Morat-Fribourg 2012
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Morat-Fribourg 2012
Intro :
Après avoir passé une bonne partie de la saison à enchaîner les séances de côtes et à arpenter les montagnes, je décidai de faire cet automne des infidélités au trail pour m’accorder une parenthèse route. Ma décision était surtout motivée par deux points : premièrement, j’étais curieux de voir si le trail avait porté préjudice à ma vitesse (qui n’a certes jamais atteint des sommets, mais vitesse quand même) ; deuxièmement, mon beau-frère s’alignait au départ de la course après avoir repris la course à pied au printemps, suite à des années d’inactivité.
C’est donc non sans une certaine appréhension que je troquais en juillet mes chaussures de trail contre mes chaussures de route afin de me préparer au mieux à Morat-Fribourg, l’un des grands classiques de la course à pied en Suisse. Malgré le profil exigeant du parcours (17,45 km avec env. 350m de dénivelé), elle reste l’une des courses les plus populaires de Suisse, avec plus de 10'000 inscrits cette année. Par ailleurs, son histoire rappelle celle du marathon. En effet, la légende veut qu'en 1476, après que les Confédérés (les Suisses donc) eurent botté les fesses de Charles le Téméraires et de ses troupes (autrement dit, les Français ), un Helvète aurait couru jusqu’à Fribourg, un rameau de tilleul à la main, afin d’annoncer la bonne nouvelle. Hop Suisse ! Hop Suisse !
Entraînement :
Pour me préparer au mieux à cette épreuve, je structurai mon entraînement comme suit : de l’EF, des SL agrémentées de blocs d’AS, de la natation et un peu de foot, remplacé par une séance de càp lorsque celui-ci n’avait pas lieu. Les premières séances de travail spécifique m’ont confirmé que j’avais conservé quelques résidus de mes lointaines séances de VMA et que je pouvais facilement aller chercher mon record sur la distance, établi en 2009 : 1h24’40’’. Au fil des séances, je tablai donc sur un objectif de 1h20’, soit 4’35’’/km.
Course :
Le dimanche 7 octobre, je quitte la maison à 7h30 et arrive à Morat 1h30 plus tard. Le ciel est gris, il pleuvine. Cela ne me gêne pas outre mesure, car je préfère courir sous la pluie que sous un soleil de plomb. La seule chose qui me chagrine est d’avoir oublié mes lentilles de contact au travail. J’ai bien pris ma casquette, mais je sais par expérience que la protection ne sera que temporaire. Après m’être changé et avoir déposé mon sac, je téléphone à mon beau-frère. Nous nous retrouvons près de l’échauffement collectif et partons trottiner ensemble. A 10h15, il est temps pour moi de rejoindre mon bloc de départ, car je pars 6 minutes plus tard. Vu mes précédents résultats, je suis inscrit avec le groupe des 1h24. Mon beau-frère partira 6 minutes après moi avec le groupe des 1h30. En attendant le départ, je configure ma montre et décide de ne pas afficher ma fréquence cardiaque, histoire de ne pas me faire peur ! Je me fierai donc à mes sensations en surveillant uniquement l’allure du circuit, la distance et le temps.
A 10h21, c’est parti !!!
Comme à l’accoutumée dans ce genre de grand événement, les premiers décamètres s’apparentent plus à du slalom qu’à de la course. Toutefois, la route est plutôt large et les coureurs semblent s’être inscrits dans le bon bloc, ce qui me permet de trouver rapidement mon rythme. Vu mon objectif, je dois toutefois dépasser de nombreux coureurs, ce qui m’oblige à emprunter les trottoirs ou des bandes d’herbe.
D'après le profil du parcours, j’avais décidé de passer les km à plat et en descente en 4’30’’/km, tout en essayant de limiter les dégâts dans les faux plats et les côtes (entre 4’45’’ et 5’00’’/km).
Km 1 : 4’21’’ : Je suis (déjà !) trop rapide, mais les sensations sont bonnes. Je décide donc de continuer à ce rythme.
Km 2 : 4’45’’ : Je ralentis légèrement car il y a une grosse côte de 500m.
Km 3 : 4’26’’ : Faux-plat descendant suivi d’un faux-plat montant, tout va pour le mieux.
Km 4 : 4’29’’ : Ca continue de monter, mais j’arrive à maintenir un rythme supérieur à ce que j’avais prévu sans être trop éprouvé. Je continue à dépasser du monde. A ce moment-là, j’ai le sentiment de mieux réussir à passer ces côtes que les années précédentes. Vive le trail !
