Semi Liffré : enfer et stagnation
- Cdric
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Qu'il fût difficile ce Semi ! Je le sentais venir, je n'ai pas été déçu. Après ma première participation en 2015, je savais que ce parcours réputé roulant ne l'était pas tant que ça. Et quand le vent s'en mêle...
Préparation :
La préparation débute après le Trail du Vignoble Nantais, pour 6 semaines alternant récupération, AS21 et SL. Tant bien que mal, je finis par valider une AS21 de 4'27''/km. Mais les deux dernières semaines sont compliquées : un rhume, un évènement familial difficile puis un virus avec une journée de fièvre mardi hachent mes nuits et mon repos. Je me laisse jusqu'à samedi pour décider de ma participation. Au final, l'esprit de compétition prend le dessus, mais je sais que battre mon record de 1h35'55'' sera difficile.
Le jour J :
Après une nouvelle nuit chaotique, je me réveille en baillant. Grosse forme... Je prends un petit dèj frugal et je m'habille. Enfin j'essaie. Car n'étant pas dans mon assiette, j'ai oublié de mettre un short dans mon sac la veille avant d'aller sur Rennes. J'en ai habituellement deux différents, j'ai décidé de n'en mettre qu'un, résultat ce matin j'ai ai aucun. N'étant pas chez moi, je réveille mon beau-frère pour qu'il m'en prête un. Short qui s'avère être un collant trop grand pour mes cuisses de grenouille et dont la ficelle pend piteusement. Autre possibilité, un short de foot de 40 ans de mon beau-père, dont l'élastique a le même âge (que le short, pas mon beau-père, vous suivez ?). Idéal pour courir avec un seul bras, mais moyen pour un Semi. Pris par le temps, j'enfile le caleçon sans ficelle trop grand, le regard des coureurs croisés me dira si ce détail vestimentaire peut faire sourire.
Direction Liffré, je récupère mon dossard puis je l'installe. Enfin j'essaie. J'ai bien sûr oublié les épingles. Quand ça ne veut pas... J'en récupère deux, je m'équipe puis je pars déposer mon sac et m'échauffer.
La course :
Le sort s'acharne encore une fois au départ : je suis bien placé sur la ligne ! Cela n'augure rien de bon.
Km1 à Km5 :
Km1 4’32’’ 161 171
Km2 4’30’’ 172 178
Km3 4’32’’ 174 178
Km4 4’30’’ 169 175
Km5 4’32’’ 172 178
TOP DEPART. Trois mètres de parcourus et je reçois un coup de coude d'un coureur qui souhaite me doubler, y'a vraiment des gros lourds. Nous sortons de la piste d'athlétisme et commençons la petite boucle dans le bourg. Nous sortons ensuite du village et ça se complique : le vent s'intensifie. Après un enchainement descente montée, nous arrivons au ravitaillement situé après le 5ème kilomètre. L'occasion de croquer deux sucres et de boire. Ca, c'est le programme habituel. Car comme rien n'est normal aujourd'hui, je ne trouve pas de sucre au ravitaillement, uniquement pruneaux, raisins secs, banane et orange. J'opte pour une petite poignée de raisins secs, que j'aurais bien du mal à avaler.
Km6 à Km10 :
Km6 4’48’’ 173 178
Km7 4’27’’ 174 179
Km8 4’30’’ 176 179
Km9 4’27’’ 176 181
Km10 4’27’’ 174 177
Je repars en pestant contre cette pause ratée, où je perds du temps. Et je m'interroge sur le manque de sucre à venir. Le profil est plus favorable sur cette partie, même si le vent nous accompagne inlassablement. Les jambes tournent mais je me sens vide, sans énergie. Le ravitaillement du km 10 est identique au précédent : toujours pas de sucre. Je prends une grosse poignée de raisins que je mets trois plombes à avaler, à l'arrêt. Et les secondes défilent…
Km11 à km15 :
Km11 4’40’’ 171 177
Km12 4’37’’ 175 179
Km13 4’35’’ 177 182
Km14 4’32’’ 177 181
Km15 4’52’’ 176 180
Nous empruntons à nouveau la descente montée. Un coureur se porte à mon niveau, nous échangeons rapidement sur ce « putain de vent glacial » qui ne faiblit pas. Ca ne règle pas le problème mais ça soulage. Sans doute pour ne plus le subir, j'accélère dans la montée. Ca commence à tirer, jusqu'au 12ème kilomètre où j'ai un gros coup de barre : la FC monte dangereusement, j'ai du mal à tenir un 4'40'' au kilomètre. Le coup de pompe redouté est là : j'ai envie de marcher, voire de m'arrêter, un petit diablotin m'y incite. Je m'accroche à ce qui reste : un coureur à suivre, le profil de la fin de course qui est plus favorable... Nous arrivons sur une portion aller-retour. Croiser les fusées qui visent 1h20 finit de m'achever. Je résiste quand même en espérant être plus à l'abri du vent dans la forêt. Le public clairsemé applaudit, je le remercie à chaque fois d'un signe de la main. Le ravitaillement approche, une vraie pause de 2 ou 3 minutes me tente. Je repars finalement après 20 secondes, sans savoir ce qui m'empêche d'arrêter les frais.
