Ecotrail Paris 80 kms ça c'est fait.
- Olrik
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Qu'est-ce qui est le plus difficile lors d'une compétition de CAP ?
Suivre le plan d'entraînement ?
L'hygiène de vie ? avant ? après ?
la pré-course ? (qu'est-ce que je vais mettre ? qu'est-ce je vais prendre ?)
la course ?
l'après-course ?
la reprise ?
le CR ?
réponse : tout, à tour de rôle, donc maintenant c'est de pondre le CR.
Commençons par une confession : j'ai pris l'avion, pas très Eco mais bon comme excuse j'avance le prix soit 70 euros pour un aller-retour Genève-Paris. Je me suis déjà fait engueuler par ma fille vous n'avez donc pas besoin de vous y mettre. Et puis j'ai été puni, une heure de retard à l'aller et encore une heure au retour, tout ça pour un vol de 45 minutes. M'enfin je dois repasser par Paris courant mai, je verrai pour prendre le train, promis.....enfin presque.
La course.
Mes objectifs étaient :
1 : finir...............si possible en pas trop mauvais état
2 : finir aux alentours de minuit
3 : aller visiter l'exposition sur les jouets de la saga Star Wars
Vendredi : prise du dossard et du petit matériel qui va avec ainsi que humage de la zone d'arrivée
Samedi 7h00 diane et petit-déjeuner à l'hôtel. Non, je ne me suis pas jeté sur les croissants et les pains au chocolat. C'est l'avantage du buffet, il y assez pour avaler un petit-déjeuner tout ce qu'il y a de plus compatible avec la CAP.
Préparation des affaires ou plutôt des dernières affaires vu que l'essentiel a bien entendu été mis en place le soir précédent.
Je mets le joli bracelet rouge. Vu la finesse de mon poignet il y a un bon bout qui dépasse et comme je n'ai pas pris de bagage en soute je n'ai pas pu prendre mon couteau suisse. En passant par la réception je demande donc que l'on me coupe ce qui dépasse du bracelet. Léger étonnement de l'employé de l'hôtel en voyant un grand hurluberlu devant lui pas tout à fait habillé comme un touriste partant à la découverte de Paris. Il s'enquière de mes intentions, je les lui dévoile et le quitte avec dans son regard un mélange d'admiration et d'incrédulité. Le lendemain matin, la première chose qu'il me demandera sera : "alors comment cette course ?". Sympa.
Le RER est à côté (ça c'est de la tactique), je prends celui de 9h44 et en route pour Saint-Quentin où nous attendent des bus qui nous amèneront au départ.
Une bonne heure à poireauter dans le frais et l'humidité, heure qui passera très vite.
12h02 DEPART.
Tout de suite nous sommes mis dans le bain (de boue bien entendu) après quelques virolets, déjà le 1er bouchon. Un resserrement du chemin qui semble difficilement franchissable pour cause de boue ou d'eau je n'ai pas vu car à l'instar d'autres coureurs je suis passé par la droite en escaladant un petit talus puis en devant sauter d'un muret d'environ un mètre de haut. Pas gagné grand-chose.
A part ces premières centaines de mètres je ne rencontrerai plus aucun bouchon ou même un quelconque ralentissement pour le reste de la course. Cela m'a bien changé de la Sainté 2012.
En route donc pour cette première étape de 22,6 kms jusqu'au 1er ravitaillement et à la première barrière horaire (BH) à Buc. Partie bien roulante, plus de D- que de D+.
J'avais prévu un 8-8,5 kms/heure de moyenne pour arriver frais et dispos en 2h45 j'y arrive en 2h51 et y repart vers 2h58.
Une demi-heure d'avance sur la BH. La partie qui suit est le gros morceau de cette épreuve, 33 kms jusqu'à Chaville avec un ravito eau uniquement aux 2/3 de cette portion à Meudon et le gros du D+ en prime.
Ce n'est pas que la BH m'inquiète néanmoins avec les conditions de terrain parfois très boueux et glissant non seulement on fait des mètres de + pour chercher la bonne trajectoire (la moins trempée) mais on avance moins vite que par terrain sec.
