GRP 80, retour aux sources!
- Pyrèntrail
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L'occasion de revenir dans les Pyrénées était trop belle. Je vais essayer de vous faire partager ce bon moment passé dans ces belles montagnes et particulièrement le massif du Néouvielle.
Ça y est, le jour fatidique arrive Le départ de mon premier GRP 80 est dans quelques heures. Dans la voiture juste avant d'arriver sur Vielle Aure, un amis m'appel pour m'encourager et me demande si je me sent prêt pour demain
"J'te répondrai dimanche!!! Là je pourrais te dire si j'étais effectivement prêt ".
Je récupère mon dossard, le contrôle du matériel est complet et sérieux, et on a déjà droit à un bon panier garnis. L'organisation semble déjà bien rodée et performante pour cette 5ème édition, la suite et le déroulement de la course vont le confirmer.
20h30, après un dernier repas complet c'est le briefing qui commence par un point sur les deux courses déjà parties. Le "Raid" (240km et 15000m de D+) et "l'Ultra" (160km et 10000m de D+). Le premier se cours en équipe (de 3 ou 4), 20 étaient au départ, seulement 6 dont 3 sur le parcours initial seront à l'arrivée Sur l'Ultra il y aura plus de 500 abandons, mais tout çà, on ne le savait pas encore, et c'était peut-être mieux
3h15 du matin, le réveil de mon téléphone sonne, je me demande quel est l'abruti qui m'appel en pleine nuit!!! Heureusement ma femme me réveil à nouveau 1/4 d'heure plus tard. Un petit dèj classique, thé et tartines de pain et confiture, une douche pour essayer de se réveiller et je retrouve un amis, avec un pot à lui (tous deux déjà finisher) sur la ligne de départ. On se fait un point sur nos "objectifs" qui restent commun à tous les trois, à savoir franchir la ligne d'arriver, prendre le plus de plaisir possible et éviter de se faire mal!!! Un dernier point sur mon sac pour m'apercevoir que j'ai intelligemment laissé tous les gels, acheté dans la semaine sur certains conseils, dans la chambre. Tampis, je ferais comme prévu initialement, avec juste de l'eau, des barres de céréales et de la sporténine. Juste quelques minutes avant le départ, Dawa Sherpa passe juste devant nous, mais bon, même si on est quasi sous l'arche, on décide de lui laisser un peu d'avance, on va attendre un peu avant de passer devant Le stress est toujours au plus bas, si ce n’est une légère inquiétude de partir avec des nouvelles chaussettes que je n’ai malheureusement pas eu le temps de tester avant on verra bien
5 heure pétante c'est partis, et plutôt assé vite (je n'ai pas de quoi vous donner les allures, mais comme on s'y attendait on a pas l'impression de partir pour 80 bornes et 5000 m de D+ ). Un peu plus d'un km dans le village et on attaque la première montée (1450 m de D+) il y a un ou deux coup de cul, mais ça monte plutôt agréablement. C'est la montagne quoi!!! On prend un rythme commun, ça monte bien et après le passage du col et une courte descente c'est le premier ravito en un peu plus de 2h30. J'ai déjà englouti 2 barres de céréales et bu pas mal, je décide aux ravitos de ne prendre presque exclusivement du salé (soupe, tuc, jambon, pain, bananes) et 7 à 8 minutes après c'est repartis pour la seconde montée où on commence à trouver les premières parties minérales et les chemins mono trace. On entend, sans encore le voir, le col de Bastanet. Des affamés son venu nous supporter et "les grosses cloches sonnent". Ils ont monté tout ce qu'il faut pour faire un rafut du tonnerre. C'est excellent, heureusement que je n'ai pas emporter mon télé pour chooter d'éventuel bestio
C'est alors la première descente magnifique mais technique, très minérales et longue comme on m'avait bien prévenu. On serpente prêt de nombreux lacs, dommage le temps est un peu couvert, au moins il ne fera pas trop chaud!! Je décide de la prendre plutôt cool (la pêche ça sera pour une prochaine quand même!!!), pas mal de coureurs accélèrent, je préfère gérer, c'est encore le début. Au bout de presque 6 heures de course on arrive sur la fin de cette descente et le second ravito, à Artigues est en vu. Il y a pas mal de monde pour nous encourager et j'entends une jeune femme m'encourager "aller Denis"!!! Je la remercie, mais très surpris je n'l'as connaît pas!!!! Je l'entend juste après encourager par son prénom également un coureur suivant. C'est là que je me suis rappelé que nos dossards portent nos prénom, et c'est en faite une super idée.
