trail l'Ardechois '12
- papadje
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prologue:
Après un voyage sans souci et une arrivée à Désaignes peu avant 17h, on récupère tranquillement nos dossards et on admire les nouvelle Sense (les chaussures de Kilian) sur le standf Salomon. J'appelle Guillaume qui doit arriver, il est encore en route. Malheureusement mes collègues n'auront pas la patience de l'attendre et on repart vers l'hotel pour une soirée très agréable sur le bord du Rhone par une température estivale. Après une nuit sans histoires le réveil se fait dans une tout autre ambiance... Le temps est bien plus frais et il pleut des cordes...Avec mes deux compères nous rejoignons le départ au dernier moment. Pour moi l'objectif de la course est double: me rassurer après une course au Ventoux rendu très compliquée par une grosse angine et faire du volume en prévision de la maxi-race du Lac d'annecy dans un mois. J'ai donc couplé la course avec une sortie de 4h à vélo vendredi matin sur les conseil de mon osthéo, qui est aussi traileur et qui finira d'ailleurs 3ème du 34km...
Départ-Eoliennes: Le départ est donné sous la pluie. Vu notre arrivée tardive avec mes 2 collègues on se retrouve dans le dernier tiers du peloton et on passe la ligne de départ 3' après les flèches. Les chemins du début de parcours sont assez larges et permettent de doubler sans jouer des coudes. J'ai mis l'alarme du cardio à 162 puls soit 80%fcm et je passe en marche rapide dès qu'elle sonne. A ce rythme je double quand même pas mal de monde sur ces chemin assez roulants. Le sol est déjà bien humide mais ce n'est rien en comparaison de la boue qui nous attend sur le reste du parcours... Comme lors de la précédent édition le kilomètre de descente au milieu de la montée m permet de reprendre un wagon de concurrents et d'attaquer la deuxième partie de la montée dans un groupe qui monte à mon allure. Arrivée au sommet première bonne surprise malgré la pluie continue qui a refroidie une bonne partie du peloton (la plupart pense déjà à bifurquer sur le 34 alors qu'on a fait que 10km..) jarrive aux éoliennes en 1h20 soit le même temps que l'an passé ou j'étais partie pour faire le court.
Eoliennes-ruines de Rochebonnes: Dès la fin de la montée je relance la machine, je suis vraiment bien et cette partie de course très roulante en forêt me permet de bien envoyer. Je passe des petits groupes les uns après les autres à bonne allure en coupant au travers des nombreuses flaques d'eau qui commencent à envahir le parcours. Dans la for^t il fait quasiment nuit et on aurait par moment presqu'envie d'allumer la frontale. En approchant de la descente vers les ruines les concurrents se font de plus en plus distants les uns des autres, signe que j'ai maintenant passé le gros du peloton et que je dois être dans le premier tiers. La pluie cesse pour le passage aux ruines et permet d'atttaquer la descente dans des conditions quasi normales. Je passe aux ruines en 1h55 soit 2' en avance sur l'an passé.
Ruines-Ravitaillement St Jean:
500m après les ruines je me retrouve bloqué: La tempête et les fortes pluies de la nuit on fait sauter la passerelle au dessus du torrent. Les organisateurs on donc tendu 3 cables et une corde pour permettre de passer. Après 5 bonnes minutes d'attente c'est mon tour et je passe donc le torrent avec de l'eau jusque mi-cuisses et elle n'est pas vraiment chaude! Je me réchauffe en repartant en trottinant dans les sentiers qui rapproche du ravitaillement. Le soleil fait une courte apparirion mais me réchauffe un peu et sèche mon t-shirt. C'est la 3ème fois en 3 ans que je parcours ces chemins et je me rends compte que c'est un réél avantage de connaitre si bien le parcours. Je termine mon bidon de boisson énergétique dans le dernier km qui mène au ravito juste au moment ou la pluie décide de faire son retour. Malgré le temps pourri je trouve beaucoup de monde à l'approche du ravito, un autre signe que le gros de la troupe est derrière. Chance pour moi, la boisson énergétique qui est distribuée est celle que j'utilise depuis deux ans, mon arrêt ressemble donc à un pit-stop de formule 1 : remplissage du bidon + 3 morceaux de banane + pause technique aux toilettes. En 3' c'est plié et je repars après 2h48' de course dans le même temps que l'an passé mais avec surtout 12' d'avance sur mon plan de marche 7h. Les jambes sont toujours bonnes, ja'ttends le moment ou je vais payer ma sortie vélo d'il y 48h...
