Le plaisir, la souffrance et le bonheur !
- james20
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Le plaisir, la souffrance et le bonheur ! a été créé par james20
Posted il y a 11 ans 6 mois #238396
Dimanche 12 mai 2013 : c’est le grand jour. Mon premier marathon, la Route du Louvre, qui part de Lille pour arriver à Loos-en-Gohelle, près de Lens. C’est le marathon du ch’Nord, mins gins Depuis le temps que j’en rêvais !
Quand j’entendais quelqu’un dire qu’il avait fait un marathon, j’étais admiratif et je me disais : comment arrive-t-on à courir 42km ! Je souhaitais tant y arriver moi-même.
Mes enfants grandissant, j’ai tenté plusieurs fois de me mettre à la course à pied mais hélas, à cause de problèmes aux genoux (les muscles les soutenant n’étaient pas assez costauds), je ne pouvais pas courir plus de 15 min. La seule solution était de me mettre à la gym et à la natation, les séances de kiné n’étant pas suffisantes. Ce que j’ai fait durant 2 ans. J’y prenais du plaisir mais dans la tête, je voulais toujours courir à pied.
A 42 ans, j’ai pu enfin courir sans douleur : quelle joie ! Bien vite, l’envie de faire des courses de se fit jour. J’ai participé à plusieurs 10 km puis des semi-marathons.
Au bout de 2 ans de pratique assidue, en suivant les conseils de CCAP et du forum, je me suis dit que j’allais pouvoir tenter la grande aventure : le mythique marathon!
Après un hiver où l’endurance a été fort présente, avec un peu de VMA, j’ai commencé un plan que je pensais de 12 semaines (en fait, il a été de 11), avec 3 à 4 entrainements par semaine.
Il a été un peu chaotique à cause de la neige, de mon erreur d’une semaine qui m’a fait louper une semaine importante avec une sortie longue, et d’une trachéite il y a 3 semaines. Toutefois, le gros du travail a pu être fait
Un ami, un peu meilleur que moi en course à pied, s’engagea lui aussi pour son premier marathon. On s’est dit de rester le plus longtemps possible ensemble et de partir prudemment ! On espère finir en moins de 4 H.
Une petite anxiété est là mais je relative en me disant que je fais ça par plaisir, que ce n’est pas pour des gnognotes que je me suis tant entraîné : il faut que ça serve, nom d’un chien ! Vous m’avez aussi encouragé sur mon suivi, merci !
Arrive donc ce fameux 12 mai ! Je n’ai pas bien dormi. Heureusement, la nuit précédente, j’avais pu récupérer de ma semaine. Je mange un gâteau sport fait maison avec un café.
Je passe prendre le copain sur ma route, il a un quart d’heure de retard ! Un peu plus de stress, mais il y a plus grave dans la vie !! Et nous avions été chercher les dossards l’avant-veille
On se dépêche pour se garer, laisser notre sac à la consigne et rejoindre la ligne de départ en trottinant pour s’échauffer. On a même le temps de faire un petit pipi pour s’alléger et gagner 1" au km !!
Il ne fait que 9° au départ, c’est positif pour la FC et il ne pleut plus. Il y a juste le vent, qui sera assez fort et surtout de face une grande partie du parcours.
On se place au début du dernier tiers (il y a près de 1600 inscrits) et cinq minutes plus tard, le stater retentit ! L’aventure commence !
On part très prudemment, histoire de s’échauffer plus sérieusement et après 1 km 1/2, je prends l’allure de 5’25-5’30 au km (11 km/h).
Bizarrement, les 10 premiers kms, je n’ai pas de très bonnes sensations malgré une FC à 81-82% et une allure correcte.
Ensuite, ça va mieux. Je fais attention à ma foulée, j’essaie d’économiser les gestes. On se retrouve avec un bon petit groupe très régulier, qui va à la même allure que nous. On se ravitaille bien, on s’arrête juste 2 secondes ou on prend les gobelets en passant. Je n’ai pas bcp de gels avec moi, je prends donc quelques fruits secs : ce n’est pas idéal pour les digérer en courant
Avec mon copain et les autres coureurs, on parle un peu. L’ambiance est superbe, quelques coureurs déguisés, beaucoup d’animations dans les traversées des villes.
