Semi-marathon sans préparation... Le résultat.

Salut, à tous,

Dimanche, je cours le semi-marathon de Phalempin pour lequel je m'étais mis un objectif de 1H40 à la base....

Seulement, voilà. J'ai terminé le marathon de la route du Louvre le 11 mai 2014 et depuis, mon emploi du temps m'a carrément empêché de me préparer.

Bref, depuis ma préparation marathon, j'ai 6 sorties à mon actif pour en gros 60km. La majorité des séances étant des EF ou des AS21.

En gros... ça craint et je sais bien que l'objectif initial est hors de portée.

D'après vous, l'endurance acquise pour la prépa marathon va me permettre de tenir le semi avec une FC de 90% à 92% ou pas ?

Sachant que j'ai couru le marathon à 86% de moyenne.

Essaye A part ca je ne peux rien te dire de plus...

Bon, alors, pour ceux que ça intéresse, j'ai couru le semi-marathon de Phalempin pour le fun sans chercher à taquiner le chrono.

5 km à moins de 90% fcm
Le reste à moins de 92% fcm

Fréquence moyenne sur toute la course 91% fcm.

En théorie, j'aurais du pousser la machine au 16° km pour grappiller des secondes, mais vu le manque de préparation et le fait que je savais qu'il ne m'était pas possible de passer sous les 1H40, j'ai décidé de la jouer cool sans chercher le résultat.

Ca nous donne donc un temps de 01H46'42" en tenant compte de la cocasserie que j'ai du m'arrêter à un passage à niveau pour laisser passer 2 trains (La classe pour une course FFA...).

Voilà, je ne suis ni satisfait, ni déçu, je l'ai couru pour le plaisir et dans tous les cas j'ai amélioré ma vieille référence de 2000 qui était de 1H52'.

Décidément ils n'en finissent pas de faire parler d'eux en ce moment à la SNCF

Bravo Nicolas, joli chrono pour l'avoir couru en mode freestyle ... et avec ce manque de séances en prépa
Tu estimes à combien de minutes le temps perdu pour le passage des 2 trains ?

Difficile à dire pour le temps perdu, vu qu'en fait, j'ai vu la barrière se baisser et j'ai ralentis la cadence, pour éviter de devoir m'arrêter, mais que j'ai du me stopper quand même.

Disons que outre le fait de perdre du temps, devoir se relance casse les jambes. D'autant que c'était au 18° km.

C'est clair que c'est difficile de repartir après un tel arrêt plus ou moins prolongé.
C'est comme lors des arrêts aux ravitos ... sauf qu'il n'y a pas de ravito dans ce cas et que ça stresse plus qu'autre chose.
C'est fou quand-même que le parcours traverse une voie de chemin de fer en exploitation

Bonne récup en tous cas