Boulogne - Mon premier semi
- Knau80
- Hors Ligne Auteur du sujet
- Golden runner's
- Messages : 5127
- Remerciements reçus 6
Bonjour à tous,
Après avoir suivi un plan en 3 séances sur 8 semaines, le jour de la course était enfin arrivé ! Malgré une fin de préparation chaotique ( douleur à une rotule heureusement contenue par l'utilisation de strap, contractures aux soléaires m'imposant un arrêt complet de 10 jours de CAP avant la course et une petite crève refilée par le fiston depuis quelques jours) je partais avec la conviction d'avoir la distance dans les jambes. En revanche j'avais de sérieux doutes quant à ma capacité à tenir mon objectif de 1h40.
En ce qui concerne les derniers réglages pour aborder ce rendez-vous, j'ai tourné aux maltodextrines pendant 3 jours et mangé des pâtes les 3 derniers repas avant le course (je crois que j'étais pas mal niveau réserves ).
Une fois les rituels préparatoires accompli, je suis allé faire un gros dodo.
Levé 6:30, j'avale un rapide petit dèj' avec un café et 4 petits biscuits aux céréales (en générale, je ne mange pas le matin...), je passe dans la salle de bain et m'habille puis je pars.
Départ 7:30, je mets le contact et constate qu'il fait frais, 1,5 degrés... J'arrive à Boulogne où il fait déjà 5 degrés, gare la voiture au parking du boulot et monte au bureau pour m'étirer en attendant l'heure du départ. J'ai trouvé très confortable et pratique de disposer d'un endroit pour se préparer.
Ça y est 9:30, en avant pour la couse, j'embarque le dossard, la gourde et les gels (j'ai trop l'habitude d'avoir ma gourde pour me contenter des ravitaillements tous les 5 km (il faut peut-être que j'apprenne à m'en passer), je vais jusqu'au point de départ en EF, j'arrive et me place dans le sas 1h45 - 1h50.
Bam, c'est parti, la troupe se met en mouvement, on avance, je déclenche mon chrono en franchissant la ligne de départ et me lance.
Je m'étais fait la promesse de ne pas partir trop vite, je m'y suis tenu. Je savais que je devais regarder comment allait se comporter mon cardio, à juste titre parce que ce dernier a vite grimpé, au bout du premier kilo couru en 5'30 j'étais déjà proche des 80%. Je ne change rien sur le second en me disant tout de même que ce n'est pas suffisant pour tenir l'objectif, ça ne bouge plus trop niveau puls mais ça monte encore une peu.
Entre le 2 ème et 3 éme km j'aborde un coureur que je suis depuis un bout de temps, nous discutons et il me propose de courir avec lui. On se cale un moment, comme il est équipé d'un cardio GPS je me fie à ces indications, on tourne à12km/h. On rejoint un de ces potes qu'il avait perdu au départ et nous continuons à 3. Les discussions m'ont fait un peu perdre le fil et j'ai perdu la notion du temps, je ne sais pas dans quel km je suis. Grace à des suporters postés au abords du parcours nous apprenons que "allez les gars, un petite cote et après c'est le ravitaillement". Un rapide coup d'oeil sur le chrono, c'est certain, on ne sera pas dans les 50' au niveau des 10 km. Au niveau du cardio, c'est la fête au village, on affiche au menu un copieux 183 (94%), on aborde la cote façon "y'en a un peu plus , je vous la mets quand même ?" pour arriver au niveau de la ligne des 10 km affichant un 189 bpm et 53'40 au chrono... Mes compagnons de route semblent ralentir pour le ravito, je regarde de nouveau et ne les vois plus, j'aurais préférer les saluer avant mais ne les localisant pas, je continue seul.
Retour à la réalité, les données sont formelles, l'objectif chrono n'est plus à portée et la FC ne descend plus sous les 185... Bilan pas joli au niveau des chiffres soit, mais je me sens plutôt pas mal alors je me dis que la course s'est fait pour se battre. Et on y va, les 11 km restants vont devenir un obsession, je décide donc de laisser tomber le chrono et le cardio, ça va se jouer au feeling.
