Premier Semi Auray-Vannes
- kjeff
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Il est midi, ce 08 septembre 2013... La pluie commence à tomber sur Vannes, l'heure pour moi d'avaler mon Gatosport à la banane . Le stress commence à bien se faire sentir. En effet, une tendinite au genou contrarie mon entrainement et mon optimisme depuis 2 semaines.
Il est 14h00, mon sac est prêt, dernières vérifications avant le départ pour Pluneret. 20 minutes plus tard, je suis enfin dans le grand bain. Déjà plusieurs mois que j'attendais ce moment. Mais sur le moment, on se dit que la place sur le bords de la route n'est quand même pas si mal. Petit échauffement rapide pour voir si le genou tien. Un aller-retour jusqu'à l'église et hop un bisou à ma copine et c'est parti pour l'attente dans la zone de départ. Une sensation très étrange s'empare de moi, je suis seul face à mes incertitudes et je vois toutes ces personnes qui discutent, elles ne vont pas courir seules et l'ambiance est bonne enfant, surement moins de stress de leur coté.
15h00, Départ: sur une bonne musique de M -Le Mojo, le ton est donné. Plus de questions à se poser, on avance inexorablement vers la ligne de départ 3 minutes après les premiers. M'étant mis après la flamme des 2h10. Passage de la ligne, top départ sur la montre. Beaucoup de personnes autour, une vraie marée humaine, très impressionnante de l'intérieur. On se sent comme englouti par une déferlante. La je me dis, j'y suis pour de bon, il va falloir gérer pour terminer entier. Premier Rond point, soit 300m après le départ, Mario et son petit vélo commence déjà son spectacle. Je le voit me doubler sur la gauche avec un petit coup de klaxon! Ces premières minutes sont bien stressantes, d'ailleurs mon cardio m'indique 184 battements par minutes , du jamais vu à ce rythme. Je prends le parti de me caler à 100m de la flamme des 2h10. J'évite de me griller dans les premiers kilomètres et je cours au sensations. D'ailleurs, quand j'essaye d’allonger le pas, mon tendon me rappel de suite qu'il faut ralentir. Je sens bien qu'autour de moi, l’ambiance est bonne entre les différents groupes. à droite, à gauche les gens cours en couple ou entre amis, moi je suis seul mais j'en ai habitude car la préparation s'est faite seul, surement un avantage dans les prochains KM.
Km 4, passage du pont du Bono, le corps à bien pris le temps de chauffer sur un rythme de 6min/km. J'y suis passé un certain nombre de fois sur cette route, mais le passage de ce pont en courant sur route fermée est quand même particulier. En contre bas le petit port et le vieux pont... de l'autre coté, les rivières du Bono et d'Auray s’entremêlent. Y a pas à C****, le cadre de ce départ est quand même sympa... 1er Ravitaillement après un léger faut plat. Les tables de boissons énergétiques sont vides, pas de soucis, j'attrape un tube de gel que j'englouti et que je jette comme demandé dans les grandes poubelles mis à notre disposition. Je happe au passage une bouteille d'eau, 2 goulées, 1 lavage de bouche et c'est reparti. Maintenant, route vers Baden. Le stress est retombé, les sensations sont particulièrement bonnes, je suis enfin rassuré mais le plus dur est à venir, pour le moment, il n'y a pas eu de difficultés particulières. Je reste dans la roue d'une association qui cours pour des enfants handicapées. Quel beau geste et quel courage de pousser cette joelette sur 21km... Chapeau! J'arrive désormais au pied de la côte de Baden... plusieurs options s'offrent à moi, soit je maintien ma foulée, soit je la monte en marchant soit je raccourci mon pas. C'est cette dernière solution que je privilégie. Le monde est bel et bien présent sur le bord de la route pour nous encourager dans cette première difficulté. Des coureurs parti trop vite commencent à souffrir dans cette côte. Bien que courte, le pourcentage est assez élevé. Les spectateurs nous portent dans la montée qui nous amène dans le bourg de Baden. Quel plaisir...
Km 8, sortie de Baden avec ravitaillement en vue. Deuxième potion magique, de l'eau et c'est reparti sur un bon rythme de 5.40min/km. Le cœur fini enfin par comprendre que tout allait bien, le souffle est bon malgré les cigarettes que j'ai pu fumer le matin même (le stress). J'ai enfin trouvé le rythme qui me convenait. Un peu surpris à la sortie de Baden par la route emprunter... Il faut dire que cela fait quelque temps que je n'étais pas passé par là. Juste avant ToulBroch, premiers dégâts parmi les participants. Heureusement, l'organisation étant excellente, ils ne resteraient pas seuls longtemps sur le coté. Je me dis à ce moment que mon genou ne me gênera pas plus que ça, malgré la petite sensation de douleur, ça n'ira pas plus loin. Km 9, je reconnais enfin quelqu'un sur le bas coté, ma copine m'a rejoint sur le parcours. Une petite mimique de la tête et je continu toujours seul mais en bonne forme. J'entame la descente vers le moulin de Pomper. Jusque là, la route n'était pas trop monotone... A moi maintenant les grandes lignes droites.
