CR des 100km de Bretagne 2019
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CR de 100km de Bretagne 2019. Lieu : Crevin (Ille et Vilaine). Date : 15 juin 2019.
Le réveil n’a pas eu le temps de sonner, j’étais déjà réveillé et je me suis donc levé car je ne me voyais pas essayer de dormir pour une demie heure. Les préparatifs furent tranquilles, j’avais le temps car je devais prendre la route à 3h pour être à Crevin vers 4h et récupérer mon dossard. Un petit déjeuner qui est bien passé – j’avais peur de ne pas avoir faim à cette heure très matinale – puis la mise en tenue et le chargement de la voiture avec mes sacs de ravitaillement et de rechange et me voilà parti pour une heure de route.
Quand je suis arrivé à Crevin, sans doute par un itinéraire non prévu par l’organisation, je me suis retrouvé à tourner en rond dans le village cherchant la salle omnisports où devait logiquement se situer la remise des dossards et le départ. Mais, la salle était à 300m de là, alors je suis reparti faire un tour de village sans trouver où rejoindre le parking des coureurs. Tant pis, je me stationnais à la salle et emportait mes sacs avec moi jusqu’à l’endroit où devaient avoir lieu la remise des dossards et le départ. Heureusement, il y avait un stand pour placer son ravitaillement personnel et j’y déposais donc mes sacs après avoir adapté ma tenue aux conditions météo : il faisait frais mais c’était bien et je n’avais pas besoin de me couvrir de trop. J’optais pour le t-shirt à manches longues par dessus lequel je mettais mon débardeur jaune fluo qui me servirait aussi de coupe-vent. Dans mon sac à dos, mis en configuration « Raid du Golfe » donc en mode autonomie, j’avais un poncho, des barres de céréales, des pâtes de fruits, mon portable, mon chargeur au cas où ma batterie de GPS flancherait et mes boissons, plus de quoi me dépanner en cas d’arrêt technique sans oublier ma frontale pour la première heure. Un dernier tour au gymnase pour aller aux WC puis il était déjà l’heure de rallier la ligne de départ. J’y revoyais avec plaisir Sylvain Ethore, Thierry Michel, Jean-Gab mon pote Nantais d’ultras régionaux et quelques autres habitués des 24h de Rennes ou des autres courses d’ultra.
5h du mat’ le signal de départ fut donné aux 43 courageux que nous étions. On nous avait prévenus qu’il risquait d’y avoir des zones boueuses dans certains chemins que nous devions emprunter et qu’il fallait faire attention.
Le parcours était dans un premier temps sur bitume pour sortir du village et après 5 ou 6 km on a commencé à rentrer dans les chemins sombres et parfois boueux comme annoncé. Il fallait prendre garde car mettre dès le début ses chaussures dans l’eau aurait sans doute été très désagréable pour la suite de l’aventure. J’avais adopté jusqu’au chemin un rythme tranquille de 9,5km/h (passage aux 5km en 31’09’’) j’ai ignoré le ravitaillement N°1 non sans m’être fait pointer et j’ai poursuivi ma route. Le km 10 de nouveau dans un chemin très étroit fut passé en 1h03’17’’ (+ 32’08’’ pour les 5 derniers km) suivi du second poste de ravitaillement où je rechargeais ma bouteille.
On quittait alors les chemins pour du bitume à ma grande joie mais ce fut de courte durée car on allait alterner route et chemins pendant un certain temps. Le km15 fut passé en 2h14’06’’ (+ 32’35’’) où jusque-là nous n’avions pas encore eu trop de dénivelé. Les éoliennes se faisaient plus nombreuses sur le plateau et les chemins qui suivirent devinrent plus difficiles car caillouteux ce qui m’a beaucoup gêné. et commençait alors vraiment la partie vallonnée du circuit : belles descentes suivies de longues montées dont une face au vent qui allait se renforcer au fil des heures. Km 20 en environ 32’ (je n’ai pas vu le marquage au sol) puis le semi en 2h14’06’’ et le retour dans le village où il restait 2km pour finir la première boucle. Passage du premier tour en 2h39’43’’. J’étais dans les temps prévus et prêt pour une seconde boucle après m’être débarrassé de ma frontale et pris de quoi grignoter car ce qu’il y avait aux ravitaillement ne me convenait pas.
