Competition vs loisir
- dede la frite
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A la lecture de certains récits de courses et de certains suivi de membres du site, j'ai eu envie d'écrire ce qui va suivre.
On lit de plus de gens qui ont du mal à se motiver pour aller courir et à suivre la rigueur d'un plan.
On lit de ci de là que des gens n'adhèrent pas à ce qu'ils appellent de l'élitisme (barriere horaire par exemple lors de la montée de l'Aubisque).
On lit que certains n'acceptent pas certains conseils qui poussent à progresser.
Bientot on lira peut être que certains ne veulent plus être chronométrés.
Pour moi, il s'agit ici de faire une distinction entre compétition (et ce que cela implique) et le loisir.
Tout le monde dit ici qu'il court pour le plaisir et c'est d'ailleurs une des bases de ce site.
Mais il n'est dit nulle part sur ce site que pour courir il faut absolument faire le 10km de telle ville, le semi ou le marathon de je ne sais où.
Courir reste une activité accessible à tous.
On peut courir partout, quand on veut, avec qui on veut.
Ce que je veux dire c'est que la course à pieds n'est pas nécessairement une compétition.
Certains adorent le football mais sans jamais prendre de licence et jouer un championnat en club (ce qui inclut une certaine rigueur, un réglement à suivre, une discipline à avoir etc...).
Pour la CAP c'est pareil à mon avis.
Aujourd'hui la mode du running "inclus" de faire des courses mais personne ne nous en oblige.
Beaucoup de gens arrivés à la CAP il y a des années ne voient pas necessairement l'intéret de faire de la "competition". Ils n'en trouvent pas l'interet et ce n'est pas lié à leur passion.
Sur le forum, on voit de moins en moins la notion de plaisir et aussi de moins en moins la notion de compétition.
On est le cul entre 2 chaises.
Je pense que si on fait de la compétition, on en accepte les règles parfois "exigeantes" (minima pour le Marathon de Boston, systeme de courses qualificatives pour l'UTMB...) qui font la renommée des grandes courses.
Mais, on peut aussi tres bien faire 42.2km sans prendre un dossard. On peut monter l'Aubisque ou faire le tour du Mont Blanc sans avoir à subir une quelconque organisation.
Tout ça pour replacer le plaisir au centre de tout ça et pour éviter de se dégouter de courir.
On lit de plus de gens qui ont du mal à se motiver pour aller courir et à suivre la rigueur d'un plan.
On lit de ci de là que des gens n'adhèrent pas à ce qu'ils appellent de l'élitisme (barriere horaire par exemple lors de la montée de l'Aubisque).
On lit que certains n'acceptent pas certains conseils qui poussent à progresser.
Bientot on lira peut être que certains ne veulent plus être chronométrés.
Pour moi, il s'agit ici de faire une distinction entre compétition (et ce que cela implique) et le loisir.
Tout le monde dit ici qu'il court pour le plaisir et c'est d'ailleurs une des bases de ce site.
Mais il n'est dit nulle part sur ce site que pour courir il faut absolument faire le 10km de telle ville, le semi ou le marathon de je ne sais où.
Courir reste une activité accessible à tous.
On peut courir partout, quand on veut, avec qui on veut.
Ce que je veux dire c'est que la course à pieds n'est pas nécessairement une compétition.
Certains adorent le football mais sans jamais prendre de licence et jouer un championnat en club (ce qui inclut une certaine rigueur, un réglement à suivre, une discipline à avoir etc...).
Pour la CAP c'est pareil à mon avis.
Aujourd'hui la mode du running "inclus" de faire des courses mais personne ne nous en oblige.
Beaucoup de gens arrivés à la CAP il y a des années ne voient pas necessairement l'intéret de faire de la "competition". Ils n'en trouvent pas l'interet et ce n'est pas lié à leur passion.
Sur le forum, on voit de moins en moins la notion de plaisir et aussi de moins en moins la notion de compétition.
On est le cul entre 2 chaises.
Je pense que si on fait de la compétition, on en accepte les règles parfois "exigeantes" (minima pour le Marathon de Boston, systeme de courses qualificatives pour l'UTMB...) qui font la renommée des grandes courses.
Mais, on peut aussi tres bien faire 42.2km sans prendre un dossard. On peut monter l'Aubisque ou faire le tour du Mont Blanc sans avoir à subir une quelconque organisation.
Tout ça pour replacer le plaisir au centre de tout ça et pour éviter de se dégouter de courir.
par dede la frite
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- Knau80
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Salut dédé !
