Le maraisthon 2016 vu en queue de peloton ;)
- fabrice85
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Le maraisthon 2016 vu en queue de peloton ;) a été créé par fabrice85
Posted il y a 8 ans 4 mois
La prépa
J’ai choisi un plan 12 semaines, 3 séances par semaine qui sera un peu tronqué car je m’étais inscrit à une course 10km, 9 semaines avant le marathon.
J’attaque donc le plan directement en semaine 3, estimant que ma préparation du 10km, vaut une bonne préparation générale.
Au vu de mon résultat sur 10km qui me donne une idée de ma progression, je choisi de me préparer pour une allure de 5’40/km soit 20’ de moins que mon précédent marathon en novembre dernier. Le gap est important, j’en ai conscience. Je sais que cet objectif est ambitieux.
La préparation s’est bien passée, pas de blessure, peu de séances zappées, mais un cardio qui avait tendance à dériver sur les sorties AS42, confirmant que l'objectif est généreux.
Au final, une prépa de 363 km, ce qui me paraît peu pour un marathon, j’arrive donc avec un mental en demi-teinte.
L’avant-course
Après une soirée du vendredi entre amis où j’essaye de limiter la consommation d’alcool, c’est une crampe au mollet qui me réveille le samedi matin ! Fâcheux présage
. Heureusement, elle passera très vite.
Je me mets progressivement en mode « course », retrait du dossard la veille, préparation du « fameux » (je parle de la renommée, pas du gout) gatosport…, préparation du sac..
Réveil à 7h le dimanche, ça va, la course est à 10 min de la maison, pas de risque d’arriver en retard ! Je me force à manger ce satané gatosport que je fais passer à grandes lampées de café.
Arrivé sur place, l’organisation est rodée : malgré l’unique route d’accès le trafic est assez fluide et l’accès au parking se fait sans stress.
Le temps est couvert ce qui me réjouit, je craignais vraiment d’avoir trop chaud, mais les conditions sont idéales.
Je file m’échauffer, tout doucement, mais le cardio est déjà beaucoup trop élevé. Je sais qu’au départ des courses j’ai toujours le palpitant qui s’affole, il ne faut pas que ça m’inquiète.
Je me positionne au départ, on n’est pas très nombreux (400). Je repère ceux qui le font en duo avec le dossard sur le dos. Les meneurs d’allure sont devant moi, je ne sais pas encore si je vais suivre le meneur 4h avec ses ballons verts ou courir à ma montre.
La Course
Km 0-5
Top c’est parti. Dans une ambiance bonne enfant, tout le monde s’ébroue dans la joie et la bonne humeur, j’adore ce moment d’euphorie et de convivialité, de derniers encouragements, de plaisanteries souvent répétées mais qui font encore rire tout le monde…
Devant moi j’ai deux meneurs d’allure, celui des 4h, et celui des 4h15. Je décide de suivre le train mais ma montre vibre déjà. On part vite. J’ai mis une alerte d’allure à 5’35 pour ne pas me cramer et la montre vibre régulièrement. Tant pis, je suis le mouvement, si ça dure trop longtemps je pourrais toujours lever le pied.
Le premier km est bouclé en 5’41, je suis toujours derrière le meneur 4h15. Le deuxième km est bouclé en 5’37. Toujours derrière le meneur 4h15, à 50m environ du meneur 4h. On va passer dans des ruelles étroites du bourg de Coulon, je ne veux pas rester coincé derrière le meneur 4h15, et malgré le rythme que je trouve déjà assez élevé, je décide d’accélérer un peu pour me glisser entre les deux meneurs. Le rythme s’installe, tout le monde prend ses marques. Je reste à distance du meneur 4h, environ 50m derrière, pour être à l'aise aux ravitaillements.
Passage au 5eme en 28’19 : pile dans le temps de passage.
Km 5-10
Rien d’extraordinaire, je fais connaissance avec mon voisin venu de Besançon, c’est son premier marathon il a comme objectif 4h, je pense qu’on va passer un moment ensemble.