La FC monte régulièrement et à mi-course, j’arrive à 86 %. C’est sans doute un poil trop haut mais si je laisse filer le groupe et mon ami, je sais que je vais prendre un coup au moral et la fin sera très difficile. Je me sens bien, je n’en fait pas de trop.
On passe au premier semi en 1h55, dans les temps pour arriver en 3h50 et quelques minutes car on nous a prévenu que la fin est bien montante !
On se relaie face au vent : pour être honnête, je suis plus souvent derrière que devant. Mon copain est prudent, il veut rester le plus longtemps possible avec moi mais je sais qu’il pourrait aller un peu plus vite.
Alerte vers le km 28 : j’ai un début de crampes en haut des mollets… Je n’ai jamais de crampes. Mais c’est vrai : je n’ai jamais couru plus de 25 kms non plus ! Aie : si ça s’aggrave, comment je pourrais tenir ? Je cours quelques mètres en changeant mes mouvements, je masse 3 secondes. Ca a l’air de passer…
Je bois très régulièrement mais est-ce suffisant ? Je transpire toujours plus que les autres.
Au 30ème, je me rappelle ce que j’ai lu sur les forums de CCAP : la vraie course commence !
Les kilomètres défilent, toujours à la même allure : entre 5’20 et 5’30 au km. Ca va bien. On dépasse beaucoup de coureurs partis sans doute un poil trop vite. Certains marchent dès le 25ème km, je pense que la fin sera longue pour eux...
La FC ne monte plus vraiment même si elle est un poil haute, je suis autour de 87% au 35ème km. Après ça, j’ai arrêté de la regarder.
On arrive à un long faux-plat avec le vent qui se renforce encore. Notre groupe commence à se désunir : certains accélèrent légèrement. Mon copain m’encourage mais je lui dit de ne pas m’attendre, d’autres ne peuvent suivre. Je suis entre les deux. Je me sens étrangement bien à ce moment là : je me dis qu’il ne reste plus que 5 kms, je dépasse encore pas mal de coureurs…
Et puis survint le drame (bon, faut pas exagérer, Manu, tout de même ) : plus rien ou presque dans les jambes ! Les crampes en haut des mollets reviennent, plus fortes que tout à l’heure. Qui plus est, j’attrape une barre au ventre et des soucis gastriques Je suis obligé de ralentir puis de marcher à deux reprises 30 mètres. Je ne voulais pas surement par fierté, mais je ne pouvais pas faire autrement..
.
Je pense fort à ma femme et mes enfants (ils ne peuvent venir ce jour, hélas), à mes proches et aussi aux membres du forum qui ont déjà connu ça. Je repars les 2 fois en serrant les dents. Les encouragements du public par notre prénom font du bien également. Je m’arrache comme je peux (je verrai sur ma montre que je suis passé de 5’30 à 6’20 puis 7’15).
Il faut aussi que je vous dise : ça monte fort ! Ah les sadiques : mettre une telle côte après 40 kms !!
La fin est interminable, je ne vois plus grand-chose. Pas mal de coureurs me dépassent à leur tour. Les derniers 300 mètres, j’arrive à accélérer un peu. Je ne sais pas où je trouve cette énergie !
Je lève les deux index en passant la ligne, je suis tellement heureux et fier, après tous ces efforts, d’avoir fini mon marathon !
J’oublie 5 secondes d’arrêter mon chrono. Je vois 3h56 et je suis content d’être en dessous de 4h. Une dame me met la médaille autour du coup. Sans doute était-elle jolie !!
Mon pote m’attend : il est arrivé 4 minutes avant moi. On se congratule.
Je m’assieds : j’ai du mal à retirer la puce de la chaussure et surtout à me relever !!
