20 km dans les collines
- Guigou
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Ma première course de l’année !
Pour fêter ça, même si elle n’était pas prévue au programme, je fais un petit CR…
Le contexte :
Depuis 1 mois ½, je me suis inscrit aux « Fouladous », club de CAP plutôt orienté trail de Balaruc, à coté de Sète. En effet, j’en avais un peu marre de tourner tout seul dans mes vignes Montpelliéraines, et je cherchais une compagnie autre que les moucherons et les chiens enragés qu’il pouvait m’arriver de croiser. Du coup, inscription à ce club où je connaissais vaguement quelques personnes, qui organise des sorties « trail » dans le massif de la Gardiole le WE, et des sorties plus classiques en bord de l’Etang de Thau le soir en semaine.
En ce moment, j’essaye d’articuler un entrainement de fond pour l’Andorra Ultra Trail de Juillet, tout en conservant un peu de jus pour un petit 10k début juin à Sète.
Oui, je sais, c’est pas possible, donc du coup j’ai choisi de continuer à gratter des km dès que je peux, tout en reprenant quelques séances de VMA et AS10… du coup ça donne déjà prés de 1400 km depuis le début de l’année, avec parfois un peu de fatigue accumulée, mais des progrés en terme de résistance.
Du coup, ce jeudi, quand mes nouveaux « collègues » me parlent du 20 km de Mèze qui se court le dimanche, je crains un peu d’être hors de forme car j’ai déjà enchainé 5 séances dans la semaine…
Je décide donc de faire juste une petite EF le vendredi, et de couper celle du samedi, pour reprendre un peu de fraicheur. Il mes reste à négocier la chose avec le reste de la famille….. Pour une fois on est là, et aucun des gamins n’a de compet ce WE là… feu vert pour la course, yessss !
La course :
Cette année, le parcours de ce 20 km (et du 7km qui part en même temps) a été entièrement revu. Auparavant mixte route/chemins, il est devenu exclusivement chemin avec même quelques petits morceaux de sentiers monotrace qui lui donnent un air de trail. Le parcours est donc nouveau pour tout le monde, sauf pour le club de Méze sur les terres de qui nous sommes…
Au briefing, l’organisation annonce donc ces nouveautés, et précise qu’il y aura quelques zones scabreuses où les dépassements seront difficiles, et de bonnes montées (300m de D+). Nous sommes un douzaine de coureurs des Fouladous, dont 4 filles, tout le monde s’aligne sur le 20km. Parmi nous, Pascal, spécialiste des trails court de 15 à 30 km, l’a déjà gagné 2 fois, avec un record en 1h11, ce qui est énorme compte tenu du fait que le parcours ancien n’était déjà pas très roulant. Je n’essaierai pas de le suivre !
Je me cale plutôt avec un autre Fouladou, Bruno, qui semble avoir une foulée « compatible ». On décide de partir aux sensations, il souhaite se caler à 13 – 14 km/h dés le début.
Echauffement, pipi dans les herbes, le départ a lieu dans un camping au bord d’un lac, le long d’un parking un peu squatté par des « Gens du voyage ». Ils s’amusent d’ailleurs un peu de nous voir courir en rond et pisser en ligne…
La ligne de départ et matérialisée sur la route, notre groupe se range sagement derrière à H-10, et 150 coureurs se massent devant !!! On se retrouve donc enfermés dans la nasse, et au coup de feu, ça pioche méchamment… 330 coureurs au départ environ, 7 et 20 km mélangés, ça slalome dur !
Avec mon copain de galère, on remonte le flot gentiment, le parcours est plat pour l’instant, il suit les bords du lac sur 2 km. On attaque les vignes, mais mon collègue préfère rester à son allure et me laisse prendre le large. Je continue à reprendre des concurrents dans la première montée, je reste un peu en dedans, ne sachant pas à quoi m’attendre sur la suite des réjouissances.
Pour l’instant ça monte gentiment, mais c’est très étroit, on chemine dans la garrigue entre les herbes hautes, il y a juste la place de poser les chaussures. Du coup, ça pioche un peu, je double pas et je sens que ça pousse derrière… A la faveur d’une clairière, je m’écarte dans les herbes et double quelques coureurs, avant de croiser un chemin qui marque la séparation du 7 et du 20.