Cette sensation me rappelle la musique, juste le temps de définir une grille et une structure et hop on fait tourner des grooves, sauf que là la structure ce sont des 11 km et le groove c'est, tous les 2 km tu accélères et sur le dernier km tu envoies tout, tu demanderas pardons à tes muscles plus tard
Paradoxalement, je me sens libéré, l'objectif a changé mais il demeure, il faut "être le moins loin possible des 1h40" mais je suis finalement très heureux de ne plus regarder ma montre, en ce qui concerne les puls, je fais confiance aux sensations et pour le chrono, je trouve que l'inconnu du temps qui passe est à la fois grisant et motivant, comme je ne peux plus me situer que dans la distance et pas dans le temps la quête de la prochaine "borne" suffit à me faire conserver l'allure, du moins j'en ai l'impression !
Je me tiens au plan, je reste stable jusqu'au km 12 et je relance (notez que je vais relancer tous les 2 km je vous laisse imaginer que les accélérations ne sont pas fulgurantes à chaque palier ). Pour le moment tout se passe bien, c'est même beaucoup mieux puisque je commence à voir ce qui se se passe autour de moi, à profiter du temps qu'il fait, de la température qui a bien monté, du monde. Oui c'est bien d'y penser aussi parce que ça donne une source de motivation supplémentaire ce monde, tous ces coureurs qui me doublent, ceux que je double aussi, ça fait du bien de dépasser et les plus rapides sont de bon lièvres potentiels .
Je reste dans cette euphorie pour entamer le km 14 avec enthousiasme, je profite même du ravito du km 15 pour attraper une bouteille d'eau, je bois un peu (c'est plus frais que dans la gourde) et m'arrose copieusement le crâne, ça fait du bien. Moi qui pensais avoir froid, je suis finalement bien content de profiter de cette petite douche !
Km 16' le moment de la nouvelle relance est venue, c'est bien qu'il n'y ait plus que 5 bornes parce qu'il y a comme une petite odeur de fatigue qui commence à envahir l'air... Je me rappelle qu'il me reste un gel (j'avais pris le premier vers les 40'), je le gobe et j'en relais un couche.
Le terrain va devenir un petit jeu amusant pour les jambes vers le pont de Sèvres, ça passe sans trop ralentir. L'entrée en ville approche, ça sent la fin et on touche le km 18' je me maintiens plus que je ne relance mais on va considérer que c'est une mini récup en perspective du dernier kilo qui va envoyer du très très très gros bois.
Mes jambes sont lourdes mais tiennent le coup, à ce moment là j'ai failli regardé ma montre mais j'ai tenu bon. Je constate que de double des coureurs qui m'avaient devancé au départ et là miracle, je dépasse le meneur d'allure 1h44 !!! Je sais pas si c'est fiable mais sur le moment j'ai surtout pensé que ça sentait bon et ça m'a aider à mobiliser de l'énergie pour finir à fond.
Je ne sais pas si c'est une expression de l'esprit de compétition que j'ai l'impression de découvrir mais le dernier km représente pour moi le moment du dépassement ultime durant lequel, toute seconde gagnée, en dépit de la distance totale de la course, comptent plus que toutes les autres.
Et là, c'est le moment, le dernier km, délicieux mélange de souffrance et de bonheur qui nous accompagne jusqu'à la ligne d'arrivée, je trouve également très glamour cette façon qu'a d'être en faux plat montant ce dernier tronçon
Je mets de l'intensité, mon allure augmente, je dépasse et je tiens le coup du mieux que je peux malgré l'acidité lactique qui fait son office mais ce n'est plus très grave, j'y suis presque alors Il faut tenir le coup... Tout à coup, c'est le drame, les photographes sont là et je ne suis pas coiffé ni maquillé mais surtout que la ligne d'arrivée est maintenant toute proche ! Allez, allez, allez ... Et .... Top, c'est terminé, je coupe le chrono .
Je m'arrête, reprends mon souffle et regarde enfin ma montre, 1h43'13 qui seront en fait 1h43'09, je m'estime très heureux compte tenu de ma première moitié de course qui m'a semblée mauvaise, niveau cardio j'ai découvert une nouvelle FC Max à 195 au lieu de 194 ( ça va changer tous les calculs ).
je suis très heureux de cette première course, je n'ai pas atteint mon objectif, mais j'ai appris des choses sur la gestion de la course (concentration, allures, environnement), et sur moi (esprit de compétition, découverte des sensations de course).
