piege à c...
- opai
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Et même les agences nationales recoivent de l'argent de ces entreprises.
EN gros, c'est comme les scientifiques dans les pubs pour la lessives qui viennent te dire avec des diagrammes et des résultats bidons, que telle lessive lave plus blanc que blanc.
Ca donne un vernis scientifique, ça créé un besoin...
Mais créer des besoins, c'est bien le fondement de notre civilisation. Sans cela, tout s'écroule!!!
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- deru84
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- rémilens
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Après avoir lu l'article je n'ai toujours pas d'avis tranché, même s'il est toujours intéressant d'avoir des écrits qui permettent de prendre du recul face à certains comportements -cela dit j'ai en tout et pour tout acheté deux boites de boisson de ce genre dans toute ma vie. Et n'oublions pas non plus d'essayer aussi d’avoir du recul quand on lit un tel article. (fiou, ça devient compliqué!).
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- papadje
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Mais tout de même je peux te dire que de façon empirique mon expérience perso me fait dire qu'il est bien plus facile de finir un ultra avec de la boisson énergétique que de l'eau, surtout quand comme pour moi l'apport d'aliments solides est très compliqué...
Effectivement pour un 10km ou une séance d'entrainement un peu d'eau suffit.
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- bert
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Au vu de ma petite expérience, je pense qu'il faut distinguer entre les efforts "courts" et "longs".
Par effort court, j'entends inférieur à 3h (pour moi c'est vraiment un cap, au-delà on bascule dans un autre monde) et là je suis plus que dubitatif sur ces boissons. J'avoue que cela me fait toujours sourire, lorsqu'au départ d'un semi, je vois certains concurrents avec toute la batterie des gels et boissons de certaines grandes marques. Si on s'est bien alimenté et hydraté la veille et le jour de la course, l'eau suffit amplement selon moi pour faire une belle course.
Pour les efforts longs, c'est toute autre chose et la réponse est spécifique à chacun pour trouver la bonne alimentation et la bonne hydratation en plus de l'eau.
Pour terminer, j'avoue une faiblesse pour le powerade "bleu" qui remonte à mon 1er marathon. Je ne m'étais pas suffisament hydraté alors que la température dépassait les 25°et je me souviens encore avec émotion du stand powerade au 35e km où je m'étais descendu une bouteille bien fraîche. Depuis, mon cerveau a dû garder en mémoire ce moment. Lorsque je commence à avoir vraiment soif, il me "réclame" son powerade. Cette anecdote souligne l'aspect psychologique que peut comporter le recours à ces boissons.
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- papadje
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Pour terminer, j'avoue une faiblesse pour le powerade "bleu" qui remonte à mon 1er marathon. Je ne m'étais pas suffisament hydraté alors que la température dépassait et je me souveins encore du stand powerade au 35e km où je m'étais descendu une bouteille bien fraîche. Depuis, mon cerveau a dû garder en mémoire ce moment, lorsque je commence à avoir vraiment soif, il me "réclame" son powerade. Cette anecdote est juste pour souligner l'aspect psychologique que peut comporter le recours à ces boissons.
pareil, je peux bien l'avouer maintenant: ayant oublié mes 2 bidons à la maison la veille de L'UTB, j'ai fait les 3 premieres heures de la course au powerade bleu acheté en catastrophe le vendredi soir à Albertville
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