50 km de Lalinde - Dordogne - Trail
- franck
- Hors Ligne Auteur du sujet
- Expert Boarder
- Messages : 159
- Remerciements reçus 0
Préambule :
Dimanche 7H30 du matin, je me prépare sur le parking de l’hôtel de Lalinde dans le jour naissant à 1H du grand départ. La nuit aura été rude : je suis arrivé la veille avec la petite famille et mes filles ont fait de la musique toute la nuit : reniflement de nez pour l’une et percussion à base de toux pour l’autre…. Je les ai laissé finir leur nuit il y a une heure et le premier contact avec l’extérieur à été plutôt frais, les voitures étant encore bien blanches ce matin suite à une nuit claire. Le départ est à 2 km de l’hôtel et pour laisser la voiture à mon épouse je décide d’aller à pied au départ : cela fera un bon réveil musculaire et on est plus à 2 km près…
J’y vais donc tranquillement en marchant, le nombre de voitures qui vont en direction du départ est impressionnant : nous serons un bon millier au départ des 50 et 24,1 km coureurs et marcheurs confondus. Pas d’ambition particulière pour ce trail de début de saison si ce n’est finir sans être trop entamé. Mais inconsciemment finir entre 5H30 et 6H00 sur ce 50 km avec 800 – 900 m de D+ ce ne serait pas si mal.
Je viens ici surtout pour me battre contre moi-même et j’imagine vivre mes 3 phases physiologiques si souvent explorées en vélo dans le passé et lors de mes 2 gros trails de l’année passée : phase (1) d’aisance liée à la fraîcheur puis son érosion, phase (2) de plus ou moins grosse galère où il faut gérer et avancer coûte que coûte, phase (3) où plus rien ne peut m’arriver si j’arrive à m’alimenter : une sorte de nirvana du sport d’endurance….
Phase 1 : le plaisir
Le départ est donc donné à 8H30 et nous filons sur 200 m de route avant de longer un canal sur environ 2 km. Beaucoup de monde : il faut faire abstraction des autres coureurs aux allures totalement différentes les uns des autres et ne suivre que son propre rythme. On traverse ainsi Lalinde petite bastide de Dordogne et puis la 1ère côte sur chemin arrive dans laquelle on peut dérouler une petite foulée sans heurt et sans peine : pratique pour finaliser l’échauffement et rentrer dans l’épreuve. Les espaces entre ravitos sont distants de 4 à 7 km et je n’ai pris que de l’eau plate (1L) en terme de boisson. L’idée est de remplir une petite bouteille vide plus tard en eau gazeuse ou à base de cola (ce sera une erreur de ma part puisque l’on aura en général le choix qu’entre eau plate et eau glucosé…). Au bout de 5 à 6 km, les 2 circuits se séparent et maintenant on est entre nous. Ca respire parfois fort autour de moi. Je double, on me double : je suis dans ma bulle et reste le plus concentré possible tout en essayant de profiter des paysages qui m’entourent… Boire toutes les 5 à 10’, manger toutes les 25’, maîtriser sa respiration sont mes seules préoccupations, la FCM doit rester basse et il faut durer, durer.
La 1ère heure arrive vite et plus de 9 km sont couverts. On passe le 2nd ravito (Baneuil). La nouvelle partie qui se présente alterne route et passage en single tout de même assez roulant. On voit clairement la différence entre les routiers et les trailers : les premiers nous doublent allègrement à grandes enjambées sur le goudron tandis qu’on les reprend tranquillement sur les sentiers… Cela nous emmène du côté de Causse (km 12) lieu du 3ème ravito ou je m’arrête comme précédemment 30s. Direction Pressignac qui sera le passage du pur plaisir : sans forcer avec une petite foulée j’alterne tranquillement la succession de montées – descentes en single et sentiers plus ou moins roulants. L’atmosphère s’est réchauffée et on est vraiment bien. Toujours prendre garde à s’alimenter et bien boire. Avant Pressignac je discute avec un coureur qui prépare les 100 km de Belves dans 7 semaines. Pour lui il ne s’agit que d’une sortie longue comme une autre. Il me dit vouloir finir en 5H et je me demande à ce moment si je suis à ma place…. On arrive à Pressignac (km 18) en 1H55 et eau plate ou eau plate en guise de boisson.
