Marathon de Toulouse, mon premier Marathon
- kusco2
- Hors Ligne Auteur du sujet
- Junior Boarder
- Messages : 25
- Remerciements reçus 0
Marathon de Toulouse, mon premier Marathon a été créé par kusco2
Posted il y a 10 ans 3 semaines #338013
Bonsoir à tous,
après m'être posé la question, à j-15 de mon allure AS 42 ,
voir ici :
voici le récit de mon premier marathon.
L'objectif visé : 3h45 avec un espoir de faire 3h40.
Je choisi le sas 3h45 en comptant suivre les meneurs d'allure
Beaucoup de stress avant le départ, réveillé à 3h00 du matin, je repasse dans ma tête la course en faisant des "tactiques" de courses (départ rapide devant le meneur, départ lent + second semi rapide,...). Bref, l'horreur jusqu'à 5h30, heure du lever.
Les sensations sont bonnes au réveil, sachant que je viens de passer la semaine sous ibuprofène, rhume transmis gentiment par mes enfants.
Gâteau riche en glucide optonia, un café, un jus d'orange, on ajuste le dossard, on remplit les poches de gels, et c'est parti, en route pour le marathon.
J'ai eu la chance d'avoir mes proches tout au long du parcours, ça m'a porté.
H-15min, sur le pont Coubertin, lieu du départ. Le temps est frais, mais pas froid. Le stress monte, l'excitation aussi.
H-1 min, musique à fond, voix off vous expliquant la définition de l'effort, dépassement de soi,... bref, j'ai les poils qui se hérissent, mon regard commence à s'embuer, l'émotion est là.
Départ (8h45), il me faut quasi 1 min pour arriver à la ligne, chrono enclenché à ma montre.
Cohue, départ lent 10km/H, on ne pouvait pas aller plus vite. Un œil sur le cardio au bout de 800 m, 158 bpm (moi qui pensait essayer d'arriver au semi à 160 bpm... quelle douce innocence).
J'essai de doubler par a coup, pour avoir un peu de champ. je me place 20 m devant les meneurs 3h45.
Obligé, 2 km après le départ de m’arrêter faire pipi. Pourtant, je l'avais fait 2 fois entre 8h00 et 8h30...
Au 6éme, ma femme, mon ainé, mes amis, ma belle soeur, ca fait du bien.
Je prend le rythme, jusqu'au 10 km, où j'affiche un 11.6km/h de moyenne. Je le trouve un peu haut, la FC est à 163. Je suis un groupe qui m'a l'air de maîtriser la spécialité, je me dit qu'ils sont plus forts que moi, et que je ne dois pas tenter de les suivre. Je ne trouve personne comme lièvre, tant pis, le marathon, me dis je, c'est toi seul avec ... toi même.
Je ralenti et laisse partir le groupe. Je ne les reverrai plus.... Je me fais dépasser mais je tiens l'avance sur les meneurs 3h45.
Arrive le 14éme, gros coup de déprime, ma FC toujours à 160-163, et je me dis, plus que 28 bornes... dans quelle galère je me suis mis. En plus, je commence à sentir mes jambes s’alourdir un peu, quelques douleurs...Le marathon? 3h45 ? tu parles, essais déjà de le finir.
Je prend conscience, même si je m'en doutais, de l'humilité requise pour cette épreuve...je m'en doutais, mais pas à ce point. Mon gars, tu es au pied de la montagne, grimpe.
Allez un gel, on se fixe un premier petit objectif; cap sur le 20éme; Papa m'attend.
Au 20eme, il me redonne des gels (j'en ai déjà pris 2) et une bouteille maison isostar. Je recharge ma gourde. Ca va mieux...
Je repars regonflé en attendant le cap des 30 km.
Je ne pense qu'à cela en me disant que le mur va arriver, et qu'il va falloir le grimper.
LA chaleur commence à faire son effet. Je bois pas mal, en utilisant mes deux petites gourdes perso. Je ne rate aucun ravito. Marre des bananes, mais, bon, cela fait son effet pour le moment. la FC monte à 168... aie, on est dans le dur maintenant. Mais même en ralentissant, elle ne baisse pas.