30 minutes d'avance sur la BH, je me sens bien, je sais que le plus dur et à venir, j'entends dire que si tu passes les 55 kms tu passes l'arrivée..ça c'est à peu près vrai, il ne restera que 25 kms soit environ 3h30-3h45 de course. Eh oui, quand on part sur des grandes distances la notion des heures de courses est bien différentes que pour les distances traditionnelles (marathon, semi).
Je prévois, j'espère parcourir cette portion en 5h30.
La 1ère partie n'est pas trop difficile, les montées sont courtes, certaines ont une bonne pente, je les gère en marchant, les mains sur les cuisses. Les montées sont mes amies. Comme pour une grande partie du parcours la boue ne nous lâchera pas, elle sera tour à tour glissante (même au plat tu es quasi obligé de marcher) tantôt collante (merci les guêtres qui évitent non seulement à la boue de pénétrer dans les chaussures mais qui aussi permettent aux chaussures de rester aux pieds).
La seconde partie sera plus ardue, toujours plus de boue, la pluie qui se met de la partie vers 18h30. Arrivé après plusieurs marches d'escaliers au ravito de Meudon d'où on peut admirer la tour Effeil les deux concurrents devant moi décident d'abandonner. Ce n'est heureusement pas mon cas. Je profite de cet arrêt pour m'équiper de ma lampe frontale, il devait être 18h45.
Je prends encore le temps de remettre de la poudre et de l'eau dans ma gourde et en route vers de nouvelles aventures.
Malgré le ton de ce CR qui se veut léger, ne vous y trompez pas, je la chie. J'ai eu le coup de mou du milieu, je me demandais pourquoi je participais à ce genre d'épreuve (je cherche toujours une réponse) j'étais en train de me dire que tant mieux je n'avais pas été pris au tirage au sort de la CCC, etc.....Balivernes balayées.
Arrive enfin ce 55ème kilomètre, ce ravito tant attendu. Pour m'accueillir le ciel ouvre ses vannes. Punaise quel déluge !
Seconde partie prévue en 5h30 effectuée en 5h29'54 !!!
6-7 minutes pour remplir mon Camel, manger un peu de viande séchée (réserve personnelle) et en avant les enfants avec toujours 30 bonnes minutes d'avance sur la BH.
Une bonne douzaine de kms pour arriver à St-Cloud, les derniers D+. C'est dur, il fait nuit, malgré les lampes on ne voit pas très bien où on marche, c'est très boueux, difficile de choisir le meilleur (moins mauvais tracé) quand le faisceau de la lampe n'éclaire qu'une partie de la largeur du chemin. Chemin déjà parcouru par les participants du 30 et du 50 ainsi que par un bon millier du 80. Et ce n'est pas la pluie (qui s'apaise puis s'arrête) qui améliore l'état des routes. C'est plus marche forcée que course à pied. Et il y a encore 2-3 jolies petites montées jusqu’au 62ème. Néanmoins j'y arrive en un chouia plus de 2 heures. Si j’ai bien suivi, à ce moment-là Gyom93 se met au lit Dernier ravito passé en coup de vent, juste pris un peu de chocolat. Certains disent que cela ne sert à rien. Physiquement peut-être, mentalement c'est énorme.
A la sortie du ravito une bénévole nous met en garde que la descente qui suit est glissante. C'est gentil de nous aviser en attendant cela fait plus de 10 heures qu'on glisse. A ce sujet je me suis pris une glissade sur une descente d'un bête talus d'au moins 3 mètres. Comment on descend les talus ? droit bas. Moi, comme un grand garçon plein d'expériences je le prends de biais et bien entendu je glisse. Quand on tombe dans la boue cela se voit plus que quand on tombe sur de la glace. Et qui c'est qui va nettoyer tout ça hein qui ??? la machine à laver bien sûr vous pensiez à quoi (à qui) ?
En route donc pour ces derniers kms. 13 si l'on veut arriver à 80, 9 selon d'autres sources. Plus ou moins une dizaine selon moi, les 80 kms semblent en faire 78.
Une belle descente, on aperçoit en contrebas la ville. On y est, plus que du plat, le long d'une route fort fréquentée, le seul côté sympa sont les klaxons d'encouragements, pour le reste c'est pas beau, même de nuit. Le mieux est de lever la tête pour admirer la tour illuminée. Mais ce n'est pas une très bonne idée non plus car elle ne se rapproche pas.