La seconde boucle démarra sur le même tempo que la première mais je pris l’option sécurité et ne cherchais pas à accélérer n’hésitant pas à marcher dans les côtes ou dans les parties de chemin trop techniques. Km 30 en 3h12’34’’ puis le km 35 en 3h45’57’’ je visais maintenant le marathon puis les 50km viendraient bien naturellement après. J’allais avoir de la visite à la mi-course : ma fille et ma petite-fille ! Je me sentais bien et mon allure était bien comme il faut, je ne cherchais pas à en faire trop, il resterait encore 50 autres bornes à se faire après, ce serait bête de tout gâcher sur un coup d’euphorie.
Passage au km40 en 4h20’20’’ puis au marathon en 4h34’21’’, et au km 50 en 5h29’39’’. J’ai vu ma petite famille et je pris 5 bonnes minutes de pause pour rester avec elles et réajuster ma tenue. J’avais mal à un orteil et craignais une ampoule mais en retirant ma chaussure et ma chaussette, je ne vis rien. c’était un fil de la chaussette qui s’était pris dans un ongle pourtant fraîchement coupé et qui tirait mon orteil m’occasionnant une douleur à chaque foulée. Après ce constat et après avoir remis ma chaussette « comme il fallait » je n’avais plus mal. Je repris la route et donnais rendez-vous à ma fille et ma petite-fille à l’arrivée. Elles allaient rentrer sur Rennes et je devais les appeler pour leur dire vers quelle heure revenir en fin de journée pour mon arrivée. Au début, j’avais prévu de mettre 11h15 voire 11h30, mais je ne pensais pas mettre une heure de plus.
Mon avancée se fit de plus en plus laborieuse au fil des heures mais j’avais opté mentalement pour une grosse répétition du Grand Raid du Golfe. Alternance course et marche, pas de panique, il n’y avait pas beaucoup d’autres coureurs dans ma zone sauf ceux qui couraient le 50km que je croisais en les saluant. Parmi eux, il y avait Hervé Rozec que je connais depuis plus de 10 ans.
Jusqu’au km 60, je restais sous les 40’ aux 5km (km55 en 6h08’53’’ et km 60 en 6h45’37’’) puis irrémédiablement mon allure allait chuter : km 65 en 7h25’32’’ (+ 40’55’’) km 70 en 8h07’26’’ (+ 40’54’’) et je franchissais la ligne de la fin de la troisième boucle en 8h47’12’’ (qui correspond à mon chrono record … sur 100km). Le dernier tour allait être encore plus long et je me faisais dépasser par pratiquement tous les coureurs du 25km partis 10 minutes après mon passage. Je me raccrochais à trois marcheurs nordiques que je côtoyais jusqu’à la fin, tantôt devant, tantôt derrière.
Km 80 en 9h29’00’’, km 85 en 10h11’44’’ je passais un petit coup de fil à ma famille pour indiquer que je ne serais pas là avant 17h soit après plus de 12h de course vu le rythme qui était devenu le mien. Km 90 en 10h55’50’’ puis le km 95 en 11h39’16’’ et me voici alors près de l’arrivée. J’ai effectué les 100 derniers mètres en donnant la main à ma petite-fille, Nora, et j’en oubliais tout de cette longue journée sur la route et les chemins. Que du bonheur de finir avec ma petite-fille qui piaffait d’impatience depuis de longues minutes avant de m’apercevoir en bout de ligne droite et qui était toute fière du haut de ses 3 ans de finir la course avec son papi. Le chrono exact doit être proche de 12h19’20’’ soit une heure de plus que ce que j’avais prévu mais la météo, le profil (D+ total proche de 1000m) et les 50 % de l’itinéraire en mode « chemins » ont rendu ma progression plus difficile et cela m’a servi de répétition générale avant les 177km du Grand Raid du Golfe.
