Récit des courses du mois d'avril 2009

Dimanche 5 avril 2009 Paris
8h30
Il fait frais mais beau sur Paris. Le temps idéal pour une ballade dans les rues de Paris.
Après avoir galéré pour déposer mon sac au vestiaire, je pénètre dans le sas réservé au personne qui vise 3h30. Je vise 3h45 mais je préfère faire le départ avec des participants plus rapide pour ne pas avoir à piétiner dans les premiers kms.
Devant moi, l’avenue des Champs Elysées. Autour de moi, des français des américains, des espagnols. Tout le monde semble détendu malgré le stress qui nous envahit tous. Je suis ravi que l’instant que j’attends depuis 1 an soit arrivé.
Plus que 2 mn avant le départ. L’organisation lance Vangélis dans les enceintes. Rien de tel pour faire monter la tension. C’est très bon. Ca y est, on y est. Le coup de feu raisonne au loin. Les champions partent. Il va falloir patienter un peu que les dizaines de milliers de personnes devant moi partent pour pouvoir commencer à avancer. L’excitation est palpable autour de moi. 7 minutes plus tard, je passe la ligne de départ. A moi Paris…c’est parti pour 42,195kms. Enfin j’espère !
La descente des champs se fait très bien. Mais très rapidement, rue de Rivoli, ça frotte. C’est ma 1ère préoccupation : ne pas se prendre les pieds dans le tapis.
Les kms s’enchainent sans trop de problèmes à part la cohue des ravitaillements et un goulot d étranglement à Bastille qui nous oblige à marcher pendant au moins 1mn. J’enrage. Déjà 1 min de perdu par rapport à mon plan de marche.
La première difficulté se trouve au 10ème km à l’entrée du bois de Vincennes. Une côte courte mais qui fait du mal. De plus, une envie de faire pipi me prend. J’en profite pour faire un arrêt rapide dans le bois. 40 secondes de plus de perdu. Pour l’instant mes temps de passages sont globalement réguliers (5 : 20 au km). Cependant le temps perdu dans les embouteillages et les pauses pipi devra être rattrapé à un moment. Je décide de ne pas m’affoler. La course est encore longue. Je traverse donc le bois sans changer mon allure malgré l’engouement général. Tout le monde me double. Surtout ne pas suivre tout ce petit monde. Beaucoup d’entre eux le paierons plus tard. L’ambiance dans le bois est particulière. Peu de spectateurs, peu d’orchestre, les oiseaux qui chantent. On entend uniquement le bruit des baskets qui foule le bitume. Ce passage me paraît long. J’ai hâte de sortir du bois et de revoir la foule.
C’est chose faite après une longue descente qui fait du bien. L’arche gonflable annonçant les 21.1 km se profile au loin. C’est l’occasion pour moi de diminuer ma cadence et de m’alimenter correctement. A ce stade un point rapide s’impose sur mon état de forme : A part des légères tensions aux mollets, jusqu’ici tout va bien. Mon cardiofréquencemètre affiche 85%. Le retour dans Paris fait du bien. Au 22ème, je me fais doubler par le meneur d’allure de 3h45. Je décide de lui emboiter le pas. Très rapidement, je constate que bizarrement son allure est assez élevée. Mais ce qui me fait le plus peur, c’est l’amassement de personnes autour du meneur. Mes craintes sont rapidement justifiées puisque un concurrent derrière moi me fait involontairement un croche pieds. Grosse frayeur. Je décide de lever le pied et de laisser s’éloigner tout ce beau monde.