Je me fais rattraper par le meneur 3h45 (qui au passage du semi, avait changé, ce n'était plus le même...). Je regarde ma montre GPS : 11.5 km/h de moyenne. Bigre, il a mangé du Lion le gars. En fait, au ravito suivant, il a ralentit. L'histoire dit que je ne les reverrai plus, mais ça, je ne le savais pas encore...
A ce moment là, je sais que je vais terminé (sauf blessure). Je serre le dent, les jambes sont dures, mais l'énergie est encore là. Au trentième, un gars dit "Allez les gars, c'est fini l’échauffement, c'est maintenant que la course commence". Le décors est planté. Il fait chaud, je commence à voir des gens qui marche. ON Y EST !! Ca va toujours, enfin, si je fais abstraction des douleurs.
Je repense à ma stratégie de course (part sur 3h45, et tu accélère au 32km, si tu passes le mur sans encombre) ... mouai, à ce moment là, j'avais du mal à voir comment j'allais accélérer.
Arrive le 32éme, ma famille est à nouveau là, ça me donne un coup de fouet (enfin surtout dans la tête, parce que les jambes, c'est comme polydent, c'est du béton...).
33eme : Ca passe toujours, je me dis que je suis entrain de passer le mur, et que mon alimentation régulière durant le parcours est en train de payer.
Je cours à coté d'un gars, sympathique (du moins en apparence, on a pas eu l’occase de faire la discussion hein !), je lui demande ce qu'il vise, histoire de voir si c'est un bon partenaire pour finir. Il me dit 3h45, voire un peu moins, et c'est mon premier marathon.
Parfait me direz vous ??
Et bien c'est le moment que j'ai choisit pour accélérer.
J'augmente ma fréquence de foulées, en raccourcissant l'amplitude et hop, je prend 12,5 km/h.
la FC monte, à 175, mais je m'en fiche royalement, il ne me reste que 8 bornes.
Et que vous le croyez ou pas, je rattrape un à un les personnes du groupe du km10. A l’arrêt ou presque, et moi qui les double. Incroyable, grisant, difficilement supportable pour mon corps, mais qu'importe, c'est que du bonheur. Je repense à ce que me disait koeurlent.
On revient sur les boulevards, et je continue à doubler à tour de bras. C'est dur, mais je m'arrose d'eau. Encore 4 km.
Le public est là, on m'encourage. C'est super. Je pense à ma femme, à mes enfants, je serre les dents.
39eme. La route se rétrécie, le public est proche. Je me permets haranguer la foule, elle me répond, me fait une hola. INCROYABLE EMOTION, le PIED COMPLET !!!!!!!!!!!!!!
On arrive au 40 eme Un passage tortueux, avec des relances. Il fait chaud, je peine à atteindre les 11 km/ h.
Aie, je paie l’euphorie des 5 km précédant. Je ralentis, je galère.
Je manque de rater le dernier ravito, je mange 2 bananes en ayant du faire MARCHE ARRIÈRE pour les attraper. Mes mollets me sanctionnent, mais je continue. Je regarde au tour de moi, c'est pour tout le monde pareil.
Je repense à mes 3h42, c'est encore jouable. Mais il faut repartir. Je ne pense plus, je fixe la banderole des 41 km...
J'en ai marre, mais je vois cette banderole. ça fait des semaines que je rêve de ce moment, arriver au bout du chemin. Je me dit à voit haute (oui, je me parle seul parfois ) " allez, c'est le moment que tu voulais, alors, vas y ! ).
On arrive sur la dernière ligne droite, rue du Languedoc. J'accélère. A l'énergie, j'ai plus grand chose, mais je donne tout. 12-12.5km/h. Je fixe droit devant. Au bout, c'est la rue Alsace lorraine. J'y rentre, encore 700 m. Le public est nombreux, il encourage. Je lâche tout, je me sens repousser des ailes.
