Trail Marathon de montagne du pays basque - 23/07
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Trail Marathon de montagne du pays basque - 23/07 a été créé par franck
Posted il y a 13 ans 4 mois #109660
erreur de ma part...
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Franck.
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Franck.
Last Edit:il y a 13 ans 4 mois
par franck
Dernière édition: il y a 13 ans 4 mois par franck.
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Réponse de etchechris sur le sujet Re: Trail Marathon de montagne du pays basque - 23/07
Posted il y a 13 ans 3 mois #110831
il y'a un franck 25eme en 5h55(mais de Bayonne, donc je ne pense pas...), 59eme en 6h22, 86eme en 6h59, et un 246eme en 9h43...
alors, c'était comment ? raconte....
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par etchechris
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- franck
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Réponse de franck sur le sujet Trail Marathon de montagne du pays basque 2011
Posted il y a 13 ans 3 mois #110832
Le marathon de Montagne du Pays Basque : 12 mois que je rêve de retrouver ses sentiers escarpés voir engagés et ça y est le gros morceau de l’année est déjà derrière moi avec encore pleins de belles images en tête malgré une météo mitigée.
Retour 5 jours en arrière avec l’arrivée à Bidarray le vendredi après-midi sous un ciel couvert mais sans pluie. Même chambre d’hôtel que l’année passée, prise du dossard et j’emmène ma famille à Xumus à 5 km du village qui sera la première barrière horaire le lendemain. Ici c’est la nature au sens large : le spectacle est magnifique entre les Penas d’Ichusi et le terrible Irubela qui se dressent devant nous 600 à 700 m plus haut ! On devine la partie basse du sentier dans les fougères qu’il faudra emprunter demain et j’avoue que là face à ces 2 murs on se sent tout petit et j’appréhende à nouveau devant l’étendu du chantier à venir.
Repas le soir dans le trinquet local. Comme l’année passée, c’est un super moment de partage avec un couple dont le mari a à son actif 2 UTMB et une diagonale des fous… Beaucoup de questions et de discussions fusent… La soirée se termine en revoyant mon couple de bons samaritains qui m’avaient permis de finir l’année passée. J’éprouve beaucoup de plaisir à les revoir : c’est grâce à eux que je suis ici ce week-end.
La nuit se passe bien mais il pleut comme « vache qui pisse ». Levé 7H pour un petit déjeuner avec un cent-bornard bordelais qui prépare l’ultra du grand raid des Pyrénées. Je retrouve également mes bons samaritains avec qui on discute de la journée à venir… Un peu de stress mais l’objectif avant tout est de finir et je sais où je vais cette année…
Consignes de départ où on nous prévient que ça va être glissant et boueux cette année et qu’il n’y aura aucune intransigeance concernant les 3 barrières horaires. C’est parti, Bidarray km0 D+0m à 9H dans les 5 derniers du peloton de 272 coureurs. Les 2 premiers km sont en descente sur du goudron et on enchaîne ensuite sur le premier chemin de pierre en montée. Je me plait à reconnaître les secteurs oubliés en un an, les uns après les autres. C’est quand même beaucoup moins stressant de savoir où on va ! Je double quelques concurrents, discute avec des basques mais aussi 2 coréens ! Je fais également un bout de chemin avec mes bons samaritains. Le mari, qui a une grande expérience de l’ultra, se balade littéralement et s’amuse à prendre de l’avance pour mieux nous prendre en photo ! De fil en aiguille au bout d’une heure j’arrive au col de l’âne km6 D+700m. Ce dresse devant moi le 1er morceau de la journée : l’Artzamendi avec 2 km tout droit dans la pente (pas vraiment un sentier) avec 200m de D+. C’est un effort pas trop long de 25 à 30 minutes mais qui s’achève comme l’année passée dans le brouillard. Arrive ensuite un petit km de descente et j’arrive au col de Méhatché qui est dégagé pour le 1er check-point. C’est le km9 et on est à D+900m. J’y arrive en 1H41’ (au lieu de 1H37’ l’année passée) et en 253ème place….