Km16 à Km21 :
Km16 4’31’’
Km17 4’31’’
Km18 et 19 9 ‘05’’
Km20 4’33’’
Km21 4’45’’
Cette portion descendante devrait me permettre de récupérer tout en augmentant l'allure, comme l'année dernière. Mais ça, c'était l'année dernière. Aujourd'hui, j'arrive juste à stabiliser l'allure, sans récupérer en FC. Je ne suis pas à bout de souffle, mais les jambes ne répondent plus et je souffre mentalement. L’envie de marcher ou d’abandonner me harcèle depuis le 12ème, je n’arrive pas à évacuer définitivement ces idées négatives, mais je tiens, peut-être à l’orgueil. La fin de course est difficile pour les autres concurrents également. Lentement mais sûrement, je rattrape des coureurs qui m’avaient dépassé sur les kilomètres précédents. J’ai du mal à y trouver une motivation, j’avance quand même, tel un robot. Comme l’année précédente, je rate le lap du 18ème (ou alors le panneau est bien caché). Je finis par avoir en ligne de mire un duo vétéran 2 ou 3. Leur allure est digne d’un métronome, ils m’ont doublé à chacun de mes ravitaillements. Je décide de les rattraper et de m’accrocher à eux jusqu’à l’arrivée. Ils m’emmènent ainsi jusqu’au dernier kilomètre. Un organisateur donne les chronos au 20ème kilomètre : 1h31’30’’. Rapide calcul : c’est mort, il me faudrait un 1100m d’anthologie et je n’ai pas les jambes pour ça. Dans un faux-plat descendant, j’accélère quand même pour doubler mon duo de lièvres et finir sans avoir de regrets. Je crois voir ma belle-mère dans les spectateurs, mais ce n’est pas du tout elle, j’en souris presque. Passé un virage, je tombe alors sur mes enfants, ma compagne et son frère, venus à la dernière minute pour me soutenir. Anne-Laure me demande si ça va, je lui réponds que non. Le parcours fait un U, je croise les croise à nouveau à 300m de l’arrivée. Je me décale pour taper dans la main de mon fils ainé de 3 ans qui est ravi, puis lance le sprint et franchis la ligne d’arrivée, soulagé d’en avoir fini.
Bilan :
Temps : 1h36’04’’ à ma montre, mon record n’est pas battu, j’égale à la seconde près le chrono de mon dernier Semi à Rennes en octobre dernier.
FC moyenne : 175 (90%FCM)
FC max : 194 (FCM)
Troisième chrono dans une fourchette de 10 secondes. J’ai été longtemps abonné à 44’45’’ sur 10km, me voici accroché à 1h36 sur Semi. C’est rageant, d’autant que la mauvaise gestion des ravitaillements me coûte sûrement le record.
Les deux dernières semaines de la préparation et le vent étaient de toute façon trop durs à gérer pour espérer les 1h34 ou 1h33 attendus. Mais sur bitume, il n’existe qu’une vérité, celle du chrono, et je dois bien me faire à l’idée qu’il a de nouveau stagné. On règlera ça sur le prochain Semi !
Préparation :
La préparation débute après le Trail du Vignoble Nantais, pour 6 semaines alternant récupération, AS21 et SL. Tant bien que mal, je finis par valider une AS21 de 4'27''/km. Mais les deux dernières semaines sont compliquées : un rhume, un évènement familial difficile puis un virus avec une journée de fièvre mardi hachent mes nuits et mon repos. Je me laisse jusqu'à samedi pour décider de ma participation. Au final, l'esprit de compétition prend le dessus, mais je sais que battre mon record de 1h35'55'' sera difficile.
Le jour J :
Après une nouvelle nuit chaotique, je me réveille en baillant. Grosse forme... Je prends un petit dèj frugal et je m'habille. Enfin j'essaie. Car n'étant pas dans mon assiette, j'ai oublié de mettre un short dans mon sac la veille avant d'aller sur Rennes. J'en ai habituellement deux différents, j'ai décidé de n'en mettre qu'un, résultat ce matin j'ai ai aucun. N'étant pas chez moi, je réveille mon beau-frère pour qu'il m'en prête un. Short qui s'avère être un collant trop grand pour mes cuisses de grenouille et dont la ficelle pend piteusement. Autre possibilité, un short de foot de 40 ans de mon beau-père, dont l'élastique a le même âge (que le short, pas mon beau-père, vous suivez ?). Idéal pour courir avec un seul bras, mais moyen pour un Semi. Pris par le temps, j'enfile le caleçon sans ficelle trop grand, le regard des coureurs croisés me dira si ce détail vestimentaire peut faire sourire.