Km 5 : 4’56’’ : Les 500 premiers mètres offrent un répit, mais c’est de courte durée. Je ralentis l’allure car (1) je suis en avance sur mon objectif et (2) je sais que dans quelques hectomètres nous attaquerons la partie la plus roulante du parcours. Je pourrai donc relancer une fois en-haut.
Km 6 : 4’16’’ : Je profite quelques secondes du premier ravitaillement et attaque ensuite une belle descente où je laisse aller.
Km 7 : 4’15’’ : La deuxième moitié se fait dans un faux-plat légèrement montant. J’arrive à garder la cadence et malgré le fait qu’on court sur des montagnes russes, mon cœur tient le choc.
Km 8 : 4’22’’ : J’arrive à garder le rythme, je dépasse toujours beaucoup de monde sans jamais me faire rattraper ou presque. C’est très motivant.
Km 9 : 4’09’’ : Nous traversons Courtepin, point de départ du petit parcours. Il y a du monde malgré le temps maussade, tout va bien jusqu’ici. Au km 8,7, soit pile à mi-parcours, mon temps de course est de 38’50’’. J’ai donc plus d’une minute d’avance sur l’objectif et le plus gros du dénivelé est passé. Toutefois, je refuse de m’emballer et de faire des calculs car la Sonnaz, la principale difficulté de la course, arrive dans 3 km…
Km 10 : 4’11’’ : Il s’agit essentiellement d’un long faux-plat sans difficultés. Les sensations sont toujours excellentes.
Km 11 : 3’57’’ : Portion à plat suivie d’une longue descente où on peut lâcher les chevaux sans risques.
Km 12 : 4’11’’ : Je me dis qu’il faut que je ralentisse en vue de la Sonnaz, mais je me sens toujours bien et je n’arrive pas à ralentir (mais où sont les freins sur cet engin ??? ). Je sais toutefois que je suis bien en avance sur mon plan de course et que je pourrai donc me permettre de passer la Sonnaz à un rythme moins élevé que prévu.
Km 13 : 5’10’’ : Nous y voilà ! Le fameux juge de paix de cette course. La mythique Sonnaz. C’est en général là que l'on va chercher la gloire ou que l’on sombre dans les tréfonds du classement. 80m de dénivelé sur 1,3 km. Autour de moi, les marcheurs sont plus nombreux que les coureurs. Les concurrents soufflent, souffrent. Evidemment, mon allure baisse mais reste correcte. Les cuisses chauffent, mais les spectateurs présents nous poussent à serrer les dents et à faire fi de la douleur (c’est fou ce que ça peut motiver des cloches de vache !). Arrivé au sommet, je suis éprouvé mais pas cramé et peux relancer dans la descente qui suit.
Km 14 : 4’26’’ : Je passe au km 13,45 à 1h00 de course exactement. Mon cerveau me laisse faire un dernier calcul mental rapide : il me reste 4 km pour 20 minutes, soit 5’00’’/km. Je jubile en me disant que mon objectif sera atteint. Je me prends même à rêver de passer sous la barre des 1h15, mais pour cela il faut passer la 6e et tourner à 3’45’’/km. Les premiers hectomètres me confirment que je n’y arriverai pas. On ne sort jamais indemne de la Sonnaz. Mais je me reconcentre sur ma course en me disant qu’après tout, l’objectif initial était de1h20 et qu’il sera atteint. Une bonne gestion de fin de course devrait pouvoir me faire gagner 2-3 minutes.
Km 15 : 4’48’’ : Je commence (enfin !) à payer les efforts fournis jusqu’ici. Je décide donc de rester sage et d’en garder sous le pied en vue de la montée finale.
Km 16 : 3’38’’ : Je doute un peu de cette marque car à part une descente à l’entrée de la ville, je n’ai pas l’impression d’avoir placé une telle accélération foudroyante…
Km 17 : 4’42’’ : Je gère la fin de course en essayant de profiter de l’ambiance en ville de Fribourg. Par ailleurs, je sais que les trois membres de mon fan club (ma femme et nos deux fistons) sont quelque part près de l’arrivée, donc j’ouvre l’œil.