Direction Vicq maintenant et les 1ères chaleurs apparaissent. Je suis toujours bien et je double des coureurs qui commencent à en avoir pleins les pattes : à mon avis ils ont du vivre une sacré galère sur la suite de parcours. Le terrain alterne partie sèche et parfois passage boueux et ce n’est jamais plat. On est toujours en prise avec des faux plats montants ou descendants ou des petits coup de « cul » plus ou moins techniques. J’arrive à Vicq au km 25,5 en environ 2H40. Enfin 1 verre de coca… c’est la dernière bouteille (2 sur ce ravito !!). Je m’arrête 3’ pour enlever mon bas et mettre mon cuissard pour la 1ère fois de l’année…
Phase 2 : Ca se complique….
Vicq est passé et direction Rose maintenant. Je sens la fatigue venir et la concentration baisse : je m’alimente toujours régulièrement mais je commence à regarder le chronomètre pour inconsciemment chercher à garder l’allure des 3 premières heures. En particulier, je cherche à garder le contact avec le coureur de Belves. Je pense maintenant que ce fût une erreur que j’ai payée cash quelques minutes plus tard… J’arrive donc à Rose (km 30) en environ 3H15 un peu émoussé physiquement mais aussi psychologiquement : les coureurs avec qui j’étais depuis un moment se sont envolés, je double toujours des concurrents mais quelque chose à cassé dans ma tête… quoiqu’il en soit j’ai droit encore à un verre de coca de la dernière bouteille : impossible de faire le plein, il faut en laisser encore pour 2 ou 3 coureurs… Je repars de ce ravito avec clairement un coup de pas bien et je commence à décompter les km : encore une petite vingtaine. Ca y est je suis dans la phase 2 : avancer, débrancher le cerveau, positiver à tout prix….
Ce sont aussi les passages les plus techniques : on est sur le bord du plateau au dessus de la Dordogne avec des singles en dévers avec cailloux et racines qui sortent de terre : autant être prudent. Je double des gens pas frais du tout mais je ne suis pas beaucoup mieux… Un paquet me rattrape dans une descente un peu abrupte et nouveau ravito (Mauzac km 36) et à moi le verre de coca de la dernière bouteille !! Ce sera par contre le dernier pour moi cette fois ci…
Le départ est dur tout de suite avec une montée sèche : il fait chaud, l’eau plate me répugne et je connais un état nauséeux… Je vis des moments difficiles. J’arrive encore à m’alimenter mais j’ai les sensations du coup de chaud. Je passe à la méthode Cyrano : alterne de marche et de course à pied. Et encore en guise de course c’est plutôt du petit trot. Je ne vois plus grand monde à l’exception de quelques coureurs qui me doublent avec une sensation de meilleure fraîcheur : j’avoue que je suis vraiment dans le dur à ce moment de l’épreuve et un début de crampe apparaît. D’un point de vue de la concentration je n’y suis pas du tout : aucun souvenir du nombre de km au bout de 4H de course…
Phase 3 : début de résurrection ?
Les montées et descentes continuent de s’alterner. Marche, trot, marche, trot : je finis par retrouver le circuit des 24 km. Les coureurs sont passés ici il y a longtemps, mais on retrouve des marcheurs. Du coup, ça change pas mal de chose d’un point de vue psychologique d’autant plus que l’état nauséeux est passé : je rebois sans difficulté et j’arrive toujours à m’alimenter, avec plus ou moins de plaisir… Je suis dans le dur, mais il faut avance : dernier ravito à Cange (km 43). Maintenant c’est la délivrance, la foulée n’est pas géniale mais elle reste efficace et un regain de forme apparaît : c’est le début de la phase 3…. Le coup de chaud est maintenant derrière moi, les 5H sont passées et il ne me reste que 2 gros km dont 800 m sur une descente plutôt pentue : les fibres en prennent un coup mais cela renforcera les cuisses. On retrouve les 200m de route du départ. Je fais les 50 derniers mètres avec ma plus jeune des filles qui attendait ce moment depuis 1H… Je fais ces 47 km (il en manque donc 3 au compteur) en 5H14’ et prend la 76ème place de cette épreuve pour 429 arrivants sur la distance.