St Jean- Eoliennes:
Dès la sortie du ravito on repart dans une montée qui ramène aux éoliennes, à ce moment là la pluie redouble et je suis bien content de retrouver le relatif abrit de la forêt. Sauf que le coup de vent de la nuit a mis par terre quelques arbres et que par endroits la course commence à ressembler à un parcours du combattant. Sur le haut le vent se remet aussi de la partie et comme je suis maintenant trempé je commence à avoir presque froid... Les nuagessont tellement denses que l'on appercoit même pas les éoliennes.
Eoliennes - Ravitaillement Sauteraux:
Dans la partie descendante qui suit je relance bien l'allure histoire de me réchauffer. Juste avant la bifurcation entre les 2 parcours je reprends un petit groupe d'une dizaine d'unité: au moment de tourner je me retrouve tout seul... et dans cette deuxième partie de course je ne courerai quasiment plus jamais avec quelqu'un en point de mire plus de 2'... 500m plus loin on quitte le chemin pour descendre droit dans la pente: Incroyable, sur chaque appui la boue me monte jusqu'au dessus des chevilles et rentre dans mes chaussures. J'éclate de rire en pensant à mes 2 amis qui suivent et à qui j'avais dit que les chemins étaient bons! La ca commenc vraiment à ressembler à une journée galère. Dans cette partie de descente je reprends toujours quelques concurrents dont certains déjà en difficulté. On approche les 4h de courses et les cuisses deviennent petit à petit douloureuses mais ca répond toujours plutot bien. Après une nouvelle montée sous la pluie j'arrive au 2ème ravitaillement en 4h10 avec 20' d'avance sur mes prévisions. Je fais donc un nouvel arrêt express de moins de 2' et repars avec de bons espoirs de faire un bon chrono.
Sauteraux - Labatie d'Andaure:
Dans cette partie je suis gonflé à bloc, je sais que la partie qui ammène au prochain ravitaillement est courte. En plus on trouve quelques parties goudronnées ou je suis vraiment à l'aise. Par contre le vent et la pluie sont vraiment usant... En 45' je rejoins le dernier ravito: le moral est vraiment bon, par contre j'ai mal aux jambes et à l'idée de m'arrêter je grelotte... La bonne humeur des bénévoles contraste avec la lassitude de la poignée de coureurs qui est là. Ma montre indique 4h59 quand je quitte le ravito.
Labatie - Rochebloine:
Quelques centaines de mètres après on croise une route qui faut traverser par en dessous, dans le lit d'un ruisseau et je me retrouve encore une fois avec de l'eau jusqu'au genou, un vrai bonheur... puis on attaque directement la dernière difficulté de la journée: la montée sur rochebloine. Les pourcentages ne sont pas élevés dans cette partie, mais on est obligé de relancer très souvent et d'alterner la course et la marche pour éviter de perdre trop de temps. Ce sera la plus grosse difficulté de cette dernière montée, pouvoir se remettre au trot alors que les jambes n'ont qu'une envie rester au pas... Sur la dernière partie la pluie et le vent sont accompagnés par deux nouveaux venus: l'orage et la grèle. Ca ne donne pas vraiment envi de s'arreter au sommet. Je passe en 5h40.