450 derniers mètres : 1’53’’ : La montée finale est courte mais interminable. Bref, c’est terrible. Je n’ai plus de jus et finis en roue libre. A 150m de la ligne, j’aperçois ma famille qui m’encourage chaleureusement . Je franchis la ligne et m’empresse de rebrousser chemin pour les rejoindre derrière les barrières. Nous ne voulons en aucun cas manquer l’arrivée de mon beau-frère ! Malheureusement, la foule et une course pour lui plus rapide que prévu (décidément) feront que nous ne le verrons même pas arriver…
Résultat : 1h17’01’’ (prochain objectif, passer sous les 1h17’)
Classement catégorie : 316/1953
Mon beau-frère finira lui en 1h25’32’’ (objectif à 1h30’)
Bilan :
Evidemment, le résultat de la course me satisfait pleinement. Je suis vraiment surpris de constater les progrès réalisés sur route après une année de trail. Ca me conforte dans mon idée d’abandonner la VMA au profit de séances de côtes
A bientôt pour de nouvelles aventures !
Intro :
Après avoir passé une bonne partie de la saison à enchaîner les séances de côtes et à arpenter les montagnes, je décidai de faire cet automne des infidélités au trail pour m’accorder une parenthèse route. Ma décision était surtout motivée par deux points : premièrement, j’étais curieux de voir si le trail avait porté préjudice à ma vitesse (qui n’a certes jamais atteint des sommets, mais vitesse quand même) ; deuxièmement, mon beau-frère s’alignait au départ de la course après avoir repris la course à pied au printemps, suite à des années d’inactivité.
C’est donc non sans une certaine appréhension que je troquais en juillet mes chaussures de trail contre mes chaussures de route afin de me préparer au mieux à Morat-Fribourg, l’un des grands classiques de la course à pied en Suisse. Malgré le profil exigeant du parcours (17,45 km avec env. 350m de dénivelé), elle reste l’une des courses les plus populaires de Suisse, avec plus de 10'000 inscrits cette année. Par ailleurs, son histoire rappelle celle du marathon. En effet, la légende veut qu'en 1476, après que les Confédérés (les Suisses donc) eurent botté les fesses de Charles le Téméraires et de ses troupes (autrement dit, les Français ), un Helvète aurait couru jusqu’à Fribourg, un rameau de tilleul à la main, afin d’annoncer la bonne nouvelle. Hop Suisse ! Hop Suisse !
Entraînement :
Pour me préparer au mieux à cette épreuve, je structurai mon entraînement comme suit : de l’EF, des SL agrémentées de blocs d’AS, de la natation et un peu de foot, remplacé par une séance de càp lorsque celui-ci n’avait pas lieu. Les premières séances de travail spécifique m’ont confirmé que j’avais conservé quelques résidus de mes lointaines séances de VMA et que je pouvais facilement aller chercher mon record sur la distance, établi en 2009 : 1h24’40’’. Au fil des séances, je tablai donc sur un objectif de 1h20’, soit 4’35’’/km.
Course :
Le dimanche 7 octobre, je quitte la maison à 7h30 et arrive à Morat 1h30 plus tard. Le ciel est gris, il pleuvine. Cela ne me gêne pas outre mesure, car je préfère courir sous la pluie que sous un soleil de plomb. La seule chose qui me chagrine est d’avoir oublié mes lentilles de contact au travail. J’ai bien pris ma casquette, mais je sais par expérience que la protection ne sera que temporaire. Après m’être changé et avoir déposé mon sac, je téléphone à mon beau-frère. Nous nous retrouvons près de l’échauffement collectif et partons trottiner ensemble. A 10h15, il est temps pour moi de rejoindre mon bloc de départ, car je pars 6 minutes plus tard. Vu mes précédents résultats, je suis inscrit avec le groupe des 1h24. Mon beau-frère partira 6 minutes après moi avec le groupe des 1h30. En attendant le départ, je configure ma montre et décide de ne pas afficher ma fréquence cardiaque, histoire de ne pas me faire peur ! Je me fierai donc à mes sensations en surveillant uniquement l’allure du circuit, la distance et le temps.
A 10h21, c’est parti !!!
Comme à l’accoutumée dans ce genre de grand événement, les premiers décamètres s’apparentent plus à du slalom qu’à de la course. Toutefois, la route est plutôt large et les coureurs semblent s’être inscrits dans le bon bloc, ce qui me permet de trouver rapidement mon rythme. Vu mon objectif, je dois toutefois dépasser de nombreux coureurs, ce qui m’oblige à emprunter les trottoirs ou des bandes d’herbe.