On récupère le sac souvenir avec le beau maillot « Finisher » ;
En sortant de l’aire d’arrivée, quelqu’un m’interpelle : est-ce la police ? Non, c’est Rémi (Rémiliens) qui a participé au 10 km au matin. C’est vraiment sympa d’avoir attendu. On discute de nos courses 10 minutes. Au plaisir, Rémi
Juste après l'arrivée, je m’étais dit « plus de marathon, plus jamais ! » Mais aujourd’hui, je sais que j’en referai . C’est une si belle course, qui permet de repousser ses limites. Et c'est une expérience humaine magnifique
Merci de m'avoir lu !
Quand j’entendais quelqu’un dire qu’il avait fait un marathon, j’étais admiratif et je me disais : comment arrive-t-on à courir 42km ! Je souhaitais tant y arriver moi-même.
Mes enfants grandissant, j’ai tenté plusieurs fois de me mettre à la course à pied mais hélas, à cause de problèmes aux genoux (les muscles les soutenant n’étaient pas assez costauds), je ne pouvais pas courir plus de 15 min. La seule solution était de me mettre à la gym et à la natation, les séances de kiné n’étant pas suffisantes. Ce que j’ai fait durant 2 ans. J’y prenais du plaisir mais dans la tête, je voulais toujours courir à pied.
A 42 ans, j’ai pu enfin courir sans douleur : quelle joie ! Bien vite, l’envie de faire des courses de se fit jour. J’ai participé à plusieurs 10 km puis des semi-marathons.
Au bout de 2 ans de pratique assidue, en suivant les conseils de CCAP et du forum, je me suis dit que j’allais pouvoir tenter la grande aventure : le mythique marathon!
Après un hiver où l’endurance a été fort présente, avec un peu de VMA, j’ai commencé un plan que je pensais de 12 semaines (en fait, il a été de 11), avec 3 à 4 entrainements par semaine.
Il a été un peu chaotique à cause de la neige, de mon erreur d’une semaine qui m’a fait louper une semaine importante avec une sortie longue, et d’une trachéite il y a 3 semaines. Toutefois, le gros du travail a pu être fait
Un ami, un peu meilleur que moi en course à pied, s’engagea lui aussi pour son premier marathon. On s’est dit de rester le plus longtemps possible ensemble et de partir prudemment ! On espère finir en moins de 4 H.
Une petite anxiété est là mais je relative en me disant que je fais ça par plaisir, que ce n’est pas pour des gnognotes que je me suis tant entraîné : il faut que ça serve, nom d’un chien ! Vous m’avez aussi encouragé sur mon suivi, merci !
Arrive donc ce fameux 12 mai ! Je n’ai pas bien dormi. Heureusement, la nuit précédente, j’avais pu récupérer de ma semaine. Je mange un gâteau sport fait maison avec un café.
Je passe prendre le copain sur ma route, il a un quart d’heure de retard ! Un peu plus de stress, mais il y a plus grave dans la vie !! Et nous avions été chercher les dossards l’avant-veille
On se dépêche pour se garer, laisser notre sac à la consigne et rejoindre la ligne de départ en trottinant pour s’échauffer. On a même le temps de faire un petit pipi pour s’alléger et gagner 1" au km !!
Il ne fait que 9° au départ, c’est positif pour la FC et il ne pleut plus. Il y a juste le vent, qui sera assez fort et surtout de face une grande partie du parcours.
On se place au début du dernier tiers (il y a près de 1600 inscrits) et cinq minutes plus tard, le stater retentit ! L’aventure commence !
On part très prudemment, histoire de s’échauffer plus sérieusement et après 1 km 1/2, je prends l’allure de 5’25-5’30 au km (11 km/h).
Bizarrement, les 10 premiers kms, je n’ai pas de très bonnes sensations malgré une FC à 81-82% et une allure correcte.