Et ça repart dans la montée. Je m’étonne de me retrouver presque seul, en fait beaucoup des gens qui étaient devant participaient au 7km, je ne m’en étais pas rendu compte. Le gars qui poussait depuis un moment derrière remonte à ma hauteur, il râle un peu d’être resté scotché, et du coup on profite de la descente pour dérouler la foulée le long d’un magnifique chemin en sous-bois. Ce 6eme km se fait à fond de cale en 3’38’’, on se tire la bourre gentiment, il avionne vraiment en descente et j’ai du mal à suivre… mais la pente s’inverse, un bénévole annonce une montée, et on enchaine sur une cote d’1 km vent en pleine face (80 km/h de tramontane déchainée !!), qui me permettent de le reprendre ainsi que d’autres concurrents. Beaucoup se plaignent de ce vent violent, il me gène aussi mais j’ai peu être plus l’habitude, avec mes parcours en bord de mer… Je passe le 10eme km en 44’.
Petite pause au ravito, trois gorgées d’eau dans un gobelet… C’est con, un gobelet : on est obligé de boire très lentement, et bien sûr, une fois qu’on a fini, en pleine garigue on n’est pas cerné par les poubelles… J’en fait donc un tortillon que je glisse dans la poche de mon short, histoire de ne pas polluer mes collines ! La course devient bizarre : j’ai un groupe de 3 coureurs en ligne de mire 100 m devant moi, que je n’arrive pas à rattraper, et mon avion descendeur derrière, qui me remonte légèrement dans les descentes, mais que je lâche dans les montées. Depuis le début, j’ai pris le parti de ne pas accorder un œil à ma FC, je cours aux sensations, et celles-ci sont bonnes. La seule chose qui me retient, c’est que je ne sais pas où je vais, et où j’en suis par rapport aux autres.
Le paysage change et devient lunaire… Nous sommes dans une zone qui a été dévastée par un incendie il y a un an, les arbres sont noirs et il faut faire attention où on pose les pieds car de nombreuses branches jonchent le sol. Le parcours devient sinueux pour éviter les troncs à terre, mais la vue depuis ce plateau est magnifique, avec le bassin de Thau et le Mont Saint Clair à l’horizon. J’ai l’impression que je revient peu à peu sur deux concurrents, mais c’est long…. Ça doit faire 6 km que je suis « tout seul », au milieu de plus de 200 coureurs ça fait bizarre.
En haut d’un raidillon, un bénévole m’annonce « allez, bravo, 15eme position »… ah bon ? je suis si bien que ça ? on est au km 16, et je suis sur que je peux encore remonter, je sens qu’il m’en reste sous la pédale. Mes deux cibles s’arretent au ravito et prennent le temps de boire, j’en profite pour m’accorder une pause aussi, pose sur la table mon gobelet tortilloné, ce qui fait rire la demoiselle à qui je pique deux quartiers d’orange. Et ça repart.
Un des deux coureurs semble en difficulté. Je remonte à sa hauteur, en fait il est tombé il y a quelques km et a du mal à repartir sereinement. Il court en running de route, il n’avait pas prêté attention au changement de parcours, la fin de la course est donc un peu pénible pour lui. Pour ma part, j’ai mes Asics Fuji au pied, ça convient idéalement à ce type de parcours. L’autre coureur est encore à une cinquantaine de m, il a l’air bien en forme, lui. J’arrive quand même à revenir sur lui, arrivé à sa hauteur on discute un peu. Il relève d’une tendinite, et s’est tapé 200 km de vélo il y a 2 jours… Plutôt en forme, non ? il me répond qu’il est dans le dur, et que moi j’ai l’air plutôt frais… on passe le panneau « km 18 », je suis surpris d’y être déjà, et il me dit que je devrais essayer de pousser un peu, car ça va descendre et on devrait avoir le vent dans le dos. Juste retour des choses, depuis le temps qu’on se goinfre de bourrasques !
Effectivement on rejoint la route, sur un faux plat descendant, et j’essaye de lâcher enfin les poneys qui me restent, pour ne pas rester sur un goût d’inachevé… Les chaussures de trail tapent sur le bitume, mais je me sens des ailes, et j’ai encore deux coureurs en ligne de mire…. Le premier est au taquet, il ne peut pas accélérer et je le passe juste après la marque du 19eme km. Ma montre affiche un km en 3’30’’, c’est grisant, je suis cramé mais j’ai l’impression que tout est possible ! J’essaye de remonter le suivant, mais l’arrivée est presque là. Celui là, par contre, il lui reste des réserves et il me gère tranquillement jusqu’à l’arrivée… Il me dira après qu’il a eu chaud quand il m’a senti revenir, mais de mon coté j’ai tout donné, c’était pas faisable !
