 1h30mn, non?
Bonne récupération !
12 secondes cela ne fait pas même pas 1 seconde de retard au km..... Mais peut-être que le résultat réel qui n'est pas encore donné (enfin je crois) te permettra de passer sous la barre des 1h30mn, non?
Bonne récupération !
par jyc44
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- deru84
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Réponse de deru84 sur le sujet Re: Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon
Posted il y a 12 ans 1 mois #191927
Aie dommage !
Belle course quand même. Je suis sûr que l'année prochaine sera la bonne
Belle course quand même. Je suis sûr que l'année prochaine sera la bonne
par deru84
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- AtomHeart
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Réponse de AtomHeart sur le sujet Re: Pour quelques secondes de plus... Semi de Lyon
Posted il y a 12 ans 1 mois #191930
Alors là Pierre, c'est un sans-faute... pour le menu ! Ca aurait vraiment été dommage de te priver !
Pour la course, j'ai le sentiment que tu es allé au maximum de tes capacités du jour et même si tu passes tout prêt de ton objectif, tu améliores ta marque sur la distance. Contrairement à toi, j'ai tendance à croire que la compagnie d'Arnaud à tes cotés aurait peut être pu avoir un effet psychologique pour aller grapiller quelques secondes par ci par là. Cela n'a pas été le cas mais tu n'as vraiment aucun regret à avoir : tu es allé à fond.
Les 1h29'xx te tendent les bras et je suis sûr que le prochaine fois sera la bonne.
Pour une poignée de secondes.
Pour la course, j'ai le sentiment que tu es allé au maximum de tes capacités du jour et même si tu passes tout prêt de ton objectif, tu améliores ta marque sur la distance. Contrairement à toi, j'ai tendance à croire que la compagnie d'Arnaud à tes cotés aurait peut être pu avoir un effet psychologique pour aller grapiller quelques secondes par ci par là. Cela n'a pas été le cas mais tu n'as vraiment aucun regret à avoir : tu es allé à fond.
Les 1h29'xx te tendent les bras et je suis sûr que le prochaine fois sera la bonne.
Pour une poignée de secondes.
par AtomHeart
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