J'adore quand tu postes des sujets comme ceux là, ils sont très intéressants mais avant même d'avoir fini de lire on sent que ça va partir en vrille lors des réponses car tu plante les prémisses d'un débat de position ou celui qui se reconnait dans un des deux "camps" aura du mal à accepter le point de vu de son "opposant"
Pour peu que le coureur loisir se dope pour le plaisir on va bien se marrer
Personnellement je rebondirai sur ton exemple de joueurs de foot loisir non licenciés... effectivement au même titre que ceux-là il est évident que n'importe qui peut courir comme il le sent, néanmoins on ne verra jamais un "jouer du dimanche" s'incruster ne serait-ce que pendant un match dans une équipe (je ne me vois pas aller mettre des crampons pour aller poussez la balle un dimanche de match dans l'équipe de ma ville qui n'évolue pourtant pas dans un gros championnat).
Pour la CàP et d'autant plus devant le nombre grandissant de coureurs, il ne serait peut-être pas une mauvaise chose que de généraliser des minimas ou barrière horaires... Je trouve scandaleux qu'un gars s'inscrive à une course, prenne le départ (de préférence en se mettant au plus proche des premières lignes) et se mette à marcher dans les 500 mètres qui suivent en se mettant bien au milieu ou à gauche...
Alors dans la notion de plaisir, il y a peut-être une forte satisfaction personnelle à vouloir faire chier ceux qui veulent réellement courir (pour le chrono ou pour la satisfaction d'être allé au bout) mais objectivement ce genre de personne ne peut pas aimer courir puisqu'elle ne montrent à l'évidence aucun signe de pratique régulière de la discipline.
A titre personnel j'ai du mal à comprendre (ou du moins à me projeter dans cette démarche) que l'on s'aligne pour courir un Marathon en 5 ou 6 heures car mon plaisir s'exprime à travers la recherche de la performance et du dépassement de soi (et je ne suis pourtant pas une flèche, je n'ai d'ailleurs toujours pas osé courir un Marathon et je ne le ferai que si je peux approcher les 3'15 - ce qui ne vaut rien sur échelle rationnelle de performance mais qui m'apportera sans nul doute un énorme plaisir - sinon, ça ne vaut pas le coup)mais je respecte ceux qui le font car il respectent les règles et les autres coureurs, ont un engagement moral vis à vis de l'épreuve, et montreront un telle joie en franchissant la ligne d'arriver qu'on ne peut que saluer l'effort.
A l'inverse, il existe de véritables machines de guerre qui ont des chronos de malade dans les jambes mais qui ne seront jamais licenciés et ne feront jamais une course justement parce qu'ils se moquent complètement de leur perf puisqu'ils ne sont guidés que par le plaisir de courir.
Enfin, sur ta remarque sur la distinction entre le compétiteur et le runner loisir plaisir, il y a un constat simple : tant qu'il s'agit de ne pas se faire mal ou pas trop il y a un tonne de candidat, dès lors qu'il faut envisager le sacrifice et l'investissement pour être un athlète, ça devient trop dur alors seuls quelques uns persistent... sauf qu'on est tellement nombreux à se prétendre coureur qu'il n'es plus question de se comparer à l'élite mais aux bons amateurs ce qui n'a déjà plus rien à voir ce qui m'amène à poser une autre question : Est-ce que la notion de plaisir trop ouvertement affichée n'est pas une raison de justifier une relative voire évidente médiocrité non assumée ?
Je vais mettre un casque et je reviens !
J'adore quand tu postes des sujets comme ceux là, ils sont très intéressants mais avant même d'avoir fini de lire on sent que ça va partir en vrille lors des réponses car tu plante les prémisses d'un débat de position ou celui qui se reconnait dans un des deux "camps" aura du mal à accepter le point de vu de son "opposant"
Pour peu que le coureur loisir se dope pour le plaisir on va bien se marrer
Personnellement je rebondirai sur ton exemple de joueurs de foot loisir non licenciés... effectivement au même titre que ceux-là il est évident que n'importe qui peut courir comme il le sent, néanmoins on ne verra jamais un "jouer du dimanche" s'incruster ne serait-ce que pendant un match dans une équipe (je ne me vois pas aller mettre des crampons pour aller poussez la balle un dimanche de match dans l'équipe de ma ville qui n'évolue pourtant pas dans un gros championnat).
Pour la CàP et d'autant plus devant le nombre grandissant de coureurs, il ne serait peut-être pas une mauvaise chose que de généraliser des minimas ou barrière horaires... Je trouve scandaleux qu'un gars s'inscrive à une course, prenne le départ (de préférence en se mettant au plus proche des premières lignes) et se mette à marcher dans les 500 mètres qui suivent en se mettant bien au milieu ou à gauche...
