Article de presse : Trop de jogging serait néfaste

salut !

je pense qu il parle de "jogging" pour ceux qui comme moi le font en " loisirs " sans avoir d' objectifs, par contre celui qui fait de la course à pied avec un plan suivi et avec un but bien precis n est pour moi pas en phase " jogging " . et puis il y a l age qui joue, je cours à 59 ans plus comme je courrais à 20 ans . La +part de ceux que je lis ici sont des bipèdes confirmés qui courent aussi pour la performance, comme finir un 10km, un semi. Les traileurs ne sont plus des joggeurs car ils m épuisent rien qu'à les lire !

bon week

Les études sont tout à fait publiques, voici les liens vers les articles (en anglais):
www.dropbox.com/s/5w9r8an8ddcff2z/1-s2.0...071733-main.pdf?dl=0 commentaire éditorial
www.dropbox.com/s/kvkbhrmwri2fa9b/1-s2.0...071745-main.pdf?dl=0 article lui même

Et oui, c'est courir vite qui est délétère. Ou longtemps. En effet les articles citent pas mal de références indiquant des pathologies liées à un "gros" kilométrage.

Assez d'accord, y en a pas bcp qui courent en EF ou en tout cas assez lentement en footing, bcp sont dans le rouge car ils trouvent plus drole de courir 1/2h à 10km/h que 3/4h à 8 ...
J'en ai parlé encore hier avec un collègue qui pige pas comment on peut courir à 8km/h ou même moins vite ... faudrait vraiment qu'il achète un cardio.
Bref, comme tout, faut savoir doser en fonction de soit

"Si votre but est de réduire le risque de mortalité et d'allonger votre espérance de vie, conclut-il, faire du jogging deux ou trois fois par semaine à un rythme modéré est la bonne stratégie... en faire plus pourrait être néfaste."

Tout est dit, si l'on doit prendre en compte tout ce qui est sensé augmenter l'espérance de vie, je ne sais pas si la vie est encore vivable ou gérable. Et c'est sans compter les interactions ! Peut-être que boire du vin et courir beaucoup est plus intéressant que courir un peu sans boire de vin, etc... Si c'est pour vivre jusqu'à 150 ans avec finir avec Alzheimer, pas sûr que ça m'intéresse. Bien sûr que la mort, ça fout les chtons mais de toutes façons, sur ce forum, je pense que la plupart d'entre nous font des tranches de course à pied plus ou moins intensives avec des périodes plus cool, voire d'arrêt. Ça ne vous surprend pas, vous, que la plupart des actifs sur ce forum sont tout de même des coureurs récents. Ils sont où ceux qui courent depuis 10 ans non stop ? Ils ne sont pas la majorité ici. Les actifs d'il y a un an ou deux sur ce forum sont partis (temporairement ?) et bientôt, ça sera probablement notre tour.

Donc, cette étude nous est quasiment innapplicable !

Sabrina Gump écrit:
[quote Ça ne vous surprend pas, vous, que la plupart des actifs sur ce forum sont tout de même des coureurs récents. Ils sont où ceux qui courent depuis 10 ans non stop ? ![/quote]

J'y avait pas pensé! Ils sont sans doutes morts d'une overdose de Cap (de granolas?) ou alors enlevé par des sientifiques pour sévir de cobayes! Ça fait froid dans le dos

Blague à part je suis d'accord avec toi. Et encore ils savent même pas que certains ici fument!

Il n'y a que pour Oeufmollet que ça ne s'applique pas.

Mais il y a une autre notion que je pressens à éclaircir : la notion de plaisir en course à pied. On en parle beaucoup, mais alors pourquoi diable autant de coureurs font des pauses si longues, voire disparaissent ? Cette notion de plaisir, je ne la ressens pas aussi nettement qu'elle peut être évoquée régulièrement ici ou ailleurs (même dans mon club), pour ne pas dire, elle m'échappe presque, insaisissable. J'y préférerai l'idée de "fun", "amusant" ou "drôle", voire "apaisant", pour définir ce que je ressens quand je cours, mais "plaisir" pur, pas vraiment. Bon, en même temps, je cours peut être avec trop peu d'intensité (j'aime pas ça) pour vraiment me shooter aux endorphines.