Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80
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Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80 a été créé par Knau80
Posted il y a 12 ans 8 mois #154553
En l'an de grâce 2012, par une nuit nocturne, noire, sombre et dépourvue de toute luminosité allait se dérouler une épreuve à l'envergure internationale dont la notoriété croissante commence à inquiéter les organisateurs de l'UTMB, du GR20 voire même de la Badwatter, il s'agit bien sur du Trail de l'Etoile Filante de Gometz le Chatel, Essonne, France, Terre, Système Solaire, Univers, Vers l'Infini et Au-delà.
Pour vous humecter les babines, laissez moi vous en dire un peu plus sur ce rassemblement mythique où les plus anonymes inconnus vont s'affronter de longues minutes durant.
Distance : 10,5 km
D+ : 234m
Nombre de participants : 200 personnes dont 161 coureurs intergalactiques du coin
Cette course d'ultra (courte) distance se fera en totale autonomie, seuls les finisher (en ces circonstance il est coutume de parler de survivants) pourront bénéficier d'un buffet proposant fromages, charcuteries, crêpes, fruits et autres boissons sucrées (pour certains, le coup de rouge aurait été apprécié, il faut dire que le fromage au coca c'est vraiment pas top comme truc!!!)
Dans le cadre de ce reportage en immersion, nous avons pu suivre un des participants durant tout la journée de ce mémorable samedi 10 mars, Il s'agit du célèbre knau80 également connu sous le nom de Frédo le Fluo, on ignore globalement tout de ses performances sportives mais par contre, on le voit de très loin. Pour preuve, même de nuit certains spectateurs ont vomi lorsqu'il a dévoilé sa tenue de course.
Pour des raisons de sécurité les organisateurs distribuaient des cialumes avant le départ, les hautes instances l'en ont dispensé...
Revenons maintenant sur le déroulement de cette journée en compagnie de ce coureur atypique (c'est normal, ça fait deux semaines que je ne me suis pas épilé).
Début de la journée : 7:15, non pas qu'il soit fondamentalement matinal, bien au contraire mais sa progéniture bien qu'ayant pris soin d'appeler « maman, maman » se verra passer un bonne partie de la journée avec son papounet tant sa génitrice était prise d'une incoercible envie de ronquer.
Petit dèj intergénérationnel suivi de jeux en tout genre, préparation d'une bassine de nouilles, visite approfondie du rayon running d'un distributeur Ch'ti d'articles de sport pour y acheter quelques accessoires utiles pour la participation à cette épopée nocturne imminente (des piles pour la frontale notamment).
De retour au bercail c'est avec minutie que l'athlète va préparer l'ensemble de son paquetage puis le vérifier, le re vérifier pour enfin le re re vérifier (ce n'est pas de sa faute si ses mollets consomment plus d'oxygène que son cerveau mais du coup sa mémoire immédiate est comparable à celle d'un poisson rouge)
Le sac contient des vêtements de rechange pour l'après course, un bouteille d'eau, un téléphone mobile, les clefs du domicile, les documents nécessaires à la récupération du précieux dossard, la lampe frontale équipée d'un jeu de piles flambant neuf, une ceinture porte dossard, des bandes réfléchissantes, une montre de sport accompagnée de son cardiofréquencemètre et une tenue aux nuances de couleurs subtiles et délicates que nous ne pouvons nous retenir de vous décrire, de bas en haut :
Chaussures Brooks Cascadia 6 « vert frelon » (moucham' selon certaines sources)
Chaussettes et manchons de compression orange
Short gris (nul n'est parfait)
T-shirt ML moulant vert fluo
19:15, Départ pour le stand de retrait des dossards, récupération et mise en place de ce dernier, il est maintenant tant de se concentrer sur l'échauffement et sur le principal objectif de la soirée, rentrer à la maison avec les deux chevilles dans l'axe, détail morphologique qui va s'avérer indispensable à l'approche d'une prochaine course le 18 mars tant il es difficile de courir sur une jambe.
20:15, Attention, il ne reste plus que 15' avant le départ !
20:20, Attention plus que 10' avant le départ, c'est le moment pour les organisateurs de rappeler les règles de courses et de sécurité, c'est également le moment d'aller faire la dernière petite vidange technique, ça soulage, ça allège un peu l'homme mais ça n'aide pas à savoir ce qu'a raconté le speaker, qu'à cela ne tienne, notre Knau est un ancien musicien, il a l'habitude de prendre les choses au feeling, du moins il l'espère !!!