Epilogue :
Malgré le coup de pas bien entre le 30ème et le 42ème km, j’arrive dans un certain état de fraîcheur: le repas d’après course passe avec appétit et je ne suis absolument pas dans le « brouillard » pour rentrer sur Bordeaux le soir. Bref, fatigué, mais loin d’être cuit. Je suis conscient que l’on peut aller très-très loin du moment que l’on arrive à boire et à s’alimenter tout en maîtrisant sa foulée. Le psychologique l’emporte ensuite sur le physiologique….
Côté articulation, tout est OK : plus de douleurs après seulement 3 jours et frais comme un gardon… Bref, encore un grand merci à Gilles pour son plan supertrail testé une seconde fois et toujours d’une grande efficacité.
Voilà, j’en ai fini avec ce CR un peu long, mais à l’image de la durée de cette épreuve fort bien organisée et que je recommande à quiconque souhaiterai s’aventurer au-delà du marathon sur chemin et sentier de grande randonnée.
A la prochaine pour une autre aventure,
Franck
Dimanche 7H30 du matin, je me prépare sur le parking de l’hôtel de Lalinde dans le jour naissant à 1H du grand départ. La nuit aura été rude : je suis arrivé la veille avec la petite famille et mes filles ont fait de la musique toute la nuit : reniflement de nez pour l’une et percussion à base de toux pour l’autre…. Je les ai laissé finir leur nuit il y a une heure et le premier contact avec l’extérieur à été plutôt frais, les voitures étant encore bien blanches ce matin suite à une nuit claire. Le départ est à 2 km de l’hôtel et pour laisser la voiture à mon épouse je décide d’aller à pied au départ : cela fera un bon réveil musculaire et on est plus à 2 km près…
J’y vais donc tranquillement en marchant, le nombre de voitures qui vont en direction du départ est impressionnant : nous serons un bon millier au départ des 50 et 24,1 km coureurs et marcheurs confondus. Pas d’ambition particulière pour ce trail de début de saison si ce n’est finir sans être trop entamé. Mais inconsciemment finir entre 5H30 et 6H00 sur ce 50 km avec 800 – 900 m de D+ ce ne serait pas si mal.
Je viens ici surtout pour me battre contre moi-même et j’imagine vivre mes 3 phases physiologiques si souvent explorées en vélo dans le passé et lors de mes 2 gros trails de l’année passée : phase (1) d’aisance liée à la fraîcheur puis son érosion, phase (2) de plus ou moins grosse galère où il faut gérer et avancer coûte que coûte, phase (3) où plus rien ne peut m’arriver si j’arrive à m’alimenter : une sorte de nirvana du sport d’endurance….
Phase 1 : le plaisir
Le départ est donc donné à 8H30 et nous filons sur 200 m de route avant de longer un canal sur environ 2 km. Beaucoup de monde : il faut faire abstraction des autres coureurs aux allures totalement différentes les uns des autres et ne suivre que son propre rythme. On traverse ainsi Lalinde petite bastide de Dordogne et puis la 1ère côte sur chemin arrive dans laquelle on peut dérouler une petite foulée sans heurt et sans peine : pratique pour finaliser l’échauffement et rentrer dans l’épreuve. Les espaces entre ravitos sont distants de 4 à 7 km et je n’ai pris que de l’eau plate (1L) en terme de boisson. L’idée est de remplir une petite bouteille vide plus tard en eau gazeuse ou à base de cola (ce sera une erreur de ma part puisque l’on aura en général le choix qu’entre eau plate et eau glucosé…). Au bout de 5 à 6 km, les 2 circuits se séparent et maintenant on est entre nous. Ca respire parfois fort autour de moi. Je double, on me double : je suis dans ma bulle et reste le plus concentré possible tout en essayant de profiter des paysages qui m’entourent… Boire toutes les 5 à 10’, manger toutes les 25’, maîtriser sa respiration sont mes seules préoccupations, la FCM doit rester basse et il faut durer, durer.
