derive cardiaque

Question: comment gerer sa derive cardiaque sur marathon?
On part a 85% de sa FCM, ensuite, on garde le rythme.
Sauf que ce faisant, la FC monte. A force d'entrainement, de PPG/PPS et avec une bonne hydratation j'espere bien reduire le phenomene.
Mais en attendant? Existe-il un indicateur qui me dirait: ouhlala mon petit, la tu es en sur-regime et tu ne vas pas tarder a exploser.
Par exemple 90% de la FCM avant le semi ca me parait trop haut.
Ou un autre qui me dirait: et petit, tu penses finir ta course les mains dans les poches ou tu penses suer un peu?
Par exemple 85% de la FCM au 40eme, c'est trop bas pour moi, je pourrais accelerer.

C'est là que le fait de connaitre son AS42 est un élément inconournable. Car le repere à prendre en compte c'est bien l'AS42. La FC ne sera qu'indicateur secondaire.
Maintenant si tu n'as aucun marathon à ton actif, tu peux essayer de modérer ton allure en fonction de ta FCM.
Je pense qu'il faut aller au moins jusqu'au semi à 85%FCM

moi,a chaque fois que j'ai fait un marathon au cardio
en voulant resté à 85%, j'ai perdu beaucoup de vitesse
a partir du semi. je pense que c'est mieux de se calé
sur une allure.

Je suis d'accord avec toi magaff.
Le seul et veritable critére à prendre en compte est l'allure AS42.
Maintenant je me vois mal conseiller à un coureur néophyte sur le marathon d'être déjà à 90%FCM au passage au semi. Je trouve cela tout même un peu risqué pour la suite . Mais ça reste un avis trés personnel

Salut,
ce d'autant que lors d'une course la FC est rarement comparable à celle de l'entrainement.
Personnellement, j'ai toujours un léger stress qui augmente nettement ma FC de repos.
Je pense qu'il faut evaluer son AS42 sur ses puls en entrainement et ensuite comme le dit Gilles
ne se fier qu'a cette AS42 (et aux sensations du moment )

castvi écrit:

Je pense qu'il faut evaluer son AS42 sur ses puls en entrainement et ensuite comme le dit Gilles
ne se fier qu'a cette AS42 (et aux sensations du moment )

Ok avec vousB)
Mon experience m'a montre 2 dangers en suivant cette approche aux sensations:
On a souvent une phase d'euphorie durant un marathon generalement entre le 15 et le 30eme: l'entrainement est digire, la phase de recupe est passe par la et les sensations a ce stade avec l'euphorie de la course sont bien meilleure qu'a l'entrainement. Du coup on a tendance a vouloir accelerer par exemple pour ratraper un petit retard pris au depart ou ou ravitos.
J'ai vu des pros faire ca aussi sur des grands marathon ou des championnats. Et souvent, boom:
le coup de bambou 5 kilo plus loin
Autre probleme, a la fin du marathon, on a la sensation d'aller vite, surtout quand on ramasse les morts... et pourtant les temps au kilos baissent et on perd du temps.
Dans ces 2 cas, je pense que le repere de la FC peut aider a bien gerer la situation.
Si on a de bonnes references:unsure: