Reprise de foulées : 10 Km PEssac
- luc33
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- Senior Boarder
- Messages : 40
- Remerciements reçus 18
Bonjour,
après quelques mois passés loin de ce forum car loin de mes baskets, me revoila plus heureux que jamais de les rechausser et vous retrouver.
Suite à mon premier marathon www.conseils-courseapied.com/forum/25-re...umanite-mdb2016.html , la reprise s'est fait longtemps attendre car finalement il a fallu 100 jours de repos complet pour que je puisse reprendre plus de 3km en EF sans souffrir du talon/cheville..
Mi-aout c'est reparti à une ou deux sortie(s) par semaine pour environ 10km, puis petit à petit me revoilà à 15/18 hebdomadaire maintenant.
Comme j'y pensais déjà un peu au printemps je voulais tester les joies d'un 10 km.
Distance et timing m'ont fait courir à Pessac hier matin sous un frais soleil.
Pas de préparation particulière, seulement deux sorties en allure cible du 10km (4:45m/km) sur 7 puis 8 km il y a 20 et 10 jours.
Je trouve ces 2 sorties rapides biens mais je fini à chaque fois à ramasser à la petite cuillère et me dis donc que l'objectif de conserver ce rythme est une douce folie sur 10km
Hier matin le jour J est arrivé et moi aussi sur place.
Je récupère très rapidement mon dossard de préinscrit mais me maudits d’avoir oublié des épingles à nourrice, tant pis on fera ca à l'agrafeuse
9:20, le départ du 5k s'approche et je me réchauffe en privilégiant les rues au soleil pour faire quelques centaines de mètres à rythme calme.
J'ai du mal à imaginer que je suis là pour courir ‘vite’ avec pleins de gens qui sont là pour ça aussi.
Mon unique référence de course officielle est le Marathon, couru sur retour de blessure je l’ai fait au plus calme avec la maxime en tête « qui veut voyager loin doit ménager sa monture »
Bref, trêve de digressions, l’heure du départ approche je range dans la voiture les gants mais garde deux épaisseurs car vindiou je trouve qu’il ne fait pas encore assez chaud.
H-3 minutes, nous voila tassés comme à l’ouverture des portes du salon de l’automobile,et du coup il fait chaud
J’ai mon stock de kleenex (oui suis enrubé, c’est pas cool), et je trouve une petite place en bordure de trottoir à peine un mètre derrière les ballons bleus des sympathiques meneurs d’allure de 45’’
Pan c’est parti, après quelques secondes de flottement le temps que les quelques centaines de jambes tassées devant moi se lancent, me voici parti avec comme objectif de ne pas lâcher tant que je peux mes amis les ballons bleus.
On est environ 600 au départ, et le premier demi-kilomètre est chaotique, je fais une bonne partie sur le trottoir entre poussettes et photographes le temps que ca s’éclaircisse un peu.
L’oreillette me dit 4’’20, et là je sais que ça ne va pas être facile-possible de tenir à ce rythme.
Effectivement dès le premier kilomètre bouclé je sens que je suis pas loin de me mettre dans le rouge, mais l’envie de suivre ses satanés ballons bleu est la plus forte, on s’accroche.
Petit check mental :
Soleil et température : ca va, pas trop froid, je pense même que j’aurais trop chaud plus tard
Pied et cheville : RAS, cool une bonne nouvelle
Muscle : ca se déroule pas mal
Cœur et souffle : euh là ca pique un peu, ca n’a rien à voir avec une allure marathon
Un petit quart d’heure passe, je repère 2/3 maillots et silhouettes que je sens bien dans un rythme proche du mien et mentalement je m’accroche déjà à eux pour tenir le rythme.
Les 4 Kilomètres sont passés avec un faux plat montant, et pour moi c’est déjà là où je commence à me sentir dans le dur, pointe de côté, souffle court, bouche sèche (par 12°C le comble). Le petit diable flemmard me susurre à l’oreille que ce ne serait pas si honteux de faire qu’un bon 5Km par ce temps, et puis je suis malade et en reprise .. mais heureusement le bon petit ange motivateur me dit que même si je souffre, même si je pense ralentir j’ai toujours les ballons à moins de 20 mètres devant moi et que les portions où je grimace et que je pense lente continuent de passer à 4’’30 alors je m’accroche.
Km 5 : la boucle est faite, on part pour le second tour. Finalement j’aime bien, je sais ce qu’il me reste à courir.
En version courte 5,6,7 sont de plus en plus durs, le tempo baisse un peu et maigre consolation mes compagnons de galère, euh de course, sont toujours proches de moi et je me trouve du coup très normal comme sportif du dimanche. Les ballons eux s’éloignent, je n’ose pas me retourner de peur de voir ceux des 50 minutes nous rattraper et la peur au ventre je m’accroche à ma musique, aux poignées de minutes qu’il me reste (j’ai fait un marathon bo’del, je dois y arriver) mais c’est dur.