Au second ravito on s'arrête un peu plus (presque 20 minutes), l'un de mes deux acolytes commence à fatiguer. On est à 28 bornes depuis le départ déjà et les 12 prochains sont coton, c'est la montée au pic du midi. La reprise commence assé fort, en forêt en passant à nouveau juste à côté de très belles cascades. Le rythme est sage et passe en forêt. La sortie se fait sur un chemin plus large avant d'emprunter à nouveau un long mono trace, bien bucolique d'ailleurs. Les jambes suivent très bien, je décide d'accélérer et j'entame un rythme plus soutenu dans toute la montée, jusqu'au pic. Pour le moment j'ai bien fait de m'économiser dans la première grosse descente, il y a déjà pas mal de participants qui se font des poses, et d'autre qui déjà commencent à déguster. La montée au pic du midi se fait par un allé/retour depuis le col de Sencour. En montant on croise ceux qui descendent et vis versa. D'ailleurs dans ma descente je croise mon pote qui à eu un coup de mou dans la première partie de la montée, je l'encourage en lui disant qu'il ne perdra pas de temps à contempler la vue!!!! (dommage ça reste bouché). Le troisième à quant à lui arrêté. Comme quoi sur ce genre de course rien n'est prévisible, même lorsque ce n'est pas la première participation.
Je m'arrête à peine une dizaine de minutes au ravito du col de Sencour et j'entame la seconde grosse descente, mais bien moins technique, vers Tournaloup (la Mongie). Là je me retrouve "enfin" seul sur les mono trace, j'accélère tranquillement jusqu'au prochain ravito, qui est plutôt important. Je m'y arrêtes longtemps le temps de changer de chaussettes (et ça fait du bien, à se le noter, sur du long emporter de quoi se changer les pieds) et bien manger (pâtes chaudes, soupe, jambon) au final quand je fais le point, j'aurai passer ma journée à bouffer sur la course
Et c'est repartie, dernières "grosse" montée vers le col de Barège, via la cabane d'Aygues Cluse, l'un des coins que j'affectionne particulièrement. Cette partie que beaucoup on trouvée longue passe alors d'autant mieux que les jambes suivent toujours aussi bien et la tête aussi, je garde un bon rythme dans toute la montée. Je discute avec certain autres coureurs, notamment ceux du 160, dont certain, comme on dit, ramassent sévère. Je ne serais sans doute pas mieux à leur place d'ailleurs.
La descente qui suit commence par une première partie un peu technique et j'entends deux hurluberlu qui arrive derrière moi, je leur emboîte le pas, c'est sure, à se rythme ça va aller beaucoup plus vite. On ne se retrouve plus que deux à envoyer, c'est vraiment agréable d'avoir à ce stade de la course encore des jambes et courir en descente avec quelqu'un qui à le même rythme. Les passages techniques sont un véritable régale et on arrive déjà au dernier ravito.
Une dernière petite montée et c'est la dernière descente dont seule la dernière 1/2 heure sera longue.