Alors dans la notion de plaisir, il y a peut-être une forte satisfaction personnelle à vouloir faire chier ceux qui veulent réellement courir (pour le chrono ou pour la satisfaction d'être allé au bout) mais objectivement ce genre de personne ne peut pas aimer courir puisqu'elle ne montrent à l'évidence aucun signe de pratique régulière de la discipline.
A titre personnel j'ai du mal à comprendre (ou du moins à me projeter dans cette démarche) que l'on s'aligne pour courir un Marathon en 5 ou 6 heures car mon plaisir s'exprime à travers la recherche de la performance et du dépassement de soi (et je ne suis pourtant pas une flèche, je n'ai d'ailleurs toujours pas osé courir un Marathon et je ne le ferai que si je peux approcher les 3'15 - ce qui ne vaut rien sur échelle rationnelle de performance mais qui m'apportera sans nul doute un énorme plaisir - sinon, ça ne vaut pas le coup)mais je respecte ceux qui le font car il respectent les règles et les autres coureurs, ont un engagement moral vis à vis de l'épreuve, et montreront un telle joie en franchissant la ligne d'arriver qu'on ne peut que saluer l'effort.
A l'inverse, il existe de véritables machines de guerre qui ont des chronos de malade dans les jambes mais qui ne seront jamais licenciés et ne feront jamais une course justement parce qu'ils se moquent complètement de leur perf puisqu'ils ne sont guidés que par le plaisir de courir.
Enfin, sur ta remarque sur la distinction entre le compétiteur et le runner loisir plaisir, il y a un constat simple : tant qu'il s'agit de ne pas se faire mal ou pas trop il y a un tonne de candidat, dès lors qu'il faut envisager le sacrifice et l'investissement pour être un athlète, ça devient trop dur alors seuls quelques uns persistent... sauf qu'on est tellement nombreux à se prétendre coureur qu'il n'es plus question de se comparer à l'élite mais aux bons amateurs ce qui n'a déjà plus rien à voir ce qui m'amène à poser une autre question : Est-ce que la notion de plaisir trop ouvertement affichée n'est pas une raison de justifier une relative voire évidente médiocrité non assumée ?
Je vais mettre un casque et je reviens !
par Knau80
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- acera
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dede la frite écrit:
Tu parles ici d'état d'esprit, je ne pense pas que ce soit incompatible de lier plaisir et course organisée avec de l'ambiance, etc, même si la course compte pour les championnats. Tout ça pour dire que les courses ne sont pas limitées à l'aspect compétitif (pourquoi, les dix derniers courraient sinon).
Personnellement, je conseille de faire quelques courses pour découvrir l'ambiance, la fierté de l'avoir fait, bref de participer à un événement populaire. Je pense que c'est une expérience à faire au moins une fois dans sa vie...
Pour ce qui concerne des minimas de Boston et les conditions pour l'UTMB, ce n'est pas du tout le même problème. L'UTMB est lié à des questions de sécurité, etc. Boston est de l'élitisme (j'ai vu un marathon au canada où il y avait plusieurs départs et notamment un pour les plus de 6h). Pour le cas de Boston, il pourrait essayer d'organiser les choses (mais les marathons en plus de 6h ne sont pas vendeur pour le grand public donc le "standing" de Boston exige des minimas...).
Donc oui, c'est bien de l'élitisme que d'imposer des barrières horaires.
Pour ce qui est de l'argument "on ne vous oblige pas d'y participer", je ne répondrai pas. Le problème est inverse, on ne nous autorise pas à participer, c'est différent...
(nous ne sommes pas assez bien pour Boston? dans ce cas, on pourrait se doper pour atteindre ce rêve d'y participer... ça peut paraitre bête mais pourquoi les amateurs se dopent-ils? pourquoi pas pour exaucer un rêve ou participer au prestige de l'élitisme...).
D'accord, ceci dit, les courses organisées ne sont pas forcément des compétitions non plus.Ce que je veux dire c'est que la course à pieds n'est pas nécessairement une compétition.
Tu parles ici d'état d'esprit, je ne pense pas que ce soit incompatible de lier plaisir et course organisée avec de l'ambiance, etc, même si la course compte pour les championnats. Tout ça pour dire que les courses ne sont pas limitées à l'aspect compétitif (pourquoi, les dix derniers courraient sinon).
Personnellement, je conseille de faire quelques courses pour découvrir l'ambiance, la fierté de l'avoir fait, bref de participer à un événement populaire. Je pense que c'est une expérience à faire au moins une fois dans sa vie...