À peine découvert, je dois déjà mettre le semi de côté pour entamer ma coupure, ensuite reprise et prépa de 10 km que je définis comme une priorité en CAP pour 2012, mais je donne dès maintenant rdv à Boulogne pour une nouvelle marque !
À vous lire,
Après avoir suivi un plan en 3 séances sur 8 semaines, le jour de la course était enfin arrivé ! Malgré une fin de préparation chaotique ( douleur à une rotule heureusement contenue par l'utilisation de strap, contractures aux soléaires m'imposant un arrêt complet de 10 jours de CAP avant la course et une petite crève refilée par le fiston depuis quelques jours) je partais avec la conviction d'avoir la distance dans les jambes. En revanche j'avais de sérieux doutes quant à ma capacité à tenir mon objectif de 1h40.
En ce qui concerne les derniers réglages pour aborder ce rendez-vous, j'ai tourné aux maltodextrines pendant 3 jours et mangé des pâtes les 3 derniers repas avant le course (je crois que j'étais pas mal niveau réserves ).
Une fois les rituels préparatoires accompli, je suis allé faire un gros dodo.
Levé 6:30, j'avale un rapide petit dèj' avec un café et 4 petits biscuits aux céréales (en générale, je ne mange pas le matin...), je passe dans la salle de bain et m'habille puis je pars.
Départ 7:30, je mets le contact et constate qu'il fait frais, 1,5 degrés... J'arrive à Boulogne où il fait déjà 5 degrés, gare la voiture au parking du boulot et monte au bureau pour m'étirer en attendant l'heure du départ. J'ai trouvé très confortable et pratique de disposer d'un endroit pour se préparer.
Ça y est 9:30, en avant pour la couse, j'embarque le dossard, la gourde et les gels (j'ai trop l'habitude d'avoir ma gourde pour me contenter des ravitaillements tous les 5 km (il faut peut-être que j'apprenne à m'en passer), je vais jusqu'au point de départ en EF, j'arrive et me place dans le sas 1h45 - 1h50.
Bam, c'est parti, la troupe se met en mouvement, on avance, je déclenche mon chrono en franchissant la ligne de départ et me lance.
Je m'étais fait la promesse de ne pas partir trop vite, je m'y suis tenu. Je savais que je devais regarder comment allait se comporter mon cardio, à juste titre parce que ce dernier a vite grimpé, au bout du premier kilo couru en 5'30 j'étais déjà proche des 80%. Je ne change rien sur le second en me disant tout de même que ce n'est pas suffisant pour tenir l'objectif, ça ne bouge plus trop niveau puls mais ça monte encore une peu.
Entre le 2 ème et 3 éme km j'aborde un coureur que je suis depuis un bout de temps, nous discutons et il me propose de courir avec lui. On se cale un moment, comme il est équipé d'un cardio GPS je me fie à ces indications, on tourne à12km/h. On rejoint un de ces potes qu'il avait perdu au départ et nous continuons à 3. Les discussions m'ont fait un peu perdre le fil et j'ai perdu la notion du temps, je ne sais pas dans quel km je suis. Grace à des suporters postés au abords du parcours nous apprenons que "allez les gars, un petite cote et après c'est le ravitaillement". Un rapide coup d'oeil sur le chrono, c'est certain, on ne sera pas dans les 50' au niveau des 10 km. Au niveau du cardio, c'est la fête au village, on affiche au menu un copieux 183 (94%), on aborde la cote façon "y'en a un peu plus , je vous la mets quand même ?" pour arriver au niveau de la ligne des 10 km affichant un 189 bpm et 53'40 au chrono... Mes compagnons de route semblent ralentir pour le ravito, je regarde de nouveau et ne les vois plus, j'aurais préférer les saluer avant mais ne les localisant pas, je continue seul.
Retour à la réalité, les données sont formelles, l'objectif chrono n'est plus à portée et la FC ne descend plus sous les 185... Bilan pas joli au niveau des chiffres soit, mais je me sens plutôt pas mal alors je me dis que la course s'est fait pour se battre. Et on y va, les 11 km restants vont devenir un obsession, je décide donc de laisser tomber le chrono et le cardio, ça va se jouer au feeling.
