Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top…
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Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top… a été créé par AtomHeart
Posted il y a 12 ans 2 mois #182815
… if you want to rock’n’roll.
"La route est longue jusqu'au sommet..." . Que Bon Scott – grand montagnard devant l’éternel – soit entendu, je crois bien qu’il avait raison.
Tout a commencé samedi en fin de journée à l’arrivée sur place par une reconnaissance complète du parcours en voiture en compagnie de la famille AtomHeart (Papatomheart mon habituel chauffeur, mamatomheart dont c’était l’anniversaire hier et missatomheart, mon adorable chérie ). Le temps est franchement pas terrible et passé Gourette, nous nous cognons au plafond nuageux – attention à la tête – et roulons au milieu des cumulo-nimbus. Le Qubo Trekking de mon père, déjà pas un foudre de guerre sur le plat, avance à l’allure d’un escargot fumeur asthmatique au milieu de l’Himalaya. Au moins, cela laisse le temps de voir les panneaux… Et vas-y que je t’annonce des pentes à 11% par ci, 13% par là… Je ne suis pas totalement surpris de ces difficultés qui sont conformes aux profilés que j’avais déjà regardés mais s’en rendre compte « pour de vrai », ça fait drôle. Ou pas.
Je savais que ma préparation en termes de dénivelé avalé était « légère » pour ce type de course – dans ma Gironde natale, je peux revendiquer un authentique exploit lorsque j’arrive à sortir 150m de D+ sur 10km – et la découverte du tracé en conditions réelles n’en est que la confirmation. Mais je conserve ma bonne humeur en me disant qu’une ascension « prudente » devrait me permettre d’aller au bout. C’est mon seul objectif.
Ceci étant fait, nous rejoignons notre hôtel aux Eaux Bonnes, qui se trouve environ au tiers de la montée de l’Aubisque . Alors, les Eaux Bonnes, comment vous expliquer… C’est une station thermale qui devait être particulièrement dynamique en 1953… Et depuis, bah, je me demande s’ils savent qu’un certain Neil Armstrong, un jour, a marché sur la Lune, et que ce même homme, vient de plonger l’humanité tout entière dans une profonde tristesse suite à son décès en ce 25 août 2012. Si je leur disais, je pense qu’ils ne me croiraient pas. Pas tant d’ailleurs qu’ils puissent douter qu’un type ait pu se promener sur la Lune. Mais qu’on soit en 2012.
Il n’y a qu’à voir notre chambre d’hôtel pour comprendre que rien n’a bougé ici – pas même les toiles d’araignées – depuis l’extinction des dinosaures. Heureusement que cette impression mitigée est rattrapée par l’hospitalité de l’hôtelier, aussi aimable qu’un croque-mort dépressif, qui répond à peine quand on lui dit bonjour, et balance les clés sans autre forme de procès qu’un lapidaire « 2ème étage !». Et je vous passe le règlement intérieur affiché dans les chambres, digne de la grande époque de l’union soviétique. Vraiment, si vous voulez partir en vacances là-bas, vous ne regretterez pas de rentrer à la maison!
Je me résigne donc à ce choc des culturo-spatio-temporel et décide de retrouver la civilisation en appelant Fred . Malheureusement, comme il me l’avait déjà écrit dans un précédent message, son portable ne capte pas entre « les immenses pierres qui servent de murs ». Je me suis dit que pour un village qui vit dans la préhistoire, loger les gens dans des grottes, c’est cohérent. Nous parvenons tout de même à convenir par texto de nous retrouver le lendemain à 7h15 pour redescendre ensemble au départ à Laruns.
Et donc la nuit se passe…
Lentement.
Mais le réveil finit tout de même par sonner à 5h30.
Et rapidement, l’heure de retrouver Fred arrive.
Cela me fait vraiment plaisir de le retrouver. Nous ne nous étions pas revus depuis le semi de Lège au mois de mai. Nous discutons de choses et d’autres et voyons les bénévoles installer les ravitaillements durant notre descente sur Laruns. Nous arrivons rapidement sur place pour assister à 7h45 au départ des marcheurs, des handisports et… des échassiers (aucune cigogne au départ cependant).