Départ dans une minute, les participants sont invités à allumer leur lampes, toujours pas de signal GPS sur la tocante de notre sujet, 30 secondes toujours rien, 20, 10, biiiiiiip, ça y est, la technologie rejoint le monde des vivants juste à temps pour un départ donné à la corne de brume (c'est champêtre et ça évite les balles perdues), 3, 2, 1, Top à la vachette !
KM 1 : 4'35
La horde s'élance à une allure supersonique et ce malgré une montée de l'ordre de 6-7%, ça tourne, ça monte, ça retourne, ça descend par des escaliers dont les marches sont aussi régulières qu'un ébouli de pierres. Après quelques embardées le peloton passe devant la ligne de départ (mais dans l'autre sens et sans pour autant que ce soit la fin mais c'est toujours amusant de déstabiliser les participants avec des tracés dignes des plus grands Cubistes) et s'étire petit à petit.
KM 2 : 5'32
Notre stabylo humain se rend compte que c'est parti vite et que s'il ne veut pas exploser en plein vol il a intérêt à lever un peu le pied, bien lui en prend puisque le tracé quitte la route pour rentrer dans un champ à l'issue duquel se trouve une petite montée dans les herbes hautes qui est taillée pour entamer l'enthousiasme des quadriceps les plus délicats.
KM 3 : 4'56
Un sentier large et plutôt roulant s'offre maintenant aux participants, ce dernier les conduit sur le légendaire Viaduc des Fauvettes. Au bout du viaduc le parcours tire à droite ce qui signifie que les jambes vont se cogner une descente de 40m de D- en quelques centaines de mètres à peine avant de passer sous l'édifice susmentionné et de reprendre une nouvelle bosse progressive qui va s'engouffrer dans le sous-bois.
KM 4 : 6'08
La bosse n'est plus progressive mais devient franchement raide, c'est à ce moment là que notre flamboyant Fred entend le « commissaire de piste » en place annoncer que la tête de course a déjà 4'30 d'avance ce qui le situe dans les 50 premiers (ça fait mal au moral mais les deux pieds sont toujours attachés aux chevilles alors « on aurait dit qu'on aurait rien entendu »), le parcours se poursuit dans les sous-bois, sur des sentiers étroits et pierreux ce qui empêche les coureurs de relancer fort dans les descentes d'autant que les dangers tels que les faussés et autre troncs d'arbres à hauteur de tête ne sont pas signalés...
KM 5 (5'08), 6 (5'53) et 7 (6'41)
La course continue sur la même physionomie au gré des montées et des descentes mais notre petit bonhomme rejoint un peloton de 4 coureurs ce qui lui permet de mieux apprécier les trajectoires puisqu'il bénéficie des déflecteurs de lumière qui équipent les textiles de ses devanciers
KM 8 : 6'12
Encore une montée qui fait mal, elle se fait au mental et à la gestion car la fatigue commence à se faire sentir mais le Knau se doute bien que le plat ne devrait plus tarder alors rien ne sert de se griller dans cette côte raide comme la justice c'est pourquoi il adopte une allure modérée. Pari réussi, en haut de cette ascension se trouve une piste cyclable qui tire tout droit et à plat, c'est à ce moment là, heureux de retrouver la réactivité du bitume qu'il met un bon coup de rein et dépasse les 4 hommes devant lui puis 2 autres !
KM 9 : 6'03
De retour en milieu urbain il ne lui est pas possible de hausser l'allure tant les passages sont étroits ou parsemés de virages et d'escaliers et tant son petit subconscient lui martèle « pense à tes chevilles, pense à tes chevilles »
KM 10 + « le petit bout qui reste »
La ligne d'arrivée est désormais toute proche mais notre compétiteur ne hausse pas significativement l'allure dans la mesure où la course est jouée ce qui ne l'empêche pas de se laisser porter par la descente finale au bout de laquelle siège l'arche de l'arrivée.
Temps officiel : 58'31 ; 42/161
Nous nous jetons sur notre coureur afin de recueillir ses réactions à chaud qui furent aussi enthousiastes que nébuleuses …
« Nonobstant la conjoncture articulo-nocturne de cette épreuve qui court vite mais pas trop parce qu'on ne voit pas tant que ça dans le noir malgré la frontale, on se dit que c'est bien d'avoir essayé même si à l'intérieur de dedans mon âme et conscience la pratique de cette discipline sur route de jour me semble plus appropriée pour laisser courir mes pieds en toute liberté et qu'à fortiori si la nuit c'est fait pour faire dodo, ce n'est peut-être pas juste pour que les enfants aient peur des monstres mais tout simplement parce que nous sommes tout sauf nyctalopes.
