tour des glaciers de la vanoise (TGV)
- guillaume072
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tour des glaciers de la vanoise (TGV) a été créé par guillaume072
Posted il y a 14 ans 4 mois #53482
allez, c'est parti pour mon CR à chaud du TGV 2010.
tout d'abord, présentation rapide de ce trail:
72 kms pour 3800 m de D+ annoncé (en réel probablement plutot 75 kms et 4000 d+), fait en majorité à une altitude moyenne de 2300 m, avec passages à 2500m et 2800m. sentier de montagne, technique à souhait, beaucoup de neige dans les cols pour faciliter la chose , météo variant du très chaud, à l'orage de pluie dans les 2 dernières heures....
nous sommes un groupe d'une quinzaine de collègue, plus ou moins bien entrainé, mais super motivé !! le briefing de veille d'avant course pose tout de suite le décors, y a de la neige, pas de balisage (bien suivre le road book !!! ) et les barrières horaires seront inflexibles !! pression / pression !
la course est divisée en 5 parties, avec barrière à chaque refuge.
partie 1, montée du col de la vanoise
départ 5 h, à l'aube pour d'emblée 1100 m de D+ en 7 kms pour arriver au col, on fait un départ très prudent, bien calé dans le peloton, profitant des frontales, je fais une montée en douceur, les sensations sont bonnes, le lever de soleil sur le col et les glaciers est magnifique, on en prend plein les yeux ! arrivée au col en 1h40 environ, ça va le faire pour les barrières, mais je m'inquiète pour les plus lents des collègues qui vint d'entrée être juste !!! petit ravito très rapide, et ça repart pour la 2 section.
col de la vanoise, glacier de l'arpont 20ème kms
je fais le course avec éric, on gère comme prévu, marche en montée, course en descente et plat. Le sentier est en permanence escarpé et très humide, on traverse pas mal de torrents, ou on est obligé de mettre les pieds dans l'eau. on traverse aussi des pierriers très cassant, puis une montée déja fatiguante. il faut gérer !! la longue descente vers le refuge se passe bien, on est toujours dans le rythme. les traversée de neige parfois sécurisées permettent de se rafraichir les pieds on arrive au refuge dans le bon timing! ravito, on remplit le camel bag, je prend mon premier sandwich, et bois pas mal. et là premier doute, je vomis tout ce que j'ai pris ! satanés problèmes gastriques, ça va être long ! mais je récupère, et c'est repartit.
refuge de l'arpont, refuge plan sec, mi course
l'organisation nous avait dit que cette session serait plus roulante mais on a pas la même notion de roulant que les montagnards , 2 montées interminables, très rugueuses et éprouvantes. je suis dans le rouge et préfère monter à mon rythme. c'est dur et on est pas à la mi course. je suis déjà obligé de poser le cerveau ... je me force à manger mais ça passe très difficilement, au final, je mange très peu car sinon je vomis. rien ne passe ... les pensées négatives sont là, lancinantes et pernicieuses, il faut sortir la boite à moral. je sais que si je passe le ravito, celui d'après est aux alentous du 55ème, là ou il ne serait plus décent d'abandonner !! il faut tenir. on arrive enfin par un beau sentier balcon au refuge, déjà très émoussé. on rattrappe 2 potes pourtant bien plus fort que nous qui sont aussi épuisé. ça me rebooste à mort, finalement, je ne dois pas être si mal!! au ravito, il faut manger!! le coca passe pas mal, et je prend des Tucs (gateaux apéros). ça va bien aussi. allez les gars , on repart ! direction le col du barbier !!
refuge plan sec, refuge orgère 55ème
il commence à faire très chaud, la montée du col est éprouvantre pour moi, notre groupe se scinde et je me retrouve seul, ce qui n'est pas plus mal, je peux monter à ma main. c'est à dire très très doucement ! en revanche, les descentes et parties roulantes se passent pas mal, j'arrive à bien courir. c'est étrange de pas réussir à avancer en montée, et d'être pas si mal sur les parties roulantes. après ce col, descentes très très longue sur le refuge, on passe de 2500 à 1900m dans une descente très pentue et qui explose littéralement cuisses et genoux. je suis pas mal et je double pas mal de monde tout en gérant... j'arrive toujours pas à m'alimenter, je limite un peu les dégats avec des pattes de fruits. en revanche, je bois très régulièrement, et ça passe plutot bien ça... c'est ce qui me tient sous perfusion artificielle. une petite 1/2 heures de montée et on découvre enfin le refuge de l'orgère. il est 14h20, ça fait maintenant 9h20 de courses. le moral est revenu car je sais qu'il reste un très long col (chavière 2800m), et une descente interminable de 15kms pour redescendre à pralognan, 1400m d'altritude...je retrouve éric, qui est pas au mieux, mais qui repart devant moi.
refuge de l'orgère, arrivée
je sais maintenant que je vais finir, y plus le choix, y pas possibilté d'abandon!! dès le début je sens que ça va être très dur, je prend un rythme de sénateur, en décidant de faire une pause tous les 100 m de D+. ce qui marche pas mal jusqu'à 2200m, il reste encore 600m D+ à grimper, et là, terrible coup de bambou. souffrance terrible, j'avance plus, chaque pas est horrible. pas de douleur musculaire, mais plus de jus. au bout du rouleau. j'ai froid, envie de m'assoir et de pleurer (si si ! ). je suis au bout du bout. j'essaie de manger, je sais pertinement que je suis en hypo, mais je peux pas manger. je m'allonge 10' dans l'herbe. pas le choix, il faut repartir et monter! je suis à la limite du malaise, mais je continue, pas après pas. pour la première fois, je me dis que je devrais abandonner. mais c'est de toute façon impossible. et je sais qu'en haut du col il reste encore au moins 2 heures de descente ! mon père me dépasse et me dépose (à bientot 60 ans, il dépose le fiston !! je suis impressionné!!). un pote me rattrape, il est mal aussi. on débouche sur un plateau et là, vision d'horreur pour nous (magnifique pourtant au niveau visuel ! ) on voit le haut du col, perché 300 m D+ plus haut, dans la neige. ça parait être le bout du monde !!
les pieds dans la neige, pas après pas, tirant sur la corde laissée par les CRS, j'arrive en haut dans un état pitoyable. jamais autant puisé. maintenant descente dans les névés, parfois en luge sur les fesses, on arrive au refuge de peclet polset, je prend une soupe et arrive à prendre 2 gels coup de fouets. un 3ème pote arrive, on l'attend et on repars à 3 pour la descente. il reste 12 kms infinis, cependant, je suis mieux ! (vive la glycémie). on accélere progressivement sous l'orage et la pluis battante. le 3ème larron passe devant et accélère pour rattraper la féminine devant !! macho mais au moins c'est une motivation ! au final, ça permet de se remotiver. encore 6 kms, on continue d'accélérer, et il essaie de me lacher !! impossible, c'est hors de question, je m'accrocherais jusqu'au bout !! on rattrape pas mal de traileur à la dérive, 4 kms, 2 kms, dernier talus à passer, et enfin, enfin le village. tout le monde applaudit, ambiance super sympa, on a l'impression d'être acceuillis comme des aventuriers du bout du monde !!
passage de la ligne en 14h environ, à l'agonie, au final on finit juste derrière 2 autres collègues et seul mon père n'a pas coincé.
je suis exténué, je peux plus bouger, mais heureux, on est au bout !
bilan: mitigé, heureux d'avoir finit, mais du mal à encaisser. je suis vidé psychologiquement, et il faut vraiment que je règle ce problème récurrent de nutrition car il est hors de question de me relancer dans aussi dur dans ces conditions ! j'ai trop souffert ! mais sinon, quelle course! fantastique paysage, glaciers, torrents, lacs, cascades, bouquetin, marmottes, incomparable avec tout ce que j'ai fait en trail ....
frustré d'avoir explosé car j'ai perdu au moins 1h30, mais quel pied, je l'ai fait !!!!
voilà merci d'avoir eu le courage de lire ce roman !!!
merci à Gilles et à tous pour les conseils et les encouragements .... place au REPOS !!!
tout d'abord, présentation rapide de ce trail:
72 kms pour 3800 m de D+ annoncé (en réel probablement plutot 75 kms et 4000 d+), fait en majorité à une altitude moyenne de 2300 m, avec passages à 2500m et 2800m. sentier de montagne, technique à souhait, beaucoup de neige dans les cols pour faciliter la chose , météo variant du très chaud, à l'orage de pluie dans les 2 dernières heures....
nous sommes un groupe d'une quinzaine de collègue, plus ou moins bien entrainé, mais super motivé !! le briefing de veille d'avant course pose tout de suite le décors, y a de la neige, pas de balisage (bien suivre le road book !!! ) et les barrières horaires seront inflexibles !! pression / pression !
la course est divisée en 5 parties, avec barrière à chaque refuge.
partie 1, montée du col de la vanoise
départ 5 h, à l'aube pour d'emblée 1100 m de D+ en 7 kms pour arriver au col, on fait un départ très prudent, bien calé dans le peloton, profitant des frontales, je fais une montée en douceur, les sensations sont bonnes, le lever de soleil sur le col et les glaciers est magnifique, on en prend plein les yeux ! arrivée au col en 1h40 environ, ça va le faire pour les barrières, mais je m'inquiète pour les plus lents des collègues qui vint d'entrée être juste !!! petit ravito très rapide, et ça repart pour la 2 section.
