Mon premier Marathon : Amsterdam 2016
- celine1976
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Samedi matin, 7h, nous embarquons pour la grande aventure...rdv à Bxl pour prendre le train vers Amsterdam. Ambiance entre détente potache et sur-excitation avant le jour J.
Nous sommes 4 sur le marathon, un sur le semi, 2 sur le 8 km et 3 supporters en plus.
Samedi apm, récupération des précieux dossards, des t-shirts officiels et petit passage par l'expo (Mizuno prend toute la place en tant que sponsor officiel). On fait plein de photos, les sourires sont affichés même si on sent poindre le stress. Petit souper asiatique bien sympa et ensuite au lit!
La nuit de samedi, je m'endors sans encombre, je me sens zen, en confiance malgré l'inconnu.
Jour j...
4h30 mon réveil sonne. Impossible de moi de petit déjeuner plus tard ( la course est à 9h30), sinon, problèmes digestifs assurés. Petit "gatosport" maison, une compote de pomme et un thé.
Je somnole jusque 6h30. Je descends avec les autres au petit déjeuner. Des dizaines de coureurs font de même, les sourires sont moins francs, on sent que la course approche.
ON marche jusqu'à la gare pour prendre le métro. Il est 7h15, le soleil se lève, le ciel est teinté de rose, c'est beau.
Oui, à partir d'ici, je vais tout trouver magnifique, emportée par l'euphorie de l'évènement.
Nous arrivons au stade. Autour de celui-ci, des centaines de personnes s'affairent. Spectateurs, sponsors, volontaires, coureurs, il y a des gens partout... Les files devant les toilettes portables s'allongent. On dépose nos sacs, on rentre dans le stade. Il fait super frais, mais le soleil est bien présent et il ne nous quittera pas de la journée.
Le stade est magique... on se rend compte de ce qu'on va vire. On se serre dans les bras, on fait qqs photos et chacun va rejoindre son box.
9h30 les élites s'élancent et en suivant leur début de course sur les écrans géants, j'ai des frissons.
9h50, c'est parti pour nous. Je sens mes yeux se mouiller au passage de la ligne de départ... l'aventure commence maintenant.
Dès le départ c'est clair pour mon mari et moi, pas de pression sur le timing, on n'est pas là pour se blesser ou pour se dégoûter de la course. Pulses un peu hautes au départ...va falloir rester zen!
La foule est présente en masse... calmer son enthousiasme du départ, faire gaffe aux trottoirs et surtout aux rails du tram (devant moi, une fille se tord le pied et vu comme elle boitait, pas certaine qu'elle ait continué longtemps).
Dans ma tête c'est la "fête foraine", je regarde partout, lit les panneaux, sourit aux gens, applaudit les très nombreux musiciens.
Traversée magique du Vondel park... pensée pour plus tard, quand, au 39ième km, on y passera dans l'autre sens "si on y arrive" (mais bien sûr qu'on va le faire!).
Nos "machines" tournent plutôt bien à l'allure programmée : 6'30/km.
Superbe passage à travers le Rijksmuseum. Il paraît que mes supporters étaient là, ils ont crié comme des fous mais j'étais bien trop concentrée pour voir quoi que ce soit à ce moment-là!
Ravito du 5km, ravito du 10km et premier gel pour moi. Check aux pulses, nickel. Jusqu'à la fin je ne changerais pas de technique aux ravitos : isostar au 5-15-26-36/ mon gel + eau au 10-20-30-40.
Coup d'œil à mon mari, tout va bien pour lui aussi. On profite à fond!
On sort de la ville pour longer l'Amstel pendant au moins 10-12km...
C'est superbe! Les belles villas le longs de rives, les jardins, le soleil, les bâteaux, les animations, et surtout, les gens!! Impressionnant de voir le nombre de personnes le long de l'eau. Moi qui craignais de ne croiser personne, je souris de plus belle.
