MPF-2017 :Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud !
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MPF-2017 :Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud ! a été créé par Alcyone
Posted il y a 7 ans 5 mois #475845
Coucou à vous !
Je vous livre le CR-roman d'un premier marathon couru le 28 mai 2017, celui de Poitiers-Futuroscope !
Bref retour en arrière : je commence la course à pied en avril 2014, sur une pulsion (j'sais pas encore comment ça m'est venu à l'esprit). Je suis tombée sur ce forum, et j'ai débuté progressivement... d'abord l'EF, ensuite un 10km...puis plusieurs, puis un semi, et un autre...je prends un max de plaisir à courir, et là je me suis dis "allez pourquoi pas le marathon ?" car je suis hyper curieuse de savoir comment mon corps va réagir à un effort long.
Je suis passée à 4 séances par semaines 3 ou 4 mois avant le début de la prépa pour engranger un peu de volume... malheureusement pas autant que j'aurais souhaité.
Le plan marathon s'est plutôt bien passé, à part la fin du développement général, où j'ai dû sauter un petit nombre de séances, pour cause boulot et deux trois pépins de santé (mais rien à voir avec la CAP). La phase spécifique s'est superbement passée. J'avais choisi le plan finir / 3 séances du site, (car ne voulant pas faire de VMA) en ajoutant une séance d'EF la veille des SL et allongeant un peu la durée de celles-ci jusqu'à un max de 2h36 / 23,5 km. J'ai surtout bossé à la FC. Bien m'en a pris car...
J-10 avant le marathon, c'est la panique : la météo annonce du chaud, du très chaud, et moi, ça ne me plait pas du tout du tout.
Je farfouille comme une folle dans les tréfonds de mes notions de physio (et sur internet) pour me bidouiller un protocole d'urgence d'acclimatation à la chaleur. Je m'inflige les dernières séances d'EF en plein cagnard, je vais même au sauna la semaine précédent le marathon. Les jours s’égrènent, les degrés annoncés pour le jour de la course continuent de monter.
Au final : un départ déjà à plus de 20°C, une maximale annoncée à 31 ou 32°c,
L'objectif : finir ! Les allures d'entrainement auraient pu laisser envisager un 4 h 35 / 4h 40, mais vu la chaleur annoncée, je ne me fais hélas pas trop d'illusions...
Jour J :
H- 20 minutes. Une subite envie de pipi.
Pfiu ! C'te file d'attente avant les petits-coins, qui constituent une première épreuve (olfactive...) pour ce marathon. Certains doivent être nerveux du boyau
C'est juste à temps que je m'en extirpe pour le départ.
On n'est vraiment pas nombreux dans le dernier sas...
Pan ! Le départ est donné et ça part hyper vite ! Je vois passer comme une fléche les meneurs 4 h 30...alors que pourtant, je n'ai pas l'impression de lambiner...
km 1 à 5 = 32'40
6'16 sur le 1er km, beaucoup trop rapide, je me calme et me laisse tranquillement doubler par à peu près tout ce qui possède des jambes. Y'a pas le feu au lac, il fait chaud et j'ai l'impression "de ne pas être dedans". Jambes molles, cardio déjà dans les 85%... un soupir... j'ai l'habitude, en course... ma respiration est calme. Dans ma tête, tout le stress emmagasiné depuis des semaines est en train de s'envoler...
J'ai le sourire jusqu'aux oreilles et j'ai du mal à réaliser que je cours un marathon !
Je prends mon temps aux ravito, pour m'asperger...
km 6 à 10 =33'06
les 10 premiers km, je suis sur la réserve +++, et puis, je jette un oeil à ma montre... 10ème km, 1h 07 de course ! Outch ! C'est lent ! J'ai envie d'accélérer un peu, le cardio étant suffisemment redescendu.. Un oeil sur le cardio : stable. Je m'éclate toujours, tout va bien... mais j'appréhende ce qu'il va m'arriver après le semi...
km 11 à 15 =29'42 (en descente ++ )
Il commence à faire chaud, dans les rangs. Le soleil cogne. Je commence peu à peu à remonter des coureurs, tout en prenant garde à conserver une FC stable.
Je suis toute contente, je profite de Poitiers comme je ne l'ai jamais vu, et passe sur le viaduc Léon Blum en me sentant la reine du monde.
L'organisation a été géniale et à prévu d'ajouter pleiiiin de points d'eau entre les ravito habituels. Je profite de chacun d'entre eux pour marcher et m'asperger généreusement d'eau les bras, cuisses, visage, tête.