Rochebloine - Arrivée:
Au début de la descente je double une concurrente qui s'avèrera etre la 2eme féminine de la course derrière l'intouchable Maud Gobert. Dans mon planning cette dernière partie etait prévue en 1h10, donc sauf grosse défaillance ca doit passer: j'ai au moins 10' de battement. Je réalise aussi que je ne me suis pas fait doubler depuis qule 2 ou 3ème km. Je me fixe donc 2 objectifs pour cette fin de course: ne pas me faire reprendre et terminer en moins de 6h43 temps mis par un de mes amis deux ans auparavant. De toute facon je commence à avoir vraiment froid et il n'est pas question que je marche: il faut à tout prixque je reste chaud jusqu'à l'arrivée. Cette dernière partie ne présente aucune difficultée technique, mais la fatigue, la douleur et la lassitude pèsent maintenant autant que les conditions météo. Mais lorsque ja'rrive en vue de Désaignes un bénévole annonce l'arrivée à moine de 3km et mon chrono 6h14'. La barre des 6h30 est donc à portée. Mais impossible d'aller plus vite, je manque vraiment de fraicheur maintenant. Un des coureurs avec qui je fais l'elastique depuis 1h30 me repasse dans le dernier km, amis je n'essaie même pas de l'accrocher. J'ai vraiment envie de profiter de ces 5 dernières minutes. Je rejoins la ligne d'arrivée en 6h29'57" à mon chrono avec une banane d'enfer!
épilogue:
Dès l'arrivée je rejoins le poste de secours, j'ai froid et aucune affaire de rechange tant que mon collègue ne sera pas arrivée. je me retrouve donc avec une couverture de survie et une couverture complétées par un bon thé chaud histoire de ne pas me transfomer en glaçon...
En redsecendant 15' plus tard vers la ligne d'arrivée nouvelle bonne surprise en voyant que je suis 49è au scratch: carrément inespéré si on compare à ma 300è place au ventoux un mois plus tot...Tous les voyants sont revenus au verts pour la Maxi-Race dans un mois.
Bilan:
6h29'57" pour 57km et 2450mD+
49è sur 330 arrivants
Après un voyage sans souci et une arrivée à Désaignes peu avant 17h, on récupère tranquillement nos dossards et on admire les nouvelle Sense (les chaussures de Kilian) sur le standf Salomon. J'appelle Guillaume qui doit arriver, il est encore en route. Malheureusement mes collègues n'auront pas la patience de l'attendre et on repart vers l'hotel pour une soirée très agréable sur le bord du Rhone par une température estivale. Après une nuit sans histoires le réveil se fait dans une tout autre ambiance... Le temps est bien plus frais et il pleut des cordes...Avec mes deux compères nous rejoignons le départ au dernier moment. Pour moi l'objectif de la course est double: me rassurer après une course au Ventoux rendu très compliquée par une grosse angine et faire du volume en prévision de la maxi-race du Lac d'annecy dans un mois. J'ai donc couplé la course avec une sortie de 4h à vélo vendredi matin sur les conseil de mon osthéo, qui est aussi traileur et qui finira d'ailleurs 3ème du 34km...
Départ-Eoliennes: Le départ est donné sous la pluie. Vu notre arrivée tardive avec mes 2 collègues on se retrouve dans le dernier tiers du peloton et on passe la ligne de départ 3' après les flèches. Les chemins du début de parcours sont assez larges et permettent de doubler sans jouer des coudes. J'ai mis l'alarme du cardio à 162 puls soit 80%fcm et je passe en marche rapide dès qu'elle sonne. A ce rythme je double quand même pas mal de monde sur ces chemin assez roulants. Le sol est déjà bien humide mais ce n'est rien en comparaison de la boue qui nous attend sur le reste du parcours... Comme lors de la précédent édition le kilomètre de descente au milieu de la montée m permet de reprendre un wagon de concurrents et d'attaquer la deuxième partie de la montée dans un groupe qui monte à mon allure. Arrivée au sommet première bonne surprise malgré la pluie continue qui a refroidie une bonne partie du peloton (la plupart pense déjà à bifurquer sur le 34 alors qu'on a fait que 10km..) jarrive aux éoliennes en 1h20 soit le même temps que l'an passé ou j'étais partie pour faire le court.