20ième km, je sens une petite douleur à l'arrière de la cuisse. Pas envie de ralentir.
Passage du semi, 2h20... tout va bien. Pas d'envie pressante (j'avais un peu foiré mes derniers km du semi l'an passé à cause de ça), plus de douleurs, pulses nickel. Je gère plutôt bien les ravitos, moi qui ai eu qqs petits soucis de crampes au bide durant certaines sorties longues cet été... Vive les éponges, il fait plus de 15 degrés et c'est appréciable!
Fin du passage bucolique le long de l'eau. Je sais que c'est ici qu'on reprend le tracé du semi. Je reconnais directement le passage du zoning qui l'an passé m'avait semblé atrocement long.
Ici, il file... 30ième km... bon, on sait très bien que les choses peuvent rapidement se corser.
Je discute 2 min avec mon mari, il est pour un peu diminuer l'allure. Je sens à sa voix qu'il a un fameux coup de stress. Comme on s'est promis de le finir ensemble, je ne dis rien et je le laisse diriger l'allure. 6'40/km, ça devrait aller jusqu'au bout comme ça...
On revient déjà en ville, on se rapproche des grands boulevards. Toujours autant de gens massés le long des rues. On voit déjà pas mal de gens en train de marcher, des gens des box bien avant nous... j'ose à peine imaginer leur détresse ( j'ai l'impression que n'importe quoi peut me faire fondre en larmes) On croise pas mal de belges que je n'hésite pas à saluer et encourager. Mon homme grimace, serre les dents... le mur serait-il au rdv?
Ravito du 36ième km... envie pressante et toilette libre... je cours, je vole... et je constate avec effroi que mon short est complètement décousu sur l'intérieur de la cuisse gauche (merci D%%%%)
ça va piquer!!! Mais je suis toujours sur une autre planète, complètement shootée par la course.
Mon homme est mal en point, les jambes qui refusent d'aller plus vite sous peine de se transformer en crampes. Il "traîne" un peu au ravito. Je lui demande ce qu'il veut faire et là il me dit "je vais courir parce que toi, tu cours ..." Là, c'est moi qui serre les dents car je comprends à quel point il est limite.
Les 6 derniers km, je peux avouer que j'ai rongé mon frein, vu que j'étais toujours aussi en forme et bien à tout niveau ( à part mon short!). Je l'encourage, je lui parle, j'entends partout des gens qui citent nos noms pour nous encourager, magique...
Au passage devant un grand immeuble, j'entends les premières notes de "eye of the tiger", qu'on a souvent utilisé pour se motiver avant les courses. Je ris aux éclats et je salue l'habitant qui a sorti sa sono pour l'occasion.
Second passage devant le Rijksmuseum et on est "déjà" dans le vondel park... le meneur d'allure de 4h45 nous passe sous le nez. Petite pointe de déception que j'étouffe rapidement avec un large sourire.
Mon cher et tendre, lui, décompte les km. Il est à bout mais ne veut pas craquer. 7'/km, il râle... mais je le rassure, l'important c'est maintenant, on passe sous l'arche du dernier km.
Le stade est à vue, il reste une ligne droite, la montée vers le stade, et le 250 derniers m sur la piste...
500m, je lui parle non stop "on y est, on va le faire, tous les deux, on va y arriver"
Les larmes viennent et je ne peux rien faire pour les arrêter. Je souris et je pleure en même temps. Tout remonte à la surface, les entraînements, les difficultés, les sacrifices ... mais aussi, les bons moments partagés, la satisfaction du travail "presqu'accompli", je pense à ceux qui nous ont supporté, à mes proches, à mes amis qui sont là dans le stade à qqs m de nous...
L'entrée dans le stade... on accélère tous les deux...
Je regarde partout pour graver ces images dans ma tête, je n'entends pas mes amis qui hurlent nos noms, je suis dans un état second. C'est de la folie, c'est grandiose!
La ligne d'arrivée est là, 50m... 10 m... on lève les bras au ciel... c'est fini.