L’entrée sur les quais au 25ème marque un tournant dans ma course. Tout d’abord le soleil se lève. Il commence à faire chaud. Cela ce ressent car de nombreux coureurs sont au ralenti. Pour eux la fin de la course risque d’être dure. Ensuite, nous avons droit à une série de tunnels. En particulier celui des Tuileries qui est mesure environ 800 m. A l’intérieur il fait chaud et sombre. Arrivé à la moitié du tunnel, j’assiste à quelque chose de surprenant : une holà vocale. Loin derrière moi, j’entends des cris. Le bruit s’approche de plus en plus pour finalement arrivé à mon niveau et enfin s’éloigner. Le tout dans une résonnance qui me dresse les poils sur les bras. Extra. La sortie de ce tunnel est terrible. La cote est vraiment casse pâtes. J’extériorise mon premier signe de douleur. Quelques dizaines de mètres plus tard je ne ressens plus rien et je reprends mon allure. Il en sera de même à chaque tunnel. Heureusement au 28ème km, Adélaïde et Félicie sont là pour m’encourager. Psychologiquement, cela fait du bien. Je vais en avoir besoin car dans quelques centaines de mètres je vais rentrer dans l’inconnu. Jamais je n’ai fait plus de 29 km. Je serai comme un navigateur qui part à la découverte du nouveau monde.
A ce moment là, je me sens plutôt bien. Le passage du 30ème se passe bien. Il n’en est pas de même pour tout le monde. Il y a de plus en plus coureurs qui marchent sur le bord de la route. Je maintiens mon allure jusqu’au 32ème. . A ce stade je décide de faire une entorse à mon plan de base : anticiper de 5 km mon changement de rythme. J’accélère légèrement. Le peloton étant étiré et l’allure de beaucoup de coureurs ayant considérablement baissée, je double sans difficulté. A mon niveau, un sud américain avec un walkman chante très fort et très faux. Il me casse les oreilles. Heureusement, un faux plat montant aura raison de lui.
Les kms s’enchainent bien mais je commence à avoir mal aux cuisses puis aux fesses. Un peu comme si la douleur montait progressivement. Malgré cela, mon allure reste stable. Je suis en train de rattraper le temps perdu en début de course. Mon cardio augmente légèrement sans partir à la dérive. C’est dur mais j’y crois.
Mes espoirs vont s’effondrer au 38ème. Cela devient très difficile de tenir la cadence. Très rapidement cela deviendra impossible. La tête dit oui mais le corps dit non. Je sens que je vais payer cher mon anticipation du 32ème. Sur le bord de la route beaucoup de coureurs s’étirent. D’autres se font masser. Je ne compte même plus les coureurs au ralenti. C’est l’hécatombe. C’est con mais ça rassure de voir les autres plus mal que soit. Peu avant le 40ème un virage à droite va venir à bout de moi. Je n’arrive plus à relancer. Je commence à penser tout haut. J’extériorise des « ailles » et des « ouilles ».A partir de ce moment mon allure va chuter. Mes douleurs remontent jusque dans le ventre. Un peu comme la gangrène qui partirait des pieds pour monter dans tout le corps. Il faut que je me dépêche d’arriver avant que cela n’atteigne le cœur et la tête me dis-je en rigolant.
Le mental, c’est tout ce qui me reste pour avaler les 3 derniers kms. Au dernier ravitaillement c’est un joyeux bordel. Des coureurs ayant manifestement perdu toute lucidité change de cap soudainement pour aller chercher une éponge ou un fruit. Au loin, une ambulance essaie de se frayer un chemin. Il faut slalomer dans tout ce merdier. Ca devient très dur. A ce moment là je ne pense plus qu’à une chose : l’arrivée. Je regarde droit devant moi espérant apercevoir le bout du bois. Heureusement, la porte dauphine pointe le bout de son nez. Après le rond point c’est l’avenue Foch et l’arrivée. Les spectateurs sont nombreux. Des gens que je ne connais pas m’encouragent. Ca fait chaud au cœur. A droite, c’est l’avenue Foch. Au moment où j’aperçois l’arrivée l’émotion me tire des larmes. Les 100 derniers mètres sont un vrai bonheur. Vingt mètres avant la ligne d’arrivée je regarde mon chrono. 3 h 49 : 45. Je trouve des ultimes forces pour accélérer afin de finir en dessous de 3 h 50. C’est fait 3h 49 : 56. Ca y est, je suis marathonien. Malgré les 5 mn de plus par rapport à mon plan je suis rempli de joie. C’est que du bonheur. Maintenant je comprends la sensation unique que l'on avait essayé de me décrire plusieurs fois : c'est dur, mais qu'est ce que c'est bon!