Une fois arrivé, je reçus ma médaille et une bière artisanale de la région puis après avoir récupéré mes sacs au stand je repris la route pour aller passer la soirée en famille et « refaire » le match avec mes proches.
Ce fut un beau mais long et difficile week-end mais au final je me suis rassuré après ma mésaventure à l’Ultr’Ardèche où j’avais dû abandonner blessé. Donc pas de déception et … pas de séquelles car lors de mon footing de ce matin d’une heure (à 9,2km/h) je n’ai ressenti aucune douleur ni courbature.
à+ynwa
Le réveil n’a pas eu le temps de sonner, j’étais déjà réveillé et je me suis donc levé car je ne me voyais pas essayer de dormir pour une demie heure. Les préparatifs furent tranquilles, j’avais le temps car je devais prendre la route à 3h pour être à Crevin vers 4h et récupérer mon dossard. Un petit déjeuner qui est bien passé – j’avais peur de ne pas avoir faim à cette heure très matinale – puis la mise en tenue et le chargement de la voiture avec mes sacs de ravitaillement et de rechange et me voilà parti pour une heure de route.
Quand je suis arrivé à Crevin, sans doute par un itinéraire non prévu par l’organisation, je me suis retrouvé à tourner en rond dans le village cherchant la salle omnisports où devait logiquement se situer la remise des dossards et le départ. Mais, la salle était à 300m de là, alors je suis reparti faire un tour de village sans trouver où rejoindre le parking des coureurs. Tant pis, je me stationnais à la salle et emportait mes sacs avec moi jusqu’à l’endroit où devaient avoir lieu la remise des dossards et le départ. Heureusement, il y avait un stand pour placer son ravitaillement personnel et j’y déposais donc mes sacs après avoir adapté ma tenue aux conditions météo : il faisait frais mais c’était bien et je n’avais pas besoin de me couvrir de trop. J’optais pour le t-shirt à manches longues par dessus lequel je mettais mon débardeur jaune fluo qui me servirait aussi de coupe-vent. Dans mon sac à dos, mis en configuration « Raid du Golfe » donc en mode autonomie, j’avais un poncho, des barres de céréales, des pâtes de fruits, mon portable, mon chargeur au cas où ma batterie de GPS flancherait et mes boissons, plus de quoi me dépanner en cas d’arrêt technique sans oublier ma frontale pour la première heure. Un dernier tour au gymnase pour aller aux WC puis il était déjà l’heure de rallier la ligne de départ. J’y revoyais avec plaisir Sylvain Ethore, Thierry Michel, Jean-Gab mon pote Nantais d’ultras régionaux et quelques autres habitués des 24h de Rennes ou des autres courses d’ultra.
5h du mat’ le signal de départ fut donné aux 43 courageux que nous étions. On nous avait prévenus qu’il risquait d’y avoir des zones boueuses dans certains chemins que nous devions emprunter et qu’il fallait faire attention.
Le parcours était dans un premier temps sur bitume pour sortir du village et après 5 ou 6 km on a commencé à rentrer dans les chemins sombres et parfois boueux comme annoncé. Il fallait prendre garde car mettre dès le début ses chaussures dans l’eau aurait sans doute été très désagréable pour la suite de l’aventure. J’avais adopté jusqu’au chemin un rythme tranquille de 9,5km/h (passage aux 5km en 31’09’’) j’ai ignoré le ravitaillement N°1 non sans m’être fait pointer et j’ai poursuivi ma route. Le km 10 de nouveau dans un chemin très étroit fut passé en 1h03’17’’ (+ 32’08’’ pour les 5 derniers km) suivi du second poste de ravitaillement où je rechargeais ma bouteille.