Passage au 10eme en 56’53 : 13sec de retard sur le temps de passage
Km 10-15
Un œil sur le cardio m’indique 170bpm soit 85% FCM, c’est un peu élevé mais ma prépa m’a habitué à ça, je suis plutôt confiant. On a avalé LA cote du parcours que je connais bien car je suis sur mes circuits d’entrainement. Tout va bien.
Passage au 15eme en 1h25’08 : 8 sec de retard sur le temps de passage
Km 15-20
Ça déroule. Je suis toujours avec mon coéquipier de Besançon, son fan club le retrouve régulièrement en coupant à travers le marais à vélo. On plaisante mais je trouve sa respiration de plus en plus bruyante. Sur la fin de ce tronçon, je remarque que le meneur d’allure accélère, je suis maintenant à environ 100m derrière. Une fille à coté de moi me fait remarquer que ça doit plutôt être nous qui ralentissons. Je prends conscience que je suis en train de glisser dans un faux rythme avec ceux qui m’entourent et j’accélère pour recoller derrière le meneur d’allure.
Passage au 20eme en 1h53’40 : 20 sec de retard sur le temps de passage
Km 20-25
Km21 : 1h59’15 : record perso du semi battu !
Je m’accroche 50m derrière le meneur d’allure, au km 24 on repasse par le terrain de départ pour attaquer la deuxième boucle, ma femme est là qui m’encourage, elle en a terminé avec le 10km.
Passage au 25eme en 2h21’44 : 4 sec de retard sur le temps de passage
Km 25-30
Mon cardio est maintenant à 182 soit 91%FCM, cela fait quelques km que je suis vraiment rentré dans la course, je m’accroche. Les coureurs de duo tout frais sont avec nous, ça donne du rythme.
Passage au 30eme en 2h50’24 : 24 sec de retard sur le temps de passage.
Km 30-35
Je m’accroche derrière deux filles qui font le duo, je sais que je rentre dans la partie la plus dure de la course. On échange quelques mots puis c’est elles qui s’accrochent à moi…il faut que je trouve un autre lièvre. Je vois encore le meneur d’allure mais il est maintenant plusieurs centaines de mètres devant moi.
Le ciel s’est dégagé, les rayons de soleil ont trouvé le chemin jusqu’à mon crane, je commence à avoir chaud.
Je passe LA cote pour la deuxième fois, c’est dur. Je suis à quelques mètres une autre femme qui fait le duo. Tout en cherchant l’ombre des maisons, je ne la lâche pas jusqu’au ravitaillement.
Passage au 35eme en 3h20’33 : 2’13 de retard sur le temps de passage
Km 35 à 40
Je suis en 6’13/km, j’ai l’impression de me trainer lamentablement. Je voudrais accélérer mais les jambes ne répondent pas. Je remonte quelques coureurs qui sont dans le même état que moi. L’un d’entre eux s’accroche. On va faire ce tronçon ensemble en s’encourageant mutuellement. Passé le 36eme, dans une grande ligne droite, je vois les ballons verts, connaissant le parcours j’estime son avance à pratiquement un km. J’ai envie de marcher, TRES envie de marcher, TRES TRES envie de marcher. Le petit diable me dit : « tu te sentirais tellement mieux si tu marchais ». C’est beaucoup plus dur que lors de mon premier marathon. 37km, plus que 5 ! Le petit ange me dit : « ne lâche rien, surtout ne te retourne pas pour voir le meneur 4h15 qui doit fondre sur toi, avance, continue… »
Passage au 40eme en 3h54’16 : 7’36 de retard sur le temps de passage
Km 40 à l’arrivée
J’ai abandonné mon coéquipier au dernier ravitaillement. Un coureur fait le yoyo marche/course coaché par un gars de son club, j’ai le sentiment de retrouver un peu d’énergie. Le « coach » annonce à son poulain qu’il peut finir en 4h07, ça me motive, je pensais être bien plus en retard que ça. On revient dans le village et les encouragements du public donnent des forces. Dernier passage de la passerelle qui enjambe la Sèvre, un véritable mur à la montée, les jambes crient au supplice dans la descente. C’est le 42 eme. Porté par les encouragements j’aperçois l’arrivée. Un éclair de lucidité me fait comprendre que le premier tapis de chronométrage n’est pas la ligne, qu’il faut encore faire une dizaine de mètres. Un œil sur le chronomètre officiel : 4h09’42…il faut passer avant les 4h10, je bondis pour franchir la ligne. Je suis épuisé mais satisfait de ma performance. : Un record établi finalement à 4h09’20.