col de la vanoise, glacier de l'arpont 20ème kms
je fais le course avec éric, on gère comme prévu, marche en montée, course en descente et plat. Le sentier est en permanence escarpé et très humide, on traverse pas mal de torrents, ou on est obligé de mettre les pieds dans l'eau. on traverse aussi des pierriers très cassant, puis une montée déja fatiguante. il faut gérer !! la longue descente vers le refuge se passe bien, on est toujours dans le rythme. les traversée de neige parfois sécurisées permettent de se rafraichir les pieds on arrive au refuge dans le bon timing! ravito, on remplit le camel bag, je prend mon premier sandwich, et bois pas mal. et là premier doute, je vomis tout ce que j'ai pris ! satanés problèmes gastriques, ça va être long ! mais je récupère, et c'est repartit.
refuge de l'arpont, refuge plan sec, mi course
l'organisation nous avait dit que cette session serait plus roulante mais on a pas la même notion de roulant que les montagnards , 2 montées interminables, très rugueuses et éprouvantes. je suis dans le rouge et préfère monter à mon rythme. c'est dur et on est pas à la mi course. je suis déjà obligé de poser le cerveau ... je me force à manger mais ça passe très difficilement, au final, je mange très peu car sinon je vomis. rien ne passe ... les pensées négatives sont là, lancinantes et pernicieuses, il faut sortir la boite à moral. je sais que si je passe le ravito, celui d'après est aux alentous du 55ème, là ou il ne serait plus décent d'abandonner !! il faut tenir. on arrive enfin par un beau sentier balcon au refuge, déjà très émoussé. on rattrappe 2 potes pourtant bien plus fort que nous qui sont aussi épuisé. ça me rebooste à mort, finalement, je ne dois pas être si mal!! au ravito, il faut manger!! le coca passe pas mal, et je prend des Tucs (gateaux apéros). ça va bien aussi. allez les gars , on repart ! direction le col du barbier !!
refuge plan sec, refuge orgère 55ème
il commence à faire très chaud, la montée du col est éprouvantre pour moi, notre groupe se scinde et je me retrouve seul, ce qui n'est pas plus mal, je peux monter à ma main. c'est à dire très très doucement ! en revanche, les descentes et parties roulantes se passent pas mal, j'arrive à bien courir. c'est étrange de pas réussir à avancer en montée, et d'être pas si mal sur les parties roulantes. après ce col, descentes très très longue sur le refuge, on passe de 2500 à 1900m dans une descente très pentue et qui explose littéralement cuisses et genoux. je suis pas mal et je double pas mal de monde tout en gérant... j'arrive toujours pas à m'alimenter, je limite un peu les dégats avec des pattes de fruits. en revanche, je bois très régulièrement, et ça passe plutot bien ça... c'est ce qui me tient sous perfusion artificielle. une petite 1/2 heures de montée et on découvre enfin le refuge de l'orgère. il est 14h20, ça fait maintenant 9h20 de courses. le moral est revenu car je sais qu'il reste un très long col (chavière 2800m), et une descente interminable de 15kms pour redescendre à pralognan, 1400m d'altritude...je retrouve éric, qui est pas au mieux, mais qui repart devant moi.
refuge de l'orgère, arrivée
je sais maintenant que je vais finir, y plus le choix, y pas possibilté d'abandon!! dès le début je sens que ça va être très dur, je prend un rythme de sénateur, en décidant de faire une pause tous les 100 m de D+. ce qui marche pas mal jusqu'à 2200m, il reste encore 600m D+ à grimper, et là, terrible coup de bambou. souffrance terrible, j'avance plus, chaque pas est horrible. pas de douleur musculaire, mais plus de jus. au bout du rouleau. j'ai froid, envie de m'assoir et de pleurer (si si ! ). je suis au bout du bout. j'essaie de manger, je sais pertinement que je suis en hypo, mais je peux pas manger. je m'allonge 10' dans l'herbe. pas le choix, il faut repartir et monter! je suis à la limite du malaise, mais je continue, pas après pas. pour la première fois, je me dis que je devrais abandonner. mais c'est de toute façon impossible. et je sais qu'en haut du col il reste encore au moins 2 heures de descente ! mon père me dépasse et me dépose (à bientot 60 ans, il dépose le fiston !! je suis impressionné!!). un pote me rattrape, il est mal aussi. on débouche sur un plateau et là, vision d'horreur pour nous (magnifique pourtant au niveau visuel ! ) on voit le haut du col, perché 300 m D+ plus haut, dans la neige. ça parait être le bout du monde !!