Je tiens à remercier tout les personnes qui m'ont soutenu pendant la préparation et la course, et tout particulièrement Adélaïde pour sa disponibilité et sa compréhension. Merci aussi à Laure pour son dossard du semi de Paris.

marathon de nantes 2009
départ 9h00 sous le crachin et dans le froid, pas mal d'apréhension pour ce retour sur la route et après 3 derniers semaines de préparation pas mal écorchées:( .
je fais la course avec 2 collègues de valeur intrasèque plus fort que moi mais qui m'ont promis de rester avec moi jusqu'au semi car ils ont peur de partir trop vite et d'exploser.... et ils savent que je suis une locomotive hyper régulière
dès le départ on prend un rythme légerement supérieur au 4'35/km prévu mais meme en se freinant les kms tombent les uns après les autres un peu trop rapide... ce qui m'inquiète un peu car j'attend le coup de bambou!!! les jambes suivent bien, le souffle est nickel je m'alimente et bois bien...
kms10: 44'47" au lieu de 45'50 aucun souci
10 au 15 en 22'56
15 au 20 en 22'20" toujours un peu vite mais tous les voyants sont au vert, passage au semi en 1h35'10" ce qui fait 2'20" d'avance sur les 3h15' prévus. mes collègues n'accélerent pas, on reste au rythme. j'espere arriver au 30ème sans souffrir plus car je sais qu'après il ne reste qu'une heure de course donc la tete fera le reste.... au 28 eme le groupe se sépare , un qui accélere et un qui explose....
20 au 25: 22'44
25 au 30: 22'36" toujours hyper régulier et au 30ème aucune souffrance , meme pas mal aux jambes !!! je commence à vouloir accélérer mais je me retiens ... toujours la peur du coup de bambou:laugh:
30 au 35: 22'17 j'ai quand meme un peu accélerer et le coup dur arrive au 34 ème, la douleur commence à s'insinuer et les efforts pour tenir le rythme sont plus intenses...
35 à 40: 22'52 je suis dans le rouge pour tenir le rythme mais la tete est forte et je rattrape mon 1er collègue.... (ça le vexe ) je lache les chevaux pour essayer de le lacher , on finit à quasiment 15 km/h sur les 3 derniers kilos, et il m'explose dans le dernier il avait encore des ressources le bougre!!!!
bilan : 3h10' 00" pile poil!!! temps inespéré 5' de gagner sur les prévisions les plus optimistes !!! les jambes sont explosées mais au final bilan tres positif avec juste 6/7 kms de dur .....
merci Gilles et le site pour tous ces précieux conseils..........
place à la récup et retour au trail !!!!
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Marathon de Nantes
Salut de la part d'un nouveau marathonien mais déçu de sa prestation
départ de la course à 09h sous une pluie fine agréable et je décide d'emblée de ne pas suivre le meneur d'allure de 03h45' pour me prendre une marge, donc je me mets un peu en retrait.
tps au 10kms:55' tout est ok sensation bonne
tps au semi 1h54' encore dans les tps prévus
et tout se gate à patir de 29è où je commence à ressentir une contraction au mollet: je ralentis et au ravitaillement du 30è:je bois, je mange des raisins secs et je m'étire mais rien n'y fait car àpartir de là, c'est le calvaire et j'ai fait les 12kms restants au mental car crampes sur crampes aux 2 mollets et après quadriceps gauche et ça jusqu'à l'arrivée:4h26' si je calcule bien j'ai fait les 11derniers kms en un tps record de 1h30'.