La 1ère heure arrive vite et plus de 9 km sont couverts. On passe le 2nd ravito (Baneuil). La nouvelle partie qui se présente alterne route et passage en single tout de même assez roulant. On voit clairement la différence entre les routiers et les trailers : les premiers nous doublent allègrement à grandes enjambées sur le goudron tandis qu’on les reprend tranquillement sur les sentiers… Cela nous emmène du côté de Causse (km 12) lieu du 3ème ravito ou je m’arrête comme précédemment 30s. Direction Pressignac qui sera le passage du pur plaisir : sans forcer avec une petite foulée j’alterne tranquillement la succession de montées – descentes en single et sentiers plus ou moins roulants. L’atmosphère s’est réchauffée et on est vraiment bien. Toujours prendre garde à s’alimenter et bien boire. Avant Pressignac je discute avec un coureur qui prépare les 100 km de Belves dans 7 semaines. Pour lui il ne s’agit que d’une sortie longue comme une autre. Il me dit vouloir finir en 5H et je me demande à ce moment si je suis à ma place…. On arrive à Pressignac (km 18) en 1H55 et eau plate ou eau plate en guise de boisson.
Direction Vicq maintenant et les 1ères chaleurs apparaissent. Je suis toujours bien et je double des coureurs qui commencent à en avoir pleins les pattes : à mon avis ils ont du vivre une sacré galère sur la suite de parcours. Le terrain alterne partie sèche et parfois passage boueux et ce n’est jamais plat. On est toujours en prise avec des faux plats montants ou descendants ou des petits coup de « cul » plus ou moins techniques. J’arrive à Vicq au km 25,5 en environ 2H40. Enfin 1 verre de coca… c’est la dernière bouteille (2 sur ce ravito !!). Je m’arrête 3’ pour enlever mon bas et mettre mon cuissard pour la 1ère fois de l’année…
Phase 2 : Ca se complique….
Vicq est passé et direction Rose maintenant. Je sens la fatigue venir et la concentration baisse : je m’alimente toujours régulièrement mais je commence à regarder le chronomètre pour inconsciemment chercher à garder l’allure des 3 premières heures. En particulier, je cherche à garder le contact avec le coureur de Belves. Je pense maintenant que ce fût une erreur que j’ai payée cash quelques minutes plus tard… J’arrive donc à Rose (km 30) en environ 3H15 un peu émoussé physiquement mais aussi psychologiquement : les coureurs avec qui j’étais depuis un moment se sont envolés, je double toujours des concurrents mais quelque chose à cassé dans ma tête… quoiqu’il en soit j’ai droit encore à un verre de coca de la dernière bouteille : impossible de faire le plein, il faut en laisser encore pour 2 ou 3 coureurs… Je repars de ce ravito avec clairement un coup de pas bien et je commence à décompter les km : encore une petite vingtaine. Ca y est je suis dans la phase 2 : avancer, débrancher le cerveau, positiver à tout prix….
Ce sont aussi les passages les plus techniques : on est sur le bord du plateau au dessus de la Dordogne avec des singles en dévers avec cailloux et racines qui sortent de terre : autant être prudent. Je double des gens pas frais du tout mais je ne suis pas beaucoup mieux… Un paquet me rattrape dans une descente un peu abrupte et nouveau ravito (Mauzac km 36) et à moi le verre de coca de la dernière bouteille !! Ce sera par contre le dernier pour moi cette fois ci…
Le départ est dur tout de suite avec une montée sèche : il fait chaud, l’eau plate me répugne et je connais un état nauséeux… Je vis des moments difficiles. J’arrive encore à m’alimenter mais j’ai les sensations du coup de chaud. Je passe à la méthode Cyrano : alterne de marche et de course à pied. Et encore en guise de course c’est plutôt du petit trot. Je ne vois plus grand monde à l’exception de quelques coureurs qui me doublent avec une sensation de meilleure fraîcheur : j’avoue que je suis vraiment dans le dur à ce moment de l’épreuve et un début de crampe apparaît. D’un point de vue de la concentration je n’y suis pas du tout : aucun souvenir du nombre de km au bout de 4H de course…
Phase 3 : début de résurrection ?
Les montées et descentes continuent de s’alterner. Marche, trot, marche, trot : je finis par retrouver le circuit des 24 km. Les coureurs sont passés ici il y a longtemps, mais on retrouve des marcheurs. Du coup, ça change pas mal de chose d’un point de vue psychologique d’autant plus que l’état nauséeux est passé : je rebois sans difficulté et j’arrive toujours à m’alimenter, avec plus ou moins de plaisir… Je suis dans le dur, mais il faut avance : dernier ravito à Cange (km 43). Maintenant c’est la délivrance, la foulée n’est pas géniale mais elle reste efficace et un regain de forme apparaît : c’est le début de la phase 3…. Le coup de chaud est maintenant derrière moi, les 5H sont passées et il ne me reste que 2 gros km dont 800 m sur une descente plutôt pentue : les fibres en prennent un coup mais cela renforcera les cuisses. On retrouve les 200m de route du départ. Je fais les 50 derniers mètres avec ma plus jeune des filles qui attendait ce moment depuis 1H… Je fais ces 47 km (il en manque donc 3 au compteur) en 5H14’ et prend la 76ème place de cette épreuve pour 429 arrivants sur la distance.