Après nous être changés et échauffés notamment grâce à Cathy, notre coach fitness du jour, 8h30 et l’heure de notre départ arrivent. Avant de donner le coup de feu de départ, l’organisateur nous explique toutes les bonnes raisons pour lesquelles nous pourrions être exclus de la course. Et elles sont nombreuses. Mais l’envie d’en découdre est la plus forte et je ne l’écoute que d’une oreille distraite. Même le fameux « Vous devrez être arrivés à Gourette avant 10h30 », repris en chœur par les coureurs habitués et en canon par quelques autres, ne m’émeut pas plus que ça. Ca devrait pourtant.
Coup de feu ! Ca y est, nous partons pour 18,7 km et surtout pour une montée de 1204 m. Détail amusant, la course est filmée et qu’il y a des motos pour accompagner les coureurs… Et là, je le jure sur la tête d’Armstrong – Neil donc, pas l’autre pharmacie sur roues dont le scalp ne vaut plus grand-chose – que c’est la vérité vraie. Promis, juré, craché. Croix de bois, croix de fer… Je souris en imaginant Nelson Monfort à l’arrivée…
Après environ 500 mètres, Fred me salue et part faire sa course, plus loin devant. Trop loin devant pour moi. Durant toute la traversée de Laruns, soit 2 kilomètres en descente - avant de mieux remonter – je reste raisonnable. Quitte à me faire doubler par tout le peloton. Sans exception. Lorsqu’arrive l’Aubisque, je n’ai derrière moi qu’une file interminable de voitures. Il faut bien un dernier. Cette fois, c’est mon tour.
Pas pour longtemps. Le début de l’ascension se passe merveilleusement bien. J’ai de très bonnes sensations. Dès les premiers kilomètres, je commence à rattraper quelques coureurs un peu trop impétueux. Il y a notamment cette jeune triathlète espoir prénommée Mélody, qui fait partie du Team Kalenji et qui peine dès le 5ème kilomètres. Je lui demande si elle va bien et elle me répond par l’affirmative en emboîtant ma foulée. Je la lâcherai au ravitaillement des Eaux Bonnes mais découvrirai une fois arrivé que cette valeureuse coureuse a terminé dernière classée en 2h49.
Avance rapide sur le déroulé de la course, parce qu'à part dire que ça monte et ça tourne, il n'y a rien à ajouter, hormis peut-être quelques rencontres avec des gens que je dépasse en disant "et moi qui croyais que c'était la descente de l'Aubisque!" . Ca ne les a pas tous fait rire.
J’avance bien jusqu’au 13ème kilomètre et le fameux paravalanche annonçant l’arrivée prochaine à Gourette. Cette pente là, elle fait mal. J’ai un muscle, dont j’avais jusque là uniquement entendu parler comme une légende et qui commence à me prouver son existence. Quadriceps, c’est son petit nom. Au prix de gros effort, j’arrive tout de même au ravitaillement du 14ème. Gourette. Et je repense à ce que disait l’organisateur au départ : « Vous devrez être arrivés à Gourette avant 10h30 » . Petit coup d’œil à ma montre : 10:22. C’est pas passé loin.
Dans une certaine forme d’inconscience, je suis convaincu de pouvoir arriver en haut de l’Aubisque en moins de 2h30. Mais le plus dur reste à venir.
La route est longue jusqu’au sommet… mais je veux du rock’n’roll. Alors je me repasse cette musique en boucle pour les 4 interminables derniers kilomètres. Mon quadriceps droit commence à prendre feu et je dois me résoudre à adopter une allure en marche rapide. La pente fait mal et jusqu’aux bien nommées crêtes, je lutte pour ne pas partir à reculons. Que c'est long! Que c'est haut ! Mais j'arrivé tout de même à me traîner jusqu’à l’arrivée, bien encouragé par mes parents et ma chérie qui m’attendent à quelques centaines de mètres du portique rouge de la grande délivrance… Après 2h36 d'effort et plus de 20 minutes après Fred.
Je ne sais encore dire si cela en valait la peine. En tout cas, je pense que je ne reviendrai pas sur cette course. Non que le parcours ou l'organisation m'aient déplu. Au contraire et j'ajouterai qu'en plus d'être efficaces, les bénévoles qui ont participé à la réussité de cette montée de l'Aubisque étaient tous charmants. Mais le coté intransigeant avec des barrières horaires très strictes est contraire à l'idée que je me fais de la course à pied. A quoi bon autant d'élitisme - que j'assimile personnellement à une certaine forme de mépris - pour une course que j'imaginais au départ uniquement animée par la convivialité et le plaisir de courir. A mon sens, le chrono, à part pour ceux qui jouent la gagne, ne doit pas être une variable d'ajustement pour décider qui doit ou pas aller au bout de son défi... Nous avons tous notre Everest. Il appartient à chacun de le respecter.
Qu’il est dur de porter haut les couleurs du Team CCAP à 1709 m d’altitude...
Comme le port-salut, c'est marqué dessus.
Chèrement acquise, la vue depuis l’Aubisque valait bien quelques litres de sueur !
Debriefing au sommet –dans tous les sens du terme ! – avec Fred : « Pikes Peak, c’est pour les fillettes »
"La route est longue jusqu'au sommet..." . Que Bon Scott – grand montagnard devant l’éternel – soit entendu, je crois bien qu’il avait raison.
Tout a commencé samedi en fin de journée à l’arrivée sur place par une reconnaissance complète du parcours en voiture en compagnie de la famille AtomHeart (Papatomheart mon habituel chauffeur, mamatomheart dont c’était l’anniversaire hier et missatomheart, mon adorable chérie ). Le temps est franchement pas terrible et passé Gourette, nous nous cognons au plafond nuageux – attention à la tête – et roulons au milieu des cumulo-nimbus. Le Qubo Trekking de mon père, déjà pas un foudre de guerre sur le plat, avance à l’allure d’un escargot fumeur asthmatique au milieu de l’Himalaya. Au moins, cela laisse le temps de voir les panneaux… Et vas-y que je t’annonce des pentes à 11% par ci, 13% par là… Je ne suis pas totalement surpris de ces difficultés qui sont conformes aux profilés que j’avais déjà regardés mais s’en rendre compte « pour de vrai », ça fait drôle. Ou pas.
Je savais que ma préparation en termes de dénivelé avalé était « légère » pour ce type de course – dans ma Gironde natale, je peux revendiquer un authentique exploit lorsque j’arrive à sortir 150m de D+ sur 10km – et la découverte du tracé en conditions réelles n’en est que la confirmation. Mais je conserve ma bonne humeur en me disant qu’une ascension « prudente » devrait me permettre d’aller au bout. C’est mon seul objectif.
Ceci étant fait, nous rejoignons notre hôtel aux Eaux Bonnes, qui se trouve environ au tiers de la montée de l’Aubisque . Alors, les Eaux Bonnes, comment vous expliquer… C’est une station thermale qui devait être particulièrement dynamique en 1953… Et depuis, bah, je me demande s’ils savent qu’un certain Neil Armstrong, un jour, a marché sur la Lune, et que ce même homme, vient de plonger l’humanité tout entière dans une profonde tristesse suite à son décès en ce 25 août 2012. Si je leur disais, je pense qu’ils ne me croiraient pas. Pas tant d’ailleurs qu’ils puissent douter qu’un type ait pu se promener sur la Lune. Mais qu’on soit en 2012.
Il n’y a qu’à voir notre chambre d’hôtel pour comprendre que rien n’a bougé ici – pas même les toiles d’araignées – depuis l’extinction des dinosaures. Heureusement que cette impression mitigée est rattrapée par l’hospitalité de l’hôtelier, aussi aimable qu’un croque-mort dépressif, qui répond à peine quand on lui dit bonjour, et balance les clés sans autre forme de procès qu’un lapidaire « 2ème étage !». Et je vous passe le règlement intérieur affiché dans les chambres, digne de la grande époque de l’union soviétique. Vraiment, si vous voulez partir en vacances là-bas, vous ne regretterez pas de rentrer à la maison!
Je me résigne donc à ce choc des culturo-spatio-temporel et décide de retrouver la civilisation en appelant Fred . Malheureusement, comme il me l’avait déjà écrit dans un précédent message, son portable ne capte pas entre « les immenses pierres qui servent de murs ». Je me suis dit que pour un village qui vit dans la préhistoire, loger les gens dans des grottes, c’est cohérent. Nous parvenons tout de même à convenir par texto de nous retrouver le lendemain à 7h15 pour redescendre ensemble au départ à Laruns.
Et donc la nuit se passe…
Lentement.
Mais le réveil finit tout de même par sonner à 5h30.
Et rapidement, l’heure de retrouver Fred arrive.
Cela me fait vraiment plaisir de le retrouver. Nous ne nous étions pas revus depuis le semi de Lège au mois de mai. Nous discutons de choses et d’autres et voyons les bénévoles installer les ravitaillements durant notre descente sur Laruns. Nous arrivons rapidement sur place pour assister à 7h45 au départ des marcheurs, des handisports et… des échassiers (aucune cigogne au départ cependant).
Après nous être changés et échauffés notamment grâce à Cathy, notre coach fitness du jour, 8h30 et l’heure de notre départ arrivent. Avant de donner le coup de feu de départ, l’organisateur nous explique toutes les bonnes raisons pour lesquelles nous pourrions être exclus de la course. Et elles sont nombreuses. Mais l’envie d’en découdre est la plus forte et je ne l’écoute que d’une oreille distraite. Même le fameux « Vous devrez être arrivés à Gourette avant 10h30 », repris en chœur par les coureurs habitués et en canon par quelques autres, ne m’émeut pas plus que ça. Ca devrait pourtant.
Coup de feu ! Ca y est, nous partons pour 18,7 km et surtout pour une montée de 1204 m. Détail amusant, la course est filmée et qu’il y a des motos pour accompagner les coureurs… Et là, je le jure sur la tête d’Armstrong – Neil donc, pas l’autre pharmacie sur roues dont le scalp ne vaut plus grand-chose – que c’est la vérité vraie. Promis, juré, craché. Croix de bois, croix de fer… Je souris en imaginant Nelson Monfort à l’arrivée…
Après environ 500 mètres, Fred me salue et part faire sa course, plus loin devant. Trop loin devant pour moi. Durant toute la traversée de Laruns, soit 2 kilomètres en descente - avant de mieux remonter – je reste raisonnable. Quitte à me faire doubler par tout le peloton. Sans exception. Lorsqu’arrive l’Aubisque, je n’ai derrière moi qu’une file interminable de voitures. Il faut bien un dernier. Cette fois, c’est mon tour.
Pas pour longtemps. Le début de l’ascension se passe merveilleusement bien. J’ai de très bonnes sensations. Dès les premiers kilomètres, je commence à rattraper quelques coureurs un peu trop impétueux. Il y a notamment cette jeune triathlète espoir prénommée Mélody, qui fait partie du Team Kalenji et qui peine dès le 5ème kilomètres. Je lui demande si elle va bien et elle me répond par l’affirmative en emboîtant ma foulée. Je la lâcherai au ravitaillement des Eaux Bonnes mais découvrirai une fois arrivé que cette valeureuse coureuse a terminé dernière classée en 2h49.
Avance rapide sur le déroulé de la course, parce qu'à part dire que ça monte et ça tourne, il n'y a rien à ajouter, hormis peut-être quelques rencontres avec des gens que je dépasse en disant "et moi qui croyais que c'était la descente de l'Aubisque!" . Ca ne les a pas tous fait rire.
J’avance bien jusqu’au 13ème kilomètre et le fameux paravalanche annonçant l’arrivée prochaine à Gourette. Cette pente là, elle fait mal. J’ai un muscle, dont j’avais jusque là uniquement entendu parler comme une légende et qui commence à me prouver son existence. Quadriceps, c’est son petit nom. Au prix de gros effort, j’arrive tout de même au ravitaillement du 14ème. Gourette. Et je repense à ce que disait l’organisateur au départ : « Vous devrez être arrivés à Gourette avant 10h30 » . Petit coup d’œil à ma montre : 10:22. C’est pas passé loin.
Dans une certaine forme d’inconscience, je suis convaincu de pouvoir arriver en haut de l’Aubisque en moins de 2h30. Mais le plus dur reste à venir.
