accepter ou pas la souffrance

bogoss44 écrit:

Pour moi quand on veut réussir qqch il faut évidemment passer par la case souffrance et celà à différents degré de tolérance et d'acceptation. Sportif du dimanche que nous sommes, nous nous imposons qd même des séances hebdo plus ou moins éprouvantes et je pense qu'on aime à se dépasser car on cherche tous au fond de nous à gagner qques secondes voire qqes minutes par rapport à nos perfs antérieures.Oui, on court bien avant tout pour le plaisir et la forme mais avouons le que nous voulons aussi le chrono avec, sinon faisons du footing tout court: à quoi nous sert nos débats sur les cardios, les paires de runnings, les comparaisons de perfs ???? Selon notre niveau et notre pratique, si on veut progresser et c'est le but, on s'accorde à souffrir mais pas au même point que ceux qui vivent pour et par le sport.

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allez, mon appréciation;) .......si le sport, c'est sans souffrance : ben , je continue ds mon transat;) ....pour moi, il y a plus de souffrance que de plaisir. C'est du masochisme, ms sans se faire violence, on n'arrive pas à se surpassser:unsure: . Vous savez ce que j'en pense.Je pense que les compétiteurs ds l'âme auront cette réaction. Si vous avez un remede pour vaincre quoique ce soit, et n'importe quel sport,sans une miette de souffrance.. donnez moi votre truc;).
j'en ai ch...ds les Alpes, et sans souffrance, je n'aurai pas fait ce que j'ai fait.....j'ai du mal à croire que l'on puisse atteindre un but sans se surpasser..ce qui engendre souffrance ...ms plaisir...apres:lol:

c'est une question difficile et probablement sans réponse; parce qu'elle dépend de chacun et aussi parce qu'il faut se mettre d'accord sur le terme de "souffrance".
Au passage, je note, cher Fred, puisque c'est toi qui lance le débat

Sur un autre site, j'ai vu un article choquant, ou il était dit que la souffrance fait partie de la pratique sportive, bref du n'importe quoi, il y a souffrance et souffrance

que tu as osé ALLER SUR UN AUTRE SITE!!!!!!!!!!!!!! Gilles ne t'as donc pas dit que c'était formellement interdit et que tu risquais des sanctions?
J'ai eu l'occasion de le dire déjà sur ce site; tout tourne en réalité sur l'idée de compétition: quelqu'un qui s'entraîne 3/4 fois par semaine et qui participe à des compétitions accepte l'idée de souffrance parce qu'il veut se tester et progresser sinon il se contente de faire du jogging (ce qui est très honorable et probablement plus raisonnable!) mais vous savez ce qu'on dit à la fin de sa vie: "Les raisonnables ont duré, les passionnés ont vécu!
Après il y a le degré de la souffrance mais là non plus on ne peut dire ce qu'on peut ou non accepter à l'avance
Par contre,on ne court pas pour souffrir et souffrir ne permet pas de courir mieux.
Cependant si on ne se fait pas "un peu mal" de temps en temps, on n'arrive à rien. demandez à quelqu'un qui a un peu d'embonpoint, qui veut maigrir et qui commence à courir à 8km/h s'il ne souffre pas pour ne pas s'arrêter!

je suis tout a fait d'accord avec Icare;)
j'en prends , rien que comme exemple, mes dernières vacances où j'en ai bavé, entre les doigts blessés, et des pierres sur les épaules, des efforts constants, j'ai souffert, si je voulais pas en ch... , je revenais sur mes pas, et je n'arrivais pas la tête ds les nuages avec un plaisir qui récompensait ces efforts.
Celui qui fait de la compèt, s'il ne souffre pas, il faudra qu'il m'explique comment il s'entraine....voir hand ou cap, ou le vtt comme le disait l'entraineur de nos vététistes il y a qq minutes.
Oui, le plaisir:) , ms il passe par la souffrance:) ; et cela ne veut pas dire que ce n'est pas un plaisir de s'entainer;)

En tout état de cause, la douleur que l'on s'inflige ou le bonheur qu'on se procure ne fait de mal à personne. Bien au contraire, c'est pour nous une façon d'évacuer. Sûrement le meilleur anti-dépresseur.
Alors s'il faut se faire souffrir pour être bien... j'en suis !!!

Plus particulièrement pour l'entrainement, il ne faut surtout pas rechercher la souffrance musculaire. Sinon la préparation est rapidement mise en cause.
Ce serait plutôt une souffrance "mentale" qu'il faut domestiquer.
Savoir que l'on va se taper 12 tour de piste à 95%, 6*2.5 tour à 90% ou bien des 10aines de tours pour l'as21/42... Ça démotive plus d'un avant même de chausser ses pneumatiques.
Dimanche, me suis taper 2*4000m autour de la piste à 80/85%. 2*10 tour... 20 tour...
Mais voilà, je suis blindé maintenant

Savoir que l'on doit courir 45' de footing alors qu'il pleut averse. C'est aussi une sorte de souffrance mentale