Trail de la Sainte victoire
- mushagak
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Salut les amis,
Je me lance enfin après ma grosse déception pour vous raconter ma Ste victoire quelque peu écourtée. Mon CR sera rapide mais il sera!
Le 7 avril 2013, se courait dés 7h00 du matin, ce fameux trail de 60 km avec 3000D+. La Sainte, Victoire, montagne chère à Cézanne jusqu'à son dernier souffle, se trouve à Rousset à quelques kms d'Aix en Provence.
Etant marseillais d'origine mais vivant depuis 18 ans presque, en Ile de France (putain comment ai-je pu, sacrilège!), j'avais besoin de me ressourcer et de me retrouver face à moi même dans ce décor de garrigue, de pins, de lapiaz acérés sous le soleil et de retrouver ces coureurs traileurs aux accents chantants du sud est et aussi du Sud ouest. Oui je sais mais allez comprendre, c'est ainsi!...
7h00 donc je prends le départ cool (environ 9 km heures) au milieu d'environ 350 barjots sous une fraicheur grise (c'est beau non? ° pour partir à l'assaut de l'indomptable montagne. Il faut dire que la veille, il avait fortement plu sur le parcours et je craignais qu'il en soit de même le jour J. Que nenni, la météo prévoyait ce matin, un ciel estival pour toute la journée et ce fut le cas.
Nous voilà parti dans les rues du village de Rousset et quelques minutes plus tard, nous sortons enfin de la route pour nous engouffrer sur des chemins d'argile rouge en faux plats montants et je me sens vraiment bien.
Plus nous avançons et plus la boue se fait présente. Je n'avais pas pu prévoir remédier à cela car mes salomon XA pro 5 sont lourdes, parfaites pour les terrains secs, super accrocheuses dans les pierriers mais totalement casse gueule et casse cheville dans la boue! De plus tout le long du parcours (et c'est normal vu la montagne) nous aurons de la pierre, du rocher, des éboulis mais....très souvent trèèèèèès glissants!
je me casserai les fesses souvent et mes avant bras s'en rappellent encore!
Bref, pour résumer, j'avais installé mon podomètre sur ma chaussure pour vérifier mes temps de passages lors des diverses barrières horaires. Arrivé vers le 4 eme km en pleine descente, j'étais particulièrement bien et j'ai un peu lâché les chevaux mais mon podomètre s'est détaché de son logement et j'ai du faire une petite remontée en marchant pour le récupérer et là... je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas refixer. Je l'ai mis ds mon sac. Je n'ai absolument pas percuté que sans lui, je n'avais plus le kilométrage allant avec le chrono pour calculer les BH. Vous comprenez déjà ce qui fit ma perte.
Nous passames divers petits lieu-dits tous très charmant puis attaquâmes une à une les difficultés majeures de ce trail, à savoir la montée du PAS DU CLAPIER (pour y arriver, c'est du 4 pattes à la verticale, si si, c'est de l'escalade), puis au sommet, des lapiaz acérés comme des couteaux sortis de la pierre, nous empêcher de pouvoir courir sereinement ne serait ce qu'un mètre et cela jusqu'au prieuré, l'un des sommet de la montagne.
Ensuite une énorme descente parfois très technique et très dangereuse nous emmenait sur Vauvenargues et son ravito solide et liquide. Autre souci, j'ai profité un max des ravitos et en particulier de celui ci où je suis resté 30 mn à me poser, prendre des photos et appeler ma famille qui s'inquiétait de savoir son frère ou mari ou fils ou tonton, courir un 60 km à 44 ans pour la 1ere fois de sa vie
Trop de photos, trop de temps passé à apprécier (et c'est tant mieux) plus de repère quand au kilométrage, et bien sur une grande fatigue car je n'étais plus pimpant au bout de 22 km. J'avais eu au bout d'1h 50 de course (bien avant quand m^me car j'étais à environ 6 km h je pense) un vrai coup de fringale et j'avais du me poser, mettre mes jambes en hauteur et manger salé. Pourtant, depuis le début, j'ai suivi un super protocole me semble t il:Gato sport une heure avant départ déja exclu par voie naturelle postérieure, boisson isotonique me convenant parfaitement et maintes fois essayée lors de sorties longues et rando courses, prise de 2 gorgées pleines toutes les 5 à 10 mn et ds l'effort c'était parfois toutes les 2mn! Gel pris petit à petit car impossible pour moi à avaler en une prise...Bref, je ne vois pas pourquoi cette fringale. Quoiqu'il en soit je n'ai eu qu'une fringale car après j'étais peut être sur les rotules mais physiquement et moralement, j'ai bien géré ma course (pas au niveau du tps hélas )
Puis nous avons attaqué LA MONTEE DES PLAIDEURS, je ne peux pas vous raconter pour 2 raisons, c'est trop hard et puis........je ne me souviens plus comment elle était , il y avait trop de difficultés et promis, j'ai kiffé ma race comme disent les autres(!)Cette montée énorme nous emmenait tjs plus haut jusqu'au sommet de la Sainte Victoire, à 1011m de hauteur, j'ai nommé LE PIC DES MOUCHES, soit environ 32km de parcourus.
