Marathon de Paris 2014 - Belle aventure
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Octobre 2012 :
Après à peine 1an de course à pied, je souhaitais faire un marathon avant mes 30ans.
Le contrat fut difficilement rempli en 3h42, mais m’avait fait bien mal tant physiquement et moralement. Un dégout de la distance voire de la course à pied. Plus jamais ça, m’étais-je dit et avais-je répété…
Avril 2013
Dans mon canapé, un dimanche matin à regarder le marathon de Paris. Voir le peloton avancer, entendre les spectateurs, avoir Paris pour soi sans voiture…. Et si finalement, je retournais faire un marathon ?
2014
L’inscription est validée, la prépa va débuter. J’ai pour objectif initial 3h15 mais les premiers ratios sont encourageants, et mes derniers chronos sur les distances inférieures m’incitent à essayer de tenter un coup. Et si j’arrivais à passer les 3h ?
La prépa se déroule bien, l’allure de 4’15 semble rapide mais les sensations sont bonnes et le cardio est stable lors de l’allure spécifique
6 avril 2014
Tous les voyants sont au vert. J’ai confiance en moi. Trop ? J’ai visualisé ma course. Imaginé mes difficultés au 30/35ème. Imaginé réussir à passer la douleur. Imaginé voir le chrono avec un 2 devant.
Je prends le RER assez tôt car j’aime bien avoir le temps et j’arrive vers 7h45 à Paris au niveau des consignes. Et là, je tombe sur Fabrice qui me fait un grand signe de la main et m’intègre dans son groupe d’amis présents au marathon.
Après les derniers préparatifs et dépôt à la consigne on se dirige vers la boutique Mont Blanc en haut des Champs Elysées où on retrouve d’autres membres du forum et du coach pour un moment convivial.
Puis descente des Champs avec François pour rejoindre nos SAS respectifs.
Me voilà seul dans le SAS, les coureurs sont concentrés et s’échauffent. Un gars sur l’abribus danse de manière bizarre, il fait beau, je souris.
8h35 : Coup de pistolet, départ des handisports, je sens une vague d’émotion irrépressible monter. Tous ces gens, avec le même objectif de vaincre le marathon, je trouve ca beau.
2minute après le départ, on commence à avancer. Je suis là où je veux être, je me suis préparé pour ça, et j’y crois.
Le départ est en descente, il fait beau, nous avons les Champs Elysées pour nous, un flot d’émotion me reprend. Sur ce 1er kilomètre je suis un peu trop rapide (4’08)
Au 2ème km, rue de Rivoli, je croise Philippe un gars avec qui je fais les foulées de Tom le mercredi soir à Metz. Il a récupéré un dossard à la dernière minute et s’était dit pourquoi pas. Ca me fait plaisir de le voir, même si ce n’est que quelques secondes. L’allure est trop rapide (4’04).
Je laisse le meneur d’allure partir, ca ne sert à rien de me griller. Je fais ma course.
Jusqu’au 10ème tout va bien, je bois à ma gourde tous les 2km ma boisson isotonique et je prends un gel plus de l’eau à chaque ravitaillement tous les 5km.Je profite du paysage que nous offre Paris. En plus la distance avec le meneur d’allure s’est stabilisée à 150/200m environ. Je lève le pouce pour les fanfares et les bénévoles. Je suis admiratif et félicite les binômes mal-voyants/guide que je croise.
Peu après, au niveau du bois de Vincennes, petite pause vidange auprès d’un arbre et j’ai un peu de mal à redémarrer. Bizarre.
Au 15ème, sensations de plus en plus étranges, les jambes semblent ne plus avoir de force. J’ai beau être dans les temps et même avoir une dizaine de seconde d’avance sur l’objectif, je sais que je ne l’atteindrai pas. Pire, je ne suis pas à la moitié de la course et je vais avoir des difficultés à avancer.
27kilomètres à faire, c’est long. Une fois encore une vague d’émotion revient, mais c’est de la tristesse et une grande déception qui me submergent.
Est-ce que ça vaut le coup de continuer ? Surtout avec la souffrance que je vais rencontrer. M’arrêter là encore bien ou avancer et souffrir ? Je me pose sincèrement la question.