D'après le profil du parcours, j’avais décidé de passer les km à plat et en descente en 4’30’’/km, tout en essayant de limiter les dégâts dans les faux plats et les côtes (entre 4’45’’ et 5’00’’/km).
Km 1 : 4’21’’ : Je suis (déjà !) trop rapide, mais les sensations sont bonnes. Je décide donc de continuer à ce rythme.
Km 2 : 4’45’’ : Je ralentis légèrement car il y a une grosse côte de 500m.
Km 3 : 4’26’’ : Faux-plat descendant suivi d’un faux-plat montant, tout va pour le mieux.
Km 4 : 4’29’’ : Ca continue de monter, mais j’arrive à maintenir un rythme supérieur à ce que j’avais prévu sans être trop éprouvé. Je continue à dépasser du monde. A ce moment-là, j’ai le sentiment de mieux réussir à passer ces côtes que les années précédentes. Vive le trail !
Km 5 : 4’56’’ : Les 500 premiers mètres offrent un répit, mais c’est de courte durée. Je ralentis l’allure car (1) je suis en avance sur mon objectif et (2) je sais que dans quelques hectomètres nous attaquerons la partie la plus roulante du parcours. Je pourrai donc relancer une fois en-haut.
Km 6 : 4’16’’ : Je profite quelques secondes du premier ravitaillement et attaque ensuite une belle descente où je laisse aller.
Km 7 : 4’15’’ : La deuxième moitié se fait dans un faux-plat légèrement montant. J’arrive à garder la cadence et malgré le fait qu’on court sur des montagnes russes, mon cœur tient le choc.
Km 8 : 4’22’’ : J’arrive à garder le rythme, je dépasse toujours beaucoup de monde sans jamais me faire rattraper ou presque. C’est très motivant.
Km 9 : 4’09’’ : Nous traversons Courtepin, point de départ du petit parcours. Il y a du monde malgré le temps maussade, tout va bien jusqu’ici. Au km 8,7, soit pile à mi-parcours, mon temps de course est de 38’50’’. J’ai donc plus d’une minute d’avance sur l’objectif et le plus gros du dénivelé est passé. Toutefois, je refuse de m’emballer et de faire des calculs car la Sonnaz, la principale difficulté de la course, arrive dans 3 km…
Km 10 : 4’11’’ : Il s’agit essentiellement d’un long faux-plat sans difficultés. Les sensations sont toujours excellentes.
Km 11 : 3’57’’ : Portion à plat suivie d’une longue descente où on peut lâcher les chevaux sans risques.
Km 12 : 4’11’’ : Je me dis qu’il faut que je ralentisse en vue de la Sonnaz, mais je me sens toujours bien et je n’arrive pas à ralentir (mais où sont les freins sur cet engin ??? ). Je sais toutefois que je suis bien en avance sur mon plan de course et que je pourrai donc me permettre de passer la Sonnaz à un rythme moins élevé que prévu.
Km 13 : 5’10’’ : Nous y voilà ! Le fameux juge de paix de cette course. La mythique Sonnaz. C’est en général là que l'on va chercher la gloire ou que l’on sombre dans les tréfonds du classement. 80m de dénivelé sur 1,3 km. Autour de moi, les marcheurs sont plus nombreux que les coureurs. Les concurrents soufflent, souffrent. Evidemment, mon allure baisse mais reste correcte. Les cuisses chauffent, mais les spectateurs présents nous poussent à serrer les dents et à faire fi de la douleur (c’est fou ce que ça peut motiver des cloches de vache !). Arrivé au sommet, je suis éprouvé mais pas cramé et peux relancer dans la descente qui suit.
Km 14 : 4’26’’ : Je passe au km 13,45 à 1h00 de course exactement. Mon cerveau me laisse faire un dernier calcul mental rapide : il me reste 4 km pour 20 minutes, soit 5’00’’/km. Je jubile en me disant que mon objectif sera atteint. Je me prends même à rêver de passer sous la barre des 1h15, mais pour cela il faut passer la 6e et tourner à 3’45’’/km. Les premiers hectomètres me confirment que je n’y arriverai pas. On ne sort jamais indemne de la Sonnaz. Mais je me reconcentre sur ma course en me disant qu’après tout, l’objectif initial était de1h20 et qu’il sera atteint. Une bonne gestion de fin de course devrait pouvoir me faire gagner 2-3 minutes.
