comment s'habiller pour une femme et cellulite

oeufmollet écrit:

L'autre solution, c'est de courir en club ou au moins en groupe, là au moins on est entre coureurs motivés, qui se foutent de l'allure de celui à coté, l'objectif est juste de passer un bon moment ensemble, et finalement dans ces conditions, on fait pas gaffe aux autres ?

+1 avec loic . au club de tri il y a une nana qu on peut qualifier d enrobé (vous voulez vous cacher pour courir , elle , elle se montre en maillot). personne la juge et je pense qu onest beaucoup a la trouver tres courageuse. d ailleurs je ne sais pas pour les autres club mais l ambiance dans le club de oeuf et le mien est comparable a ce forum. surement parce que ce sont les memes sportifs passionnes pret a auder les autres dans leur progression.

zut j'avais écrit un truc et je l'ai perdu ... je repasserai plu stard ...
mais oui je plussoie

sinon y a aussi les sites comme OVS, où il y a des sorties joggings sympas y compris pour escargots

Sabrina75 écrit:

Je n'ai pas grand chose à dire sur le sujet. Il y a quelques années, j'aurais dit "facilement" de faire comme "on le sent" et de s'imaginer que dans la masse de critiqueurs potentiels, il y aurait sûrement quelques bonnes âmes qui se diraient "Bonne idée ! Moi aussi, faudrait que je me bouge un peu, j'ai trop de gras-du-bide (ou de gras-des-fesses) !". Aujourd'hui, je ne discute plus, je m'isole, je cours dans mon coin, et c'est valable pour tout un tas d'activités. Au moins, le problème est réglé !

Les chiens aboient et la caravane passe... dessus.

Quand j'étais un ex-fumeur devenu un redoutable et grassouillet écumeur de garde-manger, et que je me suis mis en tête de faire des EF de 25 min à 7 km/h autour d'un stade d'athlétisme pour faire prendre l'air à mes tissus gras, je me rappelle le commentaire lapidaire à mon sujet qu'un gugus famélique a lâché à son petit camarade de jeu, alors qu'ils faisaient leurs étirements sur le bord de la piste: "mhhhmmm... Bel athlète!".

Quelque temps plus tard, alors que je suçotais le bout de ma gourde une trentaine de secondes après avoir franchi la ligne d'arrivée du 10 km de la Provence, j'ai vu mon gugus franchir ladite ligne, visiblement aux prises avec quelques crampes. A un copain qui me félicitait pour mon nouveau RP, j'ai lâché, regardant le mourant: "mhhhmmm... Bel athlète!". Je me suis pensé, le voyant se dandiner sur ses jambes raides: "ça fait mal, hein?". Mais j'ai eu mal pour lui. Je ne suis pas une bonne peau de vache.

Souviens toi du vase de Bouc Bel Air...

C'était en fait celui de Gardanne!

Même si j'arrive bien après les derniers échanges, je me permets de poster et suis curieuse de savoir si la dame en question a osé franchir le cap de la CàP?

Perso, quand j'ai commencé, j'ai pris mes tenues de sport classique, donc bermuda, ou pantalon de sport classique, pas spécialement CàP. Sauf que l'hiver approchant, c'est vrai qu'il valait mieux s'équiper et c'est là que le lycra est apparu dans ma vie

Vous avez été plusieurs à le soulever: il faut absolument se défaire de l'idée qu'on est en train de vous observer et critiquer pendant que vous courrez.
Le plus dur au début, c'est de se sortir de la tête "kilos disgracieux + allure d'escargot" = bouhhhhh qu'est ce qu'elle est lente!!!! Ah je vous assure que ça me complexait un max: je me disais "pitié que je ne croise personne sur ma route car si je dois la doubler, j'accélérerai c'est certain sinon je mettrai des plombes à la doubler en EF!"
Et puis, un jour, on commence à faire des sorties plus rapides, même très rapides (VMA) et là, à partir de ce moment, j'ai intégré que je n'en avais plus rien à cirer de ce que les autres pourraient éventuellement penser!!!

Enfin, ce qui était aussi difficile dans mon cas, c'est de sentir ce sur-poids localisée dans les fesses bouger pendant que je cours (désolée c'est pas glamour du tout!) Heureusement, cela ne dure qu'un temps et très vite, je pense que soit on n'y pense plus soit carrément ce sur-plus a disparu (mais non, malheureusement, la silhouette ne s'affine pas aussi vite qu'on le voudrait)

Bref, une seule solution: oser franchir le cap!