S’en suit une remontée sur les flancs de l’Iruzguimendi puis une succession de descentes et de montées dans de la boue rouge au milieu des hautes fougères pour atteindre les Penas de Ichusi (km13 D+1100) où la descente est vertigineuse (500m de D- en 2 km dans du pierrier). C’est du caillou dégueulasse et glissant à flanc de falaise… Sauvage et magnifique. Je descends ce toboggan tranquillement en faisant attention à mes appuis, en me concentrant sur le sentier pour faire abstraction du vide et ce, tout en surveillant l’heure. Il faut arriver en bas en moins de 3H15 (1ère barrière horaire). Xumus km16, D+1100m est atteint en 3H (contre 2H50 l’année passée en terrain sec). L’équipe du ravito est pro et prend en charge mon sac pour remplir le camel en eau. Je suis maintenant littéralement au pied du mur avec l’Irubela qui se dresse devant moi : pas possible de reculer !
J’avais énormément souffert dans ce secteur l’année passée. Cette fois, je gère beaucoup mieux. Il faut dire que cette année, j’ai 2 bâtons et que cela aide énormément. J’ai toutefois des difficultés sur la première partie : mes samaritains me doublent au pied (alors que l’année passée c’était au sommet) et je suis un peu dans le dur. Je profite de quelques passages où la montée est plus douce sur quelques mètres pour me ravitailler. J’arrive en fait assez vite au col d’Esquieza à mi pente (km 17,5 D+1500) avant d’entrer dans le bois qui annonce la seconde partie de l’Irubela. C’est vraiment une partie pas simple rendu encore plus difficile cette année avec la pluie et donc la boue. Je sors du bois pour arriver sur l’arête sommitale sur laquelle il faut faire de temps à autre de l’escalade entre les 2 précipices, et ce dans le brouillard. J’arrive enfin au sommet de l’irubela km19, D+1900 après 1H45 d’ascension. C’est vraiment une montée exigeante mais elle est vraiment belle et m’a fait rêvé – frissonné pendant une année. Je sais maintenant que la route est encore longue mais le plus dur est derrière moi. Les gens que je vois veulent tous abandonner. C’était ma situation l’année passée : je leur dis de ne rien lâcher c’est ce qu’ils feront et du coup c’est moi cette année le bon samaritain ! Après encore une heure de montée et de descente j’atteins le second check-point et la seconde barrière (-6H) : c’est le Gorramakil km23, D+2100 en 5H36’ (contre 5H35’ l’année passée) et ce, en 255ème position.
Je me ravitaille, m’habille rapidement, le brouillard est épais… C’est parti pour la descente vers Meaca non s’en avoir auparavant s’être enfilé le sommet du Gorramendi. C’est une parti plus roulante maintenant propice à la récupération et la 3ème barrière horaire est atteinte en 6H35’ (km28 D+2500 – elle se ferme en 7H). On sort enfin du brouillard et on voit toute l’arrête de l’Iparla devant nous et qui constitue le 3ème volet de ce très beau trail. C’est une succession de montées - descentes dans de la boue ou du caillou. On atteint le col d’Harrieta et enfin l’Iparla après un effort d’encore 1H (km35, D+3000m). C’est ensuite le grand plongeon vers Bidarray via encore 1 ou 2 petites bosses. Je me surprends encore à courir un peu dans les pâturages… La sortie se termine dans un groupe de 5 personnes : j’arrive à Bidarray avec ma plus jeune des 2 filles qui veut courir avec moi les derniers mètres : km42, D+3100m, D-3100m, 9H43’, 246ème position – 248 finishers…..
Comme pour le trail de 48km dans le beaujolais en Avril dernier, j’arrive avec une sensation de vertiges alors que rien ne le présageait auparavant. La pression artérielle est OK, mais cela inquiète encore ma petite famille. Pas beaucoup d’appétit non plus le soir. Je dois passer un test d’effort d’ici la fin de l’année. Il faudra que je discute de cet aspect….
