TDK 2013: hell on earth!
- Nocnoc
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- Remerciements reçus 3
Hello les boys et les girls!
Voici le CR de ma dernière course qui a eu lieu il y a une dizaine de jours (1er juin).
Le contexte:
J'ai fait cette année 2 semis et le MDP dans une période assez courte donc il me fallait normalement lever le pied.
Mais j'ai un pote qui fait partie de l'organisation du trail du Kochersberg et je lui avais plus ou moins promis de le faire.
Je l'avais déjà raté l'année dernière pour des histoires d'ongles (déjà à l'époque!).
Donc, je me suis lancé, sans aucune pression, juste pour le fun malgré les 37km et D+900.
J'ai fait une prépa très légère car entre les périodes de repos d'avant course et les périodes de repos d'après course, il ne restait pas grand-chose!
Mais je compte sur mes 'acquis' de ce début d'année assez riche.
Je n'ai pas vraiment d'objectif mais j'ai envie de faire <4h en espérant peut être me rapprocher des 3h30...
Ce trail regroupe 3 épreuves (17/26/37) + des marches familliales.
Les conditions:
Déplorables!
Je ne vais pas vous expliquer qu'?il a fait un temps de m*rde cette année.
Donc, les jours précédents: pluies très soutenues jusqu'à 2 heures avant le départ. J'imagine les crises d'angoisse de l'orga.
C'est mon premier 'vrai' trail. J'ai acheté un sac d'hydratation North Face. Pas indispensable sur cette distance (ravitaillo), quoique...
Mais je me suis dit que c'était mieux de l'étrenner maintenant que lors d'un potentiel trail plus important où j'aurai d'autres contraintes.
Je me suis fait une mini impression du dénivelle Openrunner que j'ai trouvé très utile. Je conseille.
J'ai aussi investi dans des godasses de trail.
Le départ: le ton est donné!
Départ à 16h.
On est 93 sur la ligne de départ. C'est sympa, car c'est très convivial.
On nous fait un briefing pour nous recommander la prudence car les conditions rendent le terrain dangereux (d'ailleurs parcours légèrement modifié à la dernière minute).
Il ne pleut plus. Température pas de saison mais c'est pas plus mal. Donc condition aérienne correcte.
Pan!
c'est parti! Je pars très tranquillou, je sais que je vais finir à l'agonie donc rien ne presse.
Certains partent comme des balles! Parmi eux, certainement des boss mais peut-être aussi des fougueux qui vont rapidement regretter...
Le départ se fait dans les ornières pour mettre l'ambiance.
Au bout de quelques centaines de mètres, les chaussettes sont déjà TREMPEES because des flaques d'eau qui passent au-dessus de la chaussure.
Comme ça, c'est clair. On sait qu'on va en chier.
On arrive sur les plateaux, au milieu des champs agricoles, c'est très gras.
Au bout de 2 ou 3 km, je fais un premier arrêt (y'en aura d'autres...) pour serrer mes lacets car j'ai peur de perdre une chaussure.
C'est arrivé à certains tellement la boue est profonde et collante.
En plus, ces plateaux sont un peu venteux, ce qui n'arrange rien.
Pour éviter une flaque d'eau qui fait toute la largeur du chemin, je monte sur un tas de fumier. Mais il est complètement détrempé et je m'enfonce dedans jusqu'au mollet!
Donc, au bout de 3 ou 4km, je sens que je suis déjà entamé. A vue de nez, je dirai que je suis dans le même état que si j'avais fait le double sur bitume plat.
Première bosse: on attaque doucement
La course se poursuit, on enchaîne les passages dans de jolis villages et sur des petits chemins sympas avec un dénivelé acceptable et réparti.
Le 16 premier km représentent une ascension progressive.
Quelques passages me font un peu peur: descentes raides et tortueuses sur herbe mouillé...
Mais on y va tranquillement et tout se passe bien.
Deuxième bosse: ça se corse
Au 16ème une descente bienfaitrice s'annonce. Puis on réattaque la deuxième bosse. Celle-là n'est pas progressive.