Km 15 : 4’48’’ : Je commence (enfin !) à payer les efforts fournis jusqu’ici. Je décide donc de rester sage et d’en garder sous le pied en vue de la montée finale.
Km 16 : 3’38’’ : Je doute un peu de cette marque car à part une descente à l’entrée de la ville, je n’ai pas l’impression d’avoir placé une telle accélération foudroyante…
Km 17 : 4’42’’ : Je gère la fin de course en essayant de profiter de l’ambiance en ville de Fribourg. Par ailleurs, je sais que les trois membres de mon fan club (ma femme et nos deux fistons) sont quelque part près de l’arrivée, donc j’ouvre l’œil.
450 derniers mètres : 1’53’’ : La montée finale est courte mais interminable. Bref, c’est terrible. Je n’ai plus de jus et finis en roue libre. A 150m de la ligne, j’aperçois ma famille qui m’encourage chaleureusement . Je franchis la ligne et m’empresse de rebrousser chemin pour les rejoindre derrière les barrières. Nous ne voulons en aucun cas manquer l’arrivée de mon beau-frère ! Malheureusement, la foule et une course pour lui plus rapide que prévu (décidément) feront que nous ne le verrons même pas arriver…
Résultat : 1h17’01’’ (prochain objectif, passer sous les 1h17’)
Classement catégorie : 316/1953
Mon beau-frère finira lui en 1h25’32’’ (objectif à 1h30’)
Bilan :
Evidemment, le résultat de la course me satisfait pleinement. Je suis vraiment surpris de constater les progrès réalisés sur route après une année de trail. Ca me conforte dans mon idée d’abandonner la VMA au profit de séances de côtes
A bientôt pour de nouvelles aventures !
par deru84
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- bat
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Bravo pour cette superbe course et ce manifique resultat.
C'est clair que si tu voulais faire ne serait-ce qu'une demi saison sur route, tous tes records (10k semi et marathon), tomberaient et pas qu'un peu !
Vu le profil de la course et ton temps ta VMA doit approcher les 17km/h et avec le trail aucun doute que tu as la caisse pour tenir
C'est clair que si tu voulais faire ne serait-ce qu'une demi saison sur route, tous tes records (10k semi et marathon), tomberaient et pas qu'un peu !
Vu le profil de la course et ton temps ta VMA doit approcher les 17km/h et avec le trail aucun doute que tu as la caisse pour tenir
par bat
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- Xav
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Bravo pour ta course et le CR vraiment sympa qui va avec. Et avec en plus une petite leçon d'histoire en prime !!
Ton bon résultat me conforte aussi dans mon envie de faire un rapide passage sur route d'ici la fin de l'année...
Ton bon résultat me conforte aussi dans mon envie de faire un rapide passage sur route d'ici la fin de l'année...
par Xav
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- Knau80
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Bravo pour cette course rondement menée et pour l'objectif de temps largement atteints... Par contre je suis extrêmement déçu par ce dédain ouvertement affichée à l'égard de le séance reine de notre discipline, la bien nommée VMA La VMA est à la course à pieds ce que les plaisirs charnels sont à l'amour
Deru, le moine de la course à pieds accompagné de ses frères Ricker et Atomheart (et j'ai l'impression que le prieuré va continuer de se remplir )
Bisous dans ton oeil
Deru, le moine de la course à pieds accompagné de ses frères Ricker et Atomheart (et j'ai l'impression que le prieuré va continuer de se remplir )
Bisous dans ton oeil
par Knau80
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Knau c'est le Mal.
Knau80 écrit:
Amen ! Félicitations Père Deru ! Tu as vraiment bien géré ta course. Merci d'ailleurs pour le rappel de la "mythologie" de Morat-Fribourg, un peu de culture ne fait jamais mal. Et ça me semble en effet plus utile que de la VMA...
Knau80 écrit:
Deru, le moine de la course à pieds accompagné de ses frères Ricker et Atomheart (et j'ai l'impression que le prieuré va continuer de se remplir )
Amen ! Félicitations Père Deru ! Tu as vraiment bien géré ta course. Merci d'ailleurs pour le rappel de la "mythologie" de Morat-Fribourg, un peu de culture ne fait jamais mal. Et ça me semble en effet plus utile que de la VMA...
par AtomHeart
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