Direction Liffré, je récupère mon dossard puis je l'installe. Enfin j'essaie. J'ai bien sûr oublié les épingles. Quand ça ne veut pas... J'en récupère deux, je m'équipe puis je pars déposer mon sac et m'échauffer.
La course :
Le sort s'acharne encore une fois au départ : je suis bien placé sur la ligne ! Cela n'augure rien de bon.
Km1 à Km5 :
Km1 4’32’’ 161 171
Km2 4’30’’ 172 178
Km3 4’32’’ 174 178
Km4 4’30’’ 169 175
Km5 4’32’’ 172 178
TOP DEPART. Trois mètres de parcourus et je reçois un coup de coude d'un coureur qui souhaite me doubler, y'a vraiment des gros lourds. Nous sortons de la piste d'athlétisme et commençons la petite boucle dans le bourg. Nous sortons ensuite du village et ça se complique : le vent s'intensifie. Après un enchainement descente montée, nous arrivons au ravitaillement situé après le 5ème kilomètre. L'occasion de croquer deux sucres et de boire. Ca, c'est le programme habituel. Car comme rien n'est normal aujourd'hui, je ne trouve pas de sucre au ravitaillement, uniquement pruneaux, raisins secs, banane et orange. J'opte pour une petite poignée de raisins secs, que j'aurais bien du mal à avaler.
Km6 à Km10 :
Km6 4’48’’ 173 178
Km7 4’27’’ 174 179
Km8 4’30’’ 176 179
Km9 4’27’’ 176 181
Km10 4’27’’ 174 177
Je repars en pestant contre cette pause ratée, où je perds du temps. Et je m'interroge sur le manque de sucre à venir. Le profil est plus favorable sur cette partie, même si le vent nous accompagne inlassablement. Les jambes tournent mais je me sens vide, sans énergie. Le ravitaillement du km 10 est identique au précédent : toujours pas de sucre. Je prends une grosse poignée de raisins que je mets trois plombes à avaler, à l'arrêt. Et les secondes défilent…
Km11 à km15 :
Km11 4’40’’ 171 177
Km12 4’37’’ 175 179
Km13 4’35’’ 177 182
Km14 4’32’’ 177 181
Km15 4’52’’ 176 180
Nous empruntons à nouveau la descente montée. Un coureur se porte à mon niveau, nous échangeons rapidement sur ce « putain de vent glacial » qui ne faiblit pas. Ca ne règle pas le problème mais ça soulage. Sans doute pour ne plus le subir, j'accélère dans la montée. Ca commence à tirer, jusqu'au 12ème kilomètre où j'ai un gros coup de barre : la FC monte dangereusement, j'ai du mal à tenir un 4'40'' au kilomètre. Le coup de pompe redouté est là : j'ai envie de marcher, voire de m'arrêter, un petit diablotin m'y incite. Je m'accroche à ce qui reste : un coureur à suivre, le profil de la fin de course qui est plus favorable... Nous arrivons sur une portion aller-retour. Croiser les fusées qui visent 1h20 finit de m'achever. Je résiste quand même en espérant être plus à l'abri du vent dans la forêt. Le public clairsemé applaudit, je le remercie à chaque fois d'un signe de la main. Le ravitaillement approche, une vraie pause de 2 ou 3 minutes me tente. Je repars finalement après 20 secondes, sans savoir ce qui m'empêche d'arrêter les frais.
Km16 à Km21 :
Km16 4’31’’
Km17 4’31’’
Km18 et 19 9 ‘05’’
Km20 4’33’’
Km21 4’45’’
Cette portion descendante devrait me permettre de récupérer tout en augmentant l'allure, comme l'année dernière. Mais ça, c'était l'année dernière. Aujourd'hui, j'arrive juste à stabiliser l'allure, sans récupérer en FC. Je ne suis pas à bout de souffle, mais les jambes ne répondent plus et je souffre mentalement. L’envie de marcher ou d’abandonner me harcèle depuis le 12ème, je n’arrive pas à évacuer définitivement ces idées négatives, mais je tiens, peut-être à l’orgueil. La fin de course est difficile pour les autres concurrents également. Lentement mais sûrement, je rattrape des coureurs qui m’avaient dépassé sur les kilomètres précédents. J’ai du mal à y trouver une motivation, j’avance quand même, tel un robot. Comme l’année précédente, je rate le lap du 18ème (ou alors le panneau est bien caché). Je finis par avoir en ligne de mire un duo vétéran 2 ou 3. Leur allure est digne d’un métronome, ils m’ont doublé à chacun de mes ravitaillements. Je décide de les rattraper et de m’accrocher à eux jusqu’à l’arrivée. Ils m’emmènent ainsi jusqu’au dernier kilomètre. Un organisateur donne les chronos au 20ème kilomètre : 1h31’30’’. Rapide calcul : c’est mort, il me faudrait un 1100m d’anthologie et je n’ai pas les jambes pour ça. Dans un faux-plat descendant, j’accélère quand même pour doubler mon duo de lièvres et finir sans avoir de regrets. Je crois voir ma belle-mère dans les spectateurs, mais ce n’est pas du tout elle, j’en souris presque. Passé un virage, je tombe alors sur mes enfants, ma compagne et son frère, venus à la dernière minute pour me soutenir. Anne-Laure me demande si ça va, je lui réponds que non. Le parcours fait un U, je croise les croise à nouveau à 300m de l’arrivée. Je me décale pour taper dans la main de mon fils ainé de 3 ans qui est ravi, puis lance le sprint et franchis la ligne d’arrivée, soulagé d’en avoir fini.