Au final j'arrive vraiment en relativement bonne forme, et surtout sur les 16h50 de course j'y ai pris un vrai plaisir pendant 16h15. Le soir je n'avais absolument pas faim (un bol de soupe et de compote), par contre il à été agréable de trouver la cuvette des wc. Bien que je n'ai bu que de l'eau dans mon camel (environ 7 à 8 litre je pense), pris une 15aine de barres de céréales et 6 cacheton de Sporténine, le long ça dézingue l'estomac
Le soir les escaliers se descendent doucement, les cuisses mais surtout les genoux. Je me boit 1L de boissons "maide in colérat" le soir eu 1L le dimanche matin, et à ma plus grande surprise les courbature sont quasi inexistantes, et dès le lundi, pour finaliser la récup, j'ai pu me faire sans problème un petit tour de vélo pour accompagner ma femme qui est venu me voir tout le long du parcours et du coup souhaite se mettre elle aussi au trail.
Une très belle course, même si le temps n'a pas permis un panorama aussi somptueux que le coin l'ai, et une orga avec des bénévoles au top.
Voila pour mon premier CR peut-être un peu long alors merci à ceux qui l'auront lu jusqu'au bout
Ça y est, le jour fatidique arrive Le départ de mon premier GRP 80 est dans quelques heures. Dans la voiture juste avant d'arriver sur Vielle Aure, un amis m'appel pour m'encourager et me demande si je me sent prêt pour demain
"J'te répondrai dimanche!!! Là je pourrais te dire si j'étais effectivement prêt ".
Je récupère mon dossard, le contrôle du matériel est complet et sérieux, et on a déjà droit à un bon panier garnis. L'organisation semble déjà bien rodée et performante pour cette 5ème édition, la suite et le déroulement de la course vont le confirmer.
20h30, après un dernier repas complet c'est le briefing qui commence par un point sur les deux courses déjà parties. Le "Raid" (240km et 15000m de D+) et "l'Ultra" (160km et 10000m de D+). Le premier se cours en équipe (de 3 ou 4), 20 étaient au départ, seulement 6 dont 3 sur le parcours initial seront à l'arrivée Sur l'Ultra il y aura plus de 500 abandons, mais tout çà, on ne le savait pas encore, et c'était peut-être mieux
3h15 du matin, le réveil de mon téléphone sonne, je me demande quel est l'abruti qui m'appel en pleine nuit!!! Heureusement ma femme me réveil à nouveau 1/4 d'heure plus tard. Un petit dèj classique, thé et tartines de pain et confiture, une douche pour essayer de se réveiller et je retrouve un amis, avec un pot à lui (tous deux déjà finisher) sur la ligne de départ. On se fait un point sur nos "objectifs" qui restent commun à tous les trois, à savoir franchir la ligne d'arriver, prendre le plus de plaisir possible et éviter de se faire mal!!! Un dernier point sur mon sac pour m'apercevoir que j'ai intelligemment laissé tous les gels, acheté dans la semaine sur certains conseils, dans la chambre. Tampis, je ferais comme prévu initialement, avec juste de l'eau, des barres de céréales et de la sporténine. Juste quelques minutes avant le départ, Dawa Sherpa passe juste devant nous, mais bon, même si on est quasi sous l'arche, on décide de lui laisser un peu d'avance, on va attendre un peu avant de passer devant Le stress est toujours au plus bas, si ce n’est une légère inquiétude de partir avec des nouvelles chaussettes que je n’ai malheureusement pas eu le temps de tester avant on verra bien