À partir du 15ème, je commence à "remonter les morts" : pleins de coureurs marchent déjà (entre les ravito), sans doute partis trop vite sous un soleil de plomb. Ça commence VRAIMENT à chauffer, maintenant. Je continue mon protocole : une à deux gorgées de boisson légèrement hypotonique de ma poche à eau, une pâte de fruit au 7ème, une autre au 17ème, je picore un peu aux ravito officiels, et bois quelques gorgées d'eau à chaque point d'eau, tout en m'aspergeant généreusement la nuque, les membres.
km 16 à 20 = 32'40
J'ai très peur d'un coup de chaleur et suis hyper vigilente aux moindres premiers signes.
Passage du premier semi en 2 h 20, environ. Check-up : mal nulle-part, le sourire accroché aux oreilles, toujours ! Le cardio est d'une stabilité déconcertante. J'ai chaud, par contre...ça oui. L'eau dont on s'asperge tous joyeusement s'évapore en quelques minutes à peine...sur les parties découvertes, car j'ai le dos et le short trempés.
km 21 à 25 =33'15
Après le 23ème km, (et une p%§! de montée ) je commence à tendre le dos. Je n'ai jamais couru de sorties plus longue à l'entrainement. J'attends que le ciel me tombe sur la tête (c'est à dire de me prendre le mur dans la face) mais en fait ça va toujours, et je suis déjà contente d'avoir passé le semi "pas trop lentement".
Les points d'eau se multiplient dans cette longue ligne droite vers Chasseneuil, heureusement un peu ombragée. Je me sens tellement moins seule que sur la première partie de course.
A partir du 25ème, je sympathise avec une coureuse. Elle me dit qu'elle a 50 ans aujourd'hui et que elle aussi, c'est son premier marathon. On fait un bout de chemin ensemble, tout en papotant et en doublant des coureurs devenus marcheurs, assommés de chaleur.
km 26 à 30 =33'50
On s'arrête aux point d'eau, on s'asperge et on repart sur un bon petit rythme.
Au 29ème, je commence à avoir un coup de mou. "continue sans moi, j'ai besoin de ralentir un peu".
Je me sens toujours bien, mal nulle part, à part peut-être les jambes qui commencent à tirailler un peu. Le cardio est toujours nickel. Mais bon, je pressens que je ne pourrais pas tenir le rythme actuel bien longtemps, donc, je préfère ralentir et être sûre de finir que de me forcer sur un rythme un peu trop rapide pour moi. En fin de compte, je crois qu'on se rejoins vers le 31ème ^^
On va donc faire tout le restant de la course ensemble, en papotant, en se soutenant.
km 31 à 35 =34'56 (tu les sens, les prémices du mur ?)
33ème, premiers pas de marche entre les ravito, sur une montée où tout le monde marche de toute façon. Quelles sensations étranges dans les cuisses, les mollets ! Comme une décharge électrique... J'ai l'impression de ne plus savoir marcher. Et on re-trottine dans la descente.
Les km s'égrènent...Les pauses "point-d'eau" se font de plus en plus longues, je prend parfois 30" à 1' pour récupérer, m'asperger.
Des riverains nous aspergent au tuyau d'arrosage ! Je ne compte plus le nombre de douches fraiches sur le parcours, mais elles font un bien fou par cette chaleur.
km 36 à 40 = 37'42
Arrive le moment spécial où mes pieds sont eux aussi trempés et que mes chaussures font "floc floc"...
35è, 36è, 37è ça devient dur. Les moments de marche augmentent, mais je suis confiante. Je sais que j'arriverai au bout. C'est vraiment une sensation étrange, une panne d'essence, parce que tout le reste va nickel ! Pas de nausées, pas d'ampoules, zéro douleurs articulaires, et juste des tensions dans les mollets, les ischio, les quadri quand je re-cours après une période d'arrêt.
38è, 39è, Là je suis bien crevée, j'alterne marche / course, toujours en compagnie de Pascale (car c'est son nom ), la coureuse avec laquelle je partage la course depuis le 25ème. Les "moins 5h" deviennent notre objectif.
Au 39ème on aperçoit un coureur étendu sur le sol, à un ravito, avec heureusement des bénévoles qui s'occupent de lui. Une ambulance arrive. Un coup de chaleur, sans doute...
On a de la peine pour lui.
km 41 et 42 ( + 850 m selon ma montre ) = 21'24
Dernier kilomètre : oh mon dieu, qu'est-ce que c'est que cette montée de folie !!! Impossible de faire autrement que marcher... Puis, peu à peu, on accélère, en voyant l'arche d'arrivée.
Pas question de sprinter, juste une accélération douce.
