Marathon de montagne du Pays Basque
- franck
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Bonjour à tous,
Me voici de retour du pays basque après ce qui fut pour moi une aventure extraordinaire et riche en émotions : le marathon de montagne du pays basque.
Je croyais avoir découvert le trail en terre girondine : en fait je n’avais encore rien vu et ce que je viens de vivre va changer à tous jamais ma perception de cette discipline rencontrée il n’y a somme toute que 15 mois….
Pour planter le décor : 42 km de chemin (enfin pas souvent…) de montagne avec 3100 m de D+ (et de D- que l’on a souvent tendance à oublier).
Le lien suivant pour voir le profil…
www.baztandarrak.fr/crbst_7.html
Les règles du jeu : un départ à 7H de Bidarray et 3 barrières horaires (augmentée par rapport aux indications du site internet)
16 km Xumus, 3H15
23 km Sommet de Gorramakil 6H
28 km Meaca 7H
Arrivée la veille dans une auberge avoisinant le départ et pas mal d’appréhensions à la vu du paysage environnant… Pasta Party le soir avec manifestement que des vieux briscards… Diagonale des fous, UTMB, Grand Raid des Pyrénées, 100km de Millau autour de ma petite famille : autant dire que je me fais tout petit.
Nuit un peu agitée mais j’arrive à dormir. Réveil à 5H30, petit déj à 6H au milieu de gens tendus… Préparation du sac, quelques inquiétudes avec ma montre qui indique « batterie faible ». Puis entrée dans le sas de départ. Une minute de silence pour un gars du coin, deux fusées d’artifice et c’est parti (bidarray alt 146m, km0).
Je me cale dans les 10 derniers (on est 270 au départ) et ça commence par une descente sur du bitume que l’on quitte après 2 km. Je ne sais pas que je ne reverrai le bitume que 40 km plus tard….
Et tout de suite ça grimpe, les gens sortent les bâtons. Moi qui vient de la plaine, je n’ai pas de bâtons. On monte sur un bon chemin et j’arrive au km6 Col de l’ane 574m, le paysage est grandiose. C’est le 1er ravito, tout va bien. Par contre se dresse devant moi l’atzamendi (908m) : une énorme bosse de 2km de long que l’on grimpe droit dans la pente : une horreur. Le terrain est herbeux, ça glisse. Je monte à allure régulière, des gens me doublent c’est pas grave….
Arrive le sommet que l’on passe dans le brouillard au milieu des vaches et la 1ère descente commence et là je m’aperçois que je ne suis pas à l’aise en comparaison des gens qui me double à fond. J’ai de l’appréhension mais j’arrive tant bien que mal au col de Méhatché (716m, km9) au bout de 1H38. 2ème ravito. Un ancien me montre l’irubela et le gorramakil en face en me disant que l’on sera peut être là haut tout à l’heure si on arrive à s’en sortir…. Bref tout un programme.
Commence maintenant une descente droit dans la pente au milieu des fougères et des cailloux. Sujets aux vertiges s’abstenir. Un truc super traumatisant, du caillou fixe, du caillou glissant, du caillou mouillé, et de la pente. De temps en temps ça remonte et ça tue les jambes…. Je ne vois plus grand monde que ce soit devant ou derrière et j’arrive à la première barrière (Xumus, 168m, km16) en 2H50…
3ème ravito où je dis que la descente m’a éprouvé et les gars du coin se marrent en disant que maintenant ça va monter !!! Au passage je vois un des gars de la veille qui nous parlait de l’UTMB qui revient au ravito en disant qu’il abandonne…. Cela ne m’inspire pas confiance….
Je repars pour le gros morceau de la journée : la montée terrible de L’irubela.
Cela commence par 2km à flanc de montagne où je vois des gars descendre à bout de force : ils ne peuvent pas continuer. Je double une ou deux personnes : des personnes couchées dans la pente qui ne peuvent plus bouger. Autant dire que c’est l’enfer : j’ai des crampes de partout. Des randonneurs me doublent… Je les redoublent un plus loin qui essayent de réconforter un nouveau concurrent qui abandonne… J’arrive enfin au col d’Izquieta (592m, km18) c’est la moitié de l’ascension j’ai mis plus d’1H15 à faire 2 km, mais ce qui m’attend est pire !!
Une petite descente périlleuse dans du caillou pourri et me voici sur la 2ème partie de l’Irubela. Une partie en forêt pour commencer puis l’arrête sommitale où 3 personnes me doublent.
Je n’en peux plus, je suis épuisé. Je veux arrêter, mais pas question que je refasse les 3 km de descentes. Ce serait trop dangereux dans mon état. J’arrive enfin au sommet (965m, km19)….