Pour ce qui concerne des minimas de Boston et les conditions pour l'UTMB, ce n'est pas du tout le même problème. L'UTMB est lié à des questions de sécurité, etc. Boston est de l'élitisme (j'ai vu un marathon au canada où il y avait plusieurs départs et notamment un pour les plus de 6h). Pour le cas de Boston, il pourrait essayer d'organiser les choses (mais les marathons en plus de 6h ne sont pas vendeur pour le grand public donc le "standing" de Boston exige des minimas...).
Donc oui, c'est bien de l'élitisme que d'imposer des barrières horaires.
Pour ce qui est de l'argument "on ne vous oblige pas d'y participer", je ne répondrai pas. Le problème est inverse, on ne nous autorise pas à participer, c'est différent...
(nous ne sommes pas assez bien pour Boston? dans ce cas, on pourrait se doper pour atteindre ce rêve d'y participer... ça peut paraitre bête mais pourquoi les amateurs se dopent-ils? pourquoi pas pour exaucer un rêve ou participer au prestige de l'élitisme...).
par acera
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- acera
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Knau80 écrit:
Je vais prendre une batte et je reviens!
Grillé par Knau80...Je vais mettre un casque et je reviens !
Je vais prendre une batte et je reviens!
par acera
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@Knau: je suis d'accord avec toi et j'aime bien lancer ce type de débat sans issue.
@acera: l'élitisme ne me pose personnellement pas de probleme et au contraire est une source de motivation pour progresser encore et me faire encore plus mal à l'entrainement (l'un ne va pas sans l'autre je pense).
Pour moi c'est important qu'il reste à chacun des Everest et dans notre discipline l'utltime Everest pourrait etre les JO par exemple.
Donner l'accès "facile" à la CAP est illusoire.
Courir un marathon en 6 heures est une torture physique qui me semble complétement inverse à ma notion d'effort. Comment accepter d'avoir plus mal en allant moins vite?
Dans les années 80, courir un marathon en plus de 4h n'avait que peu d'intérêt. Le marathon avait un côté mystique, magique...
Ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
Enfin quand tu dis "on ne nous autorise pas à participer", je pense qu'on ne peut pas permettre à chacun de participer à des epreuves dont on n'a pas le niveau requis. A part quelques journalistes romantiques ca ne fait rire personne de voir un gars au JO courir le 100m en 15s.
Si on n'est pas assez bien pour Boston faisons le maximum pour en être et si on n'y arrive pas c'est qu'on n'a pas le niveau.
C'est aussi ça la logique sportive.
@acera: l'élitisme ne me pose personnellement pas de probleme et au contraire est une source de motivation pour progresser encore et me faire encore plus mal à l'entrainement (l'un ne va pas sans l'autre je pense).
Pour moi c'est important qu'il reste à chacun des Everest et dans notre discipline l'utltime Everest pourrait etre les JO par exemple.
Donner l'accès "facile" à la CAP est illusoire.
Courir un marathon en 6 heures est une torture physique qui me semble complétement inverse à ma notion d'effort. Comment accepter d'avoir plus mal en allant moins vite?
Dans les années 80, courir un marathon en plus de 4h n'avait que peu d'intérêt. Le marathon avait un côté mystique, magique...
Ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui.
Enfin quand tu dis "on ne nous autorise pas à participer", je pense qu'on ne peut pas permettre à chacun de participer à des epreuves dont on n'a pas le niveau requis. A part quelques journalistes romantiques ca ne fait rire personne de voir un gars au JO courir le 100m en 15s.
Si on n'est pas assez bien pour Boston faisons le maximum pour en être et si on n'y arrive pas c'est qu'on n'a pas le niveau.
C'est aussi ça la logique sportive.
par dede la frite
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- neochti
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le plaisir étant personnel, bien délicat d'essayer de le définir et de le généraliser sur un forum.
je prends autant de plaisir à me faire mal lors de certaines séances que de terminer une course sur route apres un repas gras la veille (pour ne pas dire avoir trop bu ) ou de randonner en montagne avec madame...
L'essentiel étant d'écouter tout le monde, de ne pas jouer à l'élitiste pour certains, de comprendre la notion de "on a rien sans rien" pour d'autres, bref, de se faire plaisir.
c'est égoiste un peu la notion de plaisir !
certains prennent meme un malin plaisir a fair chier leur prochain lol
je prends autant de plaisir à me faire mal lors de certaines séances que de terminer une course sur route apres un repas gras la veille (pour ne pas dire avoir trop bu ) ou de randonner en montagne avec madame...
L'essentiel étant d'écouter tout le monde, de ne pas jouer à l'élitiste pour certains, de comprendre la notion de "on a rien sans rien" pour d'autres, bref, de se faire plaisir.
c'est égoiste un peu la notion de plaisir !
certains prennent meme un malin plaisir a fair chier leur prochain lol
par neochti
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