8km passent, je sais maintenant que ca descend légèrement, je sais que même en explosant et baissant de 15 sec au kilomètre je resterais dans mon objectif (moins de 49) et que donc je peux et je dois le finir.
Musculairement ca va, c’est vraiment la forme globale qui est un peu légère après quelques mois trop peu sportifs. Je mouche, je tousse, je souffre mais les mètres passent les uns après les autres et même mon plus fidèle lièvre, avec son maillot de club d’athlé, subit ces 2 derniers kilomètres et c’est à moi tacitement et sans un mot (pas possible de parler là pour moi la pipelette du marathon) d’essayer de jouer à mon tour le rôle de lièvre.
Km 9, on voit au loin l’entrée du stade où on finit par 2/3 de tour de piste, je me sens crispé, lourd, lent même si sur le papier je n’ai jamais été aussi rapide.
Je ne vois plus de ballons, rien devant, rien derrière (j’ai enfin osé me retourner) mais bon dieu comment font ceux qui accélèrent sur le dernier kilomètre ?
Moi c’est dans la tête : 1/ rhaaaa bientôt fini, 2/ ne tombe pas ca ferait mauvais genre 3/ purée mais ca n’avance pas c’est long une piste d’athlé 4/j’ai vraiment trop chaud avec 2 épaisseurs mais surement pas ‘vas-y luc accélère ! ‘
Dernière ligne droite, l’exaltation et le vent des autres coureur me poussent au bout et moins de 10 mètres derrière la ligne d'arrivée c’est accroché à la barrière que je savoure le bonheur de ne plus courir
Je tousse, je crache, je tremble mais je suis content j’ai fait mon second objectif de l’année et a priori dans un chrono conforme à mes calculs et espoirs.
Je rends ma puce, m’accroche à une bouteille d’eau et deux sachets de biscuit et faisant fi de mon envie d’étirement je m’assoie craignant de perdre l’équilibre.
Le palpitant se calme, je sors le téléphone pour un petit sms à la famille et vois que je n’ai pas réussi à couper l’appli de course qui tourne toujours et n’indique 'que' 49 minutes et quelques, cool le temps doit pas être mal si je retire la minute mise pour marcher jusqu’ici.
15 minutes à marcher, manger, boire, applaudir les suivants me permettent de reprendre une forme humaine, et un brin flageolant je rejoints les feuilles de temps déjà affichées … , je me trouve et bonheur je suis juste sous les 47 minutes (et malgré tout plus de 15 minutes derrière les premiers arrivés, comment font-ils ?)
Ca n’a vraiment pas été une partie de plaisir, j’ai eu l’impression de courir en apnée pendant plus de 45 minutes mais je me tâte déjà à me présenter sur un autre 10 kilomètres dans 4 semaines et demi en essayant d’ici là de travailler un peu la VMA spécifiquement via du fractionné .. masochiste vous avez dit ?
Bilan 36H après : musculairement ca va, un peu de fatigue générale et une satané douleur d’orteil pas noircissant mais ultrasensible coté ongle, le même qui était tombé après le marathon (et déjà complètement repoussé.) Je ne sais pas comment faire, les chaussures sont assez grandes mais pas trop, le laçage est serré mais pas trop, je ne vais quand même pas courir strappé ?
Prochains objectif : peut-être un autre 8 ou 10 kilomètres d’ici la fin de l’année, puis une continuation de reprise calme, avec un objectif de semi surement en avril et un second marathon en mai, si tout va bien.
Prochaine étape immédiate : dévorer tous les posts de la rubrique 'préparation 10K'
PS1 : un grand merci à ma symathique lièvre qui m'a permit de m'accrocher, de club 'bordeaux athlé'
PS2 : un grand merci aux bénévoles et l'organisation de cette course, très bien gérée
après quelques mois passés loin de ce forum car loin de mes baskets, me revoila plus heureux que jamais de les rechausser et vous retrouver.
Suite à mon premier marathon www.conseils-courseapied.com/forum/25-re...umanite-mdb2016.html , la reprise s'est fait longtemps attendre car finalement il a fallu 100 jours de repos complet pour que je puisse reprendre plus de 3km en EF sans souffrir du talon/cheville..
Mi-aout c'est reparti à une ou deux sortie(s) par semaine pour environ 10km, puis petit à petit me revoilà à 15/18 hebdomadaire maintenant.
Comme j'y pensais déjà un peu au printemps je voulais tester les joies d'un 10 km.
Distance et timing m'ont fait courir à Pessac hier matin sous un frais soleil.
