Premier trail long - 6000D (65km/3500d+)
- Fenrisxx
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- Remerciements reçus 11
Bonjour à tous !
Récit tout frais de la course du WE dernier, la preuve j’ai encore mal aux jambes.
J’ai eu le plaisir (temporaire) de me frotter à la 6000D, course emblématique de la Plagne qui affiche 65 km et 3500 de dénivelé +/- avec un profil grosse montée/grosse descente en boucle à partir d’Aime dans la vallée.
Pour la présentation, j’ai toujours été sportif et je me suis mis à courir il y a deux ans. J’ai fait un 39’50’’ sur 10 km en Janvier et un 3h21 sur mon premier marathon à Paris, en ayant suivi le plan 4 séances du site. J’ai suivi la prépa sérieusement et la course s’est bien passée – que demander de plus ! Ensuite repos sur la fin avril, et 85 km en mai et juin avec un trail de 21km/1200d+ et 28km/1600d+ (de nuit) pépère avec des amis. Début juillet j’ai pris une semaine pour aller manger du dénivelé en alpi et rando puis il me restait deux semaines d’affûtage. Autant j’avais été sérieux pour le marathon, là ce ne fût pas franchement le cas avec notamment des bonnes sorties longues alcoolisées …
J’avais été stressé et très impliqué pour le marathon, là vu que je n’avais pas d’idée de chrono j’étais beaucoup plus cool – trop. Pour info, mon trail le plus important avait été un 42 km/2700d+ en 06h58 pour l’UT4M Chartreuse l’année d’avant.
Arrivée de Paris le vendredi aprèm chez mes parents à Chambéry pour prendre le matériel et je pars pour Aime avec la copine dans les bagages, elle sera engagée sur la 6D Lacs et ses 28 km/1600 d+. Nous ne courrons donc pas ensemble sur ces distances record pour nous, mais c’est quand même plus simple et sympa pour l’orga ! On arrive trop tard pour les différentes conférences organisées à la salle des fêtes mais on peut quand même récupérer les dossards et faire un tour dans le village exposant. Les massages/osthéo fermeront sous notre nez, snipf.
J’ai trouvé le sac de goodies bien rempli, des tongs, une flask souple 6000D, un gobelet rétractable, des échantillons … mais pas de t-shirt, celui-là il faudra le mériter. On se trouve ensuite une place sur le parking de l’Eglise, où l’on montera le camp :
Le temps est au beau fixe, petit pic nic au parc et au dodo dans le palace. Réveil 4h45, c’est moins pire que prévu. Il ne fait pas chaud chaud mais le thermomètre va vite grimper, le départ se fera en tshirt sans soucis. Je n’ai pas très faim mais on se force un peu vu que c’est parti pour une longue journée et je file sur la ligne de départ avec madame. Comme toujours je suis large, juste 5 min à attendre dans le sas ! Je me prends une poussée de stress express, la musique se lance et bim c’est ti-par.
On commence sur du goudron avec un profil très roulant pour les premier km, ça permet d’étaler le peloton. Je remonte un peu pour ne pas me faire coincer par les bouchons et on arrive dans la première montée. Les pistes restent larges, et le parcours sera souvent comme ça, donc même s’il y a des ralentissements on peut toujours avancer contrairement aux parcours sur single. Je ne m’enflamme pas et me calle derrière un groupe qui parle des anciennes éditions, tous s’accordent sur le fait que la dernière montée à l’Arpette fait mal et qu’il faut garder du jus.
On monte, on monte, on passe dans les différents villages de station de ski avec quelques petites relances. Tout reste roulant, même le passage dans la piste de bobsleigh se fait bien. C’est assez sympa et ça permet de réaliser à quel point ça doit être impressionnant d’être lancé là-dedans à 120 km/h.
On arrive ensuite à Bellecôte, je recharge les bidons au ravito, mange des tucs et du fromage et hop ça repart. Le temps est nickel mais on ne va clairement pas avoir froid. Après encore un coup de grimpette on arrive au début du parcours du fameux glacier, il y a un double ravito avec d’un côté ceux qui vont commencer et de l’autre ceux qui redescendent déjà – les avions de chasse quoi !