Nous passerons la ligne ENSEMBLE, pleurant de joie ENSEMBLE, nous embrassant.
La médaille, le ravito, la petite veste de finisher et je rejoins chéri dans un état second.
Je suis marathonnienne !
En 4 h 59'04 temps officiel !!! (4h58'28 au réél)
J'en ai bavé mais qu'est-ce que j'ai aimé ça ! Je suis fière et heureuse, j'ai qu'une envie : récidiver ! (mais sur un marathon d'automne, cette fois, j'aurais moins de risque de me taper un marathon par 30°C )
Je vous livre le CR-roman d'un premier marathon couru le 28 mai 2017, celui de Poitiers-Futuroscope !
Bref retour en arrière : je commence la course à pied en avril 2014, sur une pulsion (j'sais pas encore comment ça m'est venu à l'esprit). Je suis tombée sur ce forum, et j'ai débuté progressivement... d'abord l'EF, ensuite un 10km...puis plusieurs, puis un semi, et un autre...je prends un max de plaisir à courir, et là je me suis dis "allez pourquoi pas le marathon ?" car je suis hyper curieuse de savoir comment mon corps va réagir à un effort long.
Je suis passée à 4 séances par semaines 3 ou 4 mois avant le début de la prépa pour engranger un peu de volume... malheureusement pas autant que j'aurais souhaité.
Le plan marathon s'est plutôt bien passé, à part la fin du développement général, où j'ai dû sauter un petit nombre de séances, pour cause boulot et deux trois pépins de santé (mais rien à voir avec la CAP). La phase spécifique s'est superbement passée. J'avais choisi le plan finir / 3 séances du site, (car ne voulant pas faire de VMA) en ajoutant une séance d'EF la veille des SL et allongeant un peu la durée de celles-ci jusqu'à un max de 2h36 / 23,5 km. J'ai surtout bossé à la FC. Bien m'en a pris car...
J-10 avant le marathon, c'est la panique : la météo annonce du chaud, du très chaud, et moi, ça ne me plait pas du tout du tout.
Je farfouille comme une folle dans les tréfonds de mes notions de physio (et sur internet) pour me bidouiller un protocole d'urgence d'acclimatation à la chaleur. Je m'inflige les dernières séances d'EF en plein cagnard, je vais même au sauna la semaine précédent le marathon. Les jours s’égrènent, les degrés annoncés pour le jour de la course continuent de monter.
Au final : un départ déjà à plus de 20°C, une maximale annoncée à 31 ou 32°c,
L'objectif : finir ! Les allures d'entrainement auraient pu laisser envisager un 4 h 35 / 4h 40, mais vu la chaleur annoncée, je ne me fais hélas pas trop d'illusions...
Jour J :
H- 20 minutes. Une subite envie de pipi.
Pfiu ! C'te file d'attente avant les petits-coins, qui constituent une première épreuve (olfactive...) pour ce marathon. Certains doivent être nerveux du boyau
C'est juste à temps que je m'en extirpe pour le départ.
On n'est vraiment pas nombreux dans le dernier sas...
Pan ! Le départ est donné et ça part hyper vite ! Je vois passer comme une fléche les meneurs 4 h 30...alors que pourtant, je n'ai pas l'impression de lambiner...
km 1 à 5 = 32'40
6'16 sur le 1er km, beaucoup trop rapide, je me calme et me laisse tranquillement doubler par à peu près tout ce qui possède des jambes. Y'a pas le feu au lac, il fait chaud et j'ai l'impression "de ne pas être dedans". Jambes molles, cardio déjà dans les 85%... un soupir... j'ai l'habitude, en course... ma respiration est calme. Dans ma tête, tout le stress emmagasiné depuis des semaines est en train de s'envoler...
J'ai le sourire jusqu'aux oreilles et j'ai du mal à réaliser que je cours un marathon !
Je prends mon temps aux ravito, pour m'asperger...
km 6 à 10 =33'06
les 10 premiers km, je suis sur la réserve +++, et puis, je jette un oeil à ma montre... 10ème km, 1h 07 de course ! Outch ! C'est lent ! J'ai envie d'accélérer un peu, le cardio étant suffisemment redescendu.. Un oeil sur le cardio : stable. Je m'éclate toujours, tout va bien... mais j'appréhende ce qu'il va m'arriver après le semi...
km 11 à 15 =29'42 (en descente ++ )
Il commence à faire chaud, dans les rangs. Le soleil cogne. Je commence peu à peu à remonter des coureurs, tout en prenant garde à conserver une FC stable.