Eoliennes-ruines de Rochebonnes: Dès la fin de la montée je relance la machine, je suis vraiment bien et cette partie de course très roulante en forêt me permet de bien envoyer. Je passe des petits groupes les uns après les autres à bonne allure en coupant au travers des nombreuses flaques d'eau qui commencent à envahir le parcours. Dans la for^t il fait quasiment nuit et on aurait par moment presqu'envie d'allumer la frontale. En approchant de la descente vers les ruines les concurrents se font de plus en plus distants les uns des autres, signe que j'ai maintenant passé le gros du peloton et que je dois être dans le premier tiers. La pluie cesse pour le passage aux ruines et permet d'atttaquer la descente dans des conditions quasi normales. Je passe aux ruines en 1h55 soit 2' en avance sur l'an passé.
Ruines-Ravitaillement St Jean:
500m après les ruines je me retrouve bloqué: La tempête et les fortes pluies de la nuit on fait sauter la passerelle au dessus du torrent. Les organisateurs on donc tendu 3 cables et une corde pour permettre de passer. Après 5 bonnes minutes d'attente c'est mon tour et je passe donc le torrent avec de l'eau jusque mi-cuisses et elle n'est pas vraiment chaude! Je me réchauffe en repartant en trottinant dans les sentiers qui rapproche du ravitaillement. Le soleil fait une courte apparirion mais me réchauffe un peu et sèche mon t-shirt. C'est la 3ème fois en 3 ans que je parcours ces chemins et je me rends compte que c'est un réél avantage de connaitre si bien le parcours. Je termine mon bidon de boisson énergétique dans le dernier km qui mène au ravito juste au moment ou la pluie décide de faire son retour. Malgré le temps pourri je trouve beaucoup de monde à l'approche du ravito, un autre signe que le gros de la troupe est derrière. Chance pour moi, la boisson énergétique qui est distribuée est celle que j'utilise depuis deux ans, mon arrêt ressemble donc à un pit-stop de formule 1 : remplissage du bidon + 3 morceaux de banane + pause technique aux toilettes. En 3' c'est plié et je repars après 2h48' de course dans le même temps que l'an passé mais avec surtout 12' d'avance sur mon plan de marche 7h. Les jambes sont toujours bonnes, ja'ttends le moment ou je vais payer ma sortie vélo d'il y 48h...
St Jean- Eoliennes:
Dès la sortie du ravito on repart dans une montée qui ramène aux éoliennes, à ce moment là la pluie redouble et je suis bien content de retrouver le relatif abrit de la forêt. Sauf que le coup de vent de la nuit a mis par terre quelques arbres et que par endroits la course commence à ressembler à un parcours du combattant. Sur le haut le vent se remet aussi de la partie et comme je suis maintenant trempé je commence à avoir presque froid... Les nuagessont tellement denses que l'on appercoit même pas les éoliennes.
Eoliennes - Ravitaillement Sauteraux:
Dans la partie descendante qui suit je relance bien l'allure histoire de me réchauffer. Juste avant la bifurcation entre les 2 parcours je reprends un petit groupe d'une dizaine d'unité: au moment de tourner je me retrouve tout seul... et dans cette deuxième partie de course je ne courerai quasiment plus jamais avec quelqu'un en point de mire plus de 2'... 500m plus loin on quitte le chemin pour descendre droit dans la pente: Incroyable, sur chaque appui la boue me monte jusqu'au dessus des chevilles et rentre dans mes chaussures. J'éclate de rire en pensant à mes 2 amis qui suivent et à qui j'avais dit que les chemins étaient bons! La ca commenc vraiment à ressembler à une journée galère. Dans cette partie de descente je reprends toujours quelques concurrents dont certains déjà en difficulté. On approche les 4h de courses et les cuisses deviennent petit à petit douloureuses mais ca répond toujours plutot bien. Après une nouvelle montée sous la pluie j'arrive au 2ème ravitaillement en 4h10 avec 20' d'avance sur mes prévisions. Je fais donc un nouvel arrêt express de moins de 2' et repars avec de bons espoirs de faire un bon chrono.