5 heure pétante c'est partis, et plutôt assé vite (je n'ai pas de quoi vous donner les allures, mais comme on s'y attendait on a pas l'impression de partir pour 80 bornes et 5000 m de D+ ). Un peu plus d'un km dans le village et on attaque la première montée (1450 m de D+) il y a un ou deux coup de cul, mais ça monte plutôt agréablement. C'est la montagne quoi!!! On prend un rythme commun, ça monte bien et après le passage du col et une courte descente c'est le premier ravito en un peu plus de 2h30. J'ai déjà englouti 2 barres de céréales et bu pas mal, je décide aux ravitos de ne prendre presque exclusivement du salé (soupe, tuc, jambon, pain, bananes) et 7 à 8 minutes après c'est repartis pour la seconde montée où on commence à trouver les premières parties minérales et les chemins mono trace. On entend, sans encore le voir, le col de Bastanet. Des affamés son venu nous supporter et "les grosses cloches sonnent". Ils ont monté tout ce qu'il faut pour faire un rafut du tonnerre. C'est excellent, heureusement que je n'ai pas emporter mon télé pour chooter d'éventuel bestio
C'est alors la première descente magnifique mais technique, très minérales et longue comme on m'avait bien prévenu. On serpente prêt de nombreux lacs, dommage le temps est un peu couvert, au moins il ne fera pas trop chaud!! Je décide de la prendre plutôt cool (la pêche ça sera pour une prochaine quand même!!!), pas mal de coureurs accélèrent, je préfère gérer, c'est encore le début. Au bout de presque 6 heures de course on arrive sur la fin de cette descente et le second ravito, à Artigues est en vu. Il y a pas mal de monde pour nous encourager et j'entends une jeune femme m'encourager "aller Denis"!!! Je la remercie, mais très surpris je n'l'as connaît pas!!!! Je l'entend juste après encourager par son prénom également un coureur suivant. C'est là que je me suis rappelé que nos dossards portent nos prénom, et c'est en faite une super idée.
Au second ravito on s'arrête un peu plus (presque 20 minutes), l'un de mes deux acolytes commence à fatiguer. On est à 28 bornes depuis le départ déjà et les 12 prochains sont coton, c'est la montée au pic du midi. La reprise commence assé fort, en forêt en passant à nouveau juste à côté de très belles cascades. Le rythme est sage et passe en forêt. La sortie se fait sur un chemin plus large avant d'emprunter à nouveau un long mono trace, bien bucolique d'ailleurs. Les jambes suivent très bien, je décide d'accélérer et j'entame un rythme plus soutenu dans toute la montée, jusqu'au pic. Pour le moment j'ai bien fait de m'économiser dans la première grosse descente, il y a déjà pas mal de participants qui se font des poses, et d'autre qui déjà commencent à déguster. La montée au pic du midi se fait par un allé/retour depuis le col de Sencour. En montant on croise ceux qui descendent et vis versa. D'ailleurs dans ma descente je croise mon pote qui à eu un coup de mou dans la première partie de la montée, je l'encourage en lui disant qu'il ne perdra pas de temps à contempler la vue!!!! (dommage ça reste bouché). Le troisième à quant à lui arrêté. Comme quoi sur ce genre de course rien n'est prévisible, même lorsque ce n'est pas la première participation.
Je m'arrête à peine une dizaine de minutes au ravito du col de Sencour et j'entame la seconde grosse descente, mais bien moins technique, vers Tournaloup (la Mongie). Là je me retrouve "enfin" seul sur les mono trace, j'accélère tranquillement jusqu'au prochain ravito, qui est plutôt important. Je m'y arrêtes longtemps le temps de changer de chaussettes (et ça fait du bien, à se le noter, sur du long emporter de quoi se changer les pieds) et bien manger (pâtes chaudes, soupe, jambon) au final quand je fais le point, j'aurai passer ma journée à bouffer sur la course
Et c'est repartie, dernières "grosse" montée vers le col de Barège, via la cabane d'Aygues Cluse, l'un des coins que j'affectionne particulièrement. Cette partie que beaucoup on trouvée longue passe alors d'autant mieux que les jambes suivent toujours aussi bien et la tête aussi, je garde un bon rythme dans toute la montée. Je discute avec certain autres coureurs, notamment ceux du 160, dont certain, comme on dit, ramassent sévère. Je ne serais sans doute pas mieux à leur place d'ailleurs.