Juste le réflexe de couper le chrono, on se regarde et on tombe dans les bras l'un de l'autre...
On est marathonien pour la vie... la médaille vite passée autour du cou, mon homme s'écroule dans l'herbe en bordure de piste pour enfin s'étirer... j'appelle ma mère toujours en pleurant. Un bénévole vient même à ma rencontre pour me demander si j'ai besoin d'aide.
Mais non, ce sont des larmes de joie!
4h49'33" pour ceux qui voulaient juste "le finir"
On retrouve les amis et on apprend que les deux autres ont terminé aussi en 3h55 (pile dans leur objectif).
Une douche et un massage plus tard, on retourne (lentement!!!) vers le centre-ville pour fêter ça.
Ce soir-là, rdv est pris pour un second marathon en 2017... l'aventure continue!
Nous sommes 4 sur le marathon, un sur le semi, 2 sur le 8 km et 3 supporters en plus.
Samedi apm, récupération des précieux dossards, des t-shirts officiels et petit passage par l'expo (Mizuno prend toute la place en tant que sponsor officiel). On fait plein de photos, les sourires sont affichés même si on sent poindre le stress. Petit souper asiatique bien sympa et ensuite au lit!
La nuit de samedi, je m'endors sans encombre, je me sens zen, en confiance malgré l'inconnu.
Jour j...
4h30 mon réveil sonne. Impossible de moi de petit déjeuner plus tard ( la course est à 9h30), sinon, problèmes digestifs assurés. Petit "gatosport" maison, une compote de pomme et un thé.
Je somnole jusque 6h30. Je descends avec les autres au petit déjeuner. Des dizaines de coureurs font de même, les sourires sont moins francs, on sent que la course approche.
ON marche jusqu'à la gare pour prendre le métro. Il est 7h15, le soleil se lève, le ciel est teinté de rose, c'est beau.
Oui, à partir d'ici, je vais tout trouver magnifique, emportée par l'euphorie de l'évènement.
Nous arrivons au stade. Autour de celui-ci, des centaines de personnes s'affairent. Spectateurs, sponsors, volontaires, coureurs, il y a des gens partout... Les files devant les toilettes portables s'allongent. On dépose nos sacs, on rentre dans le stade. Il fait super frais, mais le soleil est bien présent et il ne nous quittera pas de la journée.
Le stade est magique... on se rend compte de ce qu'on va vire. On se serre dans les bras, on fait qqs photos et chacun va rejoindre son box.
9h30 les élites s'élancent et en suivant leur début de course sur les écrans géants, j'ai des frissons.
9h50, c'est parti pour nous. Je sens mes yeux se mouiller au passage de la ligne de départ... l'aventure commence maintenant.
Dès le départ c'est clair pour mon mari et moi, pas de pression sur le timing, on n'est pas là pour se blesser ou pour se dégoûter de la course. Pulses un peu hautes au départ...va falloir rester zen!
La foule est présente en masse... calmer son enthousiasme du départ, faire gaffe aux trottoirs et surtout aux rails du tram (devant moi, une fille se tord le pied et vu comme elle boitait, pas certaine qu'elle ait continué longtemps).
Dans ma tête c'est la "fête foraine", je regarde partout, lit les panneaux, sourit aux gens, applaudit les très nombreux musiciens.
Traversée magique du Vondel park... pensée pour plus tard, quand, au 39ième km, on y passera dans l'autre sens "si on y arrive" (mais bien sûr qu'on va le faire!).
Nos "machines" tournent plutôt bien à l'allure programmée : 6'30/km.
Superbe passage à travers le Rijksmuseum. Il paraît que mes supporters étaient là, ils ont crié comme des fous mais j'étais bien trop concentrée pour voir quoi que ce soit à ce moment-là!
Ravito du 5km, ravito du 10km et premier gel pour moi. Check aux pulses, nickel. Jusqu'à la fin je ne changerais pas de technique aux ravitos : isostar au 5-15-26-36/ mon gel + eau au 10-20-30-40.