Je termine donc en 1h24’22’’, 12eme (sur 212 arrivants), et 5 eme V1H, super content et surpris de ma bonne forme, moi qui me croyait plutôt fatigué. Je me sens même relativement frais malgré la course, avec l’idée que j’aurais pu pousser encore plus. Ma Garmin indiquant un FC de 89% avec un pic à 97%, je me dis que c’était une vue de l’esprit !! Pour l’instant, ce sont ces distances intermédiaires de 20 km avec du dénivelé qui me réussissent le plus, comme à Marseille Cassis.
Devant, Pascal termine 2nd en 1h16, temps énorme compte tenu du parcours. Il est devancé par un p’tit jeune de 21 ans (catégorie espoir), en un temps hallucinant de 1h11… Il paraît que ce coureur vaut 31’ au 10k, encore un Simon38 en puissance!
Prochain objectif : le 10 km de Sète, le 05/06…. 10k et tout plat, ça va faire tout drôle…
Voila le lien GC:
connect.garmin.com/activity/85919226
Voila, j'espère ne pas avoir été trop long, mais avec une seule course en 5 mois, j'ai des excuses!
Pour fêter ça, même si elle n’était pas prévue au programme, je fais un petit CR…
Le contexte :
Depuis 1 mois ½, je me suis inscrit aux « Fouladous », club de CAP plutôt orienté trail de Balaruc, à coté de Sète. En effet, j’en avais un peu marre de tourner tout seul dans mes vignes Montpelliéraines, et je cherchais une compagnie autre que les moucherons et les chiens enragés qu’il pouvait m’arriver de croiser. Du coup, inscription à ce club où je connaissais vaguement quelques personnes, qui organise des sorties « trail » dans le massif de la Gardiole le WE, et des sorties plus classiques en bord de l’Etang de Thau le soir en semaine.
En ce moment, j’essaye d’articuler un entrainement de fond pour l’Andorra Ultra Trail de Juillet, tout en conservant un peu de jus pour un petit 10k début juin à Sète.
Oui, je sais, c’est pas possible, donc du coup j’ai choisi de continuer à gratter des km dès que je peux, tout en reprenant quelques séances de VMA et AS10… du coup ça donne déjà prés de 1400 km depuis le début de l’année, avec parfois un peu de fatigue accumulée, mais des progrés en terme de résistance.
Du coup, ce jeudi, quand mes nouveaux « collègues » me parlent du 20 km de Mèze qui se court le dimanche, je crains un peu d’être hors de forme car j’ai déjà enchainé 5 séances dans la semaine…
Je décide donc de faire juste une petite EF le vendredi, et de couper celle du samedi, pour reprendre un peu de fraicheur. Il mes reste à négocier la chose avec le reste de la famille….. Pour une fois on est là, et aucun des gamins n’a de compet ce WE là… feu vert pour la course, yessss !
La course :
Cette année, le parcours de ce 20 km (et du 7km qui part en même temps) a été entièrement revu. Auparavant mixte route/chemins, il est devenu exclusivement chemin avec même quelques petits morceaux de sentiers monotrace qui lui donnent un air de trail. Le parcours est donc nouveau pour tout le monde, sauf pour le club de Méze sur les terres de qui nous sommes…
Au briefing, l’organisation annonce donc ces nouveautés, et précise qu’il y aura quelques zones scabreuses où les dépassements seront difficiles, et de bonnes montées (300m de D+). Nous sommes un douzaine de coureurs des Fouladous, dont 4 filles, tout le monde s’aligne sur le 20km. Parmi nous, Pascal, spécialiste des trails court de 15 à 30 km, l’a déjà gagné 2 fois, avec un record en 1h11, ce qui est énorme compte tenu du fait que le parcours ancien n’était déjà pas très roulant. Je n’essaierai pas de le suivre !
Je me cale plutôt avec un autre Fouladou, Bruno, qui semble avoir une foulée « compatible ». On décide de partir aux sensations, il souhaite se caler à 13 – 14 km/h dés le début.
Echauffement, pipi dans les herbes, le départ a lieu dans un camping au bord d’un lac, le long d’un parking un peu squatté par des « Gens du voyage ». Ils s’amusent d’ailleurs un peu de nous voir courir en rond et pisser en ligne…
La ligne de départ et matérialisée sur la route, notre groupe se range sagement derrière à H-10, et 150 coureurs se massent devant !!! On se retrouve donc enfermés dans la nasse, et au coup de feu, ça pioche méchamment… 330 coureurs au départ environ, 7 et 20 km mélangés, ça slalome dur !