Sauteraux - Labatie d'Andaure:
Dans cette partie je suis gonflé à bloc, je sais que la partie qui ammène au prochain ravitaillement est courte. En plus on trouve quelques parties goudronnées ou je suis vraiment à l'aise. Par contre le vent et la pluie sont vraiment usant... En 45' je rejoins le dernier ravito: le moral est vraiment bon, par contre j'ai mal aux jambes et à l'idée de m'arrêter je grelotte... La bonne humeur des bénévoles contraste avec la lassitude de la poignée de coureurs qui est là. Ma montre indique 4h59 quand je quitte le ravito.
Labatie - Rochebloine:
Quelques centaines de mètres après on croise une route qui faut traverser par en dessous, dans le lit d'un ruisseau et je me retrouve encore une fois avec de l'eau jusqu'au genou, un vrai bonheur... puis on attaque directement la dernière difficulté de la journée: la montée sur rochebloine. Les pourcentages ne sont pas élevés dans cette partie, mais on est obligé de relancer très souvent et d'alterner la course et la marche pour éviter de perdre trop de temps. Ce sera la plus grosse difficulté de cette dernière montée, pouvoir se remettre au trot alors que les jambes n'ont qu'une envie rester au pas... Sur la dernière partie la pluie et le vent sont accompagnés par deux nouveaux venus: l'orage et la grèle. Ca ne donne pas vraiment envi de s'arreter au sommet. Je passe en 5h40.
Rochebloine - Arrivée:
Au début de la descente je double une concurrente qui s'avèrera etre la 2eme féminine de la course derrière l'intouchable Maud Gobert. Dans mon planning cette dernière partie etait prévue en 1h10, donc sauf grosse défaillance ca doit passer: j'ai au moins 10' de battement. Je réalise aussi que je ne me suis pas fait doubler depuis qule 2 ou 3ème km. Je me fixe donc 2 objectifs pour cette fin de course: ne pas me faire reprendre et terminer en moins de 6h43 temps mis par un de mes amis deux ans auparavant. De toute facon je commence à avoir vraiment froid et il n'est pas question que je marche: il faut à tout prixque je reste chaud jusqu'à l'arrivée. Cette dernière partie ne présente aucune difficultée technique, mais la fatigue, la douleur et la lassitude pèsent maintenant autant que les conditions météo. Mais lorsque ja'rrive en vue de Désaignes un bénévole annonce l'arrivée à moine de 3km et mon chrono 6h14'. La barre des 6h30 est donc à portée. Mais impossible d'aller plus vite, je manque vraiment de fraicheur maintenant. Un des coureurs avec qui je fais l'elastique depuis 1h30 me repasse dans le dernier km, amis je n'essaie même pas de l'accrocher. J'ai vraiment envie de profiter de ces 5 dernières minutes. Je rejoins la ligne d'arrivée en 6h29'57" à mon chrono avec une banane d'enfer!
épilogue:
Dès l'arrivée je rejoins le poste de secours, j'ai froid et aucune affaire de rechange tant que mon collègue ne sera pas arrivée. je me retrouve donc avec une couverture de survie et une couverture complétées par un bon thé chaud histoire de ne pas me transfomer en glaçon...
En redsecendant 15' plus tard vers la ligne d'arrivée nouvelle bonne surprise en voyant que je suis 49è au scratch: carrément inespéré si on compare à ma 300è place au ventoux un mois plus tot...Tous les voyants sont revenus au verts pour la Maxi-Race dans un mois.
Bilan:
6h29'57" pour 57km et 2450mD+
49è sur 330 arrivants
par papadje
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- Philippekfp
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Bonsoir Papadje,
Débutant sur longue distance (marathon), je ne peux que saluer cette belle performance.
Même si les conditions n'étaient pas extra, le récit donne envie d'emmener ces baskets sur du trail ou de l'ultra-trail.
