Dopage

France télévision et le dopage une grande histoire...
Je n'ai pas vu ce reportage mais j'en ai entendu parler.

Sinon, quand même, un pansement si on a une ampoule, faut pas déconner, ce n'est pas du dopage...
Limite c'est comme mettre 2 paires de chaussettes.
Soyons sérieux

Aprés je ne peux pas m'arrêter seulement à ce qui est autorisé et ce qui est interdit.
En parlant d'hyprocrisie:

- rien à voir, presque, avec le sport, mais les organismes qui classifient les drogues, mettent l'alcool et le tabac au niveau des drogues dures. Et pourtant, ce n'est pas interdit d'en consommer.
En revanche, le cannabis, drogue douce, est interdit.

- le taux d'hematocrite toléré dans le sport est 50%. Chez l'homme, la valeur normale est de 40 à 52 %. Chez la femme, la valeur normale est de 37 à 48 %. Au velo, dans certaines équipes, tout le monde est juste en dessous de 50%. Magique.
Il y a une belle différence. A la décharge des organismes de lutte contre le dopage, c'est pour cette raison qu'ils ont mis en place les suivi longitudinaux sanguins (c'est comme ça qu'on dit je crois). en gros on vérifie tes taux régulierement dans l'année pour identifier des variations.

dede la frite écrit:

Sinon, quand même, un pansement si on a une ampoule, faut pas déconner, ce n'est pas du dopage...
Limite c'est comme mettre 2 paires de chaussettes.
Soyons sérieux

C'est clair, faut pas pousser mémé dans les orties

gui_gui écrit:

Apparemment des recherches sont faites sur le accélérer le développement musculaire des sportifs...génétiquement...les sportifs OGM arrivent !!!!

A l'origine, les recherches ont débuté avec pour but la réparation musculaire des personnes atteintes d'atrophie des muscles. Des tests ont donc été réalisés en laboratoire sur des animaux. Les scientifiques en charge de ces recherche ont rapidement été contactés par des personnes proches des milieux sportifs...
Un petit lien d'un colloque trouvé sur le net, qui date de 2006: Thérapie génique et dopage

Pour rajouter un peu d'eau au moulin, les organismes chargés de déterminer si un produit peut etre assimilé à du dopage doivent répondre à 3 questions:
- le produit est t il dangereux pour la santé
- le produit procure t'il un avantage à celui qui le prend
- le produit nuit t-il à l'éthique du sport

Si le produit répond "oui" à au moins 2 questions, il peut etre considéré comme interdit.

Un lien intéressant : www.lemonde.fr/sport/article/2012/08/11/...xtmc=moulinet&xtcr=2

Décidemment ces marcheurs m'impressionnent par leur intelligence !!!

Merci Fred X

Pour rester sur le sujet:
Dopage : Fxxxxxx Xxxxxxx contrôlée positive à l'EPO

Fxxxxxx Xxxxxxx est tombée dans les mailles du filet.


Elle vient d’être sanctionnée par deux années de suspension pour un contrôle antidopage réalisé en juin lors du semi marathon de Perpignan, révélant une prise d’EPO.


Pour sa défense, elle a invoqué la thèse abracadabrante suivante : elle fait état de pluies torrentielles le jour de la manifestation qui ruisselant sur des déchets médicaux auraient pu polluer ses vêtements et par contact avec ses organes génitaux et ses urines. Autant dire que l’organe disciplinaire de la FFA n’a pas retenu cette version loufoque.


Le jour de son contrôle Fxxxxxx Xxxxxxx âgée de 43 ans avait terminé seconde féminine en 1h 20’20» empochant la somme de 400 euros.


Cet hiver, l’ancienne internationale s’était classée 35ème du France de cross mais championne de France chez les vétéranes après avoir réussi le bon temps de 34’53» sur 10 km à Roanne.


Ce contrôle positif à l’EPO pour une athlète de niveau régional, signifie avant tout que l’EPO circule même dans ces couches de sportifs qui devraient avoir tourné la page du haut niveau et se satisfaire de prendre du plaisir à courir.


C’est également la preuve que la lutte anti dopage porte ses fruits à tous les étages, sur l’élite avec pour preuve les deux cas révélés il y a peu, Nourredine Gezzar et Hassan Hirt qui a couru les séries de 5000 m aux J.O. de Londres et sur les coureurs populaires.