Avec mon copain de galère, on remonte le flot gentiment, le parcours est plat pour l’instant, il suit les bords du lac sur 2 km. On attaque les vignes, mais mon collègue préfère rester à son allure et me laisse prendre le large. Je continue à reprendre des concurrents dans la première montée, je reste un peu en dedans, ne sachant pas à quoi m’attendre sur la suite des réjouissances.
Pour l’instant ça monte gentiment, mais c’est très étroit, on chemine dans la garrigue entre les herbes hautes, il y a juste la place de poser les chaussures. Du coup, ça pioche un peu, je double pas et je sens que ça pousse derrière… A la faveur d’une clairière, je m’écarte dans les herbes et double quelques coureurs, avant de croiser un chemin qui marque la séparation du 7 et du 20.
Et ça repart dans la montée. Je m’étonne de me retrouver presque seul, en fait beaucoup des gens qui étaient devant participaient au 7km, je ne m’en étais pas rendu compte. Le gars qui poussait depuis un moment derrière remonte à ma hauteur, il râle un peu d’être resté scotché, et du coup on profite de la descente pour dérouler la foulée le long d’un magnifique chemin en sous-bois. Ce 6eme km se fait à fond de cale en 3’38’’, on se tire la bourre gentiment, il avionne vraiment en descente et j’ai du mal à suivre… mais la pente s’inverse, un bénévole annonce une montée, et on enchaine sur une cote d’1 km vent en pleine face (80 km/h de tramontane déchainée !!), qui me permettent de le reprendre ainsi que d’autres concurrents. Beaucoup se plaignent de ce vent violent, il me gène aussi mais j’ai peu être plus l’habitude, avec mes parcours en bord de mer… Je passe le 10eme km en 44’.
Petite pause au ravito, trois gorgées d’eau dans un gobelet… C’est con, un gobelet : on est obligé de boire très lentement, et bien sûr, une fois qu’on a fini, en pleine garigue on n’est pas cerné par les poubelles… J’en fait donc un tortillon que je glisse dans la poche de mon short, histoire de ne pas polluer mes collines ! La course devient bizarre : j’ai un groupe de 3 coureurs en ligne de mire 100 m devant moi, que je n’arrive pas à rattraper, et mon avion descendeur derrière, qui me remonte légèrement dans les descentes, mais que je lâche dans les montées. Depuis le début, j’ai pris le parti de ne pas accorder un œil à ma FC, je cours aux sensations, et celles-ci sont bonnes. La seule chose qui me retient, c’est que je ne sais pas où je vais, et où j’en suis par rapport aux autres.
Le paysage change et devient lunaire… Nous sommes dans une zone qui a été dévastée par un incendie il y a un an, les arbres sont noirs et il faut faire attention où on pose les pieds car de nombreuses branches jonchent le sol. Le parcours devient sinueux pour éviter les troncs à terre, mais la vue depuis ce plateau est magnifique, avec le bassin de Thau et le Mont Saint Clair à l’horizon. J’ai l’impression que je revient peu à peu sur deux concurrents, mais c’est long…. Ça doit faire 6 km que je suis « tout seul », au milieu de plus de 200 coureurs ça fait bizarre.
En haut d’un raidillon, un bénévole m’annonce « allez, bravo, 15eme position »… ah bon ? je suis si bien que ça ? on est au km 16, et je suis sur que je peux encore remonter, je sens qu’il m’en reste sous la pédale. Mes deux cibles s’arretent au ravito et prennent le temps de boire, j’en profite pour m’accorder une pause aussi, pose sur la table mon gobelet tortilloné, ce qui fait rire la demoiselle à qui je pique deux quartiers d’orange. Et ça repart.
Un des deux coureurs semble en difficulté. Je remonte à sa hauteur, en fait il est tombé il y a quelques km et a du mal à repartir sereinement. Il court en running de route, il n’avait pas prêté attention au changement de parcours, la fin de la course est donc un peu pénible pour lui. Pour ma part, j’ai mes Asics Fuji au pied, ça convient idéalement à ce type de parcours. L’autre coureur est encore à une cinquantaine de m, il a l’air bien en forme, lui. J’arrive quand même à revenir sur lui, arrivé à sa hauteur on discute un peu. Il relève d’une tendinite, et s’est tapé 200 km de vélo il y a 2 jours… Plutôt en forme, non ? il me répond qu’il est dans le dur, et que moi j’ai l’air plutôt frais… on passe le panneau « km 18 », je suis surpris d’y être déjà, et il me dit que je devrais essayer de pousser un peu, car ça va descendre et on devrait avoir le vent dans le dos. Juste retour des choses, depuis le temps qu’on se goinfre de bourrasques !