Conclusions :
Un record perso amélioré de 15’ mais une course beaucoup plus difficile à vivre. Je me suis littéralement écroulé au 33eme, la courbe d’allure garmin est sans appel, je perds une minute au kilo à partir de ce moment là. Mon allure de 5’40 était effectivement trop ambitieuse. Le sub 4h pour la prochaine fois…peut-etre Bordeaux 2017, j’ai bien envie de courir en soirée.
J’ai choisi un plan 12 semaines, 3 séances par semaine qui sera un peu tronqué car je m’étais inscrit à une course 10km, 9 semaines avant le marathon.
J’attaque donc le plan directement en semaine 3, estimant que ma préparation du 10km, vaut une bonne préparation générale.
Au vu de mon résultat sur 10km qui me donne une idée de ma progression, je choisi de me préparer pour une allure de 5’40/km soit 20’ de moins que mon précédent marathon en novembre dernier. Le gap est important, j’en ai conscience. Je sais que cet objectif est ambitieux.
La préparation s’est bien passée, pas de blessure, peu de séances zappées, mais un cardio qui avait tendance à dériver sur les sorties AS42, confirmant que l'objectif est généreux.
Au final, une prépa de 363 km, ce qui me paraît peu pour un marathon, j’arrive donc avec un mental en demi-teinte.
L’avant-course
Après une soirée du vendredi entre amis où j’essaye de limiter la consommation d’alcool, c’est une crampe au mollet qui me réveille le samedi matin ! Fâcheux présage
. Heureusement, elle passera très vite.Je me mets progressivement en mode « course », retrait du dossard la veille, préparation du « fameux » (je parle de la renommée, pas du gout) gatosport…, préparation du sac..
Réveil à 7h le dimanche, ça va, la course est à 10 min de la maison, pas de risque d’arriver en retard ! Je me force à manger ce satané gatosport que je fais passer à grandes lampées de café.
Arrivé sur place, l’organisation est rodée : malgré l’unique route d’accès le trafic est assez fluide et l’accès au parking se fait sans stress.
Le temps est couvert ce qui me réjouit, je craignais vraiment d’avoir trop chaud, mais les conditions sont idéales.
Je file m’échauffer, tout doucement, mais le cardio est déjà beaucoup trop élevé. Je sais qu’au départ des courses j’ai toujours le palpitant qui s’affole, il ne faut pas que ça m’inquiète.
Je me positionne au départ, on n’est pas très nombreux (400). Je repère ceux qui le font en duo avec le dossard sur le dos. Les meneurs d’allure sont devant moi, je ne sais pas encore si je vais suivre le meneur 4h avec ses ballons verts ou courir à ma montre.
La Course
Km 0-5
Top c’est parti. Dans une ambiance bonne enfant, tout le monde s’ébroue dans la joie et la bonne humeur, j’adore ce moment d’euphorie et de convivialité, de derniers encouragements, de plaisanteries souvent répétées mais qui font encore rire tout le monde…
Devant moi j’ai deux meneurs d’allure, celui des 4h, et celui des 4h15. Je décide de suivre le train mais ma montre vibre déjà. On part vite. J’ai mis une alerte d’allure à 5’35 pour ne pas me cramer et la montre vibre régulièrement. Tant pis, je suis le mouvement, si ça dure trop longtemps je pourrais toujours lever le pied.
Le premier km est bouclé en 5’41, je suis toujours derrière le meneur 4h15. Le deuxième km est bouclé en 5’37. Toujours derrière le meneur 4h15, à 50m environ du meneur 4h. On va passer dans des ruelles étroites du bourg de Coulon, je ne veux pas rester coincé derrière le meneur 4h15, et malgré le rythme que je trouve déjà assez élevé, je décide d’accélérer un peu pour me glisser entre les deux meneurs. Le rythme s’installe, tout le monde prend ses marques. Je reste à distance du meneur 4h, environ 50m derrière, pour être à l'aise aux ravitaillements.