On quittait alors les chemins pour du bitume à ma grande joie mais ce fut de courte durée car on allait alterner route et chemins pendant un certain temps. Le km15 fut passé en 2h14’06’’ (+ 32’35’’) où jusque-là nous n’avions pas encore eu trop de dénivelé. Les éoliennes se faisaient plus nombreuses sur le plateau et les chemins qui suivirent devinrent plus difficiles car caillouteux ce qui m’a beaucoup gêné. et commençait alors vraiment la partie vallonnée du circuit : belles descentes suivies de longues montées dont une face au vent qui allait se renforcer au fil des heures. Km 20 en environ 32’ (je n’ai pas vu le marquage au sol) puis le semi en 2h14’06’’ et le retour dans le village où il restait 2km pour finir la première boucle. Passage du premier tour en 2h39’43’’. J’étais dans les temps prévus et prêt pour une seconde boucle après m’être débarrassé de ma frontale et pris de quoi grignoter car ce qu’il y avait aux ravitaillement ne me convenait pas.
La seconde boucle démarra sur le même tempo que la première mais je pris l’option sécurité et ne cherchais pas à accélérer n’hésitant pas à marcher dans les côtes ou dans les parties de chemin trop techniques. Km 30 en 3h12’34’’ puis le km 35 en 3h45’57’’ je visais maintenant le marathon puis les 50km viendraient bien naturellement après. J’allais avoir de la visite à la mi-course : ma fille et ma petite-fille ! Je me sentais bien et mon allure était bien comme il faut, je ne cherchais pas à en faire trop, il resterait encore 50 autres bornes à se faire après, ce serait bête de tout gâcher sur un coup d’euphorie.
Passage au km40 en 4h20’20’’ puis au marathon en 4h34’21’’, et au km 50 en 5h29’39’’. J’ai vu ma petite famille et je pris 5 bonnes minutes de pause pour rester avec elles et réajuster ma tenue. J’avais mal à un orteil et craignais une ampoule mais en retirant ma chaussure et ma chaussette, je ne vis rien. c’était un fil de la chaussette qui s’était pris dans un ongle pourtant fraîchement coupé et qui tirait mon orteil m’occasionnant une douleur à chaque foulée. Après ce constat et après avoir remis ma chaussette « comme il fallait » je n’avais plus mal. Je repris la route et donnais rendez-vous à ma fille et ma petite-fille à l’arrivée. Elles allaient rentrer sur Rennes et je devais les appeler pour leur dire vers quelle heure revenir en fin de journée pour mon arrivée. Au début, j’avais prévu de mettre 11h15 voire 11h30, mais je ne pensais pas mettre une heure de plus.
Mon avancée se fit de plus en plus laborieuse au fil des heures mais j’avais opté mentalement pour une grosse répétition du Grand Raid du Golfe. Alternance course et marche, pas de panique, il n’y avait pas beaucoup d’autres coureurs dans ma zone sauf ceux qui couraient le 50km que je croisais en les saluant. Parmi eux, il y avait Hervé Rozec que je connais depuis plus de 10 ans.
Jusqu’au km 60, je restais sous les 40’ aux 5km (km55 en 6h08’53’’ et km 60 en 6h45’37’’) puis irrémédiablement mon allure allait chuter : km 65 en 7h25’32’’ (+ 40’55’’) km 70 en 8h07’26’’ (+ 40’54’’) et je franchissais la ligne de la fin de la troisième boucle en 8h47’12’’ (qui correspond à mon chrono record … sur 100km). Le dernier tour allait être encore plus long et je me faisais dépasser par pratiquement tous les coureurs du 25km partis 10 minutes après mon passage. Je me raccrochais à trois marcheurs nordiques que je côtoyais jusqu’à la fin, tantôt devant, tantôt derrière.