Bilan :
Temps : 1h36’04’’ à ma montre, mon record n’est pas battu, j’égale à la seconde près le chrono de mon dernier Semi à Rennes en octobre dernier.
FC moyenne : 175 (90%FCM)
FC max : 194 (FCM)
Troisième chrono dans une fourchette de 10 secondes. J’ai été longtemps abonné à 44’45’’ sur 10km, me voici accroché à 1h36 sur Semi. C’est rageant, d’autant que la mauvaise gestion des ravitaillements me coûte sûrement le record.
Les deux dernières semaines de la préparation et le vent étaient de toute façon trop durs à gérer pour espérer les 1h34 ou 1h33 attendus. Mais sur bitume, il n’existe qu’une vérité, celle du chrono, et je dois bien me faire à l’idée qu’il a de nouveau stagné. On règlera ça sur le prochain Semi !
par Cdric
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- rycker
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9" du record , c'est rageant mais vu ce que tu nous décris sur les jours précédents la course et le vent du jour il y a quand même du positif sur ton semi et nul doute que, si tous les ingrédients favorables sont réunis sur le prochain , le record tombera
Bonne récup et bonne continuation
Bonne récup et bonne continuation
par rycker
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- Seb35
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Je crois que tu as été victime du fameux syndrome du jours sans... Je te souhaite plein de jours avec ! En les attendant, BRAVO pour ce joli chrono et merci pour le CR (j'ai raté le semi de Liffré cette année, mais tu me l'as bien fait vivre ).
par Seb35
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- Patrick57
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Réponse de Patrick57 sur le sujet Semi Liffré : enfer et stagnation
Posted il y a 8 ans 7 mois #418698
Bravo Cédric pour ce nouveau semi !!
Malgré les conditions climatiques, le mauvais karma ce jour-là et une dernière quinzaine compliquée, tu arrives à confirmer ta marque à qq secondes près tout de même ! Ce qui prouve que tu as encore progressé et que ton RP tombera prochainement !
Merci pour ton CR très sympa (comme toujours) !!
Bonne récup et encore bravo !
Malgré les conditions climatiques, le mauvais karma ce jour-là et une dernière quinzaine compliquée, tu arrives à confirmer ta marque à qq secondes près tout de même ! Ce qui prouve que tu as encore progressé et que ton RP tombera prochainement !
Merci pour ton CR très sympa (comme toujours) !!
Bonne récup et encore bravo !
par Patrick57
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- smilk
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Salut et félicitations,
Pour quelqu'un qui a eu une fin de prépa difficile et qui n'était même pas sûr de s'aligner au départ, tu fais une très belle course. Le RP devrait tomber une prochaine fois. Quid des ravitos, j'ai l'impression que tu peux gagner facilement pas mal de secondes de ce côté là (peut-être pas la peine de s'arrêter à tous ?)
Pour quelqu'un qui a eu une fin de prépa difficile et qui n'était même pas sûr de s'aligner au départ, tu fais une très belle course. Le RP devrait tomber une prochaine fois. Quid des ravitos, j'ai l'impression que tu peux gagner facilement pas mal de secondes de ce côté là (peut-être pas la peine de s'arrêter à tous ?)
par smilk
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- jordan40
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Réponse de jordan40 sur le sujet Semi Liffré : enfer et stagnation
Posted il y a 8 ans 7 mois #418785
Un jour sans c'est sur !!! Mais aller taper les 1h36 sur semi avec tout les imprévus d'avant course que tu as eu je trouve que c'est pas vilain du tout. Moi j'aurais eu le cardio qui serait passé à 120% Top le coup du short de foot , t'avais plus qu'à attacher une corde autour pour le faire tenir histoire de rester dans le vintage
par jordan40
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