Coup d'œil à mon mari, tout va bien pour lui aussi. On profite à fond!
On sort de la ville pour longer l'Amstel pendant au moins 10-12km...
C'est superbe! Les belles villas le longs de rives, les jardins, le soleil, les bâteaux, les animations, et surtout, les gens!! Impressionnant de voir le nombre de personnes le long de l'eau. Moi qui craignais de ne croiser personne, je souris de plus belle.
20ième km, je sens une petite douleur à l'arrière de la cuisse. Pas envie de ralentir.
Passage du semi, 2h20... tout va bien. Pas d'envie pressante (j'avais un peu foiré mes derniers km du semi l'an passé à cause de ça), plus de douleurs, pulses nickel. Je gère plutôt bien les ravitos, moi qui ai eu qqs petits soucis de crampes au bide durant certaines sorties longues cet été... Vive les éponges, il fait plus de 15 degrés et c'est appréciable!
Fin du passage bucolique le long de l'eau. Je sais que c'est ici qu'on reprend le tracé du semi. Je reconnais directement le passage du zoning qui l'an passé m'avait semblé atrocement long.
Ici, il file... 30ième km... bon, on sait très bien que les choses peuvent rapidement se corser.
Je discute 2 min avec mon mari, il est pour un peu diminuer l'allure. Je sens à sa voix qu'il a un fameux coup de stress. Comme on s'est promis de le finir ensemble, je ne dis rien et je le laisse diriger l'allure. 6'40/km, ça devrait aller jusqu'au bout comme ça...
On revient déjà en ville, on se rapproche des grands boulevards. Toujours autant de gens massés le long des rues. On voit déjà pas mal de gens en train de marcher, des gens des box bien avant nous... j'ose à peine imaginer leur détresse ( j'ai l'impression que n'importe quoi peut me faire fondre en larmes) On croise pas mal de belges que je n'hésite pas à saluer et encourager. Mon homme grimace, serre les dents... le mur serait-il au rdv?
Ravito du 36ième km... envie pressante et toilette libre... je cours, je vole... et je constate avec effroi que mon short est complètement décousu sur l'intérieur de la cuisse gauche (merci D%%%%)
ça va piquer!!! Mais je suis toujours sur une autre planète, complètement shootée par la course.
Mon homme est mal en point, les jambes qui refusent d'aller plus vite sous peine de se transformer en crampes. Il "traîne" un peu au ravito. Je lui demande ce qu'il veut faire et là il me dit "je vais courir parce que toi, tu cours ..." Là, c'est moi qui serre les dents car je comprends à quel point il est limite.
Les 6 derniers km, je peux avouer que j'ai rongé mon frein, vu que j'étais toujours aussi en forme et bien à tout niveau ( à part mon short!). Je l'encourage, je lui parle, j'entends partout des gens qui citent nos noms pour nous encourager, magique...
Au passage devant un grand immeuble, j'entends les premières notes de "eye of the tiger", qu'on a souvent utilisé pour se motiver avant les courses. Je ris aux éclats et je salue l'habitant qui a sorti sa sono pour l'occasion.
Second passage devant le Rijksmuseum et on est "déjà" dans le vondel park... le meneur d'allure de 4h45 nous passe sous le nez. Petite pointe de déception que j'étouffe rapidement avec un large sourire.
Mon cher et tendre, lui, décompte les km. Il est à bout mais ne veut pas craquer. 7'/km, il râle... mais je le rassure, l'important c'est maintenant, on passe sous l'arche du dernier km.
Le stade est à vue, il reste une ligne droite, la montée vers le stade, et le 250 derniers m sur la piste...