Je suis étonné de voir que ça descend sur une piste de 4x4, je croyais qu’on montait à 3000m ?
Je demande à plusieurs concurrents, pensant avoir shunté la boucle sans faire exprès, mais non on contourne par le bas pour arriver sur la fameuuuuuse montée. On en a pour notre grade, c’est raide et assez technique avec un sol plutôt meuble – la seule partie qui l’a été en montée. Je suis très content d’avoir les bâtons et la pente fait des dégâts, on voit de plus en plus de gens mettre le clignotant pour reprendre leurs esprits. On arrive enfin au télécabine, où il est possible d’abandonner. Je pointe en 6h avec des sensations pas trop mal, va falloir continuer !
On ne redescend pas tout de suite, un petit passage de névé, un raidillon et hop on bascule de l’autre côté sur une descente assez raide. Je pensais qu’on passerait vraiment sur des parties enneigées (qui étaient du coup plus hautes, coup de flippe), mais il faut croire que c’est juste l’effet du réchauffement climatique par rapport aux éditions précédentes. La descente se passe bien, les gens qui montent pendant ce temps commencent à ressembler à des zombies, j’ai mal pour eux quand je vois ce qu’il leur reste. Les encouragements des descendeurs pour les grimpeurs est appréciable et on l’a vu aussi de la part des avions du début.
On va ensuite faire une loooongue descente pas si roulante et là je commence à faiblir, j’ai un peu mal aux genoux et aux cuisses, je paye mes quadriceps de grenouille et ma quasi absence d’entrainement à ce niveau. On arrive enfin à voir l’Arpette au loin, ça n’a pas l’air méchant. FAUX.
On arrive au point d’eau à sa base en 7h, et là le panneau « plus que 25km » fait plus de mal au moral que de bien. Les bénévoles nous informent qu’il reste les 400-500m de d+ de l’Arpette, puis c’est quasi que de la descente sur 2000d-. Argh. Ma copine a terminé de son côté en 4h40 mais est chez les secouristes avec des crampes d’estomac et un psoas en miette, au moins je m’en sors un peu mieux à ce niveau.
La montée fera effectivement des dégâts, mais c’est la descente qui compliquera vraiment les choses. C’est officiel, je grimpe pas si mal mais je ne suis pas en descente. J’arrive de nouveau à Bellecôte (arrivée de la 6D lacs) où je mange un bout et fait un bisou à madame qui reprend forme humaine, ouf. Ça fait du bien, surtout quand il reste 20 bornes et qu'il commence à pleuvoir.
La descente est en fait assez roulante, avec quelques petites parties vallonnées. Pour ceux qui ont des jambes il est possible de bien envoyer mais pour moi ça devient compliqué. Je trottine et marche au lieu de relancer, la galère est lancée. Mais petit à petit les km défilent, je vois bien que les 10h ne sont pas jouables (c’était un peu arbitraire), je me fixe alors de boucler sous les 11h. Ça sera la motivation pour ne pas trop traîner, sinon je vais y passer la nuit. La fin est longue, très longue, mais on arrive finalement dans les champs de pommiers qui annoncent l’arrivée sur la fameuse piste cyclable. C’est un soulagement car cela veut dire que l’arrivée est proche, par contre le goudron fait mal. Je me traîne à 9 km/h et on arrive finalement au village. Les gens encouragent, ça fait du bien. Je croise mes parents et ma copine dans le dernier virage (merci !) et je pique un dernier sprint pour accrocher les 11h tout pile – avec une pointe à 16-17 km/h qui me laissera comme un débile contre une barrière pendant 30s.
Absolument pas faim pour le ravito final et je commence à avoir mal au bide, une première chez moi. Pas de crampes à l’horizon, je n’en ai en fait jamais eu – et c’est très bien comme ça. On vient me chouchouter et je suis content de ne pas conduire pour rentrer … J’arrive quand même à m’enfiler la bière finisher avant de partir, faut dire que j’avais eu l’entrainement spécifique héhé.
Bilan :
- Orga au top (merci à tous !) et un sac goodies bien fourni pour un prix correct, on est moins cher qu’un semi de Paris … Le parcours est peu technique, hormis le glacier. Chemins souvent larges, ça peut faire un peu usine avec les stations de ski mais ça reste correct. Epreuve à faire dans sa carrière !