Mais imaginer l’inquiétude de Mlle me suivant à distance de ne plus voir mes temps de passage, ainsi que sentir la présence des spectateurs et entendre leurs acclamations m’ont fait pencher vers la 2nde option. Puis, j’ai signé pour en chier alors autant y aller jusqu’au bout.
Je ralentis l’allure pour voir si j’arrive à reprendre le dessus mais que ce soit en 4’30 ou 4’40, je sens que je n’y suis plus. Je passe le semi en 1h32, avec 2’ de retard sur l’objectif initial mais surtout dans un état de fatigue beaucoup plus grand que le semi de Boulogne que j’avais fini avec 5’ de mieux. Je ne comprends pas trop ce qui m’arrive, mais c’est bel et bien là. Voir le flot continu de coureur qui me dépasse n’aide pas à remonter le moral.
L’allure diminue inexorablement, mais ayant décidé de poursuivre, je prête plus attention à ce qui m’entoure : aux spectateurs qui ne cessent d’encourager les coureurs, je tape dans les mains de ceux qui tendent leurs mains. Les paysages avec Notre Dame qui se profile.
Inévitablement, je suis parfois obligé de marcher. Au début juste pour essayer de reposer la machine à l’approche des quais de Seine mais de plus en plus pour soulager les crampes qui commencèrent au mollet, puis aussi les quadriceps, sans oublier la cuisse. Et sur les deux jambes par soucis d’harmonie !! Sentir les différentes chaines musculaires se contracter, s’interroger sur celle qui va craquer la première puis sentir un petit coup de poignard, ca fait mal !
J’ai soif, j’ai mal, j’ai chaud. Les montées et descentes des quais de Seine ajoutent de la difficulté et de la douleur. Le tunnel avec ses illuminations est avec le recul et les vidéos sympathiques mais sur le moment, les lumières et la musique me font tourner la tête.
Je négocie avec mon corps pour qu’il reprenne sa marche en avant, mais c’est difficile. Les spectateurs m’exhortent à avancer : « Allez Sylvain ne lâche rien ». Belle idée de mettre les prénoms sur les dossards, ca aide de se sentir pousser. Mais rien n’y fait, je n’arrive pas à avancer.« Aller Sylvain, on redémarre, on avance », je rétorque au spectateur, que oui bientôt au prochain réverbère… « Non !! tout de suite, ca ne sert à rien d’attendre ». Et me voilà reparti en levant le pouce pour le remercier, en courant, l’entendant au loin continuer à m’encourager.
Je cours, le bois de Boulogne est là, l’arrivée se rapproche, les muscles se tendent, se crispent, se crampent, je marche, ils se détendent. Certains coureurs me donnent une tape dans l’épaule. Réconfort appréciable, belle solidarité.
J’en profite pour regarder le flot ininterrompu qui me dépasse. Ils sont concentrés, ils grimacent, ils marchent. Non, nous sommes concentrés vers notre objectif, nous souffrons, nous avançons. Je trouve ca beau.
C’est paradoxal, je souffre comme rarement, je n’avance que peu (mes habituels footing très lent sont plus rapide) mais je profite et j’apprécie.
Je m’arrête au stand Bretagne et prend un verre de Breizh Cola. Vu ma soif, il est vraiment salvateur. J’hésite à enchainer avec le cidre, mais finalement je passe trop vite devant le stand.
Pareil chez les cousins Alsaciens et des Bretzels. Celui qui tient le paquet courre à ma vitesse afin que je ne ralentisse pas mais que je puisse en profiter.
40ème, Déjà ? Finalement, ce n’était pas si long que ça
41ème, On est plus très loin. Toujours obligé de marcher pour faire passer les crampes. Dès que ca va un peu mieux, je repars de l’avant. Un coureur en forme s’époumone en réclamant le soutien du public et le public crie de plus en plus pour nous encourager sur la fin.