Cette sensation me rappelle la musique, juste le temps de définir une grille et une structure et hop on fait tourner des grooves, sauf que là la structure ce sont des 11 km et le groove c'est, tous les 2 km tu accélères et sur le dernier km tu envoies tout, tu demanderas pardons à tes muscles plus tard
Paradoxalement, je me sens libéré, l'objectif a changé mais il demeure, il faut "être le moins loin possible des 1h40" mais je suis finalement très heureux de ne plus regarder ma montre, en ce qui concerne les puls, je fais confiance aux sensations et pour le chrono, je trouve que l'inconnu du temps qui passe est à la fois grisant et motivant, comme je ne peux plus me situer que dans la distance et pas dans le temps la quête de la prochaine "borne" suffit à me faire conserver l'allure, du moins j'en ai l'impression !
Je me tiens au plan, je reste stable jusqu'au km 12 et je relance (notez que je vais relancer tous les 2 km je vous laisse imaginer que les accélérations ne sont pas fulgurantes à chaque palier ). Pour le moment tout se passe bien, c'est même beaucoup mieux puisque je commence à voir ce qui se se passe autour de moi, à profiter du temps qu'il fait, de la température qui a bien monté, du monde. Oui c'est bien d'y penser aussi parce que ça donne une source de motivation supplémentaire ce monde, tous ces coureurs qui me doublent, ceux que je double aussi, ça fait du bien de dépasser et les plus rapides sont de bon lièvres potentiels .
Je reste dans cette euphorie pour entamer le km 14 avec enthousiasme, je profite même du ravito du km 15 pour attraper une bouteille d'eau, je bois un peu (c'est plus frais que dans la gourde) et m'arrose copieusement le crâne, ça fait du bien. Moi qui pensais avoir froid, je suis finalement bien content de profiter de cette petite douche !
Km 16' le moment de la nouvelle relance est venue, c'est bien qu'il n'y ait plus que 5 bornes parce qu'il y a comme une petite odeur de fatigue qui commence à envahir l'air... Je me rappelle qu'il me reste un gel (j'avais pris le premier vers les 40'), je le gobe et j'en relais un couche.
Le terrain va devenir un petit jeu amusant pour les jambes vers le pont de Sèvres, ça passe sans trop ralentir. L'entrée en ville approche, ça sent la fin et on touche le km 18' je me maintiens plus que je ne relance mais on va considérer que c'est une mini récup en perspective du dernier kilo qui va envoyer du très très très gros bois.
Mes jambes sont lourdes mais tiennent le coup, à ce moment là j'ai failli regardé ma montre mais j'ai tenu bon. Je constate que de double des coureurs qui m'avaient devancé au départ et là miracle, je dépasse le meneur d'allure 1h44 !!! Je sais pas si c'est fiable mais sur le moment j'ai surtout pensé que ça sentait bon et ça m'a aider à mobiliser de l'énergie pour finir à fond.
Je ne sais pas si c'est une expression de l'esprit de compétition que j'ai l'impression de découvrir mais le dernier km représente pour moi le moment du dépassement ultime durant lequel, toute seconde gagnée, en dépit de la distance totale de la course, comptent plus que toutes les autres.
Et là, c'est le moment, le dernier km, délicieux mélange de souffrance et de bonheur qui nous accompagne jusqu'à la ligne d'arrivée, je trouve également très glamour cette façon qu'a d'être en faux plat montant ce dernier tronçon
Je mets de l'intensité, mon allure augmente, je dépasse et je tiens le coup du mieux que je peux malgré l'acidité lactique qui fait son office mais ce n'est plus très grave, j'y suis presque alors Il faut tenir le coup... Tout à coup, c'est le drame, les photographes sont là et je ne suis pas coiffé ni maquillé mais surtout que la ligne d'arrivée est maintenant toute proche ! Allez, allez, allez ... Et .... Top, c'est terminé, je coupe le chrono .