L’année passée, j’avais connu beaucoup de sentiments : du désespoir au Gorramakil dans lequel je voulais abandonner, à celui d’une extrême joie au moment de franchir la ligne d’arrivée. Très différent cette année : rapidement j’ai senti être dans le rythme pour passer les barrières, le moral à toujours été bon et je ne me suis jamais senti trop mal…. Heureux de franchir la ligne, j’ai quand même une pointe de déception de ne pas avoir amélioré mon temps (je mets 2 minutes de + par rapport à l’année passée) alors que mes compagnons de sentiers de l’année antérieure ont tous améliorés leurs temps de 20 à 30 minutes….Ceci n’est toutefois pas grave et pour donner une idée de la difficulté de cette belle épreuve exigeante, le vainqueur met 4H37’, 4 coureurs-montagnards sont en moins de 5H et 26 autres en mettent moins de 6 !
Malgré ma petite pointe de déception concernant le chrono j’ai quand même beaucoup de points positifs :
- je finis ce trail difficile pour la seconde fois et glane mon 3ème point UTMB….
- J’ai toujours eu le moral, pris du plaisir sans jamais ressentir une trop grosse fatigue
- Les jambes ne m’ont pas brûlé pendant les 48H suivants. Bien sûr elles sont dures et l’acide lactique est présent mais je n’ai déchiré les fibres musculaires : celles-ci sont donc plus résistantes.
- Le plan super-trail est parfaitement adapté pour que je puisse finir une telle épreuve de montagne, bien que je ne sois qu’un coureur de plaine très lent dans ce type d’épreuve.
Place maintenant à la récup complète pendant 1 semaine suivis de 2 semaines de reprise cool avec vélo et marche.
Fin des trails longs pour cette année (3 de plus de 40 km effectués depuis mars). J’aimerai maintenant travailler le rythme en refaisant quelques 10km route, distance que je n’ai plus couru depuis 2 ans….
Merci de m’avoir lu,
A bientôt,
Franck.
Retour 5 jours en arrière avec l’arrivée à Bidarray le vendredi après-midi sous un ciel couvert mais sans pluie. Même chambre d’hôtel que l’année passée, prise du dossard et j’emmène ma famille à Xumus à 5 km du village qui sera la première barrière horaire le lendemain. Ici c’est la nature au sens large : le spectacle est magnifique entre les Penas d’Ichusi et le terrible Irubela qui se dressent devant nous 600 à 700 m plus haut ! On devine la partie basse du sentier dans les fougères qu’il faudra emprunter demain et j’avoue que là face à ces 2 murs on se sent tout petit et j’appréhende à nouveau devant l’étendu du chantier à venir.
Repas le soir dans le trinquet local. Comme l’année passée, c’est un super moment de partage avec un couple dont le mari a à son actif 2 UTMB et une diagonale des fous… Beaucoup de questions et de discussions fusent… La soirée se termine en revoyant mon couple de bons samaritains qui m’avaient permis de finir l’année passée. J’éprouve beaucoup de plaisir à les revoir : c’est grâce à eux que je suis ici ce week-end.
La nuit se passe bien mais il pleut comme « vache qui pisse ». Levé 7H pour un petit déjeuner avec un cent-bornard bordelais qui prépare l’ultra du grand raid des Pyrénées. Je retrouve également mes bons samaritains avec qui on discute de la journée à venir… Un peu de stress mais l’objectif avant tout est de finir et je sais où je vais cette année…
Consignes de départ où on nous prévient que ça va être glissant et boueux cette année et qu’il n’y aura aucune intransigeance concernant les 3 barrières horaires. C’est parti, Bidarray km0 D+0m à 9H dans les 5 derniers du peloton de 272 coureurs. Les 2 premiers km sont en descente sur du goudron et on enchaîne ensuite sur le premier chemin de pierre en montée. Je me plait à reconnaître les secteurs oubliés en un an, les uns après les autres. C’est quand même beaucoup moins stressant de savoir où on va ! Je double quelques concurrents, discute avec des basques mais aussi 2 coréens ! Je fais également un bout de chemin avec mes bons samaritains. Le mari, qui a une grande expérience de l’ultra, se balade littéralement et s’amuse à prendre de l’avance pour mieux nous prendre en photo ! De fil en aiguille au bout d’une heure j’arrive au col de l’âne km6 D+700m. Ce dresse devant moi le 1er morceau de la journée : l’Artzamendi avec 2 km tout droit dans la pente (pas vraiment un sentier) avec 200m de D+. C’est un effort pas trop long de 25 à 30 minutes mais qui s’achève comme l’année passée dans le brouillard. Arrive ensuite un petit km de descente et j’arrive au col de Méhatché qui est dégagé pour le 1er check-point. C’est le km9 et on est à D+900m. J’y arrive en 1H41’ (au lieu de 1H37’ l’année passée) et en 253ème place….