Par ailleurs je déplore l'aspect publicité mensongère de cette course dans la mesure où il est complètement impossible de voir des étoiles filantes en sous-bois, par temps nuageux et au mois de mars dans l'hémisphère nord et que même si on essaye avec la meilleure volonté du monde, les seuls étoiles que l'on peut voir sont celles consécutives à une rencontre inopinée avec un bon gros tronc ce qui n'a rien de féérique en soi.
Sinon le fromage était bon mais les crêpes au Nutella après une effort vous pouvez vous les garder, d'autant que l'huile de palme me parait plus approprié aux nageurs qu'aux coureurs, ce n'est vraiment pas facile de courir avec ces machins au pieds »
Au plaisir de vous narrer de nouvelles aventures de ce garçon qui rêve de courir vite
Pour vous humecter les babines, laissez moi vous en dire un peu plus sur ce rassemblement mythique où les plus anonymes inconnus vont s'affronter de longues minutes durant.
Distance : 10,5 km
D+ : 234m
Nombre de participants : 200 personnes dont 161 coureurs intergalactiques du coin
Cette course d'ultra (courte) distance se fera en totale autonomie, seuls les finisher (en ces circonstance il est coutume de parler de survivants) pourront bénéficier d'un buffet proposant fromages, charcuteries, crêpes, fruits et autres boissons sucrées (pour certains, le coup de rouge aurait été apprécié, il faut dire que le fromage au coca c'est vraiment pas top comme truc!!!)
Dans le cadre de ce reportage en immersion, nous avons pu suivre un des participants durant tout la journée de ce mémorable samedi 10 mars, Il s'agit du célèbre knau80 également connu sous le nom de Frédo le Fluo, on ignore globalement tout de ses performances sportives mais par contre, on le voit de très loin. Pour preuve, même de nuit certains spectateurs ont vomi lorsqu'il a dévoilé sa tenue de course.
Pour des raisons de sécurité les organisateurs distribuaient des cialumes avant le départ, les hautes instances l'en ont dispensé...
Revenons maintenant sur le déroulement de cette journée en compagnie de ce coureur atypique (c'est normal, ça fait deux semaines que je ne me suis pas épilé).
Début de la journée : 7:15, non pas qu'il soit fondamentalement matinal, bien au contraire mais sa progéniture bien qu'ayant pris soin d'appeler « maman, maman » se verra passer un bonne partie de la journée avec son papounet tant sa génitrice était prise d'une incoercible envie de ronquer.
Petit dèj intergénérationnel suivi de jeux en tout genre, préparation d'une bassine de nouilles, visite approfondie du rayon running d'un distributeur Ch'ti d'articles de sport pour y acheter quelques accessoires utiles pour la participation à cette épopée nocturne imminente (des piles pour la frontale notamment).
De retour au bercail c'est avec minutie que l'athlète va préparer l'ensemble de son paquetage puis le vérifier, le re vérifier pour enfin le re re vérifier (ce n'est pas de sa faute si ses mollets consomment plus d'oxygène que son cerveau mais du coup sa mémoire immédiate est comparable à celle d'un poisson rouge)
Le sac contient des vêtements de rechange pour l'après course, un bouteille d'eau, un téléphone mobile, les clefs du domicile, les documents nécessaires à la récupération du précieux dossard, la lampe frontale équipée d'un jeu de piles flambant neuf, une ceinture porte dossard, des bandes réfléchissantes, une montre de sport accompagnée de son cardiofréquencemètre et une tenue aux nuances de couleurs subtiles et délicates que nous ne pouvons nous retenir de vous décrire, de bas en haut :
Chaussures Brooks Cascadia 6 « vert frelon » (moucham' selon certaines sources)
Chaussettes et manchons de compression orange
Short gris (nul n'est parfait)
T-shirt ML moulant vert fluo
19:15, Départ pour le stand de retrait des dossards, récupération et mise en place de ce dernier, il est maintenant tant de se concentrer sur l'échauffement et sur le principal objectif de la soirée, rentrer à la maison avec les deux chevilles dans l'axe, détail morphologique qui va s'avérer indispensable à l'approche d'une prochaine course le 18 mars tant il es difficile de courir sur une jambe.
20:15, Attention, il ne reste plus que 15' avant le départ !