Puis une énorme descente bien technique (c'est toujours comme cela sur la sainte victoire: montées abruptes et pierreuses et descentes abruptes et...pierreuses!!!) jusqu'au COL DES PORTES puis de suite une remontée identique à toutes quasiment sur 2 bornes nous emmenant à l'ORATOIRE DE MALIVERT, déja 37 km environ.
Ah oui, je précise que j'avais oublié le relief du parcours plastifié avec tous les renseignements dans ma bagnole, con de la lune que je peux être parfois et si certains d'entre vous, chères lectrices et lecteurs, pensent que parfois j'aurais pu demander ou nous en étions à d'autres coureurs, et bien je l'ai fait les rares fois où je ne me retrouvais pas seul avec le soleil sur le visage, le vent d'altitude sur les bras et les chênes kermès jouant sanguinairement avec mes cuisses!
Allez, une super descente interminable et vraiment jouissive jusqu'à PUYLOUBIER au 40 ème km ou une autre BH nous attendait. En trant dans le village ensoleillé, des autochtones sirotaient leur boisson ou parlaient forts avec un air enjoué de me voir si faible devant eux et si regonflé et droit comme un I devant la serveuse me souriant et moi et moi.....ben je lui ai fait un clin d'oeil ,Après je me suis dit que je reprenais trop facilement mes habitudes de sudiste. Bref, autre ravito solide liquide dans le village ou je fais mes provisions en salé, sandwitch saucisson sandwitch brie, et aussi le gruyère (bof pas top le gruyère). J'ai aussi découvert le bonheur des TUCS. Le top!
J'ai pu repartir du village avec mon dossard car j'étias encore dans la barrière horaire mais vraiment just do it!
Je devais donc faire du 5km h pour passer juste.
Je repartais donc pour le COL DE SAINT SER, effroyable, je n'avais plus de jambes mais étonnamment, j'avais vraiment le moral moi qui ai peur d'être moralement trop faible sur ces distances. Je vous passe les détails, de super CR de la course se trouvent sur le net et franchement, les gars sont des bons!
Tout le monde, je pense, du moins tous les traileurs de la Ste victoire, vous parleront de la montée (entre autres) pour aller au REFUGE BAUDINO: Une épreuve où le dénivelé n'est pas top par rapport au reste mais c'est long, très long, trop long, face Sud en pleine après midi sous le cagnard, des montées en escaliers et parfois même, dans des pierriers qui se dérobent sous vos pieds. On n'ose même plus lever les yeux pour voir le refuge ou voir ou en sont les potes devant nous car je crois que cette montée particulièrement, et bien elle ne se fait qu'au mental. Mes quadri criaient famine, je buvais une ou deux gorgées d'eau toutes les minutes je crois bien et en fait, je n'y croyais plus.
Pour couronner le tout et c'est la toute première fois que cela m'arrivait, je me retrouvais sans une goutte de flotte dans mon sac. Mes 2l étaient engloutis et je me souvenais dans "Man into the wild "que le commentateur tuait un serpent, l'évidait et pissait dans la peau du serpent pour boire son urine. Voilà ce qu'il me restait à faire .
Je savais vu mes arrêts fréquents et mon peu de course au profit de la marche, que je ne passerai pas la barrière horaire suivante.Arrivé au refuge, 2 bénévoles nous indique la descente pour continuer et là je pense candidement que c'est un ravito. Je leur demande de l'eau et ils me disent qu'il n'y en a pas mais que dans environ 5 km, il y sera....