Pas de préparation particulière, seulement deux sorties en allure cible du 10km (4:45m/km) sur 7 puis 8 km il y a 20 et 10 jours.
Je trouve ces 2 sorties rapides biens mais je fini à chaque fois à ramasser à la petite cuillère et me dis donc que l'objectif de conserver ce rythme est une douce folie sur 10km
Hier matin le jour J est arrivé et moi aussi sur place.
Je récupère très rapidement mon dossard de préinscrit mais me maudits d’avoir oublié des épingles à nourrice, tant pis on fera ca à l'agrafeuse
9:20, le départ du 5k s'approche et je me réchauffe en privilégiant les rues au soleil pour faire quelques centaines de mètres à rythme calme.
J'ai du mal à imaginer que je suis là pour courir ‘vite’ avec pleins de gens qui sont là pour ça aussi.
Mon unique référence de course officielle est le Marathon, couru sur retour de blessure je l’ai fait au plus calme avec la maxime en tête « qui veut voyager loin doit ménager sa monture »
Bref, trêve de digressions, l’heure du départ approche je range dans la voiture les gants mais garde deux épaisseurs car vindiou je trouve qu’il ne fait pas encore assez chaud.
H-3 minutes, nous voila tassés comme à l’ouverture des portes du salon de l’automobile,et du coup il fait chaud
J’ai mon stock de kleenex (oui suis enrubé, c’est pas cool), et je trouve une petite place en bordure de trottoir à peine un mètre derrière les ballons bleus des sympathiques meneurs d’allure de 45’’
Pan c’est parti, après quelques secondes de flottement le temps que les quelques centaines de jambes tassées devant moi se lancent, me voici parti avec comme objectif de ne pas lâcher tant que je peux mes amis les ballons bleus.
On est environ 600 au départ, et le premier demi-kilomètre est chaotique, je fais une bonne partie sur le trottoir entre poussettes et photographes le temps que ca s’éclaircisse un peu.
L’oreillette me dit 4’’20, et là je sais que ça ne va pas être facile-possible de tenir à ce rythme.
Effectivement dès le premier kilomètre bouclé je sens que je suis pas loin de me mettre dans le rouge, mais l’envie de suivre ses satanés ballons bleu est la plus forte, on s’accroche.
Petit check mental :
Soleil et température : ca va, pas trop froid, je pense même que j’aurais trop chaud plus tard
Pied et cheville : RAS, cool une bonne nouvelle
Muscle : ca se déroule pas mal
Cœur et souffle : euh là ca pique un peu, ca n’a rien à voir avec une allure marathon
Un petit quart d’heure passe, je repère 2/3 maillots et silhouettes que je sens bien dans un rythme proche du mien et mentalement je m’accroche déjà à eux pour tenir le rythme.
Les 4 Kilomètres sont passés avec un faux plat montant, et pour moi c’est déjà là où je commence à me sentir dans le dur, pointe de côté, souffle court, bouche sèche (par 12°C le comble). Le petit diable flemmard me susurre à l’oreille que ce ne serait pas si honteux de faire qu’un bon 5Km par ce temps, et puis je suis malade et en reprise .. mais heureusement le bon petit ange motivateur me dit que même si je souffre, même si je pense ralentir j’ai toujours les ballons à moins de 20 mètres devant moi et que les portions où je grimace et que je pense lente continuent de passer à 4’’30 alors je m’accroche.
Km 5 : la boucle est faite, on part pour le second tour. Finalement j’aime bien, je sais ce qu’il me reste à courir.
En version courte 5,6,7 sont de plus en plus durs, le tempo baisse un peu et maigre consolation mes compagnons de galère, euh de course, sont toujours proches de moi et je me trouve du coup très normal comme sportif du dimanche. Les ballons eux s’éloignent, je n’ose pas me retourner de peur de voir ceux des 50 minutes nous rattraper et la peur au ventre je m’accroche à ma musique, aux poignées de minutes qu’il me reste (j’ai fait un marathon bo’del, je dois y arriver) mais c’est dur.
8km passent, je sais maintenant que ca descend légèrement, je sais que même en explosant et baissant de 15 sec au kilomètre je resterais dans mon objectif (moins de 49) et que donc je peux et je dois le finir.
Musculairement ca va, c’est vraiment la forme globale qui est un peu légère après quelques mois trop peu sportifs. Je mouche, je tousse, je souffre mais les mètres passent les uns après les autres et même mon plus fidèle lièvre, avec son maillot de club d’athlé, subit ces 2 derniers kilomètres et c’est à moi tacitement et sans un mot (pas possible de parler là pour moi la pipelette du marathon) d’essayer de jouer à mon tour le rôle de lièvre.
Km 9, on voit au loin l’entrée du stade où on finit par 2/3 de tour de piste, je me sens crispé, lourd, lent même si sur le papier je n’ai jamais été aussi rapide.