Epilogue :
Malgré le coup de pas bien entre le 30ème et le 42ème km, j’arrive dans un certain état de fraîcheur: le repas d’après course passe avec appétit et je ne suis absolument pas dans le « brouillard » pour rentrer sur Bordeaux le soir. Bref, fatigué, mais loin d’être cuit. Je suis conscient que l’on peut aller très-très loin du moment que l’on arrive à boire et à s’alimenter tout en maîtrisant sa foulée. Le psychologique l’emporte ensuite sur le physiologique….
Côté articulation, tout est OK : plus de douleurs après seulement 3 jours et frais comme un gardon… Bref, encore un grand merci à Gilles pour son plan supertrail testé une seconde fois et toujours d’une grande efficacité.
Voilà, j’en ai fini avec ce CR un peu long, mais à l’image de la durée de cette épreuve fort bien organisée et que je recommande à quiconque souhaiterai s’aventurer au-delà du marathon sur chemin et sentier de grande randonnée.
A la prochaine pour une autre aventure,
Franck
par franck
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Laurent_T
- Hors Ligne
- Platinum Boarder
- Messages : 900
- Remerciements reçus 0
Réponse de Laurent_T sur le sujet Re: 50 km de Lalinde - Dordogne - Trail
Posted il y a 13 ans 8 mois #89888
Énorme !!!
Bravo et merci pour ce CR très ... tentant (j'avoue, ce type d'épreuve, dans cette région, ça me fait RÊVER )
Bravo et merci pour ce CR très ... tentant (j'avoue, ce type d'épreuve, dans cette région, ça me fait RÊVER )
par Laurent_T
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- gilles
- Hors Ligne
- Administrator
- Messages : 10073
- Remerciements reçus 105
Réponse de gilles sur le sujet Re: 50 km de Lalinde - Dordogne - Trail
Posted il y a 13 ans 8 mois #89920
Salut Franck
CR vraiment sympa
On ressent bien les sensations que les coureurs de "longues " distances peuvent ressentir
Surtout quand ça devient plus dur, qu'on arrive plus à s'alimenter (alors qu'il le faut) et qu'il fasse débrancher le cerveau
Maintenant place à quelques jours de récupération
CR vraiment sympa
On ressent bien les sensations que les coureurs de "longues " distances peuvent ressentir
Surtout quand ça devient plus dur, qu'on arrive plus à s'alimenter (alors qu'il le faut) et qu'il fasse débrancher le cerveau
Maintenant place à quelques jours de récupération
par gilles
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- natael
- Hors Ligne
- Fresh Boarder
- Messages : 19
- Remerciements reçus 0
Réponse de natael sur le sujet Re: 50 km de Lalinde - Dordogne - Trail
Posted il y a 13 ans 1 semaine #132310
super récit félicitation !!!!!
par natael
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- gilles84 [Dum Spiro Spero]
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 6795
- Remerciements reçus 5
Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re: 50 km de Lalinde - Dordogne - Trail
Posted il y a 13 ans 1 semaine #132312
oula, il y a eu remontée de ce topic .....comprenais pas le coup du "1er trail de l'année" et de "j'enfile mon cuissard pour la 1ere fois de l'année"
dommage que j'ai raté ce cr à l'époque, j'aurai eu pas mal de question
dommage que j'ai raté ce cr à l'époque, j'aurai eu pas mal de question
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- acera
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 4385
- Remerciements reçus 90
Réponse de acera sur le sujet Re: 50 km de Lalinde - Dordogne - Trail
Posted il y a 13 ans 1 semaine #132316
Un CR qui remonte et tant mieux, ça m'a permis de le lire!
Un grand bravo pour avoir bien réussi cette épreuve qui laisse rêveuse.
Ça donne envie!
Un grand bravo pour avoir bien réussi cette épreuve qui laisse rêveuse.
Ça donne envie!
par acera
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Temps de génération de la page : 0.236 secondes