pubalgie

Salut,
Je soufre depuis le mois de mars d'une pubalgie.
Jusqu'à présent, elle ne me gênait pas pour courir, j'ai même fait 2 marathon avec.
Après le second marathon, j'ai coupé pendant un mois.
Mais depuis que j'ai repris (cela fait 2 semaines), je ressent vraiment une douleur qui commence à se faire vive à chaque foulée... et je ne force pas !
Je fais de la kiné (assouplissements + gainage abdominal) depuis 4 mois à raison de 2 fois par semaine, mais rien n'y fait.
Quelqu'un pourrait-il me donner quelques conseils pour sortir de cet impasse ?
Merci

salut olive!
je souffre de la meme chose que toi depuis maintenant presque un an. J'ai fait le semi marathon de PARIS avec alors que je venais de faire 3 mois de kiné. Je n'avais plus de problème depuis quelque mois et voila que ça recommence. Mon kiné m'a expliqué que j'avais une faiblesse quelque part, un traumatisme antèrieur de plusieurs années qui en était la cause. Je suis un ancien footeux.
Si tu vas sur médecine du sport .com on t'explique que chaque pubalgie est différente, qu'elle ne t'empeche pas de faire du sport mais qu'a un certain moment.....ben il faut du repos, étirement et renforcement des adducteurs. Il conseille le natation. En tous cas une pubalgie c'est forcémént un surmenage sportif
Pour ma part je continue a courir avec comme objectif un marathon en mai 2011. Bon courage a toi

Tu continues à faire d'autres activités sportives en plus de la course à pied ?
Car la pubalgie est une blessure très rare chez le coureur à pied

En plus de la course à pied (3 ou 4 entrainements par semaine), je faisais un peu de foot, une fois par semaine seulement et en loisirs avec des "vieux" de mon age et plus, donc cela reste pépère. Même si je ne ménageais pas mes efforts, je ne suis pas footeux, donc pas de grosses frappes de ma part.
J'ai toutefois arrêté le foot quand la douleur à commencé à être gênante. Mais maintenant sur les petits footing, même après une pause d'un mois sans courir après le marathon du Médoc, j'ai l'impression que la douleur est plus importante.

Pendant les périodes de récupération (après un marathon) je fais un peu de vélo, pour garder la forme.