On dirait même qu'elle est sur roulettes et qu'elle s'éloigne au fur et à mesure que nous avançons.
A force de courage et d'abnégation (sans forfanterie), je fini tout de même par la rattraper et après avoir traversé un énième passage piétons au rouge (ah non au vert, c'est marqué dans le règlement que nous devons respecter le code de la route, à passer sous l'arche d'arrivée quelques minutes après les douze coups de minuit.
12h01:56 fourbu, trempé et heureux.
Objectifs nos 1 et 2 remplis.
L'objectif no 3 sera atteint le lendemain. La visite du musée et le déplacement dans les couloirs du métro étant plus pénible que la course.
Maintenant : pause......au moins quelques jours.
Pour ceux que cela intéresse je vais poster, dès que ce sera prêt, sur mon suivi un feed-back côté logistique (équipement - ravitaillement perso) et autres avis personnels sur cette course et son organisation.
Merci de m'avoir lu et encore mille merci pour les encouragements avant et pendant la course (même lus après ils font un bien immense).
Suivre le plan d'entraînement ?
L'hygiène de vie ? avant ? après ?
la pré-course ? (qu'est-ce que je vais mettre ? qu'est-ce je vais prendre ?)
la course ?
l'après-course ?
la reprise ?
le CR ?
réponse : tout, à tour de rôle, donc maintenant c'est de pondre le CR.
Commençons par une confession : j'ai pris l'avion, pas très Eco mais bon comme excuse j'avance le prix soit 70 euros pour un aller-retour Genève-Paris. Je me suis déjà fait engueuler par ma fille vous n'avez donc pas besoin de vous y mettre. Et puis j'ai été puni, une heure de retard à l'aller et encore une heure au retour, tout ça pour un vol de 45 minutes. M'enfin je dois repasser par Paris courant mai, je verrai pour prendre le train, promis.....enfin presque.
La course.
Mes objectifs étaient :
1 : finir...............si possible en pas trop mauvais état
2 : finir aux alentours de minuit
3 : aller visiter l'exposition sur les jouets de la saga Star Wars
Vendredi : prise du dossard et du petit matériel qui va avec ainsi que humage de la zone d'arrivée
Samedi 7h00 diane et petit-déjeuner à l'hôtel. Non, je ne me suis pas jeté sur les croissants et les pains au chocolat. C'est l'avantage du buffet, il y assez pour avaler un petit-déjeuner tout ce qu'il y a de plus compatible avec la CAP.
Préparation des affaires ou plutôt des dernières affaires vu que l'essentiel a bien entendu été mis en place le soir précédent.
Je mets le joli bracelet rouge. Vu la finesse de mon poignet il y a un bon bout qui dépasse et comme je n'ai pas pris de bagage en soute je n'ai pas pu prendre mon couteau suisse. En passant par la réception je demande donc que l'on me coupe ce qui dépasse du bracelet. Léger étonnement de l'employé de l'hôtel en voyant un grand hurluberlu devant lui pas tout à fait habillé comme un touriste partant à la découverte de Paris. Il s'enquière de mes intentions, je les lui dévoile et le quitte avec dans son regard un mélange d'admiration et d'incrédulité. Le lendemain matin, la première chose qu'il me demandera sera : "alors comment cette course ?". Sympa.
Le RER est à côté (ça c'est de la tactique), je prends celui de 9h44 et en route pour Saint-Quentin où nous attendent des bus qui nous amèneront au départ.
Une bonne heure à poireauter dans le frais et l'humidité, heure qui passera très vite.
12h02 DEPART.
Tout de suite nous sommes mis dans le bain (de boue bien entendu) après quelques virolets, déjà le 1er bouchon. Un resserrement du chemin qui semble difficilement franchissable pour cause de boue ou d'eau je n'ai pas vu car à l'instar d'autres coureurs je suis passé par la droite en escaladant un petit talus puis en devant sauter d'un muret d'environ un mètre de haut. Pas gagné grand-chose.
A part ces premières centaines de mètres je ne rencontrerai plus aucun bouchon ou même un quelconque ralentissement pour le reste de la course. Cela m'a bien changé de la Sainté 2012.