- Sensations : bonnes les 7 premières heures, je perds ensuite pied et je subis complètement les 20 bornes de descente. Il me restait quand même un poil de jus vu que je pouvais marcher vite en montée mais courir en descente se limitait à trottiner. Sans surprise, c’est expliqué par une prépa pas au niveau (heureusement compensée par la prépa marathon qui avait été sérieuse). Pour une prochaine course de ce gabarit le travail des descentes et du renforcement musculaire sera une priorité.
A la louche il y avait 1500 participants, 1150 arrivant (attention aux barrières horaire) et je termine vers les 700e en 11h. Le premier est en 6h10 et le dernier accepté en 14h.
Voilou !
Récit tout frais de la course du WE dernier, la preuve j’ai encore mal aux jambes.
J’ai eu le plaisir (temporaire) de me frotter à la 6000D, course emblématique de la Plagne qui affiche 65 km et 3500 de dénivelé +/- avec un profil grosse montée/grosse descente en boucle à partir d’Aime dans la vallée.
Pour la présentation, j’ai toujours été sportif et je me suis mis à courir il y a deux ans. J’ai fait un 39’50’’ sur 10 km en Janvier et un 3h21 sur mon premier marathon à Paris, en ayant suivi le plan 4 séances du site. J’ai suivi la prépa sérieusement et la course s’est bien passée – que demander de plus ! Ensuite repos sur la fin avril, et 85 km en mai et juin avec un trail de 21km/1200d+ et 28km/1600d+ (de nuit) pépère avec des amis. Début juillet j’ai pris une semaine pour aller manger du dénivelé en alpi et rando puis il me restait deux semaines d’affûtage. Autant j’avais été sérieux pour le marathon, là ce ne fût pas franchement le cas avec notamment des bonnes sorties longues alcoolisées …
J’avais été stressé et très impliqué pour le marathon, là vu que je n’avais pas d’idée de chrono j’étais beaucoup plus cool – trop. Pour info, mon trail le plus important avait été un 42 km/2700d+ en 06h58 pour l’UT4M Chartreuse l’année d’avant.
Arrivée de Paris le vendredi aprèm chez mes parents à Chambéry pour prendre le matériel et je pars pour Aime avec la copine dans les bagages, elle sera engagée sur la 6D Lacs et ses 28 km/1600 d+. Nous ne courrons donc pas ensemble sur ces distances record pour nous, mais c’est quand même plus simple et sympa pour l’orga ! On arrive trop tard pour les différentes conférences organisées à la salle des fêtes mais on peut quand même récupérer les dossards et faire un tour dans le village exposant. Les massages/osthéo fermeront sous notre nez, snipf.
J’ai trouvé le sac de goodies bien rempli, des tongs, une flask souple 6000D, un gobelet rétractable, des échantillons … mais pas de t-shirt, celui-là il faudra le mériter. On se trouve ensuite une place sur le parking de l’Eglise, où l’on montera le camp :
Le temps est au beau fixe, petit pic nic au parc et au dodo dans le palace. Réveil 4h45, c’est moins pire que prévu. Il ne fait pas chaud chaud mais le thermomètre va vite grimper, le départ se fera en tshirt sans soucis. Je n’ai pas très faim mais on se force un peu vu que c’est parti pour une longue journée et je file sur la ligne de départ avec madame. Comme toujours je suis large, juste 5 min à attendre dans le sas ! Je me prends une poussée de stress express, la musique se lance et bim c’est ti-par.
On commence sur du goudron avec un profil très roulant pour les premier km, ça permet d’étaler le peloton. Je remonte un peu pour ne pas me faire coincer par les bouchons et on arrive dans la première montée. Les pistes restent larges, et le parcours sera souvent comme ça, donc même s’il y a des ralentissements on peut toujours avancer contrairement aux parcours sur single. Je ne m’enflamme pas et me calle derrière un groupe qui parle des anciennes éditions, tous s’accordent sur le fait que la dernière montée à l’Arpette fait mal et qu’il faut garder du jus.