Elle est bien raide et débouche sur un plateau.
Dans l'absolu, je pense que j'aurai pu la faire en courant mais je fais comme les copains et je me met à la marche.
Merci à eux car sinon, je n'aurai peut-être pas pu finir la course...
Arriver sur le plateau, on reprend la course sur du dénivelé léger (des petites bosses quoi!) en sous-bois.
Très agréable comme paysage mais il faut à plusieurs reprises mouiller les chaussettes.
Je me fais une petite frayeur en évitant un trou caché par les hautes herbes.
Puis ça redescend dans les vignes. Ça glisse à mort...
Je consulte mon plan et je vois que la dernière bosse approche. Dans 4km, ce sera le délivrance. Il ne me restera plus que 9km de descente!
Mais le plus dur reste à venir...
Troisième bosse: crampes versus mental
On attaque les escaliers de la chapelle de Marlenheim qui monte dans les coteaux du vignoble.
Déjà bien attaqués, pas d'hésitation: on marche. Je discute avec un compagnon de galère dans ces interminables marches (salut à toi, compagnon de Grenoble!).
Arrivé en haut, j'ai me sens bien. Je dis au collègue "go, on repart", je fais un pas, 2 pas et "clac" crampes au mollet!
Je m'étire contre un arbre en voyant mon nouveau copain disparaître derrière l'horizon... (Ou derrière les arbres, je sais plus )
A partir de la, je vais régulièrement m'arrêter pour m'étirer car la crampe veut pas partir. Heureusement elle ne se déclare pas complètement mais je suis vraiment en mode back up...
Ma montre m'indiquera plus tard que j'ai passé près de 10min à l'arrêt sur l'ensemble du parcours.
Donc, je poursuis tant bien que mal sur ce plateau bosselé jusqu'à amorcer la dernière descente.
Je force sur l'hydratation pour combattre les crampes. Merci North Face! Les ravitaillo n'auraient pas suffi.
La dernière descente: renaissance?
Là, je reprends un peu espoir...
J'arrive à descendre assez vite. Je fais mon meilleur km en 5'13.
Je crampe plus!
Je comprends alors que je manque sérieusement de préparation spécifique. Je suis bien préparé au plat (jamais vraiment eu de crampes avant) mais dans ces interminables montée, le muscle découvre un nouveau mouvement auquel il est mal préparé.
La preuve: ça va beaucoup mieux dans les descentes.
Les derniers km: le coup de grâce:
Après avoir repris confiance dans cette descente, je me dis qu'il ne me reste plus que 4 ou 5km de plat qui devraient être faciles à négocier...
Arrivé dans un petit village, je dois monter 3 ou 4 marches d'escalier... Clac! Re crampe! Re étirement...
Le reste du parcours relativement plat est par contre complètement labouré.
Je cours plus ou moins avec un certain Michel: on se double chacun à son tour. J'ai l'impression que tout comme moi, il alterne les périodes d'agonie et de résurrection mais déphasé par rapport à moi!
Il est très difficile d'évoluer dans la boue. Ça colle, ça mouille, ça glisse, il y a du dévers, des ornières.
Comme je suis à l'agonie, difficile de se concentrer sur le terrain pour éviter les pièges.
Beaucoup de marche donc en cette fin de parcours (pour ne pas chuter).
Pas facile de se remettre à courir entre 2 marches: je suis tenté par l'abandon, mais non! Pas à 2km de l'arrivée m*rde!
L'arrivée: enfin!
Sur les derniers 100aine de mètre, le parcours redevient moins moche (c'est relatif) et on peut reprendre la course. Une course lente mais une course!
En approchant de la ligne, on retrouve du courage grâce aux supporters! J'entends "bravo le 37k" (on arrive à peu près en même temps que le 26k).
J'entends aussi mes amis qui m'encouragent et j'arrive même à claquer un petit sprint sur la ligne d'arrivée. Je me demande où j'ai été le chercher celui-là.
