Sabrina : le suivi champêtre !

oeufmollet écrit:

Mais surtout le repos.
Périostite = overdose ...
Tu bois trop d'alcool ? t'as la tete qui tourne et tu vomis
Tu bois trop de café ? t'es excitée comme une puce et tu t'énerves
Tu cours trop ? tu commences par une périostite puis tu te fractures les tibias.
Ahlala, ça fait 15000 fois au moins qu'on le dit sur le forum, que douleur aux tibias = trop d'entrainement, toi aussi tu veux pas l'entendre
Tu ferais mieux de te coller devant Roland Garros à la téloche avec un paquet de Granolas (moi c'était PiM's aujourd'hui, faut changer)

Pour l'instant, elles ne sont pas là, mais je sens qu'elles me surveillent. A la différence de la dernière fois où je pensais que c'était des courbatures, là, je sais que ce sont des périostites et qu'elles attendent que j'en fassent trop, tout en me disant "attention, on est pas loin" lorsque j'en fais trop.

Sourd, sourd... Nos défauts devraient nous donner une qualité : l'indulgence pour les défauts des autres.

PS : pour le repos, les doses de médocs qui je prends me scotchent déjà pas mal devant l'ordi à ne pas bouger ou à dormir...

jeanmarc écrit:

+1 avec tous le monde

le repos fait partie de la CAP

Finalement c'est peut être le concept le + compliqué à intégrer ça.....

T'en connais beaucoup qui font une semaine COOL par mois ? parce que moi j'en connais pas bcp, la plupart ralentit quand les courbatures ne disparaissent plus assez vite ou se transforment en vraies douleurs ... donc je passe parfois pour une chochotte mais au moins j'ai jamais eu de blessure m'empechant de courir pendant plusieurs mois

Je vois plutôt les choses comme ça : on acquiert des indicateurs avec l'expérience et on s'en sert pour être à la limite du surentraînement, ou pas d'ailleurs. Et dans certains secteurs (comme l'endurance), je parie même que viser le surentraînement peut-être une bonne chose. Mais je manque de lectures, ce n'est qu'une intuition.

Sinon, oui, t'es une chochotte !

oh l'autre eh

oui pour le surentrainement, c'est une technique qui peut être utilisée, mais c'est un truc précis, ça doit passer par des périodes où on continue à bosser au lieu de récupérer, mais il y a toujours des phases de récup. Enfin ça me semble un peu dangereux à notre niveau, sans coach personnel, etc...

Toute façon, quand qq'un du club me traite de chochotte parce que je veux pas faire une sortie XXL avec côte, je réponds que j'ai jamais été blessé en 4 ans, MOAAAA (oui j'insiste bien sur le MOI parce que je sais qu'il y a une proba importante que l'autre l'ait été, niark)

Sabrina Gump écrit:

Je vois plutôt les choses comme ça : on acquiert des indicateurs avec l'expérience et on s'en sert pour être à la limite du surentraînement, ou pas d'ailleurs. Et
!

Ca c'est le but d'un bon plan. Mais le surentrainement ou ne le tutoie pas toute l'année. Et surtout pas sans objectif précis, trop risqué. On ne progresse pas en permanence ni de maniere linéaire. Il faut savoir y aller cool pour pouvoir augmenter le rythme au moment voulu, à toujours être ã la limite on ne peux plus accélerer quand c'est nécessaire.