La descente égale à une descente de Sainte Victoire se passe! Le parcours en descente puis dans les vignes avec un peu de route, n'est vraiment pas top et je n'ai plus envie. J'arrive à PUYLOUBIERS , soit 50 km environ au bout de 11 heures de course et le gentil bénévole me demande de lui remettre mon dossard et de prendre si je le désire le petit van. Je m’exécute après avoir profité un dernière fois du ravito. Je n'ai pas envie de terminer les 10 bornes restantes sans dossard, d'autant plus que je suis crevé et que le reste du parcours est descendant, assez roulant et surtout: QUE LA SAINTE VICTOIRE EST DERRIERE MOI, DOMPTEE AVEC SON ACCORD!
En conclusion, je dirai que ce trail est merveilleux honnêtement. C'est un trail exigeant .Il faut se préparer pour cela mais je promets de recommencer dans de meilleures conditions une autre année. En tout cas, maintenant, les trails longs ne me font plus peur, c'est vraiment incroyable.
Il est 23h53, je vous souhaite une bonne nuit, ma femme rentre de la zumba alors j'y vais (voir ma femme, pas à la zumba, trop hard pour moi )
Sportivement vôtre.
Je me lance enfin après ma grosse déception pour vous raconter ma Ste victoire quelque peu écourtée. Mon CR sera rapide mais il sera!
Le 7 avril 2013, se courait dés 7h00 du matin, ce fameux trail de 60 km avec 3000D+. La Sainte, Victoire, montagne chère à Cézanne jusqu'à son dernier souffle, se trouve à Rousset à quelques kms d'Aix en Provence.
Etant marseillais d'origine mais vivant depuis 18 ans presque, en Ile de France (putain comment ai-je pu, sacrilège!), j'avais besoin de me ressourcer et de me retrouver face à moi même dans ce décor de garrigue, de pins, de lapiaz acérés sous le soleil et de retrouver ces coureurs traileurs aux accents chantants du sud est et aussi du Sud ouest. Oui je sais mais allez comprendre, c'est ainsi!...
7h00 donc je prends le départ cool (environ 9 km heures) au milieu d'environ 350 barjots sous une fraicheur grise (c'est beau non? ° pour partir à l'assaut de l'indomptable montagne. Il faut dire que la veille, il avait fortement plu sur le parcours et je craignais qu'il en soit de même le jour J. Que nenni, la météo prévoyait ce matin, un ciel estival pour toute la journée et ce fut le cas.
Nous voilà parti dans les rues du village de Rousset et quelques minutes plus tard, nous sortons enfin de la route pour nous engouffrer sur des chemins d'argile rouge en faux plats montants et je me sens vraiment bien.
Plus nous avançons et plus la boue se fait présente. Je n'avais pas pu prévoir remédier à cela car mes salomon XA pro 5 sont lourdes, parfaites pour les terrains secs, super accrocheuses dans les pierriers mais totalement casse gueule et casse cheville dans la boue! De plus tout le long du parcours (et c'est normal vu la montagne) nous aurons de la pierre, du rocher, des éboulis mais....très souvent trèèèèèès glissants!
je me casserai les fesses souvent et mes avant bras s'en rappellent encore!
Bref, pour résumer, j'avais installé mon podomètre sur ma chaussure pour vérifier mes temps de passages lors des diverses barrières horaires. Arrivé vers le 4 eme km en pleine descente, j'étais particulièrement bien et j'ai un peu lâché les chevaux mais mon podomètre s'est détaché de son logement et j'ai du faire une petite remontée en marchant pour le récupérer et là... je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas refixer. Je l'ai mis ds mon sac. Je n'ai absolument pas percuté que sans lui, je n'avais plus le kilométrage allant avec le chrono pour calculer les BH. Vous comprenez déjà ce qui fit ma perte.
Nous passames divers petits lieu-dits tous très charmant puis attaquâmes une à une les difficultés majeures de ce trail, à savoir la montée du PAS DU CLAPIER (pour y arriver, c'est du 4 pattes à la verticale, si si, c'est de l'escalade), puis au sommet, des lapiaz acérés comme des couteaux sortis de la pierre, nous empêcher de pouvoir courir sereinement ne serait ce qu'un mètre et cela jusqu'au prieuré, l'un des sommet de la montagne.