Petite descente technique pour arriver à gorosticolepoa (890m, km 21) c’est le semi le plus lent de ma vie (5H !!). Puis montée vers le gorramakil (1067m, km23) où je suis épuisé…
C’est la 2ème barrière horaire que je passe en 5H35….. (près de 3H pour faire 7km !!!)
J’ai envie d’arrêter, Il y a déjà une dizaine de concurrents dans les 4x4… Il reste une place pour moi. Je décide de manger et boire et de discuter avec les gens du coin… Pas forcément réconfortant. J’attend un couple qui arrive et leur demande si ils continuent : « bien sûr on continue… viens avec nous. –mais j’ai des crampes, -ma femme en a aussi, tiens prend un efferalgan et on part »… Je décide ainsi sur un coup de tête de repartir sous les applaudissements des gens du ravito et des trailleurs ayant décidé d’abandonner avant moi (et qui le regrette à ce moment là).
Descente puis montée au Gorramendi avec le couple qui me réconforte. La mari à manifestement une forte expérience du trail et il m’encourage tout en me donnant des conseils. Le but est de passer la 3ème barrière horaire.
On y arrive après une descente pas si difficile que cela et nous voici à Meaca (740m, km 28) en 6H45. Dans ma tête c’est gagné je sais maintenant que je vais rallier l’arrivée.
Un gars du ravito m’avais vu une heure avant au gorramakil et me dit que j’ai changé de tête : il me passe un coup de bombe et une nouvelle course commence.
On passe dans des bandes herbeuses et dans des bois, montées et descentes s’alternent avec un peu moins de cailloux. J’arrive enfin au col d’Harrieta (808m, km33) en 7H35. Puis c’est la dernière montée au sommet de l’Iparla (1044m, km36) passé tant bien que mal…
Suit ensuite 6 km de descente dans du caillou et encore du caillou. Un dernier ravito à 4km de l’arrivée (chapeau à l’organisation car pas une route à moins de 3km dans cette montagne) où le gars me félicite en me disant que maintenant plus rien de peux m’arriver.
Je vois enfin le village et j’entend le speaker et la musique basque.
Puis enfin une bergerie et la route goudronnée. Ces derniers 500m resteront gravé à jamais dans ma mémoire. Des félicitations de pleins de gens, puis une arrivée à Bidarray après 9H41 d’effort…. Je suis épuisé et je ne peux m’empêcher de verser quelques larmes à la vue de ma petite famille qui m’a attendu toute la journée pour me voir dans un état quelque peu lamentable.
Sur les 270 partants, 217 passeront la ligne d’arrivée. Je serais l’avant dernière personne à la franchir, et cette journée sera gravée à tout jamais dans ma mémoire….
Suivra un massage et un repas offert dans leur trinquet avant pas mal de félicitations des gens présent aux ravitos qui m’auront suivi toute la journée…. Et j’ai pu adresser un remerciement infini au couple qui m’a pris en charge au km23 alors que j’avais le moral dans les chaussettes.
Les 2 jours suivants ont donné lieu à la production de pas mal d’acide lactique. Aujourd’hui mardi (J+3) j’arrive enfin à marcher convenablement.
Gros merci à Gilles pour son plan super-trail que j’ai suivi plus ou moins à la lettre, mais qui a permis à ma tête de donner l’ordre aux jambes d’avancer pendant cette belle balade.
Maintenant coupure jusqu’à l’absence de douleur et je reprendrais en douceur pour de nouvelles aventures (sûrement moins épicées pendant quelques temps).
Franck.
Me voici de retour du pays basque après ce qui fut pour moi une aventure extraordinaire et riche en émotions : le marathon de montagne du pays basque.
Je croyais avoir découvert le trail en terre girondine : en fait je n’avais encore rien vu et ce que je viens de vivre va changer à tous jamais ma perception de cette discipline rencontrée il n’y a somme toute que 15 mois….
Pour planter le décor : 42 km de chemin (enfin pas souvent…) de montagne avec 3100 m de D+ (et de D- que l’on a souvent tendance à oublier).
Le lien suivant pour voir le profil…
www.baztandarrak.fr/crbst_7.html
Les règles du jeu : un départ à 7H de Bidarray et 3 barrières horaires (augmentée par rapport aux indications du site internet)
16 km Xumus, 3H15
23 km Sommet de Gorramakil 6H
28 km Meaca 7H
Arrivée la veille dans une auberge avoisinant le départ et pas mal d’appréhensions à la vu du paysage environnant… Pasta Party le soir avec manifestement que des vieux briscards… Diagonale des fous, UTMB, Grand Raid des Pyrénées, 100km de Millau autour de ma petite famille : autant dire que je me fais tout petit.
Nuit un peu agitée mais j’arrive à dormir. Réveil à 5H30, petit déj à 6H au milieu de gens tendus… Préparation du sac, quelques inquiétudes avec ma montre qui indique « batterie faible ». Puis entrée dans le sas de départ. Une minute de silence pour un gars du coin, deux fusées d’artifice et c’est parti (bidarray alt 146m, km0).