On monte, on monte, on passe dans les différents villages de station de ski avec quelques petites relances. Tout reste roulant, même le passage dans la piste de bobsleigh se fait bien. C’est assez sympa et ça permet de réaliser à quel point ça doit être impressionnant d’être lancé là-dedans à 120 km/h.
On arrive ensuite à Bellecôte, je recharge les bidons au ravito, mange des tucs et du fromage et hop ça repart. Le temps est nickel mais on ne va clairement pas avoir froid. Après encore un coup de grimpette on arrive au début du parcours du fameux glacier, il y a un double ravito avec d’un côté ceux qui vont commencer et de l’autre ceux qui redescendent déjà – les avions de chasse quoi !
Je suis étonné de voir que ça descend sur une piste de 4x4, je croyais qu’on montait à 3000m ?
Je demande à plusieurs concurrents, pensant avoir shunté la boucle sans faire exprès, mais non on contourne par le bas pour arriver sur la fameuuuuuse montée. On en a pour notre grade, c’est raide et assez technique avec un sol plutôt meuble – la seule partie qui l’a été en montée. Je suis très content d’avoir les bâtons et la pente fait des dégâts, on voit de plus en plus de gens mettre le clignotant pour reprendre leurs esprits. On arrive enfin au télécabine, où il est possible d’abandonner. Je pointe en 6h avec des sensations pas trop mal, va falloir continuer !
On ne redescend pas tout de suite, un petit passage de névé, un raidillon et hop on bascule de l’autre côté sur une descente assez raide. Je pensais qu’on passerait vraiment sur des parties enneigées (qui étaient du coup plus hautes, coup de flippe), mais il faut croire que c’est juste l’effet du réchauffement climatique par rapport aux éditions précédentes. La descente se passe bien, les gens qui montent pendant ce temps commencent à ressembler à des zombies, j’ai mal pour eux quand je vois ce qu’il leur reste. Les encouragements des descendeurs pour les grimpeurs est appréciable et on l’a vu aussi de la part des avions du début.
On va ensuite faire une loooongue descente pas si roulante et là je commence à faiblir, j’ai un peu mal aux genoux et aux cuisses, je paye mes quadriceps de grenouille et ma quasi absence d’entrainement à ce niveau. On arrive enfin à voir l’Arpette au loin, ça n’a pas l’air méchant. FAUX.
On arrive au point d’eau à sa base en 7h, et là le panneau « plus que 25km » fait plus de mal au moral que de bien. Les bénévoles nous informent qu’il reste les 400-500m de d+ de l’Arpette, puis c’est quasi que de la descente sur 2000d-. Argh. Ma copine a terminé de son côté en 4h40 mais est chez les secouristes avec des crampes d’estomac et un psoas en miette, au moins je m’en sors un peu mieux à ce niveau.
La montée fera effectivement des dégâts, mais c’est la descente qui compliquera vraiment les choses. C’est officiel, je grimpe pas si mal mais je ne suis pas en descente. J’arrive de nouveau à Bellecôte (arrivée de la 6D lacs) où je mange un bout et fait un bisou à madame qui reprend forme humaine, ouf. Ça fait du bien, surtout quand il reste 20 bornes et qu'il commence à pleuvoir.
La descente est en fait assez roulante, avec quelques petites parties vallonnées. Pour ceux qui ont des jambes il est possible de bien envoyer mais pour moi ça devient compliqué. Je trottine et marche au lieu de relancer, la galère est lancée. Mais petit à petit les km défilent, je vois bien que les 10h ne sont pas jouables (c’était un peu arbitraire), je me fixe alors de boucler sous les 11h. Ça sera la motivation pour ne pas trop traîner, sinon je vais y passer la nuit. La fin est longue, très longue, mais on arrive finalement dans les champs de pommiers qui annoncent l’arrivée sur la fameuse piste cyclable. C’est un soulagement car cela veut dire que l’arrivée est proche, par contre le goudron fait mal. Je me traîne à 9 km/h et on arrive finalement au village. Les gens encouragent, ça fait du bien. Je croise mes parents et ma copine dans le dernier virage (merci !) et je pique un dernier sprint pour accrocher les 11h tout pile – avec une pointe à 16-17 km/h qui me laissera comme un débile contre une barrière pendant 30s.