Chapeau !
Bonne récupération.
Débutant sur longue distance (marathon), je ne peux que saluer cette belle performance.
Même si les conditions n'étaient pas extra, le récit donne envie d'emmener ces baskets sur du trail ou de l'ultra-trail.
Chapeau !
Bonne récupération.
par Philippekfp
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- gilles84 [Dum Spiro Spero]
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Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re: trail l'Ardechois '12
Posted il y a 12 ans 6 mois #166423
Bravo mon ami, très belle gestion de course
celle là j'avais envie de la faire mais pour moi elle était trop près du ventoux et vu les jambes que tu avais, j'aurai pas suivi
meme question qu'a guillaume, tu avais mis quoi comme tenue et quoi dans le sac ? (pour l'hydraminov et mulebar, ça je sais )
celle là j'avais envie de la faire mais pour moi elle était trop près du ventoux et vu les jambes que tu avais, j'aurai pas suivi
meme question qu'a guillaume, tu avais mis quoi comme tenue et quoi dans le sac ? (pour l'hydraminov et mulebar, ça je sais )
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- rycker
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A ça fait plaisir de voir que cette course c'est bien passée alors félicitations , tres belle perf
Petite question , lorsque tu dis que tu traverses les flaques d'eaux, n'y a t'il pas un risque que le sol soit totalement boueux en dessous ou qu'il il y ait une crevasse ou autre pierre qui risquerait de te faire chuter voire même tordre la cheville ???
Petite question , lorsque tu dis que tu traverses les flaques d'eaux, n'y a t'il pas un risque que le sol soit totalement boueux en dessous ou qu'il il y ait une crevasse ou autre pierre qui risquerait de te faire chuter voire même tordre la cheville ???
par rycker
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- papadje
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@Philippe: merci, les conditions étaient même pourries
@Gilles: compressport + short en bas . En haut 1ere couche nike pro+ t-shirt mc + t-shrit ml (pris "au acs ou" et que j'ai gardé toute la course"). Sac xt s-lab 5. J'ai un peu merdé sur le matos j'aurais du prendre au moins une couche imperméable quitte à enlever 2 autres. La une fois mouillé, j'ai eu froid dans les descentes et dans les parties tres exposées au vent. J'avais parié sur quelques averses et pas sur 2 averses de 2h30... Pourle ravito j'ai trouvé le bon rendement: 3 gorgées de boisson toutes les 12' et un gel à chaque heure pleine avec 3 gorgées d'eau: aucun trou en 6h30 de course, du jamais vu surtout à ce rythme
@Eric: merci, franchement c'est comme en descente: il y a plus de risque à y aller avec le frein à main que d'y aller franchement en foulées légères. En cas de problèmes comme les appuis sont courts il y a moyen de se récupérer.
@Gilles: compressport + short en bas . En haut 1ere couche nike pro+ t-shirt mc + t-shrit ml (pris "au acs ou" et que j'ai gardé toute la course"). Sac xt s-lab 5. J'ai un peu merdé sur le matos j'aurais du prendre au moins une couche imperméable quitte à enlever 2 autres. La une fois mouillé, j'ai eu froid dans les descentes et dans les parties tres exposées au vent. J'avais parié sur quelques averses et pas sur 2 averses de 2h30... Pourle ravito j'ai trouvé le bon rendement: 3 gorgées de boisson toutes les 12' et un gel à chaque heure pleine avec 3 gorgées d'eau: aucun trou en 6h30 de course, du jamais vu surtout à ce rythme
@Eric: merci, franchement c'est comme en descente: il y a plus de risque à y aller avec le frein à main que d'y aller franchement en foulées légères. En cas de problèmes comme les appuis sont courts il y a moyen de se récupérer.
par papadje
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- Ymeguira
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Toutes mes félicitations pour ta course Jérôme!!!! C'est vraiment un TRES TRES beau résultat au vue des conditions. Les voyants sont tous au vert pour la maxi race!
par Ymeguira
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