20:20, Attention plus que 10' avant le départ, c'est le moment pour les organisateurs de rappeler les règles de courses et de sécurité, c'est également le moment d'aller faire la dernière petite vidange technique, ça soulage, ça allège un peu l'homme mais ça n'aide pas à savoir ce qu'a raconté le speaker, qu'à cela ne tienne, notre Knau est un ancien musicien, il a l'habitude de prendre les choses au feeling, du moins il l'espère !!!
Départ dans une minute, les participants sont invités à allumer leur lampes, toujours pas de signal GPS sur la tocante de notre sujet, 30 secondes toujours rien, 20, 10, biiiiiiip, ça y est, la technologie rejoint le monde des vivants juste à temps pour un départ donné à la corne de brume (c'est champêtre et ça évite les balles perdues), 3, 2, 1, Top à la vachette !
KM 1 : 4'35
La horde s'élance à une allure supersonique et ce malgré une montée de l'ordre de 6-7%, ça tourne, ça monte, ça retourne, ça descend par des escaliers dont les marches sont aussi régulières qu'un ébouli de pierres. Après quelques embardées le peloton passe devant la ligne de départ (mais dans l'autre sens et sans pour autant que ce soit la fin mais c'est toujours amusant de déstabiliser les participants avec des tracés dignes des plus grands Cubistes) et s'étire petit à petit.
KM 2 : 5'32
Notre stabylo humain se rend compte que c'est parti vite et que s'il ne veut pas exploser en plein vol il a intérêt à lever un peu le pied, bien lui en prend puisque le tracé quitte la route pour rentrer dans un champ à l'issue duquel se trouve une petite montée dans les herbes hautes qui est taillée pour entamer l'enthousiasme des quadriceps les plus délicats.
KM 3 : 4'56
Un sentier large et plutôt roulant s'offre maintenant aux participants, ce dernier les conduit sur le légendaire Viaduc des Fauvettes. Au bout du viaduc le parcours tire à droite ce qui signifie que les jambes vont se cogner une descente de 40m de D- en quelques centaines de mètres à peine avant de passer sous l'édifice susmentionné et de reprendre une nouvelle bosse progressive qui va s'engouffrer dans le sous-bois.
KM 4 : 6'08
La bosse n'est plus progressive mais devient franchement raide, c'est à ce moment là que notre flamboyant Fred entend le « commissaire de piste » en place annoncer que la tête de course a déjà 4'30 d'avance ce qui le situe dans les 50 premiers (ça fait mal au moral mais les deux pieds sont toujours attachés aux chevilles alors « on aurait dit qu'on aurait rien entendu »), le parcours se poursuit dans les sous-bois, sur des sentiers étroits et pierreux ce qui empêche les coureurs de relancer fort dans les descentes d'autant que les dangers tels que les faussés et autre troncs d'arbres à hauteur de tête ne sont pas signalés...
KM 5 (5'08), 6 (5'53) et 7 (6'41)
La course continue sur la même physionomie au gré des montées et des descentes mais notre petit bonhomme rejoint un peloton de 4 coureurs ce qui lui permet de mieux apprécier les trajectoires puisqu'il bénéficie des déflecteurs de lumière qui équipent les textiles de ses devanciers
KM 8 : 6'12
Encore une montée qui fait mal, elle se fait au mental et à la gestion car la fatigue commence à se faire sentir mais le Knau se doute bien que le plat ne devrait plus tarder alors rien ne sert de se griller dans cette côte raide comme la justice c'est pourquoi il adopte une allure modérée. Pari réussi, en haut de cette ascension se trouve une piste cyclable qui tire tout droit et à plat, c'est à ce moment là, heureux de retrouver la réactivité du bitume qu'il met un bon coup de rein et dépasse les 4 hommes devant lui puis 2 autres !
KM 9 : 6'03
De retour en milieu urbain il ne lui est pas possible de hausser l'allure tant les passages sont étroits ou parsemés de virages et d'escaliers et tant son petit subconscient lui martèle « pense à tes chevilles, pense à tes chevilles »
KM 10 + « le petit bout qui reste »
La ligne d'arrivée est désormais toute proche mais notre compétiteur ne hausse pas significativement l'allure dans la mesure où la course est jouée ce qui ne l'empêche pas de se laisser porter par la descente finale au bout de laquelle siège l'arche de l'arrivée.