Ensuite une énorme descente parfois très technique et très dangereuse nous emmenait sur Vauvenargues et son ravito solide et liquide. Autre souci, j'ai profité un max des ravitos et en particulier de celui ci où je suis resté 30 mn à me poser, prendre des photos et appeler ma famille qui s'inquiétait de savoir son frère ou mari ou fils ou tonton, courir un 60 km à 44 ans pour la 1ere fois de sa vie
Trop de photos, trop de temps passé à apprécier (et c'est tant mieux) plus de repère quand au kilométrage, et bien sur une grande fatigue car je n'étais plus pimpant au bout de 22 km. J'avais eu au bout d'1h 50 de course (bien avant quand m^me car j'étais à environ 6 km h je pense) un vrai coup de fringale et j'avais du me poser, mettre mes jambes en hauteur et manger salé. Pourtant, depuis le début, j'ai suivi un super protocole me semble t il:Gato sport une heure avant départ déja exclu par voie naturelle postérieure, boisson isotonique me convenant parfaitement et maintes fois essayée lors de sorties longues et rando courses, prise de 2 gorgées pleines toutes les 5 à 10 mn et ds l'effort c'était parfois toutes les 2mn! Gel pris petit à petit car impossible pour moi à avaler en une prise...Bref, je ne vois pas pourquoi cette fringale. Quoiqu'il en soit je n'ai eu qu'une fringale car après j'étais peut être sur les rotules mais physiquement et moralement, j'ai bien géré ma course (pas au niveau du tps hélas )
Puis nous avons attaqué LA MONTEE DES PLAIDEURS, je ne peux pas vous raconter pour 2 raisons, c'est trop hard et puis........je ne me souviens plus comment elle était , il y avait trop de difficultés et promis, j'ai kiffé ma race comme disent les autres(!)Cette montée énorme nous emmenait tjs plus haut jusqu'au sommet de la Sainte Victoire, à 1011m de hauteur, j'ai nommé LE PIC DES MOUCHES, soit environ 32km de parcourus.
Puis une énorme descente bien technique (c'est toujours comme cela sur la sainte victoire: montées abruptes et pierreuses et descentes abruptes et...pierreuses!!!) jusqu'au COL DES PORTES puis de suite une remontée identique à toutes quasiment sur 2 bornes nous emmenant à l'ORATOIRE DE MALIVERT, déja 37 km environ.
Ah oui, je précise que j'avais oublié le relief du parcours plastifié avec tous les renseignements dans ma bagnole, con de la lune que je peux être parfois et si certains d'entre vous, chères lectrices et lecteurs, pensent que parfois j'aurais pu demander ou nous en étions à d'autres coureurs, et bien je l'ai fait les rares fois où je ne me retrouvais pas seul avec le soleil sur le visage, le vent d'altitude sur les bras et les chênes kermès jouant sanguinairement avec mes cuisses!
Allez, une super descente interminable et vraiment jouissive jusqu'à PUYLOUBIER au 40 ème km ou une autre BH nous attendait. En trant dans le village ensoleillé, des autochtones sirotaient leur boisson ou parlaient forts avec un air enjoué de me voir si faible devant eux et si regonflé et droit comme un I devant la serveuse me souriant et moi et moi.....ben je lui ai fait un clin d'oeil ,Après je me suis dit que je reprenais trop facilement mes habitudes de sudiste. Bref, autre ravito solide liquide dans le village ou je fais mes provisions en salé, sandwitch saucisson sandwitch brie, et aussi le gruyère (bof pas top le gruyère). J'ai aussi découvert le bonheur des TUCS. Le top!
J'ai pu repartir du village avec mon dossard car j'étias encore dans la barrière horaire mais vraiment just do it!
Je devais donc faire du 5km h pour passer juste.
Je repartais donc pour le COL DE SAINT SER, effroyable, je n'avais plus de jambes mais étonnamment, j'avais vraiment le moral moi qui ai peur d'être moralement trop faible sur ces distances. Je vous passe les détails, de super CR de la course se trouvent sur le net et franchement, les gars sont des bons!
Tout le monde, je pense, du moins tous les traileurs de la Ste victoire, vous parleront de la montée (entre autres) pour aller au REFUGE BAUDINO: Une épreuve où le dénivelé n'est pas top par rapport au reste mais c'est long, très long, trop long, face Sud en pleine après midi sous le cagnard, des montées en escaliers et parfois même, dans des pierriers qui se dérobent sous vos pieds. On n'ose même plus lever les yeux pour voir le refuge ou voir ou en sont les potes devant nous car je crois que cette montée particulièrement, et bien elle ne se fait qu'au mental. Mes quadri criaient famine, je buvais une ou deux gorgées d'eau toutes les minutes je crois bien et en fait, je n'y croyais plus.