Le speaker annonce le nom des coureurs au fur à mesure qu'ils passent la ligne. Classe!
Résultat: 3h57. Première fois de ma vie que je cours aussi longtemps!
Un des organisateurs vient me féliciter. C'est ça, le bonheur des petites courses!
Je retire mes chaussures/chaussettes. J'ai un ongle qui s'est fait la malle. Ceci dit, il était décédé au MDP mais il s'accrochait encore.
Les autres ongles n'ont pas souffert! (pas d'ampoules au bout des orteils pour ceux qui ont suivi mes aventures!). Cooooooooooool!
Bilan:
Course très chaleureuse, très bonne ambiance.
Parcours très chouette et, il me semble, pas si difficile que ça au sec (à vérifier l'année prochaine!)
Je suis très content d'avoir tenu jusqu'au bout. C'était un vrai défi.
Et je suis content de mon temps malgré les 10min passées à faire des étirements...
Ceci dit, les conditions ont gâché un peu le plaisir. Y'avait des moments où on se croyait plus dans Interville que dans un trail...
Interville, c'est marrant mais c'est pas pour ça qu'on était venu!
Voici le CR de ma dernière course qui a eu lieu il y a une dizaine de jours (1er juin).
Le contexte:
J'ai fait cette année 2 semis et le MDP dans une période assez courte donc il me fallait normalement lever le pied.
Mais j'ai un pote qui fait partie de l'organisation du trail du Kochersberg et je lui avais plus ou moins promis de le faire.
Je l'avais déjà raté l'année dernière pour des histoires d'ongles (déjà à l'époque!).
Donc, je me suis lancé, sans aucune pression, juste pour le fun malgré les 37km et D+900.
J'ai fait une prépa très légère car entre les périodes de repos d'avant course et les périodes de repos d'après course, il ne restait pas grand-chose!
Mais je compte sur mes 'acquis' de ce début d'année assez riche.
Je n'ai pas vraiment d'objectif mais j'ai envie de faire <4h en espérant peut être me rapprocher des 3h30...
Ce trail regroupe 3 épreuves (17/26/37) + des marches familliales.
Les conditions:
Déplorables!
Je ne vais pas vous expliquer qu'?il a fait un temps de m*rde cette année.
Donc, les jours précédents: pluies très soutenues jusqu'à 2 heures avant le départ. J'imagine les crises d'angoisse de l'orga.
C'est mon premier 'vrai' trail. J'ai acheté un sac d'hydratation North Face. Pas indispensable sur cette distance (ravitaillo), quoique...
Mais je me suis dit que c'était mieux de l'étrenner maintenant que lors d'un potentiel trail plus important où j'aurai d'autres contraintes.
Je me suis fait une mini impression du dénivelle Openrunner que j'ai trouvé très utile. Je conseille.
J'ai aussi investi dans des godasses de trail.
Le départ: le ton est donné!
Départ à 16h.
On est 93 sur la ligne de départ. C'est sympa, car c'est très convivial.
On nous fait un briefing pour nous recommander la prudence car les conditions rendent le terrain dangereux (d'ailleurs parcours légèrement modifié à la dernière minute).
Il ne pleut plus. Température pas de saison mais c'est pas plus mal. Donc condition aérienne correcte.
Pan!
c'est parti! Je pars très tranquillou, je sais que je vais finir à l'agonie donc rien ne presse.
Certains partent comme des balles! Parmi eux, certainement des boss mais peut-être aussi des fougueux qui vont rapidement regretter...
Le départ se fait dans les ornières pour mettre l'ambiance.
Au bout de quelques centaines de mètres, les chaussettes sont déjà TREMPEES because des flaques d'eau qui passent au-dessus de la chaussure.
Comme ça, c'est clair. On sait qu'on va en chier.
On arrive sur les plateaux, au milieu des champs agricoles, c'est très gras.
Au bout de 2 ou 3 km, je fais un premier arrêt (y'en aura d'autres...) pour serrer mes lacets car j'ai peur de perdre une chaussure.