En route donc pour cette première étape de 22,6 kms jusqu'au 1er ravitaillement et à la première barrière horaire (BH) à Buc. Partie bien roulante, plus de D- que de D+.
J'avais prévu un 8-8,5 kms/heure de moyenne pour arriver frais et dispos en 2h45 j'y arrive en 2h51 et y repart vers 2h58.
Une demi-heure d'avance sur la BH. La partie qui suit est le gros morceau de cette épreuve, 33 kms jusqu'à Chaville avec un ravito eau uniquement aux 2/3 de cette portion à Meudon et le gros du D+ en prime.
Ce n'est pas que la BH m'inquiète néanmoins avec les conditions de terrain parfois très boueux et glissant non seulement on fait des mètres de + pour chercher la bonne trajectoire (la moins trempée) mais on avance moins vite que par terrain sec.
30 minutes d'avance sur la BH, je me sens bien, je sais que le plus dur et à venir, j'entends dire que si tu passes les 55 kms tu passes l'arrivée..ça c'est à peu près vrai, il ne restera que 25 kms soit environ 3h30-3h45 de course. Eh oui, quand on part sur des grandes distances la notion des heures de courses est bien différentes que pour les distances traditionnelles (marathon, semi).
Je prévois, j'espère parcourir cette portion en 5h30.
La 1ère partie n'est pas trop difficile, les montées sont courtes, certaines ont une bonne pente, je les gère en marchant, les mains sur les cuisses. Les montées sont mes amies. Comme pour une grande partie du parcours la boue ne nous lâchera pas, elle sera tour à tour glissante (même au plat tu es quasi obligé de marcher) tantôt collante (merci les guêtres qui évitent non seulement à la boue de pénétrer dans les chaussures mais qui aussi permettent aux chaussures de rester aux pieds).
La seconde partie sera plus ardue, toujours plus de boue, la pluie qui se met de la partie vers 18h30. Arrivé après plusieurs marches d'escaliers au ravito de Meudon d'où on peut admirer la tour Effeil les deux concurrents devant moi décident d'abandonner. Ce n'est heureusement pas mon cas. Je profite de cet arrêt pour m'équiper de ma lampe frontale, il devait être 18h45.
Je prends encore le temps de remettre de la poudre et de l'eau dans ma gourde et en route vers de nouvelles aventures.
Malgré le ton de ce CR qui se veut léger, ne vous y trompez pas, je la chie. J'ai eu le coup de mou du milieu, je me demandais pourquoi je participais à ce genre d'épreuve (je cherche toujours une réponse) j'étais en train de me dire que tant mieux je n'avais pas été pris au tirage au sort de la CCC, etc.....Balivernes balayées.
Arrive enfin ce 55ème kilomètre, ce ravito tant attendu. Pour m'accueillir le ciel ouvre ses vannes. Punaise quel déluge !
Seconde partie prévue en 5h30 effectuée en 5h29'54 !!!
6-7 minutes pour remplir mon Camel, manger un peu de viande séchée (réserve personnelle) et en avant les enfants avec toujours 30 bonnes minutes d'avance sur la BH.
Une bonne douzaine de kms pour arriver à St-Cloud, les derniers D+. C'est dur, il fait nuit, malgré les lampes on ne voit pas très bien où on marche, c'est très boueux, difficile de choisir le meilleur (moins mauvais tracé) quand le faisceau de la lampe n'éclaire qu'une partie de la largeur du chemin. Chemin déjà parcouru par les participants du 30 et du 50 ainsi que par un bon millier du 80. Et ce n'est pas la pluie (qui s'apaise puis s'arrête) qui améliore l'état des routes. C'est plus marche forcée que course à pied. Et il y a encore 2-3 jolies petites montées jusqu’au 62ème. Néanmoins j'y arrive en un chouia plus de 2 heures. Si j’ai bien suivi, à ce moment-là Gyom93 se met au lit Dernier ravito passé en coup de vent, juste pris un peu de chocolat. Certains disent que cela ne sert à rien. Physiquement peut-être, mentalement c'est énorme.