Ensuite, ça va mieux. Je fais attention à ma foulée, j’essaie d’économiser les gestes. On se retrouve avec un bon petit groupe très régulier, qui va à la même allure que nous. On se ravitaille bien, on s’arrête juste 2 secondes ou on prend les gobelets en passant. Je n’ai pas bcp de gels avec moi, je prends donc quelques fruits secs : ce n’est pas idéal pour les digérer en courant
Avec mon copain et les autres coureurs, on parle un peu. L’ambiance est superbe, quelques coureurs déguisés, beaucoup d’animations dans les traversées des villes.
La FC monte régulièrement et à mi-course, j’arrive à 86 %. C’est sans doute un poil trop haut mais si je laisse filer le groupe et mon ami, je sais que je vais prendre un coup au moral et la fin sera très difficile. Je me sens bien, je n’en fait pas de trop.
On passe au premier semi en 1h55, dans les temps pour arriver en 3h50 et quelques minutes car on nous a prévenu que la fin est bien montante !
On se relaie face au vent : pour être honnête, je suis plus souvent derrière que devant. Mon copain est prudent, il veut rester le plus longtemps possible avec moi mais je sais qu’il pourrait aller un peu plus vite.
Alerte vers le km 28 : j’ai un début de crampes en haut des mollets… Je n’ai jamais de crampes. Mais c’est vrai : je n’ai jamais couru plus de 25 kms non plus ! Aie : si ça s’aggrave, comment je pourrais tenir ? Je cours quelques mètres en changeant mes mouvements, je masse 3 secondes. Ca a l’air de passer…
Je bois très régulièrement mais est-ce suffisant ? Je transpire toujours plus que les autres.
Au 30ème, je me rappelle ce que j’ai lu sur les forums de CCAP : la vraie course commence !
Les kilomètres défilent, toujours à la même allure : entre 5’20 et 5’30 au km. Ca va bien. On dépasse beaucoup de coureurs partis sans doute un poil trop vite. Certains marchent dès le 25ème km, je pense que la fin sera longue pour eux...
La FC ne monte plus vraiment même si elle est un poil haute, je suis autour de 87% au 35ème km. Après ça, j’ai arrêté de la regarder.
On arrive à un long faux-plat avec le vent qui se renforce encore. Notre groupe commence à se désunir : certains accélèrent légèrement. Mon copain m’encourage mais je lui dit de ne pas m’attendre, d’autres ne peuvent suivre. Je suis entre les deux. Je me sens étrangement bien à ce moment là : je me dis qu’il ne reste plus que 5 kms, je dépasse encore pas mal de coureurs…
Et puis survint le drame (bon, faut pas exagérer, Manu, tout de même ) : plus rien ou presque dans les jambes ! Les crampes en haut des mollets reviennent, plus fortes que tout à l’heure. Qui plus est, j’attrape une barre au ventre et des soucis gastriques Je suis obligé de ralentir puis de marcher à deux reprises 30 mètres. Je ne voulais pas surement par fierté, mais je ne pouvais pas faire autrement..
.
Je pense fort à ma femme et mes enfants (ils ne peuvent venir ce jour, hélas), à mes proches et aussi aux membres du forum qui ont déjà connu ça. Je repars les 2 fois en serrant les dents. Les encouragements du public par notre prénom font du bien également. Je m’arrache comme je peux (je verrai sur ma montre que je suis passé de 5’30 à 6’20 puis 7’15).
Il faut aussi que je vous dise : ça monte fort ! Ah les sadiques : mettre une telle côte après 40 kms !!
La fin est interminable, je ne vois plus grand-chose. Pas mal de coureurs me dépassent à leur tour. Les derniers 300 mètres, j’arrive à accélérer un peu. Je ne sais pas où je trouve cette énergie !
Je lève les deux index en passant la ligne, je suis tellement heureux et fier, après tous ces efforts, d’avoir fini mon marathon !
J’oublie 5 secondes d’arrêter mon chrono. Je vois 3h56 et je suis content d’être en dessous de 4h. Une dame me met la médaille autour du coup. Sans doute était-elle jolie !!
Mon pote m’attend : il est arrivé 4 minutes avant moi. On se congratule.