Je ne vois plus de ballons, rien devant, rien derrière (j’ai enfin osé me retourner) mais bon dieu comment font ceux qui accélèrent sur le dernier kilomètre ?
Moi c’est dans la tête : 1/ rhaaaa bientôt fini, 2/ ne tombe pas ca ferait mauvais genre 3/ purée mais ca n’avance pas c’est long une piste d’athlé 4/j’ai vraiment trop chaud avec 2 épaisseurs mais surement pas ‘vas-y luc accélère ! ‘
Dernière ligne droite, l’exaltation et le vent des autres coureur me poussent au bout et moins de 10 mètres derrière la ligne d'arrivée c’est accroché à la barrière que je savoure le bonheur de ne plus courir
Je tousse, je crache, je tremble mais je suis content j’ai fait mon second objectif de l’année et a priori dans un chrono conforme à mes calculs et espoirs.
Je rends ma puce, m’accroche à une bouteille d’eau et deux sachets de biscuit et faisant fi de mon envie d’étirement je m’assoie craignant de perdre l’équilibre.
Le palpitant se calme, je sors le téléphone pour un petit sms à la famille et vois que je n’ai pas réussi à couper l’appli de course qui tourne toujours et n’indique 'que' 49 minutes et quelques, cool le temps doit pas être mal si je retire la minute mise pour marcher jusqu’ici.
15 minutes à marcher, manger, boire, applaudir les suivants me permettent de reprendre une forme humaine, et un brin flageolant je rejoints les feuilles de temps déjà affichées … , je me trouve et bonheur je suis juste sous les 47 minutes (et malgré tout plus de 15 minutes derrière les premiers arrivés, comment font-ils ?)
Ca n’a vraiment pas été une partie de plaisir, j’ai eu l’impression de courir en apnée pendant plus de 45 minutes mais je me tâte déjà à me présenter sur un autre 10 kilomètres dans 4 semaines et demi en essayant d’ici là de travailler un peu la VMA spécifiquement via du fractionné .. masochiste vous avez dit ?
Bilan 36H après : musculairement ca va, un peu de fatigue générale et une satané douleur d’orteil pas noircissant mais ultrasensible coté ongle, le même qui était tombé après le marathon (et déjà complètement repoussé.) Je ne sais pas comment faire, les chaussures sont assez grandes mais pas trop, le laçage est serré mais pas trop, je ne vais quand même pas courir strappé ?
Prochains objectif : peut-être un autre 8 ou 10 kilomètres d’ici la fin de l’année, puis une continuation de reprise calme, avec un objectif de semi surement en avril et un second marathon en mai, si tout va bien.
Prochaine étape immédiate : dévorer tous les posts de la rubrique 'préparation 10K'
PS1 : un grand merci à ma symathique lièvre qui m'a permit de m'accrocher, de club 'bordeaux athlé'
PS2 : un grand merci aux bénévoles et l'organisation de cette course, très bien gérée
Last Edit:il y a 8 ans 1 mois
par luc33
Dernière édition: il y a 8 ans 1 mois par luc33. Raison: ajout Type de course dans le titre
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- jordan40
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Réponse de jordan40 sur le sujet Reprise de foulées : 10 Km PEssac
Posted il y a 8 ans 1 mois #450567
Ça me rappelle des souvenirs car les 10km de Pessac à été ma première course officielle réalisée difficilement en 52 minutes à l'époque et comme toi enrhumé ce qui m'avait valus moquerie sur le forum car j'avais courus avec un paquet de kleenex à la main
Bravo pour ton CR et pour ta course réaliser même si c'était dur mais c'est un 10km c'est rapide et ça fais mal.... un peu comme mon amour enfin bref bravo!
Bravo pour ton CR et pour ta course réaliser même si c'était dur mais c'est un 10km c'est rapide et ça fais mal.... un peu comme mon amour enfin bref bravo!
par jordan40
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- luc33
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Effectivement Jordan, j'avais aussi 2 paquets au départ et qu'un seul à l'arrivée
Heureux que ca t'ai rappelé des souvenirs !
Heureux que ca t'ai rappelé des souvenirs !
par luc33
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- Patrick57
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Réponse de Patrick57 sur le sujet Reprise de foulées : 10 Km PEssac
Posted il y a 8 ans 1 mois #452051
Bravo Luc pour ce premier 10km !!
... sacré challenge après cette longue coupure post-marathon !
... et joli chrono vu ton état enrhumé ce jour là
Merci pour ton joli CR et bonne prépa pour le prochain alors !!
... sacré challenge après cette longue coupure post-marathon !
... et joli chrono vu ton état enrhumé ce jour là
Merci pour ton joli CR et bonne prépa pour le prochain alors !!
par Patrick57
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