A la sortie du ravito une bénévole nous met en garde que la descente qui suit est glissante. C'est gentil de nous aviser en attendant cela fait plus de 10 heures qu'on glisse. A ce sujet je me suis pris une glissade sur une descente d'un bête talus d'au moins 3 mètres. Comment on descend les talus ? droit bas. Moi, comme un grand garçon plein d'expériences je le prends de biais et bien entendu je glisse. Quand on tombe dans la boue cela se voit plus que quand on tombe sur de la glace. Et qui c'est qui va nettoyer tout ça hein qui ??? la machine à laver bien sûr vous pensiez à quoi (à qui) ?
En route donc pour ces derniers kms. 13 si l'on veut arriver à 80, 9 selon d'autres sources. Plus ou moins une dizaine selon moi, les 80 kms semblent en faire 78.
Une belle descente, on aperçoit en contrebas la ville. On y est, plus que du plat, le long d'une route fort fréquentée, le seul côté sympa sont les klaxons d'encouragements, pour le reste c'est pas beau, même de nuit. Le mieux est de lever la tête pour admirer la tour illuminée. Mais ce n'est pas une très bonne idée non plus car elle ne se rapproche pas.
On dirait même qu'elle est sur roulettes et qu'elle s'éloigne au fur et à mesure que nous avançons.
A force de courage et d'abnégation (sans forfanterie), je fini tout de même par la rattraper et après avoir traversé un énième passage piétons au rouge (ah non au vert, c'est marqué dans le règlement que nous devons respecter le code de la route, à passer sous l'arche d'arrivée quelques minutes après les douze coups de minuit.
12h01:56 fourbu, trempé et heureux.
Objectifs nos 1 et 2 remplis.
L'objectif no 3 sera atteint le lendemain. La visite du musée et le déplacement dans les couloirs du métro étant plus pénible que la course.
Maintenant : pause......au moins quelques jours.
Pour ceux que cela intéresse je vais poster, dès que ce sera prêt, sur mon suivi un feed-back côté logistique (équipement - ravitaillement perso) et autres avis personnels sur cette course et son organisation.
Merci de m'avoir lu et encore mille merci pour les encouragements avant et pendant la course (même lus après ils font un bien immense).
Last Edit:il y a 11 ans 8 mois
par Olrik
Dernière édition: il y a 11 ans 8 mois par Olrik.
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- Alassea
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Réponse de Alassea sur le sujet Re: Ecotrail Paris 80 kms ça c'est fait.
Posted il y a 11 ans 8 mois #223156
Merci pour ton CR fort sympathique! et un grand bravo pour ta course!
bonne récup'!
bonne récup'!
par Alassea
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- mrvince
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Réponse de mrvince sur le sujet Re: Ecotrail Paris 80 kms ça c'est fait.
Posted il y a 11 ans 8 mois #223163
bravo ca force le respect
par mrvince
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- Olrik
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Réponse de Olrik sur le sujet Re: Ecotrail Paris 80 kms ça c'est fait.
Posted il y a 11 ans 8 mois #223167
Last Edit:il y a 11 ans 8 mois
par Olrik
Dernière édition: il y a 11 ans 8 mois par Olrik.
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- jeckx
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Réponse de jeckx sur le sujet Re: Ecotrail Paris 80 kms ça c'est fait.
Posted il y a 11 ans 8 mois #223181
Très bon compte-rendu, merci Olrik.
Et 80 fois bravo pour ta course. Il doit falloir un sacré moral et beaucoup de courage en plus de l'entraînement pour finir une telle course.
Et 80 fois bravo pour ta course. Il doit falloir un sacré moral et beaucoup de courage en plus de l'entraînement pour finir une telle course.
par jeckx
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- CED37
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Réponse de CED37 sur le sujet Re: Ecotrail Paris 80 kms ça c'est fait.
Posted il y a 11 ans 8 mois #223231
Yes un grand bravo pour ta course !
Que dir apart que fair 80 km ,dont une bonne partie sous la pluie ,je trouve ça juste énorme !!
Repose toi bien et surtout bonne recup pour la suite.
Et au faite ce musée ???
Que dir apart que fair 80 km ,dont une bonne partie sous la pluie ,je trouve ça juste énorme !!
Repose toi bien et surtout bonne recup pour la suite.
Et au faite ce musée ???
par CED37
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