Passage au 5eme en 28’19 : pile dans le temps de passage.
Km 5-10
Rien d’extraordinaire, je fais connaissance avec mon voisin venu de Besançon, c’est son premier marathon il a comme objectif 4h, je pense qu’on va passer un moment ensemble.
Passage au 10eme en 56’53 : 13sec de retard sur le temps de passage
Km 10-15
Un œil sur le cardio m’indique 170bpm soit 85% FCM, c’est un peu élevé mais ma prépa m’a habitué à ça, je suis plutôt confiant. On a avalé LA cote du parcours que je connais bien car je suis sur mes circuits d’entrainement. Tout va bien.
Passage au 15eme en 1h25’08 : 8 sec de retard sur le temps de passage
Km 15-20
Ça déroule. Je suis toujours avec mon coéquipier de Besançon, son fan club le retrouve régulièrement en coupant à travers le marais à vélo. On plaisante mais je trouve sa respiration de plus en plus bruyante. Sur la fin de ce tronçon, je remarque que le meneur d’allure accélère, je suis maintenant à environ 100m derrière. Une fille à coté de moi me fait remarquer que ça doit plutôt être nous qui ralentissons. Je prends conscience que je suis en train de glisser dans un faux rythme avec ceux qui m’entourent et j’accélère pour recoller derrière le meneur d’allure.
Passage au 20eme en 1h53’40 : 20 sec de retard sur le temps de passage
Km 20-25
Km21 : 1h59’15 : record perso du semi battu !
Je m’accroche 50m derrière le meneur d’allure, au km 24 on repasse par le terrain de départ pour attaquer la deuxième boucle, ma femme est là qui m’encourage, elle en a terminé avec le 10km.
Passage au 25eme en 2h21’44 : 4 sec de retard sur le temps de passage
Km 25-30
Mon cardio est maintenant à 182 soit 91%FCM, cela fait quelques km que je suis vraiment rentré dans la course, je m’accroche. Les coureurs de duo tout frais sont avec nous, ça donne du rythme.
Passage au 30eme en 2h50’24 : 24 sec de retard sur le temps de passage.
Km 30-35
Je m’accroche derrière deux filles qui font le duo, je sais que je rentre dans la partie la plus dure de la course. On échange quelques mots puis c’est elles qui s’accrochent à moi…il faut que je trouve un autre lièvre. Je vois encore le meneur d’allure mais il est maintenant plusieurs centaines de mètres devant moi.
Le ciel s’est dégagé, les rayons de soleil ont trouvé le chemin jusqu’à mon crane, je commence à avoir chaud.
Je passe LA cote pour la deuxième fois, c’est dur. Je suis à quelques mètres une autre femme qui fait le duo. Tout en cherchant l’ombre des maisons, je ne la lâche pas jusqu’au ravitaillement.
Passage au 35eme en 3h20’33 : 2’13 de retard sur le temps de passage
Km 35 à 40
Je suis en 6’13/km, j’ai l’impression de me trainer lamentablement. Je voudrais accélérer mais les jambes ne répondent pas. Je remonte quelques coureurs qui sont dans le même état que moi. L’un d’entre eux s’accroche. On va faire ce tronçon ensemble en s’encourageant mutuellement. Passé le 36eme, dans une grande ligne droite, je vois les ballons verts, connaissant le parcours j’estime son avance à pratiquement un km. J’ai envie de marcher, TRES envie de marcher, TRES TRES envie de marcher. Le petit diable me dit : « tu te sentirais tellement mieux si tu marchais ». C’est beaucoup plus dur que lors de mon premier marathon. 37km, plus que 5 ! Le petit ange me dit : « ne lâche rien, surtout ne te retourne pas pour voir le meneur 4h15 qui doit fondre sur toi, avance, continue… »
Passage au 40eme en 3h54’16 : 7’36 de retard sur le temps de passage
Km 40 à l’arrivée
J’ai abandonné mon coéquipier au dernier ravitaillement. Un coureur fait le yoyo marche/course coaché par un gars de son club, j’ai le sentiment de retrouver un peu d’énergie. Le « coach » annonce à son poulain qu’il peut finir en 4h07, ça me motive, je pensais être bien plus en retard que ça. On revient dans le village et les encouragements du public donnent des forces. Dernier passage de la passerelle qui enjambe la Sèvre, un véritable mur à la montée, les jambes crient au supplice dans la descente. C’est le 42 eme. Porté par les encouragements j’aperçois l’arrivée. Un éclair de lucidité me fait comprendre que le premier tapis de chronométrage n’est pas la ligne, qu’il faut encore faire une dizaine de mètres. Un œil sur le chronomètre officiel : 4h09’42…il faut passer avant les 4h10, je bondis pour franchir la ligne. Je suis épuisé mais satisfait de ma performance. : Un record établi finalement à 4h09’20.