La descente qui suit commence par une première partie un peu technique et j'entends deux hurluberlu qui arrive derrière moi, je leur emboîte le pas, c'est sure, à se rythme ça va aller beaucoup plus vite. On ne se retrouve plus que deux à envoyer, c'est vraiment agréable d'avoir à ce stade de la course encore des jambes et courir en descente avec quelqu'un qui à le même rythme. Les passages techniques sont un véritable régale et on arrive déjà au dernier ravito.
Une dernière petite montée et c'est la dernière descente dont seule la dernière 1/2 heure sera longue.
Au final j'arrive vraiment en relativement bonne forme, et surtout sur les 16h50 de course j'y ai pris un vrai plaisir pendant 16h15. Le soir je n'avais absolument pas faim (un bol de soupe et de compote), par contre il à été agréable de trouver la cuvette des wc. Bien que je n'ai bu que de l'eau dans mon camel (environ 7 à 8 litre je pense), pris une 15aine de barres de céréales et 6 cacheton de Sporténine, le long ça dézingue l'estomac
Le soir les escaliers se descendent doucement, les cuisses mais surtout les genoux. Je me boit 1L de boissons "maide in colérat" le soir eu 1L le dimanche matin, et à ma plus grande surprise les courbature sont quasi inexistantes, et dès le lundi, pour finaliser la récup, j'ai pu me faire sans problème un petit tour de vélo pour accompagner ma femme qui est venu me voir tout le long du parcours et du coup souhaite se mettre elle aussi au trail.
Une très belle course, même si le temps n'a pas permis un panorama aussi somptueux que le coin l'ai, et une orga avec des bénévoles au top.
Voila pour mon premier CR peut-être un peu long alors merci à ceux qui l'auront lu jusqu'au bout
Last Edit:il y a 12 ans 2 mois
par Pyrèntrail
Dernière édition: il y a 12 ans 2 mois par Pyrèntrail.
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- deru84
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Bravo pour ta magnifique course !
On sent que tu étais bien affûté et que tu as eu beaucoup de plaisir. Aucun coup de mou sur 17h00 de course, chapeau !
C'est fou comme le trail me manque déjà...
On sent que tu étais bien affûté et que tu as eu beaucoup de plaisir. Aucun coup de mou sur 17h00 de course, chapeau !
C'est fou comme le trail me manque déjà...
par deru84
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- Xav
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Super course, t'as vraiment bien géré pour pouvoir en profiter tout du long, bravo !!
Du coup c'est quoi tes prochains objectifs ?
Du coup c'est quoi tes prochains objectifs ?
par Xav
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- gilles84 [Dum Spiro Spero]
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Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re: GRP 80, retour aux sources!
Posted il y a 12 ans 2 mois #183474
les sensations en trail en leger sous regime, c'est juste génial
moi sur la 6000D, le coup de mou sur la fin, je le doit surement à ne pas avoir passé plus de 2' sur les ravito , en ne mangeant quasi rien ....bon toi, t'a pas eu ce problème visiblement
moi sur la 6000D, le coup de mou sur la fin, je le doit surement à ne pas avoir passé plus de 2' sur les ravito , en ne mangeant quasi rien ....bon toi, t'a pas eu ce problème visiblement
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- bert
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On a l'impression que tu t'es (presque) balladé pendant 80 kilos. Visiblement la trotte, ça paye
par bert
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- AtomHeart
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Réponse de AtomHeart sur le sujet Re: GRP 80, retour aux sources!
Posted il y a 12 ans 2 mois #183527
Toutes mes félicitations... Près de 17 heures de course et visiblement, tu étais prêt pour en avaler encore. J'ai beaucoup aimé le "au final quand je fais le point, j'aurai passer ma journée à bouffer sur la course" preuve que le moral est resté bon !
Encore bravo et merci pour ton récit. 80 bornes, ça me semble tout simplement extraordinaire alors quand j'imagine qu'il y en a qui étaient partis pour en faire 160...
Encore bravo et merci pour ton récit. 80 bornes, ça me semble tout simplement extraordinaire alors quand j'imagine qu'il y en a qui étaient partis pour en faire 160...
par AtomHeart
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