Je suis toute contente, je profite de Poitiers comme je ne l'ai jamais vu, et passe sur le viaduc Léon Blum en me sentant la reine du monde.
L'organisation a été géniale et à prévu d'ajouter pleiiiin de points d'eau entre les ravito habituels. Je profite de chacun d'entre eux pour marcher et m'asperger généreusement d'eau les bras, cuisses, visage, tête.
À partir du 15ème, je commence à "remonter les morts" : pleins de coureurs marchent déjà (entre les ravito), sans doute partis trop vite sous un soleil de plomb. Ça commence VRAIMENT à chauffer, maintenant. Je continue mon protocole : une à deux gorgées de boisson légèrement hypotonique de ma poche à eau, une pâte de fruit au 7ème, une autre au 17ème, je picore un peu aux ravito officiels, et bois quelques gorgées d'eau à chaque point d'eau, tout en m'aspergeant généreusement la nuque, les membres.
km 16 à 20 = 32'40
J'ai très peur d'un coup de chaleur et suis hyper vigilente aux moindres premiers signes.
Passage du premier semi en 2 h 20, environ. Check-up : mal nulle-part, le sourire accroché aux oreilles, toujours ! Le cardio est d'une stabilité déconcertante. J'ai chaud, par contre...ça oui. L'eau dont on s'asperge tous joyeusement s'évapore en quelques minutes à peine...sur les parties découvertes, car j'ai le dos et le short trempés.
km 21 à 25 =33'15
Après le 23ème km, (et une p%§! de montée ) je commence à tendre le dos. Je n'ai jamais couru de sorties plus longue à l'entrainement. J'attends que le ciel me tombe sur la tête (c'est à dire de me prendre le mur dans la face) mais en fait ça va toujours, et je suis déjà contente d'avoir passé le semi "pas trop lentement".
Les points d'eau se multiplient dans cette longue ligne droite vers Chasseneuil, heureusement un peu ombragée. Je me sens tellement moins seule que sur la première partie de course.
A partir du 25ème, je sympathise avec une coureuse. Elle me dit qu'elle a 50 ans aujourd'hui et que elle aussi, c'est son premier marathon. On fait un bout de chemin ensemble, tout en papotant et en doublant des coureurs devenus marcheurs, assommés de chaleur.
km 26 à 30 =33'50
On s'arrête aux point d'eau, on s'asperge et on repart sur un bon petit rythme.
Au 29ème, je commence à avoir un coup de mou. "continue sans moi, j'ai besoin de ralentir un peu".
Je me sens toujours bien, mal nulle part, à part peut-être les jambes qui commencent à tirailler un peu. Le cardio est toujours nickel. Mais bon, je pressens que je ne pourrais pas tenir le rythme actuel bien longtemps, donc, je préfère ralentir et être sûre de finir que de me forcer sur un rythme un peu trop rapide pour moi. En fin de compte, je crois qu'on se rejoins vers le 31ème ^^
On va donc faire tout le restant de la course ensemble, en papotant, en se soutenant.
km 31 à 35 =34'56 (tu les sens, les prémices du mur ?)
33ème, premiers pas de marche entre les ravito, sur une montée où tout le monde marche de toute façon. Quelles sensations étranges dans les cuisses, les mollets ! Comme une décharge électrique... J'ai l'impression de ne plus savoir marcher. Et on re-trottine dans la descente.
Les km s'égrènent...Les pauses "point-d'eau" se font de plus en plus longues, je prend parfois 30" à 1' pour récupérer, m'asperger.
Des riverains nous aspergent au tuyau d'arrosage ! Je ne compte plus le nombre de douches fraiches sur le parcours, mais elles font un bien fou par cette chaleur.
km 36 à 40 = 37'42
Arrive le moment spécial où mes pieds sont eux aussi trempés et que mes chaussures font "floc floc"...
35è, 36è, 37è ça devient dur. Les moments de marche augmentent, mais je suis confiante. Je sais que j'arriverai au bout. C'est vraiment une sensation étrange, une panne d'essence, parce que tout le reste va nickel ! Pas de nausées, pas d'ampoules, zéro douleurs articulaires, et juste des tensions dans les mollets, les ischio, les quadri quand je re-cours après une période d'arrêt.
38è, 39è, Là je suis bien crevée, j'alterne marche / course, toujours en compagnie de Pascale (car c'est son nom ), la coureuse avec laquelle je partage la course depuis le 25ème. Les "moins 5h" deviennent notre objectif.
Au 39ème on aperçoit un coureur étendu sur le sol, à un ravito, avec heureusement des bénévoles qui s'occupent de lui. Une ambulance arrive. Un coup de chaleur, sans doute...