C'est incroyable, je souhaite à tout le monde de vivre ce type de moment là. La foulée redevient souple et légère, je monte à 14-15 km/h . Je serre le point, je fais signe à la foule en levant les bras pour faire signe de m'encourager. Elle crie. C'est trop bon. Dernier virage, 195 m pour finir au sprint, passage de la ligne, je lève les yeux, 3h42m28s sur le panneau d'affichage (dans ma tête, avec le départ et la pause pipi; c'est moins de 3h42, donc yes).
Magique, le moment où on te donne la médaille. Ça y est, je suis devenu un marathonien.
difficile de traduire avec un clavier ce que l'on ressent, tout ceux qui l'on vécu me comprenne.
la retrouvaille avec mes proches fut un super moment, tout comme la bière qui est venue après.
Voila, j'espère que je n'ai pas été trop brouillon.
K2
après m'être posé la question, à j-15 de mon allure AS 42 ,
voir ici :
voici le récit de mon premier marathon.
L'objectif visé : 3h45 avec un espoir de faire 3h40.
Je choisi le sas 3h45 en comptant suivre les meneurs d'allure
Beaucoup de stress avant le départ, réveillé à 3h00 du matin, je repasse dans ma tête la course en faisant des "tactiques" de courses (départ rapide devant le meneur, départ lent + second semi rapide,...). Bref, l'horreur jusqu'à 5h30, heure du lever.
Les sensations sont bonnes au réveil, sachant que je viens de passer la semaine sous ibuprofène, rhume transmis gentiment par mes enfants.
Gâteau riche en glucide optonia, un café, un jus d'orange, on ajuste le dossard, on remplit les poches de gels, et c'est parti, en route pour le marathon.
J'ai eu la chance d'avoir mes proches tout au long du parcours, ça m'a porté.
H-15min, sur le pont Coubertin, lieu du départ. Le temps est frais, mais pas froid. Le stress monte, l'excitation aussi.
H-1 min, musique à fond, voix off vous expliquant la définition de l'effort, dépassement de soi,... bref, j'ai les poils qui se hérissent, mon regard commence à s'embuer, l'émotion est là.
Départ (8h45), il me faut quasi 1 min pour arriver à la ligne, chrono enclenché à ma montre.
Cohue, départ lent 10km/H, on ne pouvait pas aller plus vite. Un œil sur le cardio au bout de 800 m, 158 bpm (moi qui pensait essayer d'arriver au semi à 160 bpm... quelle douce innocence).
J'essai de doubler par a coup, pour avoir un peu de champ. je me place 20 m devant les meneurs 3h45.
Obligé, 2 km après le départ de m’arrêter faire pipi. Pourtant, je l'avais fait 2 fois entre 8h00 et 8h30...
Au 6éme, ma femme, mon ainé, mes amis, ma belle soeur, ca fait du bien.
Je prend le rythme, jusqu'au 10 km, où j'affiche un 11.6km/h de moyenne. Je le trouve un peu haut, la FC est à 163. Je suis un groupe qui m'a l'air de maîtriser la spécialité, je me dit qu'ils sont plus forts que moi, et que je ne dois pas tenter de les suivre. Je ne trouve personne comme lièvre, tant pis, le marathon, me dis je, c'est toi seul avec ... toi même.
Je ralenti et laisse partir le groupe. Je ne les reverrai plus.... Je me fais dépasser mais je tiens l'avance sur les meneurs 3h45.
Arrive le 14éme, gros coup de déprime, ma FC toujours à 160-163, et je me dis, plus que 28 bornes... dans quelle galère je me suis mis. En plus, je commence à sentir mes jambes s’alourdir un peu, quelques douleurs...Le marathon? 3h45 ? tu parles, essais déjà de le finir.
Je prend conscience, même si je m'en doutais, de l'humilité requise pour cette épreuve...je m'en doutais, mais pas à ce point. Mon gars, tu es au pied de la montagne, grimpe.
Allez un gel, on se fixe un premier petit objectif; cap sur le 20éme; Papa m'attend.
Au 20eme, il me redonne des gels (j'en ai déjà pris 2) et une bouteille maison isostar. Je recharge ma gourde. Ca va mieux...
