Marathon du Beaujolais

AlanMcPil écrit:

Air1 écrit:

Tu as parfaitement raison. Une AS42 doit être déterminée de manière réaliste.
Pour obtenir mon temps sur marathon, on multiplie ce temps par 2 et on ajoute 10mn soit 3h36.
te souhaite le meilleur et je vais suivre attentivement ton entraînement car j'aime bien profiter de l'expérience des autres.

Ca c'est vrai pour les coureurs tres endurants (regarde sur le site, personne ne respecte cette règle). Il est plus realiste de faire x2 +10%, ou encore de considerer que l'on court 1km/h moins vite quand on double la distance. Mais je comprend très bien la nécessité d'avoir un objectif pour se motiver. Ce qu'il faut surtout eviter (car ca peut etre une vrai cause de demotivation) c'est le sentiment d'échec en cas de non atteinte de l'objectif si trop irrealiste, d'ou mon approche.

PS: et il ne faut pas oublier qu'il faut aussi ajouter au temps de course le temps pass? aux ravitaillements, nombreux sur marathon.

Air1 écrit:

PS: et il ne faut pas oublier qu'il faut aussi ajouter au temps de course le temps pass? aux ravitaillements, nombreux sur marathon.

Tout à fait, c'est pour ça que je retranche 5-6 secondes environ à l'allure cible à respecter pour prendre en compte un temps de ravito estimé à 30s tous les 5km
L'an dernier, j'avais tablé sur une allure à 4'52 - 4'53 environ pour une allure cible à 4'59 (marathon en 3h30). J'avais bien vu car je m'étais bien arrêté 30 bonnes secondes à chaque fois (voir même jusqu'à 40s peut-être) ... et 30s ce n'est rien du tout, ça passe très vite

Patrick57 écrit:

Air1 écrit:

PS: et il ne faut pas oublier qu'il faut aussi ajouter au temps de course le temps pass? aux ravitaillements, nombreux sur marathon.

Tout à fait, c'est pour ça que je retranche 5-6 secondes environ à l'allure cible à respecter pour prendre en compte un temps de ravito estimé à 30s tous les 5km
L'an dernier, j'avais tablé sur une allure à 4'52 - 4'53 environ pour une allure cible à 4'59 (marathon en 3h30). J'avais bien vu car je m'étais bien arrêté 30 bonnes secondes à chaque fois (voir même jusqu'à 40s peut-être) ... et 30s ce n'est rien du tout, ça passe très vite

Et tu fais comment pour finir en 3h25? tu les gagne ou les 5 minutes? Tu as accéleré sur la fin?

Ben en fait non, j'étais bcp plus rapide que ça sur le premier semi (passé en 1h38 ) ... et je l'ai payé sur le second (j'ai fait un joli positive split )
En fait je visais 4'52-4'53 mais je courais plus vite (je n'avais pas de cardio, donc impossible de te donner mon allure). Au final, mon allure moyenne est bien à 4'52 je pense ... mais en ayant intégré mes 8 stops aux points de ravito

Après ma dernière sortie qui m'a bien achevé, j'ai attendu deux jours pleins avant de rechausser mes runnings.
Il ne sert à rien de s’apitoyer. Je dois tracer ma route et aujourd'hui, mon plan prévoyait une séance d'1 heure découpée de la manière suivante:
30 mn à 75%FCM et 30 minutes de plus en plus vite (entre 82 et 88% de la FCM). J'ai donc décidé de faire 15mn à 82% et 15mn à 88%.
Je suis parti aux alentours de 19h avec une température plus clémente (25C°) mais avec un vent assez fort (27km/h).

Je suis en jambes aujourd'hui. C'est étonnant! En fait, le vent va me faire pousser des ailes.
J'ai couru les 15mn à 82% à 11,66km/h de moyenne et les 15mn à 88% à 13,1 km/h et manifestement j'en avais encore sous la semelle.

connect.garmin.com/activity/362260649

C'est donc une séance où j'ai connu de très bonnes sensations alors que je pensais franchement que j'allais encore subir le contre coup de la sortie précédente. Comme quoi, la vérité d'hier n'est pas forcément celle du lendemain!

Peut-être que justement, la vérité se situe en ce moment entre les deux

Bravo, belle séance, ça booste le moral !

Il m'est arrivé la même chose le we dernier: séance coussi-coussa le samedi en finissant lessivé, anniversaire le samedi soir, rentré tard ou plutôt tôt le dimanche matin et grosse SL avec AS42 au programme après une très courte nuit de sommeil ... et bien ça s'est très bien passé dimanche Du coup, comme tu le soulignes si bien, ce qui est vrai un jour, ne l'est pas forcément le lendemain