Voilà ma deception car tout avait bien commencé mais on fera mieux la prochaine fois.
Bien qu'aucun code ou smiley ne soient montrés, ils sont utilisables.

marathon de nantes le 19/40.
réveil après une petite nuit vers 6h20, direction la douche et le petit dej (pain de mie complet et bol de chocolat chaud).
départ a 6h55 de rennes et route sous la pluie avec toute la petite famille, je prends le volant pour ne pas trop penser à la course...
arrivé sur place vers 8h10, je me change dans le froid et sous la pluie, m'alimente avec des barres de céréales et m'hydrate bien avec ma potion miracle eau et jus de citron.Je regard ma montre et zut j'ai mis 25' a me changer et me hâte donc pour aller récupérer mon dossard et tenter de voir les membres du site.dossard mis, puce mise mais pas de forumer en vue, c'est sans doute ma faute, petite pause pipi et direction la ligne de départ.
un dernier bisous aux enfants et à ma petite femme que je remercie au passage car sans elle je ne serai pas au départ.
9h top départ et tout de suite je prends la foulée du groupe 3h30.les premiers Km sont assez dense au niveau coureurs mais ça va encore juste un peu énervé par les pavés au départ car pas évident de faire attention a sa foulée avec ce monde.
Km4 premier ravito et Km5 passé en 24'35 avec une fc a 153 tout va bien.la pluie fine permet de ne pas trop chauffer en ce début de course.
Km10 en 48'56 et fc a 154, les jambes vont bien et je m'arrête a tous les ravitos.
Km15 et des bananes (j'ai loupé le panneau) en 1h15 avec une fc a 154, tout va bien.
Km19 première frayeur, je rase un panneau de trop près et reste accroché dessus enroulé autour de poteau, merci d'ailleurs à la spectatrice qui m'a aidé a me décrocher, résultat une belle frayeur et un trou dans le beau maillot de la team... heureusement plus de peur que de mal et je repars, passage au Km 20 en et au semi en 1h43'56" avec toujours une fc a 154.
Après ça se complique un peu le parcours est plus dur sur la seconde partie et il y a même un passage en bordure de 4 voies!!! au niveau du Km25.( pas de temps car j'ai pas vu le panneau).
Km30 passage en 2h27'34 et une fc qui est montée a 161 à la faveur de petites côtes et de quelques efforts après les ravitos pour recoler au groupe.les douleurs commencent a apparaitre et je sais que c'est là que la course se joue pour moi tenir ou sombrer, alors je me mets en mode économique, je ne regarde plus les Km car ils deviennent de plus en plus long, je colle au meneur d'allure et ne pense plus a rien qu'au 3h30.
Km35 passer en 2h52'26" , je me tâte pour accélérer mais finalement reste sage jusqu'au Km38 et là je pars au train et me retrouve seul ou presque durant 2Km.
passage au Km40 en 3h17'49". les jambes font mal, la machine est fatiguée mais doit tenir... fc a 167
Après un dernier ravito les 2,195 derniers Km sont avaler en 10'31 avec un sprint dans les 500 derniers mètres où je double quelques marathoniens avec une fc a 170 et un pic a 179.
Km42,195 passage en 3h28 et 21" sur mon chrono et 2" de moins pour mon temps officiel avec un grand sourire et un sentiment indescriptible fc moyenne sur le marathon de 158.