Je repars regonflé en attendant le cap des 30 km.
Je ne pense qu'à cela en me disant que le mur va arriver, et qu'il va falloir le grimper.
LA chaleur commence à faire son effet. Je bois pas mal, en utilisant mes deux petites gourdes perso. Je ne rate aucun ravito. Marre des bananes, mais, bon, cela fait son effet pour le moment. la FC monte à 168... aie, on est dans le dur maintenant. Mais même en ralentissant, elle ne baisse pas.
Je me fais rattraper par le meneur 3h45 (qui au passage du semi, avait changé, ce n'était plus le même...). Je regarde ma montre GPS : 11.5 km/h de moyenne. Bigre, il a mangé du Lion le gars. En fait, au ravito suivant, il a ralentit. L'histoire dit que je ne les reverrai plus, mais ça, je ne le savais pas encore...
A ce moment là, je sais que je vais terminé (sauf blessure). Je serre le dent, les jambes sont dures, mais l'énergie est encore là. Au trentième, un gars dit "Allez les gars, c'est fini l’échauffement, c'est maintenant que la course commence". Le décors est planté. Il fait chaud, je commence à voir des gens qui marche. ON Y EST !! Ca va toujours, enfin, si je fais abstraction des douleurs.
Je repense à ma stratégie de course (part sur 3h45, et tu accélère au 32km, si tu passes le mur sans encombre) ... mouai, à ce moment là, j'avais du mal à voir comment j'allais accélérer.
Arrive le 32éme, ma famille est à nouveau là, ça me donne un coup de fouet (enfin surtout dans la tête, parce que les jambes, c'est comme polydent, c'est du béton...).
33eme : Ca passe toujours, je me dis que je suis entrain de passer le mur, et que mon alimentation régulière durant le parcours est en train de payer.
Je cours à coté d'un gars, sympathique (du moins en apparence, on a pas eu l’occase de faire la discussion hein !), je lui demande ce qu'il vise, histoire de voir si c'est un bon partenaire pour finir. Il me dit 3h45, voire un peu moins, et c'est mon premier marathon.
Parfait me direz vous ??
Et bien c'est le moment que j'ai choisit pour accélérer.
J'augmente ma fréquence de foulées, en raccourcissant l'amplitude et hop, je prend 12,5 km/h.
la FC monte, à 175, mais je m'en fiche royalement, il ne me reste que 8 bornes.
Et que vous le croyez ou pas, je rattrape un à un les personnes du groupe du km10. A l’arrêt ou presque, et moi qui les double. Incroyable, grisant, difficilement supportable pour mon corps, mais qu'importe, c'est que du bonheur. Je repense à ce que me disait koeurlent.
On revient sur les boulevards, et je continue à doubler à tour de bras. C'est dur, mais je m'arrose d'eau. Encore 4 km.
Le public est là, on m'encourage. C'est super. Je pense à ma femme, à mes enfants, je serre les dents.
39eme. La route se rétrécie, le public est proche. Je me permets haranguer la foule, elle me répond, me fait une hola. INCROYABLE EMOTION, le PIED COMPLET !!!!!!!!!!!!!!
On arrive au 40 eme Un passage tortueux, avec des relances. Il fait chaud, je peine à atteindre les 11 km/ h.
Aie, je paie l’euphorie des 5 km précédant. Je ralentis, je galère.
Je manque de rater le dernier ravito, je mange 2 bananes en ayant du faire MARCHE ARRIÈRE pour les attraper. Mes mollets me sanctionnent, mais je continue. Je regarde au tour de moi, c'est pour tout le monde pareil.
Je repense à mes 3h42, c'est encore jouable. Mais il faut repartir. Je ne pense plus, je fixe la banderole des 41 km...
J'en ai marre, mais je vois cette banderole. ça fait des semaines que je rêve de ce moment, arriver au bout du chemin. Je me dit à voit haute (oui, je me parle seul parfois ) " allez, c'est le moment que tu voulais, alors, vas y ! ).
