Dénivelé : maintenir l'allure ou la FC ?

En course, quand ça monte, vous préférez forcer pour maintenir l'allure, ou ralentir pour maintenir la FC ? Idem en descente, vous en profitez pour vous reposer ou pour engranger des km plus rapides ? Est-ce qu'une des deux options est meilleure d'un point de vue stratégique ou est-ce c'est une question de préférence personnelle ? Est-ce que la réponse diffère selon la distance (10k, semi ou marathon) ?

Merci d'avance pour vos avis et retours d'expérience !

J'ai toujours privilégié la FC donc j'ai forcément mon allure qui baisse lorsque ça monte. J'accélère aussi en descente en général.
Ca m'a toujours réussi donc je pense continuer comme ça, je crois que ça limite quand même les risques d'explosion durant la course.

Pour ma part, j'essaye de contenir la FC, donc je ralentis.
Elle monte quand même au final, mais moins que si j'avais tenté de garder l'allure.
Ceci est valable pour les vrais montées, sur les faux plats-montant j'essaie de ne pas ralentir.

En descente, ça dépend du moment dans la course, je gratte un peu de secondes, mais sans trop me lâcher.

Dans les montées, je veille à ne pas dépasser la FCmax que je me suis fixée : je peux donc être amené à lever le pied.

Dans les descentes, je privilégie le relâchement : je détends mes bras, je soigne la respiration. L'allure peut augmenter légèrement, mais je ne cherche pas à rattraper coûte que coûte les éventuelles secondes de retard, pour ne pas être grillé quand le plat revient.

Bonjour,

Je crois avoir lu et retenu dans un dernier Zatopek que les "Africains" montent les côtes en fonction de la FC et descendaient les côtes le plus vite possible en gérant le relâchement ....

Ok, merci pour vos réponses.

Visiblement vous êtes tous d'accord pour accorder la priorité au fait de ne pas dépasser un plafond de FC. J'avoue que c'était un peu mon idée aussi (sauf peut-être en descente où j'ai plus envie d'accélérer), ça m'encourage dans cette idée.