Km 80 en 9h29’00’’, km 85 en 10h11’44’’ je passais un petit coup de fil à ma famille pour indiquer que je ne serais pas là avant 17h soit après plus de 12h de course vu le rythme qui était devenu le mien. Km 90 en 10h55’50’’ puis le km 95 en 11h39’16’’ et me voici alors près de l’arrivée. J’ai effectué les 100 derniers mètres en donnant la main à ma petite-fille, Nora, et j’en oubliais tout de cette longue journée sur la route et les chemins. Que du bonheur de finir avec ma petite-fille qui piaffait d’impatience depuis de longues minutes avant de m’apercevoir en bout de ligne droite et qui était toute fière du haut de ses 3 ans de finir la course avec son papi. Le chrono exact doit être proche de 12h19’20’’ soit une heure de plus que ce que j’avais prévu mais la météo, le profil (D+ total proche de 1000m) et les 50 % de l’itinéraire en mode « chemins » ont rendu ma progression plus difficile et cela m’a servi de répétition générale avant les 177km du Grand Raid du Golfe.
Une fois arrivé, je reçus ma médaille et une bière artisanale de la région puis après avoir récupéré mes sacs au stand je repris la route pour aller passer la soirée en famille et « refaire » le match avec mes proches.
Ce fut un beau mais long et difficile week-end mais au final je me suis rassuré après ma mésaventure à l’Ultr’Ardèche où j’avais dû abandonner blessé. Donc pas de déception et … pas de séquelles car lors de mon footing de ce matin d’une heure (à 9,2km/h) je n’ai ressenti aucune douleur ni courbature.
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Une belle "mise en jambes " si on peut dire en vue des 177km qui s'annoncent prochainement !
Ce ne fut pas simple, mais tu y es parvenu !
Bravo Fabrice pour ce nouveau 100km à ton actif !
Ravi aussi de voir que ta blessure sur l'UA3 n'est plus qu'un mauvais souvenir à présent (en tous cas je pense que c'est le cas) et que les feux sont repassés au vert pour la suite de ta saison
Bonne suite et fin de prépa pour le Grand Raid du Golfe !
Ce ne fut pas simple, mais tu y es parvenu !
Bravo Fabrice pour ce nouveau 100km à ton actif !
Ravi aussi de voir que ta blessure sur l'UA3 n'est plus qu'un mauvais souvenir à présent (en tous cas je pense que c'est le cas) et que les feux sont repassés au vert pour la suite de ta saison
Bonne suite et fin de prépa pour le Grand Raid du Golfe !
par Patrick57
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Je viens de voir que mon message d'avant n'est pas présent Je vais en récrire un.
Cool d'être allé au bout, félicitation pour ta course. Un marathon est loin d'être une course facile alors un 100 bornes... Moi j'ai couru un marathon ce we et je n'aurai pas pu allé courir dès le lendemain. Mais toi un petit 100km, tu repars le lendemain courir
Je pense que le mixte route/chemin avec cailloux est une belle mise en [strike]bouche[/strike] jambes pour le Grand Raid du Golfe.
J'étais dit que pour mon premier 100bornes (d'ici 2-3 ans), j'aurais pu faire celui-ci comme c'est le plus près de chez moi (<1h de route) mais après lecture de ton CR, je vais peut-être changer d'avis
Cool d'être allé au bout, félicitation pour ta course. Un marathon est loin d'être une course facile alors un 100 bornes... Moi j'ai couru un marathon ce we et je n'aurai pas pu allé courir dès le lendemain. Mais toi un petit 100km, tu repars le lendemain courir
Je pense que le mixte route/chemin avec cailloux est une belle mise en [strike]bouche[/strike] jambes pour le Grand Raid du Golfe.
J'étais dit que pour mon premier 100bornes (d'ici 2-3 ans), j'aurais pu faire celui-ci comme c'est le plus près de chez moi (<1h de route) mais après lecture de ton CR, je vais peut-être changer d'avis
par kyoden
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