On arrive sur la dernière ligne droite, rue du Languedoc. J'accélère. A l'énergie, j'ai plus grand chose, mais je donne tout. 12-12.5km/h. Je fixe droit devant. Au bout, c'est la rue Alsace lorraine. J'y rentre, encore 700 m. Le public est nombreux, il encourage. Je lâche tout, je me sens repousser des ailes.
C'est incroyable, je souhaite à tout le monde de vivre ce type de moment là. La foulée redevient souple et légère, je monte à 14-15 km/h . Je serre le point, je fais signe à la foule en levant les bras pour faire signe de m'encourager. Elle crie. C'est trop bon. Dernier virage, 195 m pour finir au sprint, passage de la ligne, je lève les yeux, 3h42m28s sur le panneau d'affichage (dans ma tête, avec le départ et la pause pipi; c'est moins de 3h42, donc yes).
Magique, le moment où on te donne la médaille. Ça y est, je suis devenu un marathonien.
difficile de traduire avec un clavier ce que l'on ressent, tout ceux qui l'on vécu me comprenne.
la retrouvaille avec mes proches fut un super moment, tout comme la bière qui est venue après.
Voila, j'espère que je n'ai pas été trop brouillon.
K2
par kusco2
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- kjeff
- Hors Ligne
- Expert Boarder
- Messages : 85
- Remerciements reçus 1
Réponse de kjeff sur le sujet Re: Marathon de Toulouse, mon premier Marathon
Posted il y a 10 ans 3 semaines #338021
Félicitation pour cette première, tu as sacrément bien géré tes 42km195... Le temps était sûrement plus propice à la réussite que l'année passée (j'y étais en spectateur rue alsace-lorraine et il faisait très chaud pour un mois d'octobre), les ravitos étaient suffisants cette année?
en tout cas merci pour ce récit ou l'on perçoit bien le bonheur que tu as eu à franchir ce cap du marathon!
Bon repos!
en tout cas merci pour ce récit ou l'on perçoit bien le bonheur que tu as eu à franchir ce cap du marathon!
Bon repos!
par kjeff
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Patrick57
- Hors Ligne
- Moderator
- Messages : 21577
- Remerciements reçus 3227
Réponse de Patrick57 sur le sujet Re: Marathon de Toulouse, mon premier Marathon
Posted il y a 10 ans 3 semaines #338027
Superbe !!!
Que c'est bon ces moments de grâce sur une telle course !
C'est génial quand le public suit
Bravo à toi marathonien, tu as bien géré ton affaire pour une première !
Bonne récup et merci pour ton CR plein d'enthousiasme !
Que c'est bon ces moments de grâce sur une telle course !
C'est génial quand le public suit
Bravo à toi marathonien, tu as bien géré ton affaire pour une première !
Bonne récup et merci pour ton CR plein d'enthousiasme !
par Patrick57
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- secalex
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 9702
- Remerciements reçus 1203
Réponse de secalex sur le sujet Re: Marathon de Toulouse, mon premier Marathon
Posted il y a 10 ans 3 semaines #338058
Bravo à toi pour ta belle course.
Bonne récup et à bientôt peut-être lors d'une course dans la région Toulousaine.
Bonne récup et à bientôt peut-être lors d'une course dans la région Toulousaine.
par secalex
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- seskap
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 2024
- Remerciements reçus 39
Réponse de seskap sur le sujet Re: Marathon de Toulouse, mon premier Marathon
Posted il y a 10 ans 3 semaines #338064
Bon, finalement le "advienne que pourra" t'as bien réussi !
Felicitations
Felicitations
par seskap
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Kodama
- Hors Ligne
- Golden runner's
- Messages : 4348
- Remerciements reçus 223
Réponse de Kodama sur le sujet Re: Marathon de Toulouse, mon premier Marathon
Posted il y a 10 ans 3 semaines #338069
Belle gestion de course et belle émotion dans ton CR.
J'aimerais bien vivre un marathon avec ce type de sensations !!
Grand bravo à toi !!!
J'aimerais bien vivre un marathon avec ce type de sensations !!
Grand bravo à toi !!!
par Kodama
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
Temps de génération de la page : 0.400 secondes