42ème, Les derniers virages arrivent. L’arche verte se dessine au loin avec l’arc de Triomphe en ligne de mire. Le public est encore plus présent et nous encourage toujours plus fort. A nouveau, je sens l’émotion arrivée. Certes je n’ai pas atteint mon objectif, mais putain je les ai fait ces 42 bornes. Et j’en suis fier !
Ensuite, récupération du T Shirt et de la médaille. Quelques appels et sms pour tenir au courant les proches. Quelques SMS pour savoir comment ça s’est passé pour les autres. Puis pendant de longues minutes, j’ai regardé ce flot de coureurs arrivés, sourire aux lèvres, commentant leur état, racontant leur marathon. C’était beau.
Au final, je finis en 3h36 très loin de mon objectif mais j'ai vécu un très beau moment.
Et ça vaut largement un objectif rempli !
Après à peine 1an de course à pied, je souhaitais faire un marathon avant mes 30ans.
Le contrat fut difficilement rempli en 3h42, mais m’avait fait bien mal tant physiquement et moralement. Un dégout de la distance voire de la course à pied. Plus jamais ça, m’étais-je dit et avais-je répété…
Avril 2013
Dans mon canapé, un dimanche matin à regarder le marathon de Paris. Voir le peloton avancer, entendre les spectateurs, avoir Paris pour soi sans voiture…. Et si finalement, je retournais faire un marathon ?
2014
L’inscription est validée, la prépa va débuter. J’ai pour objectif initial 3h15 mais les premiers ratios sont encourageants, et mes derniers chronos sur les distances inférieures m’incitent à essayer de tenter un coup. Et si j’arrivais à passer les 3h ?
La prépa se déroule bien, l’allure de 4’15 semble rapide mais les sensations sont bonnes et le cardio est stable lors de l’allure spécifique
6 avril 2014
Tous les voyants sont au vert. J’ai confiance en moi. Trop ? J’ai visualisé ma course. Imaginé mes difficultés au 30/35ème. Imaginé réussir à passer la douleur. Imaginé voir le chrono avec un 2 devant.
Je prends le RER assez tôt car j’aime bien avoir le temps et j’arrive vers 7h45 à Paris au niveau des consignes. Et là, je tombe sur Fabrice qui me fait un grand signe de la main et m’intègre dans son groupe d’amis présents au marathon.
Après les derniers préparatifs et dépôt à la consigne on se dirige vers la boutique Mont Blanc en haut des Champs Elysées où on retrouve d’autres membres du forum et du coach pour un moment convivial.
Puis descente des Champs avec François pour rejoindre nos SAS respectifs.
Me voilà seul dans le SAS, les coureurs sont concentrés et s’échauffent. Un gars sur l’abribus danse de manière bizarre, il fait beau, je souris.
8h35 : Coup de pistolet, départ des handisports, je sens une vague d’émotion irrépressible monter. Tous ces gens, avec le même objectif de vaincre le marathon, je trouve ca beau.
2minute après le départ, on commence à avancer. Je suis là où je veux être, je me suis préparé pour ça, et j’y crois.
Le départ est en descente, il fait beau, nous avons les Champs Elysées pour nous, un flot d’émotion me reprend. Sur ce 1er kilomètre je suis un peu trop rapide (4’08)
Au 2ème km, rue de Rivoli, je croise Philippe un gars avec qui je fais les foulées de Tom le mercredi soir à Metz. Il a récupéré un dossard à la dernière minute et s’était dit pourquoi pas. Ca me fait plaisir de le voir, même si ce n’est que quelques secondes. L’allure est trop rapide (4’04).
Je laisse le meneur d’allure partir, ca ne sert à rien de me griller. Je fais ma course.
Jusqu’au 10ème tout va bien, je bois à ma gourde tous les 2km ma boisson isotonique et je prends un gel plus de l’eau à chaque ravitaillement tous les 5km.Je profite du paysage que nous offre Paris. En plus la distance avec le meneur d’allure s’est stabilisée à 150/200m environ. Je lève le pouce pour les fanfares et les bénévoles. Je suis admiratif et félicite les binômes mal-voyants/guide que je croise.
Peu après, au niveau du bois de Vincennes, petite pause vidange auprès d’un arbre et j’ai un peu de mal à redémarrer. Bizarre.