Km 10, passage devant le temps intermédiaire à 1h03... soit temps réel de 1h sur la montre. Tout se passe encore pour le mieux. Arrivé au moulin de Pomper, le stress revient un peu car c'est la partie que j'appréhende le plus sur le parcours. une belle côte de 2 à 3 km. J'essaye de négocier intelligemment la montée dans le village du Moustoir. Toujours autant de personnes à nous supporter. Quel plaisir! La montée se passe pour le mieux jusqu'au ravitaillement, je donne une petite accélération pour éviter les coureurs qui s'arrêtent pour boire. C'est à ce moment que je double la flamme des 2h10 pour partir vers Botguelen . Un lègé faut plat au milieu des champs jusqu’au rond point de Ploeren Arradon au KM 15. Mon cerveau commence à se mettre en automatique! Je cours, je cours... Je ne pense plus à mon genou, je me dis qu'à ce stade, je ne peux que finir... Cette parti là je l'avais préparé,ça dois passer!
KM 16, Je suis au Botguelen... que de monde sur le bords de la route, à nous encourager, à nous tendre la main... Ca motive, c'est certain! Un peu de plat au niveau des ronds points avant d’attaquer la décente vers la tant redoutée côte du Vincin. Je suis porté par les encouragements, le rythme commence à s'accélérer sur ce final, je suis désormais à 5.30min/km. Je laisse ma foulée se faire dans la descente avant d'attaquer la côte. C'est surement comme l'Alpes d'Huez en cyclisme! Il n'y a pas moyen, je ne lâche rien, je suis bien et je sais qu'il ne me reste que 3 km sur mes routes d'entrainement. Il est venu le temps du dernier ravitaillement. Je prends mon dernier gel coup de fouet... deux gorgées d'eau et là, c'est la M.... J'ai avalé de l'air avec l'eau me provoquant un mal d'estomac que je vais conserver jusqu'à 'arrivé. La topologie du parcours, je la connais... petite descente jusqu'à l'école de Police puis remontée sur Kercado. Beaucoup de monde sur le bords de la route, La motivation est à son maximum, je ne peux rien lâcher!
Km20: c'est bientôt la fin, le moment d'apprécier les efforts accomplis. Je vois ma famille sur le bord de la route pour m'encourager... Je me fais crier dessus par mon père... Dernier coup de jus, bien plus efficace que n'importe quel gel coup de fouet! Passage devant Lesage, petit virage à droite, passage sous l'arche Ouest France... Ca y est, j'y suis... Dernier tour de stade, je tiens la corde et j'en profite pour accélérer encore un peu... Petit sprint dans la dernière ligne droite! 2h07 temps officiel au compteur, 2h03 sur ma montre... Je suis heureux!
Après la ligne: Le Stress retombe, le tonus aussi... Je parviens à rester debout, mais je n'est qu'une envie... boire comme 100% des autres coureurs. Je suis impressionner par certains et certaines qui malgré leur age ont plus que tenus. Chapeau. Récompense en main, Le BOL A OREILLES du 39ème Semi MARATHON AURAY VANNES en mains je retrouve ma famille et mon amie pour un apéro bien mérité.
L'année prochaine, c'est sûr, je remets ça.... Quelle belle expérience, que du plaisir!
ci joint export Nike+ vers Garmin Connect. Semi Auray Vannes Kjeff
Il est 14h00, mon sac est prêt, dernières vérifications avant le départ pour Pluneret. 20 minutes plus tard, je suis enfin dans le grand bain. Déjà plusieurs mois que j'attendais ce moment. Mais sur le moment, on se dit que la place sur le bords de la route n'est quand même pas si mal. Petit échauffement rapide pour voir si le genou tien. Un aller-retour jusqu'à l'église et hop un bisou à ma copine et c'est parti pour l'attente dans la zone de départ. Une sensation très étrange s'empare de moi, je suis seul face à mes incertitudes et je vois toutes ces personnes qui discutent, elles ne vont pas courir seules et l'ambiance est bonne enfant, surement moins de stress de leur coté.