Effectivement on rejoint la route, sur un faux plat descendant, et j’essaye de lâcher enfin les poneys qui me restent, pour ne pas rester sur un goût d’inachevé… Les chaussures de trail tapent sur le bitume, mais je me sens des ailes, et j’ai encore deux coureurs en ligne de mire…. Le premier est au taquet, il ne peut pas accélérer et je le passe juste après la marque du 19eme km. Ma montre affiche un km en 3’30’’, c’est grisant, je suis cramé mais j’ai l’impression que tout est possible ! J’essaye de remonter le suivant, mais l’arrivée est presque là. Celui là, par contre, il lui reste des réserves et il me gère tranquillement jusqu’à l’arrivée… Il me dira après qu’il a eu chaud quand il m’a senti revenir, mais de mon coté j’ai tout donné, c’était pas faisable !
Je termine donc en 1h24’22’’, 12eme (sur 212 arrivants), et 5 eme V1H, super content et surpris de ma bonne forme, moi qui me croyait plutôt fatigué. Je me sens même relativement frais malgré la course, avec l’idée que j’aurais pu pousser encore plus. Ma Garmin indiquant un FC de 89% avec un pic à 97%, je me dis que c’était une vue de l’esprit !! Pour l’instant, ce sont ces distances intermédiaires de 20 km avec du dénivelé qui me réussissent le plus, comme à Marseille Cassis.
Devant, Pascal termine 2nd en 1h16, temps énorme compte tenu du parcours. Il est devancé par un p’tit jeune de 21 ans (catégorie espoir), en un temps hallucinant de 1h11… Il paraît que ce coureur vaut 31’ au 10k, encore un Simon38 en puissance!
Prochain objectif : le 10 km de Sète, le 05/06…. 10k et tout plat, ça va faire tout drôle…
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Voila, j'espère ne pas avoir été trop long, mais avec une seule course en 5 mois, j'ai des excuses!
Last Edit:il y a 13 ans 6 mois
par Guigou
Dernière édition: il y a 13 ans 6 mois par Guigou. Raison: Ajout lien GC
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- adejean
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- Talonette
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Super CR comme d'hab !
Tu étais dans une forme terrible, à te lire on imaginerai presque (ben ouais il faut un "presque" ) un super-héros !
Dis moi tu as combien de paires de shoes ? J'ai l'impression qu'à chacun de tes posts tu en portes une différente...
Tu étais dans une forme terrible, à te lire on imaginerai presque (ben ouais il faut un "presque" ) un super-héros !
Dis moi tu as combien de paires de shoes ? J'ai l'impression qu'à chacun de tes posts tu en portes une différente...
par Talonette
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- Alassea
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Merci pour ce CR, et félicitaion! une magnifique course!
bonne continuation!
bonne continuation!
par Alassea
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- Guigou
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Super héros... Le premier il m'a mis 1/4 d'h! Faut rester modeste, mais quand on a l'impression de gagner "sa" course, on est tout content !!
Côté shoes, j'ai les Fuji asics pour le trail court, et les Ds trainer asics pour la route.
Comme j'avais trouvé les Fuji un peu juste pour le long sur laSaintelyon, j'ai acheté depuis peu des adidas riot en prevision de l'andorra trail.
Côté shoes, j'ai les Fuji asics pour le trail court, et les Ds trainer asics pour la route.
Comme j'avais trouvé les Fuji un peu juste pour le long sur laSaintelyon, j'ai acheté depuis peu des adidas riot en prevision de l'andorra trail.
par Guigou
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- Talonette
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Guigou écrit:
Je te chambre, tu as super bien géré ! Si j'avais pas déjà fait ma séance quotidienne, j'irai fissa courir tellement ça donne envie de ressentir les sensations de lorsqu'on est dans un bon jour.
Super héros... Le premier il m'a mis 1/4 d'h! Faut rester modeste, mais quand on a l'impression de gagner "sa" course, on est tout content !!.
Je te chambre, tu as super bien géré ! Si j'avais pas déjà fait ma séance quotidienne, j'irai fissa courir tellement ça donne envie de ressentir les sensations de lorsqu'on est dans un bon jour.
par Talonette
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