Au 15ème, sensations de plus en plus étranges, les jambes semblent ne plus avoir de force. J’ai beau être dans les temps et même avoir une dizaine de seconde d’avance sur l’objectif, je sais que je ne l’atteindrai pas. Pire, je ne suis pas à la moitié de la course et je vais avoir des difficultés à avancer.
27kilomètres à faire, c’est long. Une fois encore une vague d’émotion revient, mais c’est de la tristesse et une grande déception qui me submergent.
Est-ce que ça vaut le coup de continuer ? Surtout avec la souffrance que je vais rencontrer. M’arrêter là encore bien ou avancer et souffrir ? Je me pose sincèrement la question.
Mais imaginer l’inquiétude de Mlle me suivant à distance de ne plus voir mes temps de passage, ainsi que sentir la présence des spectateurs et entendre leurs acclamations m’ont fait pencher vers la 2nde option. Puis, j’ai signé pour en chier alors autant y aller jusqu’au bout.
Je ralentis l’allure pour voir si j’arrive à reprendre le dessus mais que ce soit en 4’30 ou 4’40, je sens que je n’y suis plus. Je passe le semi en 1h32, avec 2’ de retard sur l’objectif initial mais surtout dans un état de fatigue beaucoup plus grand que le semi de Boulogne que j’avais fini avec 5’ de mieux. Je ne comprends pas trop ce qui m’arrive, mais c’est bel et bien là. Voir le flot continu de coureur qui me dépasse n’aide pas à remonter le moral.
L’allure diminue inexorablement, mais ayant décidé de poursuivre, je prête plus attention à ce qui m’entoure : aux spectateurs qui ne cessent d’encourager les coureurs, je tape dans les mains de ceux qui tendent leurs mains. Les paysages avec Notre Dame qui se profile.
Inévitablement, je suis parfois obligé de marcher. Au début juste pour essayer de reposer la machine à l’approche des quais de Seine mais de plus en plus pour soulager les crampes qui commencèrent au mollet, puis aussi les quadriceps, sans oublier la cuisse. Et sur les deux jambes par soucis d’harmonie !! Sentir les différentes chaines musculaires se contracter, s’interroger sur celle qui va craquer la première puis sentir un petit coup de poignard, ca fait mal !
J’ai soif, j’ai mal, j’ai chaud. Les montées et descentes des quais de Seine ajoutent de la difficulté et de la douleur. Le tunnel avec ses illuminations est avec le recul et les vidéos sympathiques mais sur le moment, les lumières et la musique me font tourner la tête.
Je négocie avec mon corps pour qu’il reprenne sa marche en avant, mais c’est difficile. Les spectateurs m’exhortent à avancer : « Allez Sylvain ne lâche rien ». Belle idée de mettre les prénoms sur les dossards, ca aide de se sentir pousser. Mais rien n’y fait, je n’arrive pas à avancer.« Aller Sylvain, on redémarre, on avance », je rétorque au spectateur, que oui bientôt au prochain réverbère… « Non !! tout de suite, ca ne sert à rien d’attendre ». Et me voilà reparti en levant le pouce pour le remercier, en courant, l’entendant au loin continuer à m’encourager.
Je cours, le bois de Boulogne est là, l’arrivée se rapproche, les muscles se tendent, se crispent, se crampent, je marche, ils se détendent. Certains coureurs me donnent une tape dans l’épaule. Réconfort appréciable, belle solidarité.
J’en profite pour regarder le flot ininterrompu qui me dépasse. Ils sont concentrés, ils grimacent, ils marchent. Non, nous sommes concentrés vers notre objectif, nous souffrons, nous avançons. Je trouve ca beau.
C’est paradoxal, je souffre comme rarement, je n’avance que peu (mes habituels footing très lent sont plus rapide) mais je profite et j’apprécie.
Je m’arrête au stand Bretagne et prend un verre de Breizh Cola. Vu ma soif, il est vraiment salvateur. J’hésite à enchainer avec le cidre, mais finalement je passe trop vite devant le stand.
