The return of The Giant
- wilf
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sabine écrit:
Il n'y a pas de comparaisons possible ,j'arrive à la peine à la hauteur de sa semelle (bien qu'elles soit de plus en plus épaisse)
arghhhhhhhhhhhhhh Wilf a un concurrent sérieux
bon retour parmi nous Icare te contente que tu ais pu rechausser les runnings
on attend le second épisode
Il n'y a pas de comparaisons possible ,j'arrive à la peine à la hauteur de sa semelle (bien qu'elles soit de plus en plus épaisse)
par wilf
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- gilles
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Salut Icare
Ravi de te lire à nouveau
A la lecture de tes propos, j'ai l'impression que ton approche de la course a beaucoup évoluée ces derniers mois
Comme toi, il m'a fallu pas mal de temps pour mettre de coté l'aspect "chrono" de la chose.
Plus le temps s'écoule et seules les bonnes sensations m'intéressent.
A l'arrivée d'une course, je me pose avant tout une question: ai je éprouvé aujourd'hui du plaisir à courir ? Ensuite je regarde mon chrono
Je dois avouer que c'est aussi beaucoup plus simple à gérer qu'à l'époque où la performance chronométrique était ma seule obsession
En tout cas bonne continuation et n'hésite pas à nous donner réguliérement de tes nouvelles
Ravi de te lire à nouveau
A la lecture de tes propos, j'ai l'impression que ton approche de la course a beaucoup évoluée ces derniers mois
Comme toi, il m'a fallu pas mal de temps pour mettre de coté l'aspect "chrono" de la chose.
Plus le temps s'écoule et seules les bonnes sensations m'intéressent.
A l'arrivée d'une course, je me pose avant tout une question: ai je éprouvé aujourd'hui du plaisir à courir ? Ensuite je regarde mon chrono
Je dois avouer que c'est aussi beaucoup plus simple à gérer qu'à l'époque où la performance chronométrique était ma seule obsession
En tout cas bonne continuation et n'hésite pas à nous donner réguliérement de tes nouvelles
par gilles
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- magaff
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je suis dans la même réflexion après des bléssures à répétitions et à 42 ans je pense qu'il faut que j'oublie un peu le chrono et que je prenne un peu plus de plaisir pourquoi ne pas faire des courses plus sympa sans regarder si c'est propice à la performance j'ai commençé à me poser des questions après la lecture d'un livre sur la course à pied ou l'auteur aborbe justement ce sujet ou l'on risque d'ailleur de tomber dans le surentraînement
par magaff
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- sabine
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wilf écrit:
très cher Wilf, rassures toi, je ne parlais pas des performances sportives que je ne saurais et/ou n'oserais comparer, je parlais de la syntaxe philosophicopoétique que nous aimons tous
sabine écrit:
arghhhhhhhhhhhhhh Wilf a un concurrent sérieux
bon retour parmi nous Icare te contente que tu ais pu rechausser les runnings
on attend le second épisode
Il n'y a pas de comparaisons possible ,j'arrive à la peine à la hauteur de sa semelle (bien qu'elles soit de plus en plus épaisse)
très cher Wilf, rassures toi, je ne parlais pas des performances sportives que je ne saurais et/ou n'oserais comparer, je parlais de la syntaxe philosophicopoétique que nous aimons tous
par sabine
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- christine57
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Yes retour de l'oiseau migrateur et de sa verve qui nous enchante tous . L'âge rend certains sages et la réflexion intense, alors prends ce plaisir et à donf
par christine57
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- Icare
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Finalement, y'aura peut-être 3 parties.....
2) Etre ou ne plus être.