les pieds dans la neige, pas après pas, tirant sur la corde laissée par les CRS, j'arrive en haut dans un état pitoyable. jamais autant puisé. maintenant descente dans les névés, parfois en luge sur les fesses, on arrive au refuge de peclet polset, je prend une soupe et arrive à prendre 2 gels coup de fouets. un 3ème pote arrive, on l'attend et on repars à 3 pour la descente. il reste 12 kms infinis, cependant, je suis mieux ! (vive la glycémie). on accélere progressivement sous l'orage et la pluis battante. le 3ème larron passe devant et accélère pour rattraper la féminine devant !! macho mais au moins c'est une motivation ! au final, ça permet de se remotiver. encore 6 kms, on continue d'accélérer, et il essaie de me lacher !! impossible, c'est hors de question, je m'accrocherais jusqu'au bout !! on rattrape pas mal de traileur à la dérive, 4 kms, 2 kms, dernier talus à passer, et enfin, enfin le village. tout le monde applaudit, ambiance super sympa, on a l'impression d'être acceuillis comme des aventuriers du bout du monde !!
passage de la ligne en 14h environ, à l'agonie, au final on finit juste derrière 2 autres collègues et seul mon père n'a pas coincé.
je suis exténué, je peux plus bouger, mais heureux, on est au bout !
bilan: mitigé, heureux d'avoir finit, mais du mal à encaisser. je suis vidé psychologiquement, et il faut vraiment que je règle ce problème récurrent de nutrition car il est hors de question de me relancer dans aussi dur dans ces conditions ! j'ai trop souffert ! mais sinon, quelle course! fantastique paysage, glaciers, torrents, lacs, cascades, bouquetin, marmottes, incomparable avec tout ce que j'ai fait en trail ....
frustré d'avoir explosé car j'ai perdu au moins 1h30, mais quel pied, je l'ai fait !!!!
voilà merci d'avoir eu le courage de lire ce roman !!!
merci à Gilles et à tous pour les conseils et les encouragements .... place au REPOS !!!
par guillaume072
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- gilles84 [Dum Spiro Spero]
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Réponse de gilles84 [Dum Spiro Spero] sur le sujet Re:tour des glaciers de la vanoise (TGV)
Posted il y a 14 ans 4 mois #53483
BRAVO .... mais vous etes des malades quand même hein
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- sorinvincent
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Réponse de sorinvincent sur le sujet Re:tour des glaciers de la vanoise (TGV)
Posted il y a 14 ans 4 mois #53489
toi qui aime te faire mal,tu as été servi !!!!
Sa fait un peu peur ce genre de course, c'est une perpétuel remise en question de soit
en tout cas bravo,sa mérite tout les respects de finir ce genre de course................
Sa fait un peu peur ce genre de course, c'est une perpétuel remise en question de soit
en tout cas bravo,sa mérite tout les respects de finir ce genre de course................
par sorinvincent
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- christine57
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Réponse de christine57 sur le sujet Re:tour des glaciers de la vanoise (TGV)
Posted il y a 14 ans 4 mois #53491
je m'y voyais déjà...........................j'ai tout reconnu par contre en courant............BRAVO !!!!!!!!!!
t as pu qu'à faire celle de Pralognan
t as pu qu'à faire celle de Pralognan
par christine57
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Réponse de bidoubay sur le sujet Re:tour des glaciers de la vanoise (TGV)
Posted il y a 14 ans 4 mois #53494
bravo c'est vraiment impressionnant ce genre de course
bravo également pour ton beau récit
je pense que tu dois avoir les jambes "en bois" aujourd'hui, alors bonne recup à toi
bravo également pour ton beau récit
je pense que tu dois avoir les jambes "en bois" aujourd'hui, alors bonne recup à toi
par bidoubay
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- gilles
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Réponse de gilles sur le sujet Re:tour des glaciers de la vanoise (TGV)
Posted il y a 14 ans 4 mois #53515
Salut Guillaume
J'imagine tout à fait le calvaire que tu as du connaitre lors de la dernière ascension.
A la lecture de ton CR, je me disais " c'est pour quand l'hypo" ? Et elle intervient au plus mauvais moment...
Sur de telles épreuves, pouvoir s'alimenter correctement est vital.
J'ai pas souvenir que ce type de problème est recurrent chez toi...Ca t'arrive aussi lors de tes SL ou SL+rando ?
En tout cas un immense BRAVO pour ton courage
J'imagine tout à fait le calvaire que tu as du connaitre lors de la dernière ascension.
A la lecture de ton CR, je me disais " c'est pour quand l'hypo" ? Et elle intervient au plus mauvais moment...
Sur de telles épreuves, pouvoir s'alimenter correctement est vital.
J'ai pas souvenir que ce type de problème est recurrent chez toi...Ca t'arrive aussi lors de tes SL ou SL+rando ?
En tout cas un immense BRAVO pour ton courage
Last Edit:il y a 14 ans 4 mois
par gilles
Dernière édition: il y a 14 ans 4 mois par gilles.
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