C'est arrivé à certains tellement la boue est profonde et collante.
En plus, ces plateaux sont un peu venteux, ce qui n'arrange rien.
Pour éviter une flaque d'eau qui fait toute la largeur du chemin, je monte sur un tas de fumier. Mais il est complètement détrempé et je m'enfonce dedans jusqu'au mollet!
Donc, au bout de 3 ou 4km, je sens que je suis déjà entamé. A vue de nez, je dirai que je suis dans le même état que si j'avais fait le double sur bitume plat.
Première bosse: on attaque doucement
La course se poursuit, on enchaîne les passages dans de jolis villages et sur des petits chemins sympas avec un dénivelé acceptable et réparti.
Le 16 premier km représentent une ascension progressive.
Quelques passages me font un peu peur: descentes raides et tortueuses sur herbe mouillé...
Mais on y va tranquillement et tout se passe bien.
Deuxième bosse: ça se corse
Au 16ème une descente bienfaitrice s'annonce. Puis on réattaque la deuxième bosse. Celle-là n'est pas progressive.
Elle est bien raide et débouche sur un plateau.
Dans l'absolu, je pense que j'aurai pu la faire en courant mais je fais comme les copains et je me met à la marche.
Merci à eux car sinon, je n'aurai peut-être pas pu finir la course...
Arriver sur le plateau, on reprend la course sur du dénivelé léger (des petites bosses quoi!) en sous-bois.
Très agréable comme paysage mais il faut à plusieurs reprises mouiller les chaussettes.
Je me fais une petite frayeur en évitant un trou caché par les hautes herbes.
Puis ça redescend dans les vignes. Ça glisse à mort...
Je consulte mon plan et je vois que la dernière bosse approche. Dans 4km, ce sera le délivrance. Il ne me restera plus que 9km de descente!
Mais le plus dur reste à venir...
Troisième bosse: crampes versus mental
On attaque les escaliers de la chapelle de Marlenheim qui monte dans les coteaux du vignoble.
Déjà bien attaqués, pas d'hésitation: on marche. Je discute avec un compagnon de galère dans ces interminables marches (salut à toi, compagnon de Grenoble!).
Arrivé en haut, j'ai me sens bien. Je dis au collègue "go, on repart", je fais un pas, 2 pas et "clac" crampes au mollet!
Je m'étire contre un arbre en voyant mon nouveau copain disparaître derrière l'horizon... (Ou derrière les arbres, je sais plus )
A partir de la, je vais régulièrement m'arrêter pour m'étirer car la crampe veut pas partir. Heureusement elle ne se déclare pas complètement mais je suis vraiment en mode back up...
Ma montre m'indiquera plus tard que j'ai passé près de 10min à l'arrêt sur l'ensemble du parcours.
Donc, je poursuis tant bien que mal sur ce plateau bosselé jusqu'à amorcer la dernière descente.
Je force sur l'hydratation pour combattre les crampes. Merci North Face! Les ravitaillo n'auraient pas suffi.
La dernière descente: renaissance?
Là, je reprends un peu espoir...
J'arrive à descendre assez vite. Je fais mon meilleur km en 5'13.
Je crampe plus!
Je comprends alors que je manque sérieusement de préparation spécifique. Je suis bien préparé au plat (jamais vraiment eu de crampes avant) mais dans ces interminables montée, le muscle découvre un nouveau mouvement auquel il est mal préparé.
La preuve: ça va beaucoup mieux dans les descentes.
Les derniers km: le coup de grâce:
Après avoir repris confiance dans cette descente, je me dis qu'il ne me reste plus que 4 ou 5km de plat qui devraient être faciles à négocier...
Arrivé dans un petit village, je dois monter 3 ou 4 marches d'escalier... Clac! Re crampe! Re étirement...
Le reste du parcours relativement plat est par contre complètement labouré.
Je cours plus ou moins avec un certain Michel: on se double chacun à son tour. J'ai l'impression que tout comme moi, il alterne les périodes d'agonie et de résurrection mais déphasé par rapport à moi!
