Préparation mentale
- Sabrina Gump
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Ça peut aller plus loin. Il y a les gens qui se foirent tout le temps, et dans un autre registre, ceux qui se lancent (trop) corps et âme dans la course à pied pour compenser des histoires non résolues.
Et là encore, la préparation mentale, même si elle ne pourra pas réparer certains maux en profondeur, peut permettre d'éviter de rejouer toujours les mêmes échecs en compétition ou en course.
Je prends un exemple perso. L'expérience m'a montré que lorsque je voulais quelque chose, et qu'il n'y avait rien au milieu, c'était plié, dans la poche. Ligne droite : PAF -> pastèque ! Dés qu'il y a quelqu'un pour filtrer, un portier, ou un épandeur à fumier comme je les appelle, ça foire. Pour la simple et bonne raison, c'est qu'un portier, par définition, il aime le pouvoir. C'est une définition de psychologie sociale solide. Un portier, il ouvre et ferme les portes non pas parce qu'il aime les portes, non, il a choisi cette fonction (métier, etc) pour avoir le choix d'imposer son caractère totalement arbitraire. Pour ma part, la seule astuce que j'ai trouvé pour avoir à éviter de voir mes projets partir en fumer et éventuellement de casser des pifs, c'est d'éviter les situations à portier.
Les portiers, vous en connaissez tous : le président d'association qui est là juste pour être président et faire chier le monde. Le recruteur incompétent (pléonasme) qui vous emmerde à cause de la couleurs de vos chaussures et vous sucre le poste par bêtise. Le flic un peu pourri et sur le retour qui abuse de son pouvoir pour vous emmerder car vous l'avez remis en place à la première bêtise-bouche ouverte. Et j'en passe. Bref, ceux qui ont du pouvoir et qui ne le mérite pas.
Si ça peut mettre en perspective les nombreuses possibilités que l'on peut trouver pour faire un travail de préparation mentale. J'ai un autre exemple, j'avais pratiqué une discipline à haut niveau (championnat de France) mais contrairement à ce qui était attendu, je ne visais jamais la première place, même en rêve, elle me dérangeait. Et bien, j'en suis arrivée à la conclusion que j'avais des raisons philosophiques tout à fait valable pour ne jamais viser la première place et crotte aux pas-contents. Une fois, j'avais même gagné un tournoi la tête baissée et la honte au ventre, c'est dire, c'est pas très courant, hein !? Ben maintenant, je ne veux pas être au devant de la scène en remportant un truc (une casquette cochonou ?), je préfère être détachée de ça. Donc, je suis bien avec cette idée.
Et là encore, la préparation mentale, même si elle ne pourra pas réparer certains maux en profondeur, peut permettre d'éviter de rejouer toujours les mêmes échecs en compétition ou en course.
Je prends un exemple perso. L'expérience m'a montré que lorsque je voulais quelque chose, et qu'il n'y avait rien au milieu, c'était plié, dans la poche. Ligne droite : PAF -> pastèque ! Dés qu'il y a quelqu'un pour filtrer, un portier, ou un épandeur à fumier comme je les appelle, ça foire. Pour la simple et bonne raison, c'est qu'un portier, par définition, il aime le pouvoir. C'est une définition de psychologie sociale solide. Un portier, il ouvre et ferme les portes non pas parce qu'il aime les portes, non, il a choisi cette fonction (métier, etc) pour avoir le choix d'imposer son caractère totalement arbitraire. Pour ma part, la seule astuce que j'ai trouvé pour avoir à éviter de voir mes projets partir en fumer et éventuellement de casser des pifs, c'est d'éviter les situations à portier.
Les portiers, vous en connaissez tous : le président d'association qui est là juste pour être président et faire chier le monde. Le recruteur incompétent (pléonasme) qui vous emmerde à cause de la couleurs de vos chaussures et vous sucre le poste par bêtise. Le flic un peu pourri et sur le retour qui abuse de son pouvoir pour vous emmerder car vous l'avez remis en place à la première bêtise-bouche ouverte. Et j'en passe. Bref, ceux qui ont du pouvoir et qui ne le mérite pas.
Si ça peut mettre en perspective les nombreuses possibilités que l'on peut trouver pour faire un travail de préparation mentale. J'ai un autre exemple, j'avais pratiqué une discipline à haut niveau (championnat de France) mais contrairement à ce qui était attendu, je ne visais jamais la première place, même en rêve, elle me dérangeait. Et bien, j'en suis arrivée à la conclusion que j'avais des raisons philosophiques tout à fait valable pour ne jamais viser la première place et crotte aux pas-contents. Une fois, j'avais même gagné un tournoi la tête baissée et la honte au ventre, c'est dire, c'est pas très courant, hein !? Ben maintenant, je ne veux pas être au devant de la scène en remportant un truc (une casquette cochonou ?), je préfère être détachée de ça. Donc, je suis bien avec cette idée.
par Sabrina Gump
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