S’en suit une remontée sur les flancs de l’Iruzguimendi puis une succession de descentes et de montées dans de la boue rouge au milieu des hautes fougères pour atteindre les Penas de Ichusi (km13 D+1100) où la descente est vertigineuse (500m de D- en 2 km dans du pierrier). C’est du caillou dégueulasse et glissant à flanc de falaise… Sauvage et magnifique. Je descends ce toboggan tranquillement en faisant attention à mes appuis, en me concentrant sur le sentier pour faire abstraction du vide et ce, tout en surveillant l’heure. Il faut arriver en bas en moins de 3H15 (1ère barrière horaire). Xumus km16, D+1100m est atteint en 3H (contre 2H50 l’année passée en terrain sec). L’équipe du ravito est pro et prend en charge mon sac pour remplir le camel en eau. Je suis maintenant littéralement au pied du mur avec l’Irubela qui se dresse devant moi : pas possible de reculer !
J’avais énormément souffert dans ce secteur l’année passée. Cette fois, je gère beaucoup mieux. Il faut dire que cette année, j’ai 2 bâtons et que cela aide énormément. J’ai toutefois des difficultés sur la première partie : mes samaritains me doublent au pied (alors que l’année passée c’était au sommet) et je suis un peu dans le dur. Je profite de quelques passages où la montée est plus douce sur quelques mètres pour me ravitailler. J’arrive en fait assez vite au col d’Esquieza à mi pente (km 17,5 D+1500) avant d’entrer dans le bois qui annonce la seconde partie de l’Irubela. C’est vraiment une partie pas simple rendu encore plus difficile cette année avec la pluie et donc la boue. Je sors du bois pour arriver sur l’arête sommitale sur laquelle il faut faire de temps à autre de l’escalade entre les 2 précipices, et ce dans le brouillard. J’arrive enfin au sommet de l’irubela km19, D+1900 après 1H45 d’ascension. C’est vraiment une montée exigeante mais elle est vraiment belle et m’a fait rêvé – frissonné pendant une année. Je sais maintenant que la route est encore longue mais le plus dur est derrière moi. Les gens que je vois veulent tous abandonner. C’était ma situation l’année passée : je leur dis de ne rien lâcher c’est ce qu’ils feront et du coup c’est moi cette année le bon samaritain ! Après encore une heure de montée et de descente j’atteins le second check-point et la seconde barrière (-6H) : c’est le Gorramakil km23, D+2100 en 5H36’ (contre 5H35’ l’année passée) et ce, en 255ème position.
Je me ravitaille, m’habille rapidement, le brouillard est épais… C’est parti pour la descente vers Meaca non s’en avoir auparavant s’être enfilé le sommet du Gorramendi. C’est une parti plus roulante maintenant propice à la récupération et la 3ème barrière horaire est atteinte en 6H35’ (km28 D+2500 – elle se ferme en 7H). On sort enfin du brouillard et on voit toute l’arrête de l’Iparla devant nous et qui constitue le 3ème volet de ce très beau trail. C’est une succession de montées - descentes dans de la boue ou du caillou. On atteint le col d’Harrieta et enfin l’Iparla après un effort d’encore 1H (km35, D+3000m). C’est ensuite le grand plongeon vers Bidarray via encore 1 ou 2 petites bosses. Je me surprends encore à courir un peu dans les pâturages… La sortie se termine dans un groupe de 5 personnes : j’arrive à Bidarray avec ma plus jeune des 2 filles qui veut courir avec moi les derniers mètres : km42, D+3100m, D-3100m, 9H43’, 246ème position – 248 finishers…..