C’est parti ! Les premières foulées sont toujours très importantes : elles décident du reste. On sait tout, tout de suite .… J’aime cette sensation qui s’installe, quand on est bien préparé et que la machine tourne toute seule. L’impression de se regarder courir, la jambe qui tombe bien droite, la foulée légère…Une mécanique; jusqu’au 7,8, 10ème , peut-être, y’aura pas besoin de s’occuper de ça, de relancer : ça dégage l’esprit ; on économise pour la suite. Bon, c’est pas le cas aujourd’hui, hein… La foulée légère, elle est quand même sérieusement handicapée par les 6 kg en plus que je traîne ! Mais, je suis bien. J’attaque le bitume du talon et je vois mon pied se dérouler avec facilité (alors, là, j’en connais qui vont couper les cheveux en quatre, ergoter : « Ah, bon ? Mais tu attaques du talon, toi ? Moi, c’est d’abord la pointe du pied. Il est vrai que je suis un ancien sprinter ! Oui, mais mon petit gars, tu peux bien attaquer du genou ou avec les dents, je m’en fous : c’est MA course, je fais ce que je veux !) Des tas de gens me doublent, de tous les côtés mais je n’y prête pas attention. Beaucoup de spectateurs. Pour une fois, je les vois ; je veux dire, je prends le temps de les dévisager. C’est nouveau. J’ai tellement fait de courses dans des zones industrielles, les parkings de Supermarché, parce que c’étaient les plus rapides. Mais le désert. Pas un chat…Ici, les gens applaudissent. On vient de passerles arènes : magnifique ! Pour un peu je prendrai une photo… Je n’étais pas venu l’an dernier mais je m’aperçois avec une certaine jubilation que je connais le parcours par cœur : bientôt, on va prendre sous le pont de chemin de fer et puis après ce sera les faubourgs, comme on disait autrefois, et puis la campagne.. Tiens, qu’est ce que je disais : le voila, le pont. Y’a des motards qui règlent la circulation… Tout à l’heure, on reviendra par la gauche et on longera longtenps la voie ferrée avant de reprendre le centre ville et là, ce sera dur…. Mais quoi ? On sera au 19, 20ème : ce sera la fin…
Pour l’instant, on va arriver au troisième kilomètre : Qu’est ce que je fais ? Je regarde le chrono ou pas ? C’est important le 3 sur un semi : On regarde et hop ! On multiplie par 7 et on a tout de suite une idée de ce qu’on va faire. Une grosse idée ! (je vois les mêmes que tout à l’heure s’avancer : « Sais-tu que tu peux aussi attendre le septième km et multiplier par 3 ! Mais personne ne fait jamais ça ! Parce que des 3000m, on en fait à l’entraînement ! Qui s’amuse à faire des séries de 7km ?! Coureur de plage !)
Regarder le chrono dans mon cas, c’est comme le gars qui a arrêté de fumer et qui s’en reprend une petite en pensant qu’il ne risque plus rien. Replonger dans l’enfer de la compét ! Mon Dieu, quelle horreur ! Vade retro, satanas ! Sûrement pas ! Après tout, je m’en fous de savoir en combien je passe. Allez, je regarde pas !!
12’19’’ ? Pas mal, 12’19’’ Les douze, ça va. Mais c’est les 19 secondes qui m’ennuient un peu. Parce que, bon, 12 minutes par 7, ça nous fait 1h24’ C’est bon, 1-24, mais si j’ajoute 20 s tous les 3 km, ça porte à 1-26, 1-26-30 J’ai pas assez d’entraînement pour rester régulier, ça va finir en 1-30, ça.
Pourquoi ça me chagrine ? Parce que c’est la qualif V2 pour le France ? Et alors, c’est fini, non ? Oui. Allez, je retrouve mon calme…
Un peu avant le 5, je double un gars qui pousse devant lui un chariot dans lequel une petite fille handicapée est attachée ; sa fille, sûrement. Elle aussi, elle a un dossard ; elle se penche en avant, peut-être pour faire aller l’ensemble plus vite un peu comme les marins sur ces cons de bateaux à voile, qui se couchent, la tête au ras de l’eau, les jambes tendues ; j’ai jamais bien compris pourquoi mais je suis un terrien et je nage comme un fer à repasser….. Quelques concurrents l’applaudissent, l’encouragent. Moi, j’ai plutôt envie de pleurer. Autrefois, j’aurais sûrement trouvé indécent ces applaudissements, ces encouragements : la facilité, un manque de pudeur. Mais aujourd’hui, je sais que la solidarité, l’affection ne se traduisent pas toujours de la même manière et qu’ils sont eux aussi sincères.
5km : 20’43 ‘’ Aie ! Aie ! Aie ! Je me suis repris au jeu. Bon, j’ai pas trop perdu… Ah ! Mais si ! J’étais en 4-6 et là, je suis en 4-12 ! 6 s au kilo ! C’est énorme ! Tiens, voila des militaires ! Oui, je crois qu’il y a une garnison à Nîmes, La légion, ou un truc comme ça…. Faciles à reconnaître : Tête rasée, tee-shirt et short serré comme dans les années 50 ! Mais jeunes, surtout. Très jeunes. Bien sûr, ils viennent d’exploser. Tu parles ! S’ils ont fait 5 km en surrégime, je les plains. La course commence seulement pour eux et ce sera l’enfer : la Bérézina ! Waterloo ! Diên Biên Phu !(Excusez-moi, c’est encore moi, mais je me dois de relever une erreur : la Légion n’existait pas au temps de Napoléon ; en effet, c’est Louis-Philippe qui l’a créée le 9 mars 1831 et…..C’est fini ,oui ?! Retourne faire tes pointes en tutu et fous-nous la paix !)