Absolument pas faim pour le ravito final et je commence à avoir mal au bide, une première chez moi. Pas de crampes à l’horizon, je n’en ai en fait jamais eu – et c’est très bien comme ça. On vient me chouchouter et je suis content de ne pas conduire pour rentrer … J’arrive quand même à m’enfiler la bière finisher avant de partir, faut dire que j’avais eu l’entrainement spécifique héhé.
Bilan :
- Orga au top (merci à tous !) et un sac goodies bien fourni pour un prix correct, on est moins cher qu’un semi de Paris … Le parcours est peu technique, hormis le glacier. Chemins souvent larges, ça peut faire un peu usine avec les stations de ski mais ça reste correct. Epreuve à faire dans sa carrière !
- Sensations : bonnes les 7 premières heures, je perds ensuite pied et je subis complètement les 20 bornes de descente. Il me restait quand même un poil de jus vu que je pouvais marcher vite en montée mais courir en descente se limitait à trottiner. Sans surprise, c’est expliqué par une prépa pas au niveau (heureusement compensée par la prépa marathon qui avait été sérieuse). Pour une prochaine course de ce gabarit le travail des descentes et du renforcement musculaire sera une priorité.
A la louche il y avait 1500 participants, 1150 arrivant (attention aux barrières horaire) et je termine vers les 700e en 11h. Le premier est en 6h10 et le dernier accepté en 14h.
Voilou !
Last Edit:il y a 7 ans 3 mois
par Fenrisxx
Dernière édition: il y a 7 ans 3 mois par Fenrisxx.
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- Damien42
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Réponse de Damien42 sur le sujet Premier trail long - 6000D (65km/3500d+)
Posted il y a 7 ans 3 mois #479047
Merci pour ce CR bien détaillée ! Effectivement le 6000D fait partie des courses qui donnent envie d'aller s'y frotter, mais ça sera pas pour tout de suite
Pour selon que tu n'ai pas fait de prépa spécifique trail, tu fais un joli chrono ! Bravo
Pour selon que tu n'ai pas fait de prépa spécifique trail, tu fais un joli chrono ! Bravo
par Damien42
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- jeanmarc
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Réponse de jeanmarc sur le sujet Premier trail long - 6000D (65km/3500d+)
Posted il y a 7 ans 3 mois #479059
Un sympathique CR avec des belles photos
Comme dirait l autre tu en a eu pour ton argent mais tu ne venais pas la pour faire du shopping
Un bon chrono vu la prepa un " peu légère"
Félicitation à madame aussi
Comme dirait l autre tu en a eu pour ton argent mais tu ne venais pas la pour faire du shopping
Un bon chrono vu la prepa un " peu légère"
Félicitation à madame aussi
par jeanmarc
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- smilk
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Réponse de smilk sur le sujet Premier trail long - 6000D (65km/3500d+)
Posted il y a 7 ans 3 mois #479078
Merci pour ce CR bien fourni.
Tu t'en es sacrément bien sorti vu le manque de prépa et aussi le gap à franchir par rapport à ta plus longue course auparavant.
Ca prouve que tu as une sacrée base
Repose toi bien
Tu t'en es sacrément bien sorti vu le manque de prépa et aussi le gap à franchir par rapport à ta plus longue course auparavant.
Ca prouve que tu as une sacrée base
Repose toi bien
par smilk
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- charly_yep
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Réponse de charly_yep sur le sujet Premier trail long - 6000D (65km/3500d+)
Posted il y a 7 ans 3 mois #479081
Félicitations pour la course et merci pour le CR !!!
Bien sympa tout ça.
Bonne récup.
Bien sympa tout ça.
Bonne récup.
par charly_yep
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- lestat
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Réponse de lestat sur le sujet Premier trail long - 6000D (65km/3500d+)
Posted il y a 7 ans 3 mois #479089
Chouette CR, merci.
Ça montre bien que ce genre de course nécessite en effet une bonne prépa pour la finir dans de bonnes conditions mais pour une première c'est déjà très bien
Ça montre bien que ce genre de course nécessite en effet une bonne prépa pour la finir dans de bonnes conditions mais pour une première c'est déjà très bien
par lestat
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