Pour couronner le tout et c'est la toute première fois que cela m'arrivait, je me retrouvais sans une goutte de flotte dans mon sac. Mes 2l étaient engloutis et je me souvenais dans "Man into the wild "que le commentateur tuait un serpent, l'évidait et pissait dans la peau du serpent pour boire son urine. Voilà ce qu'il me restait à faire .
Je savais vu mes arrêts fréquents et mon peu de course au profit de la marche, que je ne passerai pas la barrière horaire suivante.Arrivé au refuge, 2 bénévoles nous indique la descente pour continuer et là je pense candidement que c'est un ravito. Je leur demande de l'eau et ils me disent qu'il n'y en a pas mais que dans environ 5 km, il y sera....
La descente égale à une descente de Sainte Victoire se passe! Le parcours en descente puis dans les vignes avec un peu de route, n'est vraiment pas top et je n'ai plus envie. J'arrive à PUYLOUBIERS , soit 50 km environ au bout de 11 heures de course et le gentil bénévole me demande de lui remettre mon dossard et de prendre si je le désire le petit van. Je m’exécute après avoir profité un dernière fois du ravito. Je n'ai pas envie de terminer les 10 bornes restantes sans dossard, d'autant plus que je suis crevé et que le reste du parcours est descendant, assez roulant et surtout: QUE LA SAINTE VICTOIRE EST DERRIERE MOI, DOMPTEE AVEC SON ACCORD!
En conclusion, je dirai que ce trail est merveilleux honnêtement. C'est un trail exigeant .Il faut se préparer pour cela mais je promets de recommencer dans de meilleures conditions une autre année. En tout cas, maintenant, les trails longs ne me font plus peur, c'est vraiment incroyable.
Il est 23h53, je vous souhaite une bonne nuit, ma femme rentre de la zumba alors j'y vais (voir ma femme, pas à la zumba, trop hard pour moi )
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par mushagak
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- bert
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Cela m'a l'air d'être un bien joli trail qui, en plus, me rappelle mes années étudiantes à Aix.
Merci de nous avoir fait partager ta course.
Merci de nous avoir fait partager ta course.
par bert
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- Cdric
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Donc ça, c'est un CR "rapide" ?!
Déjà, en randonnée, il y a de quoi se faire mal aux cuisses sur la Sainte Victoire, mais alors un trail, je n'ose même pas y penser. Bravo à toi pour ta course et merci pour ce CR.
Déjà, en randonnée, il y a de quoi se faire mal aux cuisses sur la Sainte Victoire, mais alors un trail, je n'ose même pas y penser. Bravo à toi pour ta course et merci pour ce CR.
par Cdric
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- mushagak
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Réponse de mushagak sur le sujet Re: Trail de la Sainte victoire
Posted il y a 11 ans 7 mois #232133
Ben à vria dire, je partais pour raconter un minimum car j'étais fatigué mais en tant que vrai marseillais, je pense m'être laissé un peu aller à parler et finalement, quelques lignes de plus mais le CR en lui-même n'est pas particulièrement dense. Merci à vous en tout cas les gars
Prochain trail dans un mois (je sais tout le monde me dit que c'est tot mais tout est possible...même une blessure ) le 18 avril exactement et ce sera le Trail du Donjon à la Roche-Guyon ds le 95. Donc 52 kms et 1550m D+.
C'est une revanche à prendre sur la Ste Victoire.
Prochain trail dans un mois (je sais tout le monde me dit que c'est tot mais tout est possible...même une blessure ) le 18 avril exactement et ce sera le Trail du Donjon à la Roche-Guyon ds le 95. Donc 52 kms et 1550m D+.
C'est une revanche à prendre sur la Ste Victoire.
par mushagak
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- gilles84 [Dum Spiro Spero]
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Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re: Trail de la Sainte victoire
Posted il y a 11 ans 7 mois #232139
tres joli cr
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- jeckx
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Merci pour le compte-rendu et bravo quand même pour ces 11 heures d'effort !
C'est utile de voir les erreurs que tu as faites (podomètre, carte du parcours, chaussures, manque d'eau) pour éviter de les reproduire.
C'est utile de voir les erreurs que tu as faites (podomètre, carte du parcours, chaussures, manque d'eau) pour éviter de les reproduire.
par jeckx
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