Au moment où je me fais la réflexion que ce doit être dur pour eux de se faire dépasser par autant de concurrents ; parce que quand tu te fais doubler après le 5ème tu sais que ce n’est pas les autres qui ont accéléré mais toi qui , soudain n’avance plus….Voila que je ne me sens pas très bien non plus. Pas de forces, plus d’énergie…Le mur : je suis en train se rencontrer le mur au 7ème km d’un semi ! Non, c’est impossible : je veux bien admettre que je manque d’entraînement mais je peux quand même tenir 7 km !
Il n’y a qu’une seule explication : Je suis allé trop vite ! Enfin, quand même : 12’19’’ au trois mille ! C’est rien… Ca m’est arrivé de passer en 10’30’’ sur des semi !
Il faut se rendre à l’évidence : je ne peux plus… Il y a le manque d’entraînement, bien sur. Mais pas seulement. Je suis rattrapé par l’âge.
D’ailleurs, la vieillesse, ce n’est pas linéaire. On se maintient pendant une, deux, trois années. Juste petits quelques signes. Et puis, paf ! D’un coup, on prend 10 ans…..j’avais déjà ressenti ça, à Nice, l’an dernier sur le 10. J’étais parti sur les bases de 36, que je croyais pouvoir encore faire et puis, j’ai abandonné au 5ème, sans force, comme aujourd’hui.. 15 jours après, je terminai un autre dix kilomètres en 38’. Premier de ma catégorie. Mais je savais que je ne referai plus jamais 36’. Comme déjà, je ne pouvais plus faire 34’.
Bon, fini les états d’âme. Il va falloir enfiler le bleu de travail ; se retrousser les manches et serrer les dents ; Tenir au moins jusqu’aux dix kilomètres…Après, on avisera….
2) Etre ou ne plus être.
C’est parti ! Les premières foulées sont toujours très importantes : elles décident du reste. On sait tout, tout de suite .… J’aime cette sensation qui s’installe, quand on est bien préparé et que la machine tourne toute seule. L’impression de se regarder courir, la jambe qui tombe bien droite, la foulée légère…Une mécanique; jusqu’au 7,8, 10ème , peut-être, y’aura pas besoin de s’occuper de ça, de relancer : ça dégage l’esprit ; on économise pour la suite. Bon, c’est pas le cas aujourd’hui, hein… La foulée légère, elle est quand même sérieusement handicapée par les 6 kg en plus que je traîne ! Mais, je suis bien. J’attaque le bitume du talon et je vois mon pied se dérouler avec facilité (alors, là, j’en connais qui vont couper les cheveux en quatre, ergoter : « Ah, bon ? Mais tu attaques du talon, toi ? Moi, c’est d’abord la pointe du pied. Il est vrai que je suis un ancien sprinter ! Oui, mais mon petit gars, tu peux bien attaquer du genou ou avec les dents, je m’en fous : c’est MA course, je fais ce que je veux !) Des tas de gens me doublent, de tous les côtés mais je n’y prête pas attention. Beaucoup de spectateurs. Pour une fois, je les vois ; je veux dire, je prends le temps de les dévisager. C’est nouveau. J’ai tellement fait de courses dans des zones industrielles, les parkings de Supermarché, parce que c’étaient les plus rapides. Mais le désert. Pas un chat…Ici, les gens applaudissent. On vient de passerles arènes : magnifique ! Pour un peu je prendrai une photo… Je n’étais pas venu l’an dernier mais je m’aperçois avec une certaine jubilation que je connais le parcours par cœur : bientôt, on va prendre sous le pont de chemin de fer et puis après ce sera les faubourgs, comme on disait autrefois, et puis la campagne.. Tiens, qu’est ce que je disais : le voila, le pont. Y’a des motards qui règlent la circulation… Tout à l’heure, on reviendra par la gauche et on longera longtenps la voie ferrée avant de reprendre le centre ville et là, ce sera dur…. Mais quoi ? On sera au 19, 20ème : ce sera la fin…
Pour l’instant, on va arriver au troisième kilomètre : Qu’est ce que je fais ? Je regarde le chrono ou pas ? C’est important le 3 sur un semi : On regarde et hop ! On multiplie par 7 et on a tout de suite une idée de ce qu’on va faire. Une grosse idée ! (je vois les mêmes que tout à l’heure s’avancer : « Sais-tu que tu peux aussi attendre le septième km et multiplier par 3 ! Mais personne ne fait jamais ça ! Parce que des 3000m, on en fait à l’entraînement ! Qui s’amuse à faire des séries de 7km ?! Coureur de plage !)