Je m'arrête, reprends mon souffle et regarde enfin ma montre, 1h43'13 qui seront en fait 1h43'09, je m'estime très heureux compte tenu de ma première moitié de course qui m'a semblée mauvaise, niveau cardio j'ai découvert une nouvelle FC Max à 195 au lieu de 194 ( ça va changer tous les calculs ).
je suis très heureux de cette première course, je n'ai pas atteint mon objectif, mais j'ai appris des choses sur la gestion de la course (concentration, allures, environnement), et sur moi (esprit de compétition, découverte des sensations de course).
À peine découvert, je dois déjà mettre le semi de côté pour entamer ma coupure, ensuite reprise et prépa de 10 km que je définis comme une priorité en CAP pour 2012, mais je donne dès maintenant rdv à Boulogne pour une nouvelle marque !
À vous lire,
par Knau80
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- FredX
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 6935
- Remerciements reçus 2
Bravo pour ton semi et en fin de compte une belle gestion de course, non ?
A quelle allure as tu fini sur ton dernier km ? En tout cas j'ai l'impression que tu nous a fait un très beau négative split !!!
A quelle allure as tu fini sur ton dernier km ? En tout cas j'ai l'impression que tu nous a fait un très beau négative split !!!
par FredX
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Knau80
- Hors Ligne Auteur du sujet
- Golden runner's
- Messages : 5127
- Remerciements reçus 6
Merci FredX, je ne sais pas si on peut parler de bonne gestion en la jouant au feeling mais ça s'est plutôt bien passé
Je ne peux pas dire quelle étais mon allure sur le dernier kilo (pas de gps pour analyser les données)mais en me connaissant (j'essaie de jouer un peu avec cette configuration à la fin des entrainements, me faire un km de la mort avant de relâcher à la fin d'une séance de qualité), je ne devais pas être doucement, je dirais un petit 4' au km (sur 1 km je peux m'approcher des 3' mais là je n'avais pas la forme suffisante pour y être...)
Mon statut de débutant me pousse à demander ce qu'est un negative split ?
Je ne peux pas dire quelle étais mon allure sur le dernier kilo (pas de gps pour analyser les données)mais en me connaissant (j'essaie de jouer un peu avec cette configuration à la fin des entrainements, me faire un km de la mort avant de relâcher à la fin d'une séance de qualité), je ne devais pas être doucement, je dirais un petit 4' au km (sur 1 km je peux m'approcher des 3' mais là je n'avais pas la forme suffisante pour y être...)
Mon statut de débutant me pousse à demander ce qu'est un negative split ?
Last Edit:il y a 13 ans 1 jour
par Knau80
Dernière édition: il y a 13 ans 1 jour par Knau80.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- olivier_g
- Hors Ligne
- Platinum Boarder
- Messages : 1799
- Remerciements reçus 1
Réponse de olivier_g sur le sujet Re: Boulogne - Mon premier semi
Posted il y a 13 ans 1 jour #134309
Bravo! Finalement, c'est pas si mal de courir sans chrono ni cardio! Félicitations!
par olivier_g
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Vanling
- Hors Ligne
- Platinum Boarder
- Messages : 444
- Remerciements reçus 0
Bravo pour ta course que tu sembles avoir bien maitrisée et très bon temps
par Vanling
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Knau80
- Hors Ligne Auteur du sujet
- Golden runner's
- Messages : 5127
- Remerciements reçus 6
Merci Vanling,
Je crois quand même que je dois m'imposer plus de rigueur dans le suivi de l'allure en course pour améliorer ma gestion, vivement une montre plus complète techniquement pour pouvoir suivre tout ça de plus prêt.
Petit précision pour FredX qui parlait de negative splitt (j'ai trouvé ce que c'était), en effet ça s'est passé comme ça, temps de passage aux 10 km : 53'38 pour une chrono de 1'43'09" soit les 11 km suivant bouclés en 49'31"
Je crois quand même que je dois m'imposer plus de rigueur dans le suivi de l'allure en course pour améliorer ma gestion, vivement une montre plus complète techniquement pour pouvoir suivre tout ça de plus prêt.
Petit précision pour FredX qui parlait de negative splitt (j'ai trouvé ce que c'était), en effet ça s'est passé comme ça, temps de passage aux 10 km : 53'38 pour une chrono de 1'43'09" soit les 11 km suivant bouclés en 49'31"
par Knau80
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Temps de génération de la page : 0.253 secondes