Il est très difficile d'évoluer dans la boue. Ça colle, ça mouille, ça glisse, il y a du dévers, des ornières.
Comme je suis à l'agonie, difficile de se concentrer sur le terrain pour éviter les pièges.
Beaucoup de marche donc en cette fin de parcours (pour ne pas chuter).
Pas facile de se remettre à courir entre 2 marches: je suis tenté par l'abandon, mais non! Pas à 2km de l'arrivée m*rde!
L'arrivée: enfin!
Sur les derniers 100aine de mètre, le parcours redevient moins moche (c'est relatif) et on peut reprendre la course. Une course lente mais une course!
En approchant de la ligne, on retrouve du courage grâce aux supporters! J'entends "bravo le 37k" (on arrive à peu près en même temps que le 26k).
J'entends aussi mes amis qui m'encouragent et j'arrive même à claquer un petit sprint sur la ligne d'arrivée. Je me demande où j'ai été le chercher celui-là.
Le speaker annonce le nom des coureurs au fur à mesure qu'ils passent la ligne. Classe!
Résultat: 3h57. Première fois de ma vie que je cours aussi longtemps!
Un des organisateurs vient me féliciter. C'est ça, le bonheur des petites courses!
Je retire mes chaussures/chaussettes. J'ai un ongle qui s'est fait la malle. Ceci dit, il était décédé au MDP mais il s'accrochait encore.
Les autres ongles n'ont pas souffert! (pas d'ampoules au bout des orteils pour ceux qui ont suivi mes aventures!). Cooooooooooool!
Bilan:
Course très chaleureuse, très bonne ambiance.
Parcours très chouette et, il me semble, pas si difficile que ça au sec (à vérifier l'année prochaine!)
Je suis très content d'avoir tenu jusqu'au bout. C'était un vrai défi.
Et je suis content de mon temps malgré les 10min passées à faire des étirements...
Ceci dit, les conditions ont gâché un peu le plaisir. Y'avait des moments où on se croyait plus dans Interville que dans un trail...
Interville, c'est marrant mais c'est pas pour ça qu'on était venu!
par Nocnoc
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- chris55
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Bonsoir nocnoc
MERCI pour le CR , tres sympa a lire
Félicitation pour ta course et ton chrono
Repose toi bien , meme si cela fait deja 10 bon jours de passé
MERCI pour le CR , tres sympa a lire
Félicitation pour ta course et ton chrono
Repose toi bien , meme si cela fait deja 10 bon jours de passé
par chris55
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- Olrik
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- Remerciements reçus 331
Les flaques, le fumier, les ornières, la boue, le trou caché, les crampes, les ongles. Que du bonheur !!!!
Félicitations et merci pour ce CR.
Félicitations et merci pour ce CR.
par Olrik
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- Jerome59263
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- Remerciements reçus 0
Réponse de Jerome59263 sur le sujet Re: TDK 2013: hell on earth!
Posted il y a 11 ans 5 mois #245453
Joli CR, bravo à toi !
La bouillasse et les flaques me font penser aux trails que j'ai fait cet hiver, c'est hardcore et c'est vrai qu'à la longue on overdose un peu !
La bouillasse et les flaques me font penser aux trails que j'ai fait cet hiver, c'est hardcore et c'est vrai qu'à la longue on overdose un peu !
par Jerome59263
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- leoxav
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- Remerciements reçus 21
excellent Cyrille, bravo pour cette course, ton programme 2013 est super costaud !!
les conditions que tu me décris ne me rassures pas pour mon 1er Trail de dimanche !! Sans chaussures adaptées en plus !
mais envie de bien s'éclater comme toi !!
a + l'ami
les conditions que tu me décris ne me rassures pas pour mon 1er Trail de dimanche !! Sans chaussures adaptées en plus !
mais envie de bien s'éclater comme toi !!
a + l'ami
par leoxav
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- Nocnoc
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- Platinum Boarder
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Merci à tous pour vos commentaires et félicitations!
par Nocnoc
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