Regarder le chrono dans mon cas, c’est comme le gars qui a arrêté de fumer et qui s’en reprend une petite en pensant qu’il ne risque plus rien. Replonger dans l’enfer de la compét ! Mon Dieu, quelle horreur ! Vade retro, satanas ! Sûrement pas ! Après tout, je m’en fous de savoir en combien je passe. Allez, je regarde pas !!
12’19’’ ? Pas mal, 12’19’’ Les douze, ça va. Mais c’est les 19 secondes qui m’ennuient un peu. Parce que, bon, 12 minutes par 7, ça nous fait 1h24’ C’est bon, 1-24, mais si j’ajoute 20 s tous les 3 km, ça porte à 1-26, 1-26-30 J’ai pas assez d’entraînement pour rester régulier, ça va finir en 1-30, ça.
Pourquoi ça me chagrine ? Parce que c’est la qualif V2 pour le France ? Et alors, c’est fini, non ? Oui. Allez, je retrouve mon calme…
Un peu avant le 5, je double un gars qui pousse devant lui un chariot dans lequel une petite fille handicapée est attachée ; sa fille, sûrement. Elle aussi, elle a un dossard ; elle se penche en avant, peut-être pour faire aller l’ensemble plus vite un peu comme les marins sur ces cons de bateaux à voile, qui se couchent, la tête au ras de l’eau, les jambes tendues ; j’ai jamais bien compris pourquoi mais je suis un terrien et je nage comme un fer à repasser….. Quelques concurrents l’applaudissent, l’encouragent. Moi, j’ai plutôt envie de pleurer. Autrefois, j’aurais sûrement trouvé indécent ces applaudissements, ces encouragements : la facilité, un manque de pudeur. Mais aujourd’hui, je sais que la solidarité, l’affection ne se traduisent pas toujours de la même manière et qu’ils sont eux aussi sincères.
5km : 20’43 ‘’ Aie ! Aie ! Aie ! Je me suis repris au jeu. Bon, j’ai pas trop perdu… Ah ! Mais si ! J’étais en 4-6 et là, je suis en 4-12 ! 6 s au kilo ! C’est énorme ! Tiens, voila des militaires ! Oui, je crois qu’il y a une garnison à Nîmes, La légion, ou un truc comme ça…. Faciles à reconnaître : Tête rasée, tee-shirt et short serré comme dans les années 50 ! Mais jeunes, surtout. Très jeunes. Bien sûr, ils viennent d’exploser. Tu parles ! S’ils ont fait 5 km en surrégime, je les plains. La course commence seulement pour eux et ce sera l’enfer : la Bérézina ! Waterloo ! Diên Biên Phu !(Excusez-moi, c’est encore moi, mais je me dois de relever une erreur : la Légion n’existait pas au temps de Napoléon ; en effet, c’est Louis-Philippe qui l’a créée le 9 mars 1831 et…..C’est fini ,oui ?! Retourne faire tes pointes en tutu et fous-nous la paix !)
Au moment où je me fais la réflexion que ce doit être dur pour eux de se faire dépasser par autant de concurrents ; parce que quand tu te fais doubler après le 5ème tu sais que ce n’est pas les autres qui ont accéléré mais toi qui , soudain n’avance plus….Voila que je ne me sens pas très bien non plus. Pas de forces, plus d’énergie…Le mur : je suis en train se rencontrer le mur au 7ème km d’un semi ! Non, c’est impossible : je veux bien admettre que je manque d’entraînement mais je peux quand même tenir 7 km !
Il n’y a qu’une seule explication : Je suis allé trop vite ! Enfin, quand même : 12’19’’ au trois mille ! C’est rien… Ca m’est arrivé de passer en 10’30’’ sur des semi !
Il faut se rendre à l’évidence : je ne peux plus… Il y a le manque d’entraînement, bien sur. Mais pas seulement. Je suis rattrapé par l’âge.
D’ailleurs, la vieillesse, ce n’est pas linéaire. On se maintient pendant une, deux, trois années. Juste petits quelques signes. Et puis, paf ! D’un coup, on prend 10 ans…..j’avais déjà ressenti ça, à Nice, l’an dernier sur le 10. J’étais parti sur les bases de 36, que je croyais pouvoir encore faire et puis, j’ai abandonné au 5ème, sans force, comme aujourd’hui.. 15 jours après, je terminai un autre dix kilomètres en 38’. Premier de ma catégorie. Mais je savais que je ne referai plus jamais 36’. Comme déjà, je ne pouvais plus faire 34’.
Bon, fini les états d’âme. Il va falloir enfiler le bleu de travail ; se retrousser les manches et serrer les dents ; Tenir au moins jusqu’aux dix kilomètres…Après, on avisera….
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