Marathon de New-York: entres pleurs et bananes

Quel magnifique récit. Toutes mes félicitations pour ce que tu as accompli. Comme tu l'as si bien écrit, New York restera à jamais ton premier marathon. Et l'on oublie pas ses premières fois.

Encore bravo, pour ta plume comme pour ta course. Profite bien de ta médaille et de tous tes souvenirs.

Merci Joël pour les explications.

Bravo pour avoir terminé. Je comprends ta déception mais elle va s'atténuer...J'en sais aussi quelque chose. Tu as fini c'est l'essentiel. Tu fera nettement mieux au prochain

Un énorme merci Joël pour ce CR!
Tu l'as écrit en toute transparence, racontant tout ce que tu as vécu au plus profond de toi et je t'en remercie!

Je t'ai suivi via l'application et à chaque fois que le chrono tombait, j'étais vraiment super contente pour toi! Emerveillée aussi de pouvoir te suivre en n'étant pas présente physiquement!!
Vient ensuite le gros blanc... et là hé bien, j'ai commencé à me poser pleins de questions, que se passe-t-il? En te lisant, je suis vraiment impressionnée que toi de ton côté, certes, tu souffrais, mais non, tu ne te posais pas de questions: tu savais ce que tu voulais: franchir cette ligne d'arrivée coûte que coûte et tu l'as fait!!! Et là, que tu le veuilles ou non, c'est une très belle victoire sur toi-même!!! Encore une fois: BRAVO pour avoir réalisé ce marathon!!!!

Merci pour le CR.
Franchement je comprend ta déception.
Je comprend aussi que tu ne te considères pas comme finisher, même si c'est pas sympa .
J'aimerai te dire: "tu as passé la ligne, c'est le principal" mais je pense que tu as raison de te remettre en question. C'est comme celà qu'on progresse.
Il faut se donner des objectifs réalistes (c'est très difficile sur des courses longues), se donner les moyens mais il faut aussi savoir analyser objectivement ses résultats et ses erreurs.

C'est clair qu'il faut un sacré courage pour surmonter la douleur. Beaucoup d'entre nous savent que la fin du marathon est une épreuve mentale même quand on est pas blessé. Alors, blessé, oui, c'est clair qu'il faut un sacré courage. Bravo!

Sans vouloir faire le chieur, je pense que tu as commis une erreur: c'est multiplier les inconnues: premier marathon / expérience en cap réduite / grand marathon international.
Une fois inscrit, tu ne pouvais plus reculer: or ta prépa s'est mal passée (manque d'expérience, blessure). Tu as donc du y aller aux forceps et ça a fait mal.

Tu m'as bien fait rigoler quand j'ai lu que tu voulais déjà refaire 2 marathon!
C'est clair que je comprend bien que tu as hâte de 'laver' cette déception bien légitime. Mais la course pied, c'est la patience. Un marathon ne se prépare pas en 12 semaines mais en plusieurs années (sauf pour les personnes qui pratiquaient déjà un sport d’endurance).
Les articulations, les tendons ne métamorphosent pas en quelques semaines, le métabolisme non plus.

Ton genou est fragile. Enchaîner trop de prépas ne sera pas une bonne chose.

Concernant NY, la course a vraiment l'air fabuleuse comme tu la décris. Ca fait vraiment envie!
Ceci dit, vu le prix du ticket, je crois que si je devais faire ce marathon, je me fixerai une cible light. J'aurai trop peur d'être à la rue et trop envie de passer la ligne avec la sourire.

Encore bravo pour ton courage!
Peut être qu'on se verra à Molsheim au printemps 2014. Je vais peut être faire ce marathon. Si ça se fait, se sera en mode cool (déguisé en plongeur?) car j'aimerai bien faire une perf sur marathon à l'automne 2014.
Mais tout ça est encore très hypothétique.

+1 pour ce dernier message plein de sagesse au milieu d'un concert de louange
le no pain no gain ne fonctionne pas, c'est un mythe, qui malheureusement a encore de beaux jours devant lui

je sais plus si c'était l'ayurvédique John Douillard ou un autre qui disait que l'essentiel n'est pas la distance que tu cours mais la beauté de ta foulée