Comme pour le trail de 48km dans le beaujolais en Avril dernier, j’arrive avec une sensation de vertiges alors que rien ne le présageait auparavant. La pression artérielle est OK, mais cela inquiète encore ma petite famille. Pas beaucoup d’appétit non plus le soir. Je dois passer un test d’effort d’ici la fin de l’année. Il faudra que je discute de cet aspect….
L’année passée, j’avais connu beaucoup de sentiments : du désespoir au Gorramakil dans lequel je voulais abandonner, à celui d’une extrême joie au moment de franchir la ligne d’arrivée. Très différent cette année : rapidement j’ai senti être dans le rythme pour passer les barrières, le moral à toujours été bon et je ne me suis jamais senti trop mal…. Heureux de franchir la ligne, j’ai quand même une pointe de déception de ne pas avoir amélioré mon temps (je mets 2 minutes de + par rapport à l’année passée) alors que mes compagnons de sentiers de l’année antérieure ont tous améliorés leurs temps de 20 à 30 minutes….Ceci n’est toutefois pas grave et pour donner une idée de la difficulté de cette belle épreuve exigeante, le vainqueur met 4H37’, 4 coureurs-montagnards sont en moins de 5H et 26 autres en mettent moins de 6 !
Malgré ma petite pointe de déception concernant le chrono j’ai quand même beaucoup de points positifs :
- je finis ce trail difficile pour la seconde fois et glane mon 3ème point UTMB….
- J’ai toujours eu le moral, pris du plaisir sans jamais ressentir une trop grosse fatigue
- Les jambes ne m’ont pas brûlé pendant les 48H suivants. Bien sûr elles sont dures et l’acide lactique est présent mais je n’ai déchiré les fibres musculaires : celles-ci sont donc plus résistantes.
- Le plan super-trail est parfaitement adapté pour que je puisse finir une telle épreuve de montagne, bien que je ne sois qu’un coureur de plaine très lent dans ce type d’épreuve.
Place maintenant à la récup complète pendant 1 semaine suivis de 2 semaines de reprise cool avec vélo et marche.
Fin des trails longs pour cette année (3 de plus de 40 km effectués depuis mars). J’aimerai maintenant travailler le rythme en refaisant quelques 10km route, distance que je n’ai plus couru depuis 2 ans….
Merci de m’avoir lu,
A bientôt,
Franck.
par franck
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Réponse de etchechris sur le sujet Re: Trail Marathon de montagne du pays basque - 23/07
Posted il y a 13 ans 3 mois #110833
quel timing !!! on a posté en même temps !!!
par etchechris
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- franck
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Réponse de franck sur le sujet Re: Trail Marathon de montagne du pays basque - 23/07
Posted il y a 13 ans 3 mois #110834
Excellent!!
Quel synchonisme!!
Bonne lecture,
Le Franck que tu cherches est le dernier des 4 ....
Salut.
Quel synchonisme!!
Bonne lecture,
Le Franck que tu cherches est le dernier des 4 ....
Salut.
par franck
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Réponse de etchechris sur le sujet Re: Trail Marathon de montagne du pays basque - 23/07
Posted il y a 13 ans 3 mois #110836
Bravo pour avoir encore une fois accompli cette "mission", qui plus est dans des conditions météo pas vraiment estivales (encore que samedi c'était le moins pire !!!)
je me rappelle de ton CR l'an dernier, tu as l'air d'avoir beaucoup mieux encaissé et prit de plaisir cette année, c'est cool.
moi qui suis du coin et défà fait une bonne partie du parcours (xumux, irubela, 2 gorra, iparla en 5h), c'est une course qui me tente bien, mais faut encore que je m'entraine...
repose toi bien, car tous ces gros trails doivent laisser des traces....
je me rappelle de ton CR l'an dernier, tu as l'air d'avoir beaucoup mieux encaissé et prit de plaisir cette année, c'est cool.
moi qui suis du coin et défà fait une bonne partie du parcours (xumux, irubela, 2 gorra, iparla en 5h), c'est une course qui me tente bien, mais faut encore que je m'entraine...
repose toi bien, car tous ces gros trails doivent laisser des traces....
par etchechris
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