La route est longue jusqu’au sommet… mais je veux du rock’n’roll. Alors je me repasse cette musique en boucle pour les 4 interminables derniers kilomètres. Mon quadriceps droit commence à prendre feu et je dois me résoudre à adopter une allure en marche rapide. La pente fait mal et jusqu’aux bien nommées crêtes, je lutte pour ne pas partir à reculons. Que c'est long! Que c'est haut ! Mais j'arrivé tout de même à me traîner jusqu’à l’arrivée, bien encouragé par mes parents et ma chérie qui m’attendent à quelques centaines de mètres du portique rouge de la grande délivrance… Après 2h36 d'effort et plus de 20 minutes après Fred.
Je ne sais encore dire si cela en valait la peine. En tout cas, je pense que je ne reviendrai pas sur cette course. Non que le parcours ou l'organisation m'aient déplu. Au contraire et j'ajouterai qu'en plus d'être efficaces, les bénévoles qui ont participé à la réussité de cette montée de l'Aubisque étaient tous charmants. Mais le coté intransigeant avec des barrières horaires très strictes est contraire à l'idée que je me fais de la course à pied. A quoi bon autant d'élitisme - que j'assimile personnellement à une certaine forme de mépris - pour une course que j'imaginais au départ uniquement animée par la convivialité et le plaisir de courir. A mon sens, le chrono, à part pour ceux qui jouent la gagne, ne doit pas être une variable d'ajustement pour décider qui doit ou pas aller au bout de son défi... Nous avons tous notre Everest. Il appartient à chacun de le respecter.
Qu’il est dur de porter haut les couleurs du Team CCAP à 1709 m d’altitude...
Comme le port-salut, c'est marqué dessus.
Chèrement acquise, la vue depuis l’Aubisque valait bien quelques litres de sueur !
Debriefing au sommet –dans tous les sens du terme ! – avec Fred : « Pikes Peak, c’est pour les fillettes »
Last Edit:il y a 12 ans 2 mois
par AtomHeart
Dernière édition: il y a 12 ans 2 mois par AtomHeart.
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- olivier_g
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Réponse de olivier_g sur le sujet Re: Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top…
Posted il y a 12 ans 2 mois #182818
Encore une fois bravo Atom! Ca doit être bien difficile ce genre de course!
par olivier_g
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- RoadRunnerArNaoned
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Réponse de RoadRunnerArNaoned sur le sujet Re: Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top…
Posted il y a 12 ans 2 mois #182819
Mon Dieu que c'est haut...
Et tu l'as fait . d'une traite et sans la loco d'Ouille: Bravo.
Heureusement que tu ne t'entraines pas en Beauce t'aurais été obligé de faire la causette ac Melody jusqu'au sommet de ta douleur...
Bon repos à tes quadris
Merci pour ce CR et ces p'tites notes d'humours dans un des trou du de la Belle France intemporelle.
Et tu l'as fait . d'une traite et sans la loco d'Ouille: Bravo.
Heureusement que tu ne t'entraines pas en Beauce t'aurais été obligé de faire la causette ac Melody jusqu'au sommet de ta douleur...
Bon repos à tes quadris
Merci pour ce CR et ces p'tites notes d'humours dans un des trou du de la Belle France intemporelle.
Last Edit:il y a 12 ans 2 mois
par RoadRunnerArNaoned
Dernière édition: il y a 12 ans 2 mois par RoadRunnerArNaoned.
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- Seb35
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Réponse de Seb35 sur le sujet Re: Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top…
Posted il y a 12 ans 2 mois #182826
Bravo pour ta course !
Et que tes récits sont plaisants à lire !
Jolie conclusion, tu as atteint ton Everest... encore bravo !
Et que tes récits sont plaisants à lire !
Jolie conclusion, tu as atteint ton Everest... encore bravo !
par Seb35
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- bert
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Réponse de bert sur le sujet Re: Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top…
Posted il y a 12 ans 2 mois #182841
Une course originale que je ne connaissais pas. Merci pour la découverte, ton chouette CR et bravo pour ta course.
par bert
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- dede la frite
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Réponse de dede la frite sur le sujet Re: Montée de l'Aubisque : It’s a long way to the top…
Posted il y a 12 ans 2 mois #182843
Question bête: vous avez couru sur la route du col ?
Merci pour ton CR
Merci pour ton CR
par dede la frite
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