15h00, Départ: sur une bonne musique de M -Le Mojo, le ton est donné. Plus de questions à se poser, on avance inexorablement vers la ligne de départ 3 minutes après les premiers. M'étant mis après la flamme des 2h10. Passage de la ligne, top départ sur la montre. Beaucoup de personnes autour, une vraie marée humaine, très impressionnante de l'intérieur. On se sent comme englouti par une déferlante. La je me dis, j'y suis pour de bon, il va falloir gérer pour terminer entier. Premier Rond point, soit 300m après le départ, Mario et son petit vélo commence déjà son spectacle. Je le voit me doubler sur la gauche avec un petit coup de klaxon! Ces premières minutes sont bien stressantes, d'ailleurs mon cardio m'indique 184 battements par minutes , du jamais vu à ce rythme. Je prends le parti de me caler à 100m de la flamme des 2h10. J'évite de me griller dans les premiers kilomètres et je cours au sensations. D'ailleurs, quand j'essaye d’allonger le pas, mon tendon me rappel de suite qu'il faut ralentir. Je sens bien qu'autour de moi, l’ambiance est bonne entre les différents groupes. à droite, à gauche les gens cours en couple ou entre amis, moi je suis seul mais j'en ai habitude car la préparation s'est faite seul, surement un avantage dans les prochains KM.
Km 4, passage du pont du Bono, le corps à bien pris le temps de chauffer sur un rythme de 6min/km. J'y suis passé un certain nombre de fois sur cette route, mais le passage de ce pont en courant sur route fermée est quand même particulier. En contre bas le petit port et le vieux pont... de l'autre coté, les rivières du Bono et d'Auray s’entremêlent. Y a pas à C****, le cadre de ce départ est quand même sympa... 1er Ravitaillement après un léger faut plat. Les tables de boissons énergétiques sont vides, pas de soucis, j'attrape un tube de gel que j'englouti et que je jette comme demandé dans les grandes poubelles mis à notre disposition. Je happe au passage une bouteille d'eau, 2 goulées, 1 lavage de bouche et c'est reparti. Maintenant, route vers Baden. Le stress est retombé, les sensations sont particulièrement bonnes, je suis enfin rassuré mais le plus dur est à venir, pour le moment, il n'y a pas eu de difficultés particulières. Je reste dans la roue d'une association qui cours pour des enfants handicapées. Quel beau geste et quel courage de pousser cette joelette sur 21km... Chapeau! J'arrive désormais au pied de la côte de Baden... plusieurs options s'offrent à moi, soit je maintien ma foulée, soit je la monte en marchant soit je raccourci mon pas. C'est cette dernière solution que je privilégie. Le monde est bel et bien présent sur le bord de la route pour nous encourager dans cette première difficulté. Des coureurs parti trop vite commencent à souffrir dans cette côte. Bien que courte, le pourcentage est assez élevé. Les spectateurs nous portent dans la montée qui nous amène dans le bourg de Baden. Quel plaisir...
Km 8, sortie de Baden avec ravitaillement en vue. Deuxième potion magique, de l'eau et c'est reparti sur un bon rythme de 5.40min/km. Le cœur fini enfin par comprendre que tout allait bien, le souffle est bon malgré les cigarettes que j'ai pu fumer le matin même (le stress). J'ai enfin trouvé le rythme qui me convenait. Un peu surpris à la sortie de Baden par la route emprunter... Il faut dire que cela fait quelque temps que je n'étais pas passé par là. Juste avant ToulBroch, premiers dégâts parmi les participants. Heureusement, l'organisation étant excellente, ils ne resteraient pas seuls longtemps sur le coté. Je me dis à ce moment que mon genou ne me gênera pas plus que ça, malgré la petite sensation de douleur, ça n'ira pas plus loin. Km 9, je reconnais enfin quelqu'un sur le bas coté, ma copine m'a rejoint sur le parcours. Une petite mimique de la tête et je continu toujours seul mais en bonne forme. J'entame la descente vers le moulin de Pomper. Jusque là, la route n'était pas trop monotone... A moi maintenant les grandes lignes droites.
Km 10, passage devant le temps intermédiaire à 1h03... soit temps réel de 1h sur la montre. Tout se passe encore pour le mieux. Arrivé au moulin de Pomper, le stress revient un peu car c'est la partie que j'appréhende le plus sur le parcours. une belle côte de 2 à 3 km. J'essaye de négocier intelligemment la montée dans le village du Moustoir. Toujours autant de personnes à nous supporter. Quel plaisir! La montée se passe pour le mieux jusqu'au ravitaillement, je donne une petite accélération pour éviter les coureurs qui s'arrêtent pour boire. C'est à ce moment que je double la flamme des 2h10 pour partir vers Botguelen . Un lègé faut plat au milieu des champs jusqu’au rond point de Ploeren Arradon au KM 15. Mon cerveau commence à se mettre en automatique! Je cours, je cours... Je ne pense plus à mon genou, je me dis qu'à ce stade, je ne peux que finir... Cette parti là je l'avais préparé,ça dois passer!