Conclusions :
Un record perso amélioré de 15’ mais une course beaucoup plus difficile à vivre. Je me suis littéralement écroulé au 33eme, la courbe d’allure garmin est sans appel, je perds une minute au kilo à partir de ce moment là. Mon allure de 5’40 était effectivement trop ambitieuse. Le sub 4h pour la prochaine fois…peut-etre Bordeaux 2017, j’ai bien envie de courir en soirée.
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- kyoden
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Réponse de kyoden sur le sujet Le maraisthon 2016 vu en queue de peloton ;)
Posted il y a 8 ans 4 mois
Tu ne l'as pas couru tout seul, il y avait du monde autour de toi contrairement à moi 
on est beaucoup à perdre une 1'/kilo dans ce cas là 
Et quand l'allure objectif est déjà bas 5'40'' on a presque envie de marché ...
Edit : merci pour le CR vu du peloton et félicitation pour ton RP, je n'aurai pas été le seul à le battre sur ce parcours alors que beaucoup dis qu'il n'est pas propice à ça.
Oui tout a fait,estimant que ma préparation du 10km, vaut une bonne préparation générale.
Effectivement si ton cardio dérive sur tes AS42, celle était ambitieux et cela c'est vu en lisant ton CR. celui-ci ne doit quasiment pas dériver pendant l'entrainement (hors profil, condition climatique...). C'est pour cela que le fait sur une piste ou un boucle toute plate permet de valider qu'il n'y a pas trop de dérive et ainsi valider ton allure.un cardio qui avait tendance à dériver sur les sorties AS42, confirmant que l'objectif est généreux.
C'est ce qu'on appelle se prendre un murje perds une minute au kilo à partir de ce moment là
on est beaucoup à perdre une 1'/kilo dans ce cas là Et quand l'allure objectif est déjà bas 5'40'' on a presque envie de marché ...Edit : merci pour le CR vu du peloton et félicitation pour ton RP, je n'aurai pas été le seul à le battre sur ce parcours alors que beaucoup dis qu'il n'est pas propice à ça.
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- jeanmarc
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Réponse de jeanmarc sur le sujet Le maraisthon 2016 vu en queue de peloton ;)
Posted il y a 8 ans 4 mois
Un joli RP malgré les difficultés des derniers kilomètres 
Merci pour le CR
N hésite pas a faire bordeaux ( moi j'ai fait les 2 ) il y a plus de monde mais l ambiance est super sympa
Merci pour le CR
N hésite pas a faire bordeaux ( moi j'ai fait les 2 ) il y a plus de monde mais l ambiance est super sympa
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- Koeurlent
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Réponse de Koeurlent sur le sujet Le maraisthon 2016 vu en queue de peloton ;)
Posted il y a 8 ans 4 mois
Bravo Fabrice,
Tu es du coin alors ? De coulon ?
Un poil au dessus de l'allure raisonnable et ca se paie, mais comme cela ne se joue pas à grand chose les 4 heures sont pour bientôt ! Est-il encore temps de te dire "bonne récup"
?
Tu es du coin alors ? De coulon ?
Un poil au dessus de l'allure raisonnable et ca se paie, mais comme cela ne se joue pas à grand chose les 4 heures sont pour bientôt ! Est-il encore temps de te dire "bonne récup"
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- Judas68fr
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