Je me cale dans les 10 derniers (on est 270 au départ) et ça commence par une descente sur du bitume que l’on quitte après 2 km. Je ne sais pas que je ne reverrai le bitume que 40 km plus tard….
Et tout de suite ça grimpe, les gens sortent les bâtons. Moi qui vient de la plaine, je n’ai pas de bâtons. On monte sur un bon chemin et j’arrive au km6 Col de l’ane 574m, le paysage est grandiose. C’est le 1er ravito, tout va bien. Par contre se dresse devant moi l’atzamendi (908m) : une énorme bosse de 2km de long que l’on grimpe droit dans la pente : une horreur. Le terrain est herbeux, ça glisse. Je monte à allure régulière, des gens me doublent c’est pas grave….
Arrive le sommet que l’on passe dans le brouillard au milieu des vaches et la 1ère descente commence et là je m’aperçois que je ne suis pas à l’aise en comparaison des gens qui me double à fond. J’ai de l’appréhension mais j’arrive tant bien que mal au col de Méhatché (716m, km9) au bout de 1H38. 2ème ravito. Un ancien me montre l’irubela et le gorramakil en face en me disant que l’on sera peut être là haut tout à l’heure si on arrive à s’en sortir…. Bref tout un programme.
Commence maintenant une descente droit dans la pente au milieu des fougères et des cailloux. Sujets aux vertiges s’abstenir. Un truc super traumatisant, du caillou fixe, du caillou glissant, du caillou mouillé, et de la pente. De temps en temps ça remonte et ça tue les jambes…. Je ne vois plus grand monde que ce soit devant ou derrière et j’arrive à la première barrière (Xumus, 168m, km16) en 2H50…
3ème ravito où je dis que la descente m’a éprouvé et les gars du coin se marrent en disant que maintenant ça va monter !!! Au passage je vois un des gars de la veille qui nous parlait de l’UTMB qui revient au ravito en disant qu’il abandonne…. Cela ne m’inspire pas confiance….
Je repars pour le gros morceau de la journée : la montée terrible de L’irubela.
Cela commence par 2km à flanc de montagne où je vois des gars descendre à bout de force : ils ne peuvent pas continuer. Je double une ou deux personnes : des personnes couchées dans la pente qui ne peuvent plus bouger. Autant dire que c’est l’enfer : j’ai des crampes de partout. Des randonneurs me doublent… Je les redoublent un plus loin qui essayent de réconforter un nouveau concurrent qui abandonne… J’arrive enfin au col d’Izquieta (592m, km18) c’est la moitié de l’ascension j’ai mis plus d’1H15 à faire 2 km, mais ce qui m’attend est pire !!
Une petite descente périlleuse dans du caillou pourri et me voici sur la 2ème partie de l’Irubela. Une partie en forêt pour commencer puis l’arrête sommitale où 3 personnes me doublent.
Je n’en peux plus, je suis épuisé. Je veux arrêter, mais pas question que je refasse les 3 km de descentes. Ce serait trop dangereux dans mon état. J’arrive enfin au sommet (965m, km19)….
Petite descente technique pour arriver à gorosticolepoa (890m, km 21) c’est le semi le plus lent de ma vie (5H !!). Puis montée vers le gorramakil (1067m, km23) où je suis épuisé…
C’est la 2ème barrière horaire que je passe en 5H35….. (près de 3H pour faire 7km !!!)
J’ai envie d’arrêter, Il y a déjà une dizaine de concurrents dans les 4x4… Il reste une place pour moi. Je décide de manger et boire et de discuter avec les gens du coin… Pas forcément réconfortant. J’attend un couple qui arrive et leur demande si ils continuent : « bien sûr on continue… viens avec nous. –mais j’ai des crampes, -ma femme en a aussi, tiens prend un efferalgan et on part »… Je décide ainsi sur un coup de tête de repartir sous les applaudissements des gens du ravito et des trailleurs ayant décidé d’abandonner avant moi (et qui le regrette à ce moment là).
Descente puis montée au Gorramendi avec le couple qui me réconforte. La mari à manifestement une forte expérience du trail et il m’encourage tout en me donnant des conseils. Le but est de passer la 3ème barrière horaire.
On y arrive après une descente pas si difficile que cela et nous voici à Meaca (740m, km 28) en 6H45. Dans ma tête c’est gagné je sais maintenant que je vais rallier l’arrivée.
Un gars du ravito m’avais vu une heure avant au gorramakil et me dit que j’ai changé de tête : il me passe un coup de bombe et une nouvelle course commence.