KM 16, Je suis au Botguelen... que de monde sur le bords de la route, à nous encourager, à nous tendre la main... Ca motive, c'est certain! Un peu de plat au niveau des ronds points avant d’attaquer la décente vers la tant redoutée côte du Vincin. Je suis porté par les encouragements, le rythme commence à s'accélérer sur ce final, je suis désormais à 5.30min/km. Je laisse ma foulée se faire dans la descente avant d'attaquer la côte. C'est surement comme l'Alpes d'Huez en cyclisme! Il n'y a pas moyen, je ne lâche rien, je suis bien et je sais qu'il ne me reste que 3 km sur mes routes d'entrainement. Il est venu le temps du dernier ravitaillement. Je prends mon dernier gel coup de fouet... deux gorgées d'eau et là, c'est la M.... J'ai avalé de l'air avec l'eau me provoquant un mal d'estomac que je vais conserver jusqu'à 'arrivé. La topologie du parcours, je la connais... petite descente jusqu'à l'école de Police puis remontée sur Kercado. Beaucoup de monde sur le bords de la route, La motivation est à son maximum, je ne peux rien lâcher!
Km20: c'est bientôt la fin, le moment d'apprécier les efforts accomplis. Je vois ma famille sur le bord de la route pour m'encourager... Je me fais crier dessus par mon père... Dernier coup de jus, bien plus efficace que n'importe quel gel coup de fouet! Passage devant Lesage, petit virage à droite, passage sous l'arche Ouest France... Ca y est, j'y suis... Dernier tour de stade, je tiens la corde et j'en profite pour accélérer encore un peu... Petit sprint dans la dernière ligne droite! 2h07 temps officiel au compteur, 2h03 sur ma montre... Je suis heureux!
Après la ligne: Le Stress retombe, le tonus aussi... Je parviens à rester debout, mais je n'est qu'une envie... boire comme 100% des autres coureurs. Je suis impressionner par certains et certaines qui malgré leur age ont plus que tenus. Chapeau. Récompense en main, Le BOL A OREILLES du 39ème Semi MARATHON AURAY VANNES en mains je retrouve ma famille et mon amie pour un apéro bien mérité.
L'année prochaine, c'est sûr, je remets ça.... Quelle belle expérience, que du plaisir!
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Last Edit:il y a 11 ans 2 mois
par kjeff
Dernière édition: il y a 11 ans 2 mois par kjeff.
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- leoxav
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- Golden runner's
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bravo a toi pour ce 1er semi, superbe course et merci de faire partager tes sensations !
par leoxav
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- Seb35
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Bravo à toi pour cette jolie course ! Ton récit respire le plaisir de courir ! Hier j'étais également sur cette course, et il faut bien avouer qu'elle est super plaisante à courir. Quel public !
par Seb35
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- Cousto91
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Trop sympa ta course !
J'adore des récits comme le tiens, on s'y croierait.
Récupère bien maintenant et pense à ton genou
J'adore des récits comme le tiens, on s'y croierait.
Récupère bien maintenant et pense à ton genou
par Cousto91
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- kjeff
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- Remerciements reçus 1
Cousto91 écrit:
Merci, c'est sympa... La nuit n'a pas été reposante... Je crois que j'ai dû me refaire la course dans la tête...
Première course en compétition et excellente expérience que je conseille à tout le monde!
J'adore des récits comme le tiens, on s'y croierait.
Merci, c'est sympa... La nuit n'a pas été reposante... Je crois que j'ai dû me refaire la course dans la tête...
Première course en compétition et excellente expérience que je conseille à tout le monde!
par kjeff
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- Aquila
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- Messages : 1893
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Chouette première et chouette récit! Merci de le partager avec nous!
Tu as vu comme on est sensible dans ces moments-là? Rien qu'un regard bienveillant de la part d'un inconnu au bord de la route et hop! ça repart. Génial!
Bonne récupération, maintenant. Et surtout soigne ta tendinite, c'est teigneux ces bestioles!
Tu as vu comme on est sensible dans ces moments-là? Rien qu'un regard bienveillant de la part d'un inconnu au bord de la route et hop! ça repart. Génial!
Bonne récupération, maintenant. Et surtout soigne ta tendinite, c'est teigneux ces bestioles!
par Aquila
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