Je m’assieds : j’ai du mal à retirer la puce de la chaussure et surtout à me relever !!
On récupère le sac souvenir avec le beau maillot « Finisher » ;
En sortant de l’aire d’arrivée, quelqu’un m’interpelle : est-ce la police ? Non, c’est Rémi (Rémiliens) qui a participé au 10 km au matin. C’est vraiment sympa d’avoir attendu. On discute de nos courses 10 minutes. Au plaisir, Rémi
Juste après l'arrivée, je m’étais dit « plus de marathon, plus jamais ! » Mais aujourd’hui, je sais que j’en referai . C’est une si belle course, qui permet de repousser ses limites. Et c'est une expérience humaine magnifique
Merci de m'avoir lu !
Last Edit:il y a 11 ans 6 mois
par james20
Dernière édition: il y a 11 ans 6 mois par james20.
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- taek78run
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Réponse de taek78run sur le sujet Re: Le plaisir, la souffrance et le bonheur !
Posted il y a 11 ans 6 mois #238419
Bravo James pour ta persévérance ! Toutes cette prépa post-marathon que tu décris depuis tes débuts en cap jusqu'au marathon force le respect. Et félicitation pour ta belle performance , sous les 4H pour un 1er marathon ! Bonne récup.
par taek78run
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- dule66
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Réponse de dule66 sur le sujet Re: Le plaisir, la souffrance et le bonheur !
Posted il y a 11 ans 6 mois #238432
Oui, bravo, et respect !
Merci pour ce CR !
Je suis une ancienne ch'ti et tu as couru dans mon coin. Vu des PO ça fait plaisir !
Bonne récup, maintenant !
Merci pour ce CR !
Je suis une ancienne ch'ti et tu as couru dans mon coin. Vu des PO ça fait plaisir !
Bonne récup, maintenant !
par dule66
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- Aquila
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Réponse de Aquila sur le sujet Re: Le plaisir, la souffrance et le bonheur !
Posted il y a 11 ans 6 mois #238435
Merci d'avoir partagé ceci avec nous. On voit bien que ta "carrière" de marathonien n'a pas commencé sur la ligne de départ ni avec ton plan d'entraînement, mais il y a quelques années, avec ton combat pour pouvoir faire de la CAP. Félicitations et respect! Ca donne envie...
Au fait, je ne sais pas si le café au petit déjeuner est une bonne idée. Les longues distances ne sont pas très clémentes envers l'appareil digestif, alors peut-être vaut-il mieux ne boire que des choses digestes et utiles.
Au fait, je ne sais pas si le café au petit déjeuner est une bonne idée. Les longues distances ne sont pas très clémentes envers l'appareil digestif, alors peut-être vaut-il mieux ne boire que des choses digestes et utiles.
par Aquila
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- Hisoka88
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Réponse de Hisoka88 sur le sujet Re: Le plaisir, la souffrance et le bonheur !
Posted il y a 11 ans 6 mois #238439
Merci pour ton CR très agréable à lire !
On peut dire que tu l'as voulu ce marathon, ça fait pas mal d'années de prépa pour y arriver.
Finalement tu l'as fait et dans un temps très correct, maintenant tu auras des vrais repères pour le prochain.
Bonne récup !
On peut dire que tu l'as voulu ce marathon, ça fait pas mal d'années de prépa pour y arriver.
Finalement tu l'as fait et dans un temps très correct, maintenant tu auras des vrais repères pour le prochain.
Bonne récup !
par Hisoka88
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- pseudoblogeus
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Réponse de pseudoblogeus sur le sujet Re: Le plaisir, la souffrance et le bonheur !
Posted il y a 11 ans 6 mois #238458
Bravo ! C'est beau ce que tu as fait. Passer en 2 ans de ne pas pouvoir courir + de 15 minutes à finir un marathon en moins de 4h, je trouve que c'est une belle perfhistoire (à mi-chemin entre la belle performance et la belle histoire).
Bonnes continuations !
Bonnes continuations !
par pseudoblogeus
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