On a de la peine pour lui.
km 41 et 42 ( + 850 m selon ma montre ) = 21'24
Dernier kilomètre : oh mon dieu, qu'est-ce que c'est que cette montée de folie !!! Impossible de faire autrement que marcher... Puis, peu à peu, on accélère, en voyant l'arche d'arrivée.
Pas question de sprinter, juste une accélération douce.
Nous passerons la ligne ENSEMBLE, pleurant de joie ENSEMBLE, nous embrassant.
La médaille, le ravito, la petite veste de finisher et je rejoins chéri dans un état second.
Je suis marathonnienne !
En 4 h 59'04 temps officiel !!! (4h58'28 au réél)
J'en ai bavé mais qu'est-ce que j'ai aimé ça ! Je suis fière et heureuse, j'ai qu'une envie : récidiver ! (mais sur un marathon d'automne, cette fois, j'aurais moins de risque de me taper un marathon par 30°C )
Last Edit:il y a 7 ans 5 mois
par Alcyone
Dernière édition: il y a 7 ans 5 mois par Alcyone.
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- Patrick57
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Réponse de Patrick57 sur le sujet Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud !
Posted il y a 7 ans 5 mois #475855
Merci pour ton joli CR et à nouveau un grand bravo pour cette première !!
Finalement tu l'as bien géré ce marathon, ça a été un peu plus compliqué à partir du 35ème notamment, mais c'était plutôt régulier auparavant. Et le fait de courir à deux aide bien dans ces cas-là
Pour un marathon d'automne, il y a le fameux de La Rochelle fin novembre
Bravo à toutes les 2 et bonne reprise !
Finalement tu l'as bien géré ce marathon, ça a été un peu plus compliqué à partir du 35ème notamment, mais c'était plutôt régulier auparavant. Et le fait de courir à deux aide bien dans ces cas-là
Pour un marathon d'automne, il y a le fameux de La Rochelle fin novembre
Bravo à toutes les 2 et bonne reprise !
par Patrick57
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- dule66
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Réponse de dule66 sur le sujet Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud !
Posted il y a 7 ans 5 mois #475898
Bravooo !!
Merci beaucoup pour ce très sympathique compte rendu, que j'ai lu avec le sourire aux lèvres et la chair de poule !! Tu as super bien géré cette météo terrible !! Et puis tu as parcouru tous ces kilomètres en mode plaisir et ça se ressent ! C'est exactement tout ça que je voudrais pouvoir vivre et qui m'a manqué sur mon expérience... C'est très cool d'avoir pu t'accorder avec une autre coureuse, vous avez dû bien vous soutenir, et c'est si important sur ces derniers kilomètres !!
Bienvenue dans le club des marathoniens,
Jolie place bien méritée !
Merci beaucoup pour ce très sympathique compte rendu, que j'ai lu avec le sourire aux lèvres et la chair de poule !! Tu as super bien géré cette météo terrible !! Et puis tu as parcouru tous ces kilomètres en mode plaisir et ça se ressent ! C'est exactement tout ça que je voudrais pouvoir vivre et qui m'a manqué sur mon expérience... C'est très cool d'avoir pu t'accorder avec une autre coureuse, vous avez dû bien vous soutenir, et c'est si important sur ces derniers kilomètres !!
Bienvenue dans le club des marathoniens,
Jolie place bien méritée !
par dule66
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- zherg
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Réponse de zherg sur le sujet MPF-2017 :Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud !
Posted il y a 7 ans 5 mois #475947
Bravo. Une belle maîtrise de la course pourtant pas si facile à cause de la chaleur. Moi aussi je la redoutais pour celui de Paris et pourtant seulement 20°. Encore toutes mes félicitations marathonienne.
par zherg
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- joelDi
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Réponse de joelDi sur le sujet MPF-2017 :Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud !
Posted il y a 7 ans 5 mois #475963
Un premier marathon par 30°, c'est une sacrée experience. Bravo pour être allée au bout et pour avoir su gérer les circonstances du jour.
par joelDi
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- Cousto91
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Réponse de Cousto91 sur le sujet MPF-2017 :Un premier marathon chaud ! chaud ! chaud !
Posted il y a 7 ans 5 mois #475967Quel beau récit, et quelle gestion, car pas facile par cette chaleur, et on dirait que tu as plutôt bien géré.
J'aime bien lire ces petites anecdotes, mais je me demande c'est quoi le pire : courir 5h sous de la pluie, ou 5h en plein cagnard
En tout cas bravo à toi
par Cousto91
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