On passe dans des bandes herbeuses et dans des bois, montées et descentes s’alternent avec un peu moins de cailloux. J’arrive enfin au col d’Harrieta (808m, km33) en 7H35. Puis c’est la dernière montée au sommet de l’Iparla (1044m, km36) passé tant bien que mal…
Suit ensuite 6 km de descente dans du caillou et encore du caillou. Un dernier ravito à 4km de l’arrivée (chapeau à l’organisation car pas une route à moins de 3km dans cette montagne) où le gars me félicite en me disant que maintenant plus rien de peux m’arriver.
Je vois enfin le village et j’entend le speaker et la musique basque.
Puis enfin une bergerie et la route goudronnée. Ces derniers 500m resteront gravé à jamais dans ma mémoire. Des félicitations de pleins de gens, puis une arrivée à Bidarray après 9H41 d’effort…. Je suis épuisé et je ne peux m’empêcher de verser quelques larmes à la vue de ma petite famille qui m’a attendu toute la journée pour me voir dans un état quelque peu lamentable.
Sur les 270 partants, 217 passeront la ligne d’arrivée. Je serais l’avant dernière personne à la franchir, et cette journée sera gravée à tout jamais dans ma mémoire….
Suivra un massage et un repas offert dans leur trinquet avant pas mal de félicitations des gens présent aux ravitos qui m’auront suivi toute la journée…. Et j’ai pu adresser un remerciement infini au couple qui m’a pris en charge au km23 alors que j’avais le moral dans les chaussettes.
Les 2 jours suivants ont donné lieu à la production de pas mal d’acide lactique. Aujourd’hui mardi (J+3) j’arrive enfin à marcher convenablement.
Gros merci à Gilles pour son plan super-trail que j’ai suivi plus ou moins à la lettre, mais qui a permis à ma tête de donner l’ordre aux jambes d’avancer pendant cette belle balade.
Maintenant coupure jusqu’à l’absence de douleur et je reprendrais en douceur pour de nouvelles aventures (sûrement moins épicées pendant quelques temps).
Franck.
par franck
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- FredX
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Réponse de FredX sur le sujet Re: Marathon de montagne du Pays Basque
Posted il y a 14 ans 3 mois #54783
Bravo, bravo et encore bravo....
Que d'émotions dans ce CR....
Reposes toi bien et profites bien de toutes ces belles images et sensations que tu as du engranger...
Que d'émotions dans ce CR....
Reposes toi bien et profites bien de toutes ces belles images et sensations que tu as du engranger...
par FredX
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- papadje
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Réponse de papadje sur le sujet Re: Marathon de montagne du Pays Basque
Posted il y a 14 ans 3 mois #54786
Bravo, bravo, et encore bravo: et un fêlé de plus .
Bonne récup
@+
Bonne récup
@+
par papadje
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- gilles84 [Dum Spiro Spero]
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Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re:Marathon de montagne du Pays Basque
Posted il y a 14 ans 3 mois #54787
bon ben pour la seconde fois de la journée ...
R.E.S.P.E.C.T !!!
c'est la journée des cr des fous furieux
z'etes des fous ....je pense pas qu'un jour je puisse courir 9h d'affilé moi
ps: quand on lit 1h15 pour faire 2km, on a mal pour toi
R.E.S.P.E.C.T !!!
c'est la journée des cr des fous furieux
z'etes des fous ....je pense pas qu'un jour je puisse courir 9h d'affilé moi
ps: quand on lit 1h15 pour faire 2km, on a mal pour toi
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- gilles84 [Dum Spiro Spero]
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Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re:Marathon de montagne du Pays Basque
Posted il y a 14 ans 3 mois #54789
question con d'un mec qui ne fai que des 10km et des semi ...mais dans ces courses là, ou la 600D, sur des durée comme 9h; c'est quoi le rapport temps couru/temps marché ??? j'ai du mal à me faire une idée ...
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- Azaer
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Réponse de Azaer sur le sujet Re:Marathon de montagne du Pays Basque
Posted il y a 14 ans 3 mois #54802
Arrêtez! Je vais bientôt avoir honte d'avoir fait le CR de mon petit semi
Chapeau môssieur, faut le faire. Et ton CR donne envie d'aller tâter des cîmes. Que de questions dans ma tête : quelle prépa ? Quel matos ? Faire 2km en 1h15, faut-il des mousquetons ? Des bâtons ? Des crampons ? etc ...
Tu n'aurais pas eu le temps de prendre des photos de ton périple par hasard ?
Chapeau môssieur, faut le faire. Et ton CR donne envie d'aller tâter des cîmes. Que de questions dans ma tête : quelle prépa ? Quel matos ? Faire 2km en 1h15, faut-il des mousquetons ? Des bâtons ? Des crampons ? etc ...
Tu n'aurais pas eu le temps de prendre des photos de ton périple par hasard ?
par Azaer
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