Pareil chez les cousins Alsaciens et des Bretzels. Celui qui tient le paquet courre à ma vitesse afin que je ne ralentisse pas mais que je puisse en profiter.
40ème, Déjà ? Finalement, ce n’était pas si long que ça
41ème, On est plus très loin. Toujours obligé de marcher pour faire passer les crampes. Dès que ca va un peu mieux, je repars de l’avant. Un coureur en forme s’époumone en réclamant le soutien du public et le public crie de plus en plus pour nous encourager sur la fin.
42ème, Les derniers virages arrivent. L’arche verte se dessine au loin avec l’arc de Triomphe en ligne de mire. Le public est encore plus présent et nous encourage toujours plus fort. A nouveau, je sens l’émotion arrivée. Certes je n’ai pas atteint mon objectif, mais putain je les ai fait ces 42 bornes. Et j’en suis fier !
Ensuite, récupération du T Shirt et de la médaille. Quelques appels et sms pour tenir au courant les proches. Quelques SMS pour savoir comment ça s’est passé pour les autres. Puis pendant de longues minutes, j’ai regardé ce flot de coureurs arrivés, sourire aux lèvres, commentant leur état, racontant leur marathon. C’était beau.
Au final, je finis en 3h36 très loin de mon objectif mais j'ai vécu un très beau moment.
Et ça vaut largement un objectif rempli !
Last Edit:il y a 10 ans 7 mois
par Kodama
Dernière édition: il y a 10 ans 7 mois par Kodama.
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Réponse de taek78run sur le sujet Re: Marathon de Paris 2014 - Belle aventure
Posted il y a 10 ans 7 mois #305577
Félicitation Sylvain, toi aussi tu es un guerrier , j'ai couru ce marathon avec toi ! Quelle souffrance !
Difficile de savoir ce qui t'es arrivé mais tu m'as fait tellement vibrer lors du CR, que je me suis inscrit au tirage au sort pour le MDP 2015 alors que normalement je voulais courir un trail long !
Difficile de savoir ce qui t'es arrivé mais tu m'as fait tellement vibrer lors du CR, que je me suis inscrit au tirage au sort pour le MDP 2015 alors que normalement je voulais courir un trail long !
par taek78run
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Réponse de tarif sur le sujet Re: Marathon de Paris 2014 - Belle aventure
Posted il y a 10 ans 7 mois #305578
Chapeau
par tarif
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Réponse de fl001203 sur le sujet Re: Marathon de Paris 2014 - Belle aventure
Posted il y a 10 ans 7 mois #305601
Je ne pensais que tu avais souffert autant.
Merci pour ton CR et encore BRAVO pour ton chrono
Merci pour ton CR et encore BRAVO pour ton chrono
par fl001203
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Réponse de mattow56 sur le sujet Re: Marathon de Paris 2014 - Belle aventure
Posted il y a 10 ans 7 mois #305607
ET EN PLUS TU AS UN NOUVEAU RECORD
par mattow56
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Réponse de Seb35 sur le sujet Re: Marathon de Paris 2014 - Belle aventure
Posted il y a 10 ans 7 mois #305608
Impressionnant, quel courage d'être aller au bout, malgré un objectif devenu si rapidement inatteignable ! BRAVO !
Je n'arrive pas à bien comprendre ce qui peux expliquer une telle contre-performance. Je ne pense pas que ton objectif était trop ambitieux, alors le fameux jours "sans", la chaleur... Certains évoquent également la pollution parisienne. Ce serait bien de trouver la raison pour ceux qui courront leur marathon dans qq semaines !
Bonne récup' (en tout cas tu sembles tout faire pour vite récupérer, cf. ton suivi ).
Je n'arrive pas à bien comprendre ce qui peux expliquer une telle contre-performance. Je ne pense pas que ton objectif était trop ambitieux, alors le fameux jours "sans", la chaleur... Certains évoquent également la pollution parisienne. Ce serait bien de trouver la raison pour ceux qui courront leur marathon dans qq semaines !
Bonne récup' (en tout cas tu sembles tout faire pour vite récupérer, cf. ton suivi ).
par Seb35
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