Temps officiel : 58'31 ; 42/161
Nous nous jetons sur notre coureur afin de recueillir ses réactions à chaud qui furent aussi enthousiastes que nébuleuses …
« Nonobstant la conjoncture articulo-nocturne de cette épreuve qui court vite mais pas trop parce qu'on ne voit pas tant que ça dans le noir malgré la frontale, on se dit que c'est bien d'avoir essayé même si à l'intérieur de dedans mon âme et conscience la pratique de cette discipline sur route de jour me semble plus appropriée pour laisser courir mes pieds en toute liberté et qu'à fortiori si la nuit c'est fait pour faire dodo, ce n'est peut-être pas juste pour que les enfants aient peur des monstres mais tout simplement parce que nous sommes tout sauf nyctalopes.
Par ailleurs je déplore l'aspect publicité mensongère de cette course dans la mesure où il est complètement impossible de voir des étoiles filantes en sous-bois, par temps nuageux et au mois de mars dans l'hémisphère nord et que même si on essaye avec la meilleure volonté du monde, les seuls étoiles que l'on peut voir sont celles consécutives à une rencontre inopinée avec un bon gros tronc ce qui n'a rien de féérique en soi.
Sinon le fromage était bon mais les crêpes au Nutella après une effort vous pouvez vous les garder, d'autant que l'huile de palme me parait plus approprié aux nageurs qu'aux coureurs, ce n'est vraiment pas facile de courir avec ces machins au pieds »
Au plaisir de vous narrer de nouvelles aventures de ce garçon qui rêve de courir vite
par Knau80
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- AtomHeart
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Réponse de AtomHeart sur le sujet Re: Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80
Posted il y a 12 ans 8 mois #154559Fantastique ! J'en ai presque une petite larmichette qui a failli humecter mes yeux tellement je me suis marré! Je me doutais que tu serais un as du compte-rendu ! Félicitations Fred pour ta course et ton récit !
par AtomHeart
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- Latraviata
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Réponse de Latraviata sur le sujet Re: Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80
Posted il y a 12 ans 8 mois #154563
J'adore te lire, car j'ai toujours le sourire aux lèvres en finissant!
par Latraviata
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- jyc44
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Réponse de jyc44 sur le sujet Re: Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80
Posted il y a 12 ans 8 mois #154567
Bonsoir Fred,
J'ai aussi adoré te lire... Je me suis facilement transposé.
Bravo pour ta course dont je mesure bien le dénivelé sur 10 km seulement >>>> faut grimper, faut courir, faut grimper en courant vite
Très belle plume effectivement; je mets ton CR au chaud pour quand viendra le moment d'élire le TOP CR 2012...
Frédo le fluo c'est du même tonneau que Lulu la nantaise, Lucien le Cheval, Teddy de Montréal..... ce ne s'oublie pas
J'ai aussi adoré te lire... Je me suis facilement transposé.
Bravo pour ta course dont je mesure bien le dénivelé sur 10 km seulement >>>> faut grimper, faut courir, faut grimper en courant vite
Très belle plume effectivement; je mets ton CR au chaud pour quand viendra le moment d'élire le TOP CR 2012...
Frédo le fluo c'est du même tonneau que Lulu la nantaise, Lucien le Cheval, Teddy de Montréal..... ce ne s'oublie pas
Last Edit:il y a 12 ans 8 mois
par jyc44
Dernière édition: il y a 12 ans 8 mois par jyc44.
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- niptuck75
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Réponse de niptuck75 sur le sujet Re: Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80
Posted il y a 12 ans 8 mois #154611
cool fredo l'fluo !
J'pensais que tu allais mettre ton gilet réfléchissant pour ta virée nocturne
En tout cas tu as vu ce que c'était, c'est le principal; toujours l'appréhension de heurter sur quelque chose...
Bonne nuit la chauve souris
Vivement le 18 mars pour Lisses ... à mon idée ça va être autre chose ton CR !! tellement le bois va être dur à couper lol
J'pensais que tu allais mettre ton gilet réfléchissant pour ta virée nocturne
En tout cas tu as vu ce que c'était, c'est le principal; toujours l'appréhension de heurter sur quelque chose...
Bonne nuit la chauve souris
Vivement le 18 mars pour Lisses ... à mon idée ça va être autre chose ton CR !! tellement le bois va être dur à couper lol
par niptuck75
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- jordan40
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Réponse de jordan40 sur le sujet Re: Saturday night fever @ Gometz le Chatel by Knau80
Posted il y a 12 ans 8 mois #154617
Trés bon CR on veut des photos de l'homme en fluo qui n'as pas vu d'étoiles filantes .
Bon résultat en plus , bravo !
Bon résultat en plus , bravo !
par jordan40
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