500m, je lui parle non stop "on y est, on va le faire, tous les deux, on va y arriver"
Les larmes viennent et je ne peux rien faire pour les arrêter. Je souris et je pleure en même temps. Tout remonte à la surface, les entraînements, les difficultés, les sacrifices ... mais aussi, les bons moments partagés, la satisfaction du travail "presqu'accompli", je pense à ceux qui nous ont supporté, à mes proches, à mes amis qui sont là dans le stade à qqs m de nous...
L'entrée dans le stade... on accélère tous les deux...
Je regarde partout pour graver ces images dans ma tête, je n'entends pas mes amis qui hurlent nos noms, je suis dans un état second. C'est de la folie, c'est grandiose!
La ligne d'arrivée est là, 50m... 10 m... on lève les bras au ciel... c'est fini.
Juste le réflexe de couper le chrono, on se regarde et on tombe dans les bras l'un de l'autre...
On est marathonien pour la vie... la médaille vite passée autour du cou, mon homme s'écroule dans l'herbe en bordure de piste pour enfin s'étirer... j'appelle ma mère toujours en pleurant. Un bénévole vient même à ma rencontre pour me demander si j'ai besoin d'aide.
Mais non, ce sont des larmes de joie!
4h49'33" pour ceux qui voulaient juste "le finir"
On retrouve les amis et on apprend que les deux autres ont terminé aussi en 3h55 (pile dans leur objectif).
Une douche et un massage plus tard, on retourne (lentement!!!) vers le centre-ville pour fêter ça.
Ce soir-là, rdv est pris pour un second marathon en 2017... l'aventure continue!
par celine1976
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- cocogym06
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Réponse de cocogym06 sur le sujet Mon premier Marathon : Amsterdam 2016
Posted il y a 8 ans 1 mois #451733
Ben tu vois t'as même réussit à me mettre la larme à l’œil
Bravo à toi et à ton homme pour cette magnifique aventure autours d'Amsterdam et pour cette performance d'être Finisher !
Bravo à toi et à ton homme pour cette magnifique aventure autours d'Amsterdam et pour cette performance d'être Finisher !
par cocogym06
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- Pimass
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Réponse de Pimass sur le sujet Mon premier Marathon : Amsterdam 2016
Posted il y a 8 ans 1 mois #451734
Incroyable !
Pareil que Slim, je vois plus les touches de mon clavier
Pareil que Slim, je vois plus les touches de mon clavier
par Pimass
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- Cousto91
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Réponse de Cousto91 sur le sujet Mon premier Marathon : Amsterdam 2016
Posted il y a 8 ans 1 mois #451735
Bravo et beau récit, j'ai faillit en pleurer surtout vers la fin.
Des souvenirs me sont revenus, et je me rappelle les douleurs que j'ai eu.
Mais ça donne envie de repartir pour un marathon
Merci à toi et ton chéri.
Des souvenirs me sont revenus, et je me rappelle les douleurs que j'ai eu.
Mais ça donne envie de repartir pour un marathon
Merci à toi et ton chéri.
par Cousto91
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- kamoulox69
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Réponse de kamoulox69 sur le sujet Mon premier Marathon : Amsterdam 2016
Posted il y a 8 ans 1 mois #451741
Merci
Un peu plus et ça donnerait presque envie de s'inscrire à un 1er marathon
Un peu plus et ça donnerait presque envie de s'inscrire à un 1er marathon
par kamoulox69
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- Paqks
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Réponse de Paqks sur le sujet Mon premier Marathon : Amsterdam 2016
Posted il y a 8 ans 1 mois #451745
Merci pour ce récit, très émouvant ! Félicitation à toi et à ton mari ! Tu donnes clairement envie de s'inscrire à un marathon Je ronge mon frein car je me suis promis de le faire... dans 2 ans
Mon collègue a participé aussi et a fini en 4h26, mais il visait les 4h à la base. Il s'est, lui, pris le mur en pleines jambes.
Mon collègue a participé aussi et a fini en 4h26, mais il visait les 4h à la base. Il s'est, lui, pris le mur en pleines jambes.
par Paqks
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