Je cherche ma petite famille mais personne en vue (en fait ma femme a assistée un accidenté de la route et a donc loupé mon arrivée) mais consolation j'aperçois Gilles (enfin c'est plutôt l'inverse) et forest 44.heureux de cette rencontre avec le fondateur du site et guide pour nous tous et très touché de la présence de forrest et de sa femme car il a fait quand même quelques Km pour nous voir a l'arrivée (chapeau).Je pars me couvrir et les rejoins dans le zone d'arrivée et deviner de quoi nous avons parlé? de cap bien sûr , du site et de vous... Ma petite famille arrive enfin, du coup je ne traine pas trop car je commence a avoir froid et les enfants aussi.
bilan ultra positif avec un record atomisé de 30', une rencontre super sympa.seul bémol sur l'organisation des ravitos d'un seul côté de la route avec donc un empilement de coureurs et quelques passage un peu trop étroit.
@+ et merci de m'avoir lu.

Salut a tous,
Le récit de ma 2e manche de trail, completement loupee, sur mon blog:
xav-in-uk.over-blog.com/article-30616731.html
Bonne lecture...

11,2km à ce mettre sous la dent en attente de Bruxelles.....
Comme écrit dans mon suivi pas trops de surprise de + avec Thierry "mon voisin" on a fait un ptit repérage de la fin....Psychologiquement c'est du bonus;) .....Coups de pouette des stades de foot et me voila parti, sous une pluie pas trops insistante, dans une course avec un dénivellé de +190 - 180...Le premier km comme pratiqué de + en plus ce fait à une allure de 11,7 (en légère descante) Ensuite le deuxième 12,3:blush: un peu trops vite mais tjrs un peu en descante....Ensuite voilà la fin du deuxième km et sans surprise c'est du 7% de montée sur 1 km:woohoo: Je veux pas trops m'inquiété de ma FC mais un bref regard me montre que je grimpe assé haut et décide de réduire un ptit peu +-10,7km/h(très satisfait!) Ensuite commence une série de haut et bas cour mais pas trops désagréable je tourne entre 4:55 et 5:02.....J'me dis que le pacte des 5 en as21km seront négocié sans trops de mal......Peu avant le 5ièm km ravitaillement:woohoo: Mer...pas là et pas possible pour mon objecti premier....J'prend le verre et c'est la valse à 3 temps:laugh: Arrivé des 5 km en AS21 en moyenne de +- 5:05...C'est pas tout à fait ce qui était prévu mais vu les circonstance de ma nuit J'suis très satisfait...Reste 6 km à digérer....Là je vais essayé mais sans jamais y arriver de mettre la CAP vers mon AS10 mais commençant avec des puls à +-14 en + que d'hab...je dois me contenter d'essayer de maintenir mon as21...Vers le 8ièm commence la descante dans l'autre sens vers+ 5% et je décide de laisser les pas s'allonger sans retenir ni accélérer de moi-même et je constate que ce km sera fait en 3:57..Un peu facile mais me permet de compenser mon 3ièm....Arrivé vers la fin je sais que sa vas monté et là je me préserve un peu pour booster un maxi dans le dernièr 200m les banderolles avec des coureurs à l'arrêt le sourire au lèvre je me dit que c'est tout bon un bref coups d'oeil sur ma FC et news FC198:woohoo:
Tout était bien calculer avant de partir:S les banderoles continue je contourne un bâtiment et me dit que l'arrivé est là.......Mais là Un terrain de foot à coutourné Ma tête à la télé et certain que cela passe sur youtub......je vais chercher ce qui me reste pour ne pas marché...Terminé en 56'15" vitesse pile poils 12km/hB) Réussi.....A l'heure ou je vous écrit ce RC je me sens pas fatigué et plus de problème circulatoire;) La prépa peu continuer pour aller vers mon premier 20km de Bruxelles.
Déjà écrit plusieurs fois mais un tout grand merci à Gilles et vous tous car cela devient une aventure humaine et pas seulement un chrono;)
Une petite anecdote...Quand j'ai commencé la course sur les 3 premiers km je repensais à ma nuit de taré avec la souri"s" et ensuite sans m'en rendre compte j'ai constater que la souris avait déjà trops occupé mon